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13/07/2014

Israël - Gaza : François Hollande exprime son «inquiétude» à Mahmoud Abbas

Scandaleux !

Quand le sioniste de Hollande, cousin de SARKOZY, l'agent de la CIA et du Mossad,  encourage Israël à engager des représailles à l'encontre du peuple Palestinien et qu'il engage la France en notre nom, cet espèce de criminel !

Y'en a marre que tous ces criminels parlent en notre nom quand nous ne voulons que la paix chez nous, dans le monde, et sortir de la prison de l'Europe nazie !

Il aura fallu le rappeler à l'ordre pour qu'il fasse semblant d'exprimer sa soi-disant inquiétude à Mahmoud Abbas !


Israël - Gaza : François Hollande exprime son «inquiétude» à Mahmoud Abbas

Publié le 10.07.2014, 22h14 | Mise à jour : 23h41

 

ILLUSTRATION. François Hollande au Palais d'Iéna à Paris, le 7 juillet 2014. Alors que dans son propre parti certains lui reprochaient, la veille, des termes trop favorables au gouvernement israélien, François Hollande a fait savoir, jeudi, qu'il s'était entretenu avec Mahmoud Abbas et avait «salué le sens des responsabilités» du chef de l'Autorité palestinienne et ses efforts «pour parvenir à l'apaisement des tensions» autour de Gaza.

ILLUSTRATION. François Hollande au Palais d'Iéna à Paris, le 7 juillet 2014. Alors que dans son propre parti certains lui reprochaient, la veille, des termes trop favorables au gouvernement israélien, François Hollande a fait savoir, jeudi, qu'il s'était entretenu avec Mahmoud Abbas et avait «salué le sens des responsabilités» du chef de l'Autorité palestinienne et ses efforts «pour parvenir à l'apaisement des tensions» autour de Gaza. | AFP / Kenzo Tribouillard

Changement de ton. a contacté par téléphone le de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ce jeudi soir, pour évoquer la situation préoccupante à Gaza. «L'escalade doit cesser», a prôné le président français, une position plus neutre que celle adoptée la veille.

 
Mercredi, François Hollande avait en effet condamné les tirs en provenance de Gaza, jugeant qu'il appartenait au Premier ministre israélien «de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces». 

Au
de l'entretien téléphonique de ce jeudi avec Mahmoud Abbas, François Hollande a cette fois exprimé «son inquiétude» concernant les événements à Gaza, où plus de 80 Palestiniens ont déjà trouvé la mort à la suite de raids israéliens. Le chef de l'Etat français a également «salué le sens des responsabilités» du chef de l'Autorité nationale palestinienne et ses efforts déployés «pour parvenir à l'apaisement des tensions», selon un communiqué de l'Elysée, rendu public en soirée. Appelant à stopper «l'escalade», il n'a pas rompu avec le discours d'apaisement qu'il avait tenu quelques heures plus tôt, lors de sa visite au fort de Pompelle, près de Reims (Marne). 

Dans l'après-midi, François Hollande avait effectivement déclaré que «le seul message que nous devons prononcer, c'est le message du dialogue, de la retenue et de la recherche, autant qu'il est possible, de l'apaisement». 

Quelques voix à gauche avaient contesté la première position de François Hollande
 
Mercredi, les propos de François Hollande avaient suscité une petite polémique. François Hollande avait alors adopté une position davantage favorable à la politique du Premier ministre israélien, soulignant qu'il lui «appartenait» de prendre «toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces». François Hollande avait aussi exprimé «la solidarité» de la France face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza, «condamnant fermement ces agressions».

Suite au communiqué de la présidence, quelques voix à gauche avaient contesté le blanc-seing ainsi délivré par Hollande au gouvernement israélien. «Ce point de vue justifie par avance toutes les opérations militaires (raids aériens et attaques terrestres), particulièrement sur la bande de Gaza, au motif de prévenir le terrorisme», avaient critiqué les écologistes d'Europe Ecologie-Les Verts dans un communiqué.

«En aucun cas, la France ne doit laisser penser qu'elle cautionne les violences ou les représailles militaires. La première conséquence de l'usage disproportionné de la force contre les Palestiniens est la mort de plusieurs dizaines de civils, dont de nombreux enfants. La France doit au contraire clairement condamner toutes les représailles militaires», avaient demandé de leurs côtés les députés socialistes Razzy Hammadi et Alexis Bachelay.
 
 

Communiqué concernant l'entretien avec le Premier ministre israélien du 9 juillet 2014

Communiqué concernant l'entretien avec le président de l'autorité palestinienne, jeudi 10 juillet
 
 
Parallèlement, plusieurs responsables des communautés musulmanes et juives de France s'étaient inquiétés de l'escalade du conflit et avaient appelé le gouvernement français à peser sur la situation.

La France compte les plus importantes communautés juive (500 000 personnes) et musulmane (entre 3,5 et cinq millions) d'Europe.

 
SUR LE MÊME SUJET

12/07/2014

Russie : L'UE a approuvé l'élargissement de la liste des sanctions

Les mensonges et la propagande contre la Russie continuent ! Ainsi que les provocations intentionnelles ! 

L'UE a approuvé l'élargissement de la liste des sanctions

L'UE a approuvé l'élargissement de la liste des sanctions

Par La Voix de la Russie | Le Conseil de l'UE a fait état d’élargissement de la liste des sanctions dans le cadre de la crise ukrainienne, en incluant 11 autres personnes dans la « liste noire », après quoi son nombre total de figurants s’était élevé à 72 personnes.

« Compte tenu de la gravité de la situation dans l'Est de l'Ukraine, le Conseil de l'UE a décidé d'étendre la liste des personnes visées par des sanctions ciblées pour avoir commis des actions compromettant l'intégrité territoriale, la souveraineté et l'indépendance de l'Ukraine », a précisé un communiqué du Conseil de l'UE. L'entrée à l'UE est interdite à ces personnes, et leurs avoirs sont gelés par l'UE, indique le rapport.

Jeudi dernier, une source proche du Conseil de l'UE a déclaré que la liste comprenait principalement les miliciens de l'Est de l'Ukraine, et plusieurs Russes.

Source http://french.ruvr.ru/news/2014_07_11/LUE-a-approuve-lela...

Par contre les actes criminels commis contre  la population par  le nazi POROCHENKO, eux sont admis ! Apparemment il n'est pas sanctionné mais encouragé !

Ukraine de l’Est : Porochenko menace de tuer 100 miliciens pour un soldat ukrainien tué

Ukraine de l’Est : Porochenko menace de tuer 100 miliciens pour un soldat ukrainien tué

Par La Voix de la Russie | Le président d'Ukraine Piotr Porochenko promet de se venger des miliciens, coupables de la mort des membres des forces de l’ordre ukrainiens dans la région de Lougansk, rapporte le service de presse du chef d’Etat.

Le chef d’Etat ukrainien a promis de trouver et exterminer tous ceux qui ont utilisé le système Grad contre les militaires ukrainiens. « Les rebelles paieront des dizaines et des centaines de leurs vies pour chacun de nos militaires », a déclaré Porochenko.

Selon le ministère de la Défense de l'Ukraine, dans la nuit du 11 juillet, le feu a été ouvert à l’aide d’un système de fusées multiples Grad près du village de Rovenky. 19 membres des forces de l’ordre ont été tués. Les forces ukrainiennes ont porté des frappes d’aviation en réponse.


Source : http://french.ruvr.ru/news/2014_07_11/Ukraine-de-l-Est-Po...

La Russie décrète l’état d’urgence pour accueillir les réfugiés d’Ukraine

Et c'est encore la Russie qui paiera pour tous ces réfugiés pour faire plaisir aux nazis occidentaux et à l'état sioniste d'Israël qui est derrière  tout cela ! Poutine va pouvoir au moins intervenir dans de meilleures conditions ! 

Voir la définition de l'état d'urgence :  ICI

 

La Russie décrète l’état d’urgence pour accueillir les réfugiés d’Ukraine

| 11 juillet 2014
 

La Fédération de Russie a décrété l’état d’urgence dans six provinces (Les oblasts de Rostov, Volgograd, et d’Astrakhan, le Kraï de Stavropol, la République de Kalmoukie et la ville de Sebastopol) pour faire face à l’afflux de réfugiés.

Depuis le début du soulèvement du Donbass et de la répression ukrainienne, 480 000 personnes se sont réfugiées en Russie, dont 20 451 ont demandé l’asile politique.

http://www.voltairenet.org/article184709.html

Voici comment sont traités les Ukrainiens par les nazis mis en place par les US/Sionistes/UE ! 

 

The Only Thing More Shameful than the Shelling of Eastern Ukraine is the Silence From the Left

http://scgnews.com/the-only-thing-more-shameful-than-the-...

 

Ukraine: Atrocities committed by the US-Supported Ukrainian National Guard

http://www.youtube.com/watch?v=WN_Mbe9u-vE

France propagande raciste : un attentat sous fausse bannière en préparation ?

Bon, le lobby sioniste ne serait-il pas en voie de nous préparer un nouvel attentat sous fausse bannière en France ?

Une bonne excuse pour charger et diffamer tous les arabes présentés systématiquement comme étant l'axe du mal, pour nous priver de nos libertés fondamentales et nous instaurer la Loi martiale, prévue dans le traité liberticide de Lisbonne par SARKOZY, en cas de débordement du peuple qui aura été poussé volontairement à la guerre civile et aux conflits racistes !

Heureusement que les arabes existent pour le lobby sioniste, parce qu'autrement il aurait fallu les inventer. 

Un petit rappel de la propagande sioniste dirigée contre les Arabes pour faire monter le racisme en France et la peur de l'Arabe !

Et maintenant la loi antiterrorisme qui vise les arabes et pas seulement, une atteinte aussi à nos libertés fondamentales.

Tout ce climat ne nous dit rien qui vaille et il se pourrait que nous ayons droit à un attentat sous fausse bannière en France pour nous paralyser complètement et pour masquer les corrompus divers du Gouvernement.

 

Antiterrorisme : le double jeu du gouvernement

Le gouvernement a décidé d’alourdir une nouvelle fois l’arsenal antiterroriste, arguant de la menace djihadiste. Mercredi 9 juillet, Bernard Cazeneuve a présenté en Conseil des ministres un projet de loi « renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme » qui doit être examiné par les députés de la commission des lois avant la fin juillet.

« Le texte vise à répondre à l’évolution de la menace en intensité, car le creuset syrien alimente une menace sans commune mesure avec ce qu’on a connu, par le nombre, par la façon d’agir diffuse et par la prégnance du numérique », explique-t-on au ministère de l’intérieur. Selon la Place Beauvau, 800 Français et résidents français seraient en Syrie, en seraient revenus ou souhaiteraient y aller, dont 300 au combat. La raison avancée peut surprendre quand on connaît par ailleurs le soutien politique et l’aide militaire que le gouvernement français apporte en sous-main aux rebelles combattant le régime de Damas, véritables alliés diplomatiques de la France. La cible djihadiste semble bien n’être qu’un simple prétexte pour renforcer à nouveau les dispositifs sécuritaires en vigueur dans un contexte d’aggravation de la crise et de montée en force de la contestation sociale. En effet, si les lois antiterroristes déjà promulguées ont fait la preuve de leur inefficacité pour combattre le terrorisme, elles ont en revanche permis aux différents gouvernements de renforcer leur contrôle sur les populations en leur donnant des moyens de combattre plus efficacement les résistances à leurs politiques.

 

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Les djihadistes au service du gouvernement français

La propagande du gouvernement et des médias français contre Bachar el-Assad a suscité de nombreuses vocations de djihadistes parmi les musulmans vivant en France.  En restant passif face aux candidats au départ, le gouvernement a fait d’une pierre deux coups. Tout en continuant d’armer les insurgés syriens, il a laissé nos terroristes déstabiliser encore un peu plus la Syrie pour in fine provoquer la chute de Bachar el-Assad et la liquidation du dernier État laïque au Moyen Orient, conformément aux intérêts d’Israël et de ses alliés saoudiens. Et il s’est débarrassé de fanatiques, bien encombrants en France, en les envoyant ailleurs et en espérant ne jamais les revoir. Si le gouvernement s’inquiète aujourd’hui, c’est en effet surtout du retour de ces terroristes. Pour l’instant, les services de renseignement ne sont pas encore en alerte rouge car la plupart des djihadistes français sont encore dans le sens du départ et seulement un peu moins d’une centaine sont déjà revenus. Mais la menace est déjà présente. Un projet imminent d’attentat sur la Côte d’Azur, préparé par un homme de retour du djihad en Syrie, a heureusement été déjoué fin mars par les services antiterroristes français. Mais on ne peut en dire autant de la fusillade de Bruxelles qui a fait de nombreuses victimes, montrant l’impossibilité de surveiller efficacement les terroristes. Et cette nouvelle loi ne résoudra pas ce problème, loin des ambitions affichées.

Une des mesures du projet de loi a pour finalité d’empêcher les départs de dijihadistes de la France pour la Syrie. Le ministère de l’intérieur pourra interdire la sortie du territoire à un Français pour lequel il a « des raisons de croire qu’il projette des déplacements à l’étranger (…) dans des conditions susceptibles de le conduire à porter atteinte à la sécurité publique lors de son retour sur le territoire français ». Environ 200 personnes pourraient être concernées. Plusieurs obstacles peuvent cependant apparaître. Comment prouver, avant même le départ, que la personne sera un danger au retour ? Comment contrôler le déplacement des ressortissants français à l’intérieur de l’espace Schengen ? L’escapade est facile : il suffit de prendre un bus à la porte de Bagnolet à destination d’Istanbul, où les Européens ne sont pas astreints à visas, avant de rejoindre la frontière syro-turque et les nombreuses infrastructures mises en place par les rebelles. Et si l’apprenti-djihadiste est surveillé, il pourra toujours éviter les transports en commun en prenant la route. Rien donc qui puisse freiner les déplacements de djihadistes vers la Syrie. Et pour ce qui est du retour en France, la situation est aussi à l’avantage des djihadistes : considérant qu’il faut mobiliser quinze personnes pour suivre un suspect 24 heures sur 24, les 3000 fonctionnaires français du contre-espionnage y suffiraient à peine. Les défaillances policières dans le suivi de Merah avant les tueries de Toulouse et Montauban rappellent à quel point la surveillance des djihadistes est de toute façon délicate.

Flicage d’Internet et surveillance accrue

Le projet de loi est en revanche beaucoup plus efficace pour ce qui est de la surveillance sur Internet en permettant sans décision d’un juge le blocage administratif des sites faisant l’apologie du terrorisme ou incitant à commettre des actes terroristes.  L’apologie du terrorisme, comme l’apologie des crimes de guerre, est aujourd’hui réprimée par la loi sur la presse de 1881 qui encadre la liberté d’expression en France. Le texte prévoit de sortir de ce périmètre législatif  les délits de « provocation aux actes de terrorisme » et d’« apologie du terrorisme », pour les intégrer dans un article spécifique du code pénal, considérant qu’il ne s’agit pas « d’abus de la liberté d’expression (…) mais de faits qui sont directement à l’origine d’actes terroristes », afin de donner davantage de pouvoirs aux enquêteurs travaillant sur ces dossiers notamment pour infiltrer des réseaux et avoir recours à des écoutes et des sonorisations. Le texte prévoit aussi la possibilité d’un blocage administratif – imposé aux fournisseurs d’accès à Internet – des sites faisant l’apologie du terrorisme. Une mesure qui s’inspire des dispositions prévues pour les sites pédopornographiques et qui, à défaut d’être efficace, constituerait une entrave de plus à la liberté d’expression.  Les sanctions seraient également renforcées en particulier quand les faits sont commis sur Internet pour tenir compte de son effet démultiplicateur. Mais elles s’appliqueraient à une infraction dont les contours sont toujours aussi flous : la définition  du groupe terroriste donnée par L’Union Européenne est en effet assez large pour permettre la répression d’actions syndicales ou politiques non-violentes (grève illégale, blocage de systèmes informatiques, occupation de routes, de bâtiments publics ou privés pour manifester) : « association structurée, de plus de deux personnes, établie dans le temps et agissant de façon concertée en vue de commettre des infractions terroristes (…) visant à menacer un ou plusieurs pays, leurs institutions ou leur population avec l’intention d’intimider ces derniers et de modifier ou détruire les structures politiques, sociales et économiques de ces pays ». Reposant sur la notion d’intentionnalité (visant à), elle permet en outre une répression préventive, en l’absence de toute commission d’actes, sur la seule base de l’appartenance à un groupe contestataire.

On retrouve cette dimension préventive dans l’article 5 du projet de loi qui crée la notion d’« entreprise individuelle terroriste ». Avec, en filigrane, la peur du « loup solitaire » capable de planifier des attentats terroristes et qui devra être arrêté avant même la commission des actes. L’article 12 du texte renforce l’arsenal anti-contestation en modifiant la loi qui réprime « l’accès frauduleux à un système de données automatisées » – en clair, les piratages et tentatives de piratage. Ces faits pourront désormais être considérés comme commis « en bande organisée », ce qui met à la disposition des enquêteurs l’ensemble des moyens de la lutte contre le crime organisé. Rappelons qu’en France, l’une des rares « attaques » informatiques qui auraient pu entrer dans le champ de cet article a eu lieu début 2012, lorsque quelques dizaines de personnes avaient participé à une action de blocage de sites Internet d’EDF pour protester contre l’utilisation d’énergie nucléaire, sous la bannière du mouvement informel Anonymous…

Ce nouveau projet de loi s’ajoute à une montagne de textes qui ont successivement criminalisé la contestation sociale tout en rabotant les libertés publiques et la protection du citoyen contre l’intrusion de l’État. Rappelons que l’actuel gouvernement, après avoir promulgué une énième loi antiterroriste dans le sillage de l’affaire Merah pénalisant le simple séjour dans un camp d’entraînement jihadiste ou la consultation de certains sites Internet, a autorisé par le projet de loi de programmation militaire la captation des données numériques de dizaines de milliers de personnes par an, en dehors de toute action judiciaire et sans aucune autorisation auprès de la CNCIS (Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité), sous le prétexte de guerre contre "le terrorisme". Peuvent être mobilisées à cette fin, non seulement les forces de l’ordre mais également toute la «communauté du renseignement», de l’Intérieur à la Défense, en passant par Bercy, pour éplucher tout ce que conservent et traitent les opérateurs d’Internet et de téléphonie « y compris les données techniques relatives à l’identification des numéros d’abonnement , mais aussi « à la localisation des équipements terminaux utilisés », sans parler bien sûr de « la liste des numéros appelés et appelant, la durée et la date des communications », les fameuses « fadettes » (factures détaillées). Bref, les traces des appels, des SMS, des mails… Rappelons que l’adoption du projet par le Sénat s’est faite malgré une forte mobilisation des acteurs du numérique et sans consultation de la CNIL.

La finalité de cette nouvelle loi antiterroriste comme des précédentes est de renforcer la surveillance des communications et des déplacements et de réduire les garanties du justiciable face à l’appareil d’État. La cible djihadiste n’est encore qu’un prétexte pour alourdir un arsenal législatif déjà considérable qui, loin de réduire la menace terroriste, servira à museler la contestation sociale et politique croissante face aux politiques d’austérité menées par le gouvernement.

http://bourgoinblog.wordpress.com/2014/07/09/antiterroris...

 

11/07/2014

Pourquoi la Ligue de Défense Juive est-elle intouchable ?

Voilà où la France en est réduite depuis son occupation par la secte juive de la Franc-maçonnerie, soit, depuis la soi-disant révolution française et secte FM qui nous a inventé la République maçonnique ! Aussi lorsque les politiques VRP des Illuminati, disent qu'ils sont fidèles au Pacte républicain et à l'idée qu'ils se font de la République, vous aurez compris à qui ils font allégeance !

Pourquoi la Ligue de Défense Juive est-elle intouchable ?

Véritable milice paramilitaire au service de l’entité sioniste, la Ligue de Défense Juive court (et frappe) toujours. En hiver dernier, elle joué un rôle actif dans la chasse au dissident en terrorisant les  spectateurs de Dieudonné ainsi que des passants lors de véritables expéditions punitives devant le Théâtre de la Main d’or sous le regard complice des forces de police. Idem quelques semaines plus tard lors de la manifestation au Trocadéro contre l’antisémitisme, où la LDJ a nargué un Manuel Valls resté de marbre. Plus près de nous, en juin dernier, une manifestation organisée à l’appel de la Ligue de Défense Juive (LDJ) et du BETAR en faveur des trois jeunes israéliens portés disparus en Cisjordanie, a dégénéré en véritable ratonnade. Ce mercredi 9 juillet, la LDJ a agressé des manifestants pro-palestiniens venus protester contre l’agression israélienne à Gaza. Comme d’habitude, les forces de l’ordre sont restées étrangement passives face aux extrémistes juifs et aucun de leur membre n’a été inquiété. Cette milice paramilitaire qui a déjà un lourd passé derrière elle, parsemé de violences et d’agressions en tout genre, semble bénéficier d’une impunité permanente. Pour services rendus ?

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La Jewish Deafence League est fondée à New York en 1968 par le rabbin américain Meir Kahane. Son homologue la LDJ en France est fondée par Pierre Lurçat, un ancien membre du Betar en octobre 2000 d’abord sous le nom de Liberté Démocratie et Judaïsme. Auto-dissoute en 2003, elle se reforme sous le nom de Ligue de Défense Juive. Son objectif : défendre « la communauté juive française » en luttant contre l’antisémitisme, l’anti-judaïsme et l’antisionisme. Politiquement proche du Front National – elle soutient en 2012 la candidature de Marine Le Pen considérée comme une "amie d’Israël" et pour qui le principal danger en France est "l’antisémitisme des fondamentalistes musulmans" – la LDJ revendique «une centaine d’adhérents, des jeunes entre 18 et 35 ans, en région parisienne». «En cas de menace grave sur la communauté, nous pourrions mobiliser environ un millier de personnes », déclare l’un des porte-paroles de l’organisation. Ratonnades, actes de vandalisme, agressions contre des militants pro-palestiniens, menaces de mort, expéditions punitives violentes,… on ne compte plus les exactions commises par cette milice paramilitaire (on en trouvera ici un recensement actualisé jusqu’en novembre 2012). Citons pêle-mêle : agression violente au tribunal administratif de Paris contre des étudiants d’une association d’extrême-gauche de Nanterre (l’AGEN), connue pour ses positions antisionistes radicales en décembre 2003, ratonnade devant le lycée Janson-de-Sailly en janvier 2009, saccage d’une librairie pro-palestinienne en juillet 2009 ; intrusions violentes dans des réunions pro-palestiniennes ou des manifestations culturelles : dans une soirée de l’association Génération Palestine en avril 2009, au Centre International de Culture populaire de la Mairie de Vitry-sur-Seine en mars 2009 qui s’apprêtait à faire citoyen d’honneur Marwan Barghouti condamné à la prison à vie en Israël, dans une réunion de l’association France-Palestine en mai 2011, à l’occasion d’une soirée de solidarité avec une coopérative agricole Palestinienne en octobre 2011, en novembre 2010 au Musée d’Art Moderne de Paris lors de l’exposition du photo-journaliste berlinois Kai Wiedenhöfer, « Gaza 2010 », présentant des clichés de victimes palestiniennes dans la bande de Gaza, à l’Institut du monde arabe lors de la projection d’un film en septembre 2012 ; agressions violentes contre de nombreuses personnalités ou journalistes : le président du MRAP Mouloud Aounit en novembre 2003, Dieudonné en mars 2005, l’écrivain essayiste Alain Soral en septembre 2004 (la librairie dans lequel il se trouvait fut saccagée et plusieurs personnes molestées), l’Israélien Ofer Bronchtein, président du Forum international pour la paix en avril 2012, Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des Indigènes de la République en octobre 2012, l’écrivain juif antisioniste Jacob Cohen en mars et en juillet 2012, le jeune reporter de l’Agence Info Libre, Jonathan Moadab, victime de menaces de mort et d’une tentative de meurtre en septembre 2012 et d’une agression en mars dernier, Olivia Zémor, présidente de l’association CAPJPO-EuroPalestine, en juin 2012 (à noter que cette organisation fait régulièrement l’objet de menaces de la part de la LDJ). Aucun des auteurs de ces faits n’a été inquiété par la Justice. Certaines plaintes ne font l’objet d’aucune enquête, même lorsque les responsables – désormais bien connus  sont formellement identifiés, comme ce fut le cas lors de la première agression de Jacob Cohen, en mars 2012. Le sentiment d’impunité conduit d’ailleurs les membres de cette organisation à agir à visage  découvert et à faire la publicité de leurs exactions sur les réseaux sociaux.

On peut s’étonner de la grande tolérance de l’État français vis-à-vis d’une organisation classée comme terroriste et interdite en Israël et aux États-Unis. Le MRAP demande régulièrement la dissolution de cette milice d’extrême-droite depuis 12 ans sans aucun succès. « Nous avons écrit de nombreuses lettres aux autorités ou les avons alertées lors d’entretiens, des parlementaires ont fait de même, et aucun résultat n’a été obtenu », déplore de son côté l’Union Juive Française pour la Paix dans un communiqué le 11 juillet 2012. La politique du deux poids deux mesures a de quoi laisser dubitatif quand on compare la totale impunité de fait dont jouissent les membres de cette organisation, sa longévité en dépit de ses agissements, à la rapidité avec laquelle l’État français a dissout le groupe islamiste Forzane Alliza dont le seul tort était de promouvoir la lutte armée ainsi que les groupes nationalistes Jeunesses Révolutionnaires et Troisième Voie  suite à la mort de Clément Méric. Autre fait troublant : une annonce publiée par la LDJ sur un site français en septembre 2011, pour recruter des mercenaires et aller casser du Palestinien en Cisjordanie n’a pas suscité la moindre réaction politique ni médiatique (à l’exception notable du site Rue89).  Interrogée, une porte-parole du Quai d’Orsay refusera de répondre au journaliste, assurant qu’elle ne connaît pas la LDJ. Les membres de cette organisation sont en réalité totalement couverts par les Ministres de l’Intérieur et de la Justice (lire ici la lettre de Jacob Cohen après son agression). Ils bénéficient même pour leurs séances d’entraînement au combat d’un bâtiment officiel public prêté par la Police Nationale ! Ils y suivent des cours de krav-maga, l’art martial de l’armée israélienne, sous la direction de conseillers techniques venus d’Israël.

Tout comme le CRIF, appareil idéologique d’État et lobby officiel du sionisme en France, son bras armé la LDJ, dont elle couvre régulièrement les agissements est au service de l’État pour briser la résistance politique au sionisme en intimidant ses opposants, notamment ceux qui critiquent la soumission de notre pays aux intérêts d’Israël : dissidents, militants pro-palestiniens et anti-impérialistes. Elle annonce d’ailleurs clairement la couleur en prétendant vouloir remplacer une police jugée défaillante dans la répression de l’antisémitisme, autrement dit faire la loi en France en châtiant les récalcitrants. Par son statut extra-légal, la LDJ peut utiliser la violence en toute impunité et constitue une force supplétive au service du gouvernement français dans sa politique mondialiste.

 

Nicolas Bourgoin

Nicolas Bourgoin, né à Paris, est démographe, docteur de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales et enseignant-chercheur. Il est l’auteur de trois ouvrages : La révolution sécuritaire (1976-2012) aux Éditions Champ Social (2013), Le suicide en prison (Paris, L’Harmattan, 1994) et Les chiffres du crime. Statistiques criminelles et contrôle social (Paris, L’Harmattan, 2008)

http://bourgoinblog.wordpress.com/2014/07/08/pourquoi-la-ligue-de-defense-juive-est-elle-intouchable/