Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/09/2015

Très Important : Syrie, Irak, L'OTSC (L'Organisation du Traité de Sécurité Collective) arrive en Irak et en Syrie pour lutter contre le terrorisme.

Citoyens Européens préparez-vous !

Vos pays, grâce aux traîtres qui les gouvernent au profit des US/OTAN, Nazis, vous mettent actuellement en danger et notamment l'Allemagne qui a accepté de recevoir 20 ogives nucléaires des USA d’une puissance équivalente à 80 bombes d’Hiroshima pour aller s'attaquer à la Russie !

L’Europe et les pays européens pouvant devenir le théâtre d'opérations militaires et d’attaques nucléaires sur leurs sols respectifs et/ou pour aller s’attaquer à la Russie !

En effet les pays de l’UE qui ont adhéré à l’OTAN constituent la base militaire avancée aux frontières de la Russie de l’US/OTAN/UE/Ukraine.

Le 1er août, l’Ukraine et la Turquie (membre de l’Otan) ont annoncé la création d’une « Brigade islamiste internationale », formée de combattants d’Al-Qaïda et de Daesh, et stationnée à Kherson (Ukraine). Cette Brigade se propose de combattre la Russie en Crimée.

Voir aussi tous ces articles pour comprendre ce qui se passe actuellement à votre issu et pour étayer l’article sur l’OTSC de Thierry Meyssan

 

Kiev veut récupérer la Crimée de la Russie

L’Otan et l’Ukraine signent des accords de coopération techniques et défensifs

Allemagne: des ogives US d’une puissance équivalente à 80 bombes d’Hiroshima

Armes nucléaires US en Allemagne: Moscou promet de riposter

Moscou met en garde l’Ukraine contre un projet d'adhésion à l’OTAN

Moscou critique l’installation d’armes nucléaires américaines en Allemagne

 

Rappelons que l’OTSC est une alliance militaire classique de six anciens États membres de l’Union soviétique : la Biélorussie, la Russie, l’Arménie, le Tadjikistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan.

Plus rien ne sera plus comme avant !

Comprenne qui pourra pour se préparer au pire aussi en Europe  !

 


L’OTSC arrive en Irak et en Syrie

par Thierry Meyssan

L’intervention de l’OTSC contre le terrorisme en Irak et en Syrie peut être le début d’un ordre mondial fondé sur la coopération et la défense des populations ou, au contraire, d’une période d’affrontement Est-Ouest dans laquelle l’Occident soutiendrait ouvertement le terrorisme. Contrairement à une idée reçue, ce déploiement militaire vise moins à défendre l’Irak et la République arabe syrienne que les États-membres de l’OTSC eux-mêmes. Il n’est donc pas négociable. Les débats de l’Assemblée générale de l’Onu et du Conseil de sécurité du 30 septembre permettront de connaître la réponse de Washington et de ses alliés à l’OTSC. Quoi qu’il en soit, plus rien ne sera comme avant.

Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 21 septembre 2015

JPEG - 49.7 ko

Alors que la presse occidentale persiste à discuter d’un possible soutien militaire russe au président Bachar el-Assad, l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) a décidé de lutter contre le terrorisme en Irak et en Syrie.

Il semble que les Occidentaux n’ont toujours pas compris les conséquences de leur politique.


Une question existentielle pour l’OTSC

Rappelons que l’OTSC est une alliance militaire classique de six anciens États membres de l’Union soviétique : la Biélorussie, la Russie, l’Arménie, le Tadjikistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan. À la différence de l’Otan et du Pacte de Varsovie, dans lesquels les États membres perdent leur souveraineté (au profit des États-Unis et du Royaume-Uni dans l’Otan, de l’URSS dans le Pacte de Varsovie —ce qui contrevient à la Charte des Nations unies—), les États membres de l’OTSC conservent leur pleine souveraineté, ne placent pas leurs armées sous le commandement de la principale puissance de leur alliance, et peuvent se désolidariser à tout moment de cette alliance [1]. L’Azerbaïdjan, la Géorgie et l’Ouzbékistan se sont ainsi retirés librement de cette organisation pour se tourner vers le Guam [2] et l’Otan.

Depuis les années 80, —avant même que n’existent les États membres de l’OTSC— les États-Unis et l’Otan déploient un système de missiles, d’abord tourné contre l’URSS, aujourd’hui encerclant l’OTSC. Ces missiles, censés détruire les missiles intercontinentaux adverses dans leur phase de décollage, ne peuvent en réalité que détruire des aéronefs évoluant à faible vitesse et en aucun cas les missiles hypersoniques russes. Présentés par le Pentagone comme une arme défensive —ce qu’il était peut-être à l’origine—, ce « bouclier anti-missiles » ne peut donc avoir qu’un usage offensif. L’OTSC est le seul groupe d’États au monde à être ainsi directement menacé par des missiles pointés sur lui à ses frontières.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’URSS puis les États membres de l’OTSC, assistent au recrutement des Frères musulmans par la CIA et à l’emploi de certains de leurs membres ou ex-membres par les États-Unis pour les déstabiliser [3]. Ainsi les hommes d’Oussama Ben Laden (formé par le frère de Sayyid Qutb) et d’Ayman al-Zaouahiri (qui avait rejoint la Confrérie un an avant l’arrestation et l’exécution de Sayyid Qutb) combattirent-ils l’URSS en Afghanistan, puis la Russie en Yougoslavie et enfin sur son propre territoire dans le Caucase [4].

En 2011, les États membres de l’OTSC ont assisté à une opération de l’Otan, le « Printemps arabe », visant à renverser des régimes ennemis aussi bien qu’amis au Moyen-Orient au profit des Frères musulmans (Tunisie, Égypte, Libye, Syrie). Et depuis 2014, ils assistent au triomphe de l’idéal des Frères musulmans avec la proclamation d’un califat remettant en cause à la fois le droit international et les droits de l’homme. Actuellement, ce califat a confié ses postes d’officier majoritairement à des islamistes venus de l’ex-URSS, parfois même de pays membres de l’OTSC.

Le 1er août, l’Ukraine et la Turquie (membre de l’Otan) ont annoncé la création d’une « Brigade islamiste internationale », formée de combattants d’Al-Qaïda et de Daesh, et stationnée à Kherson (Ukraine) [5]. Cette Brigade se propose de combattre la Russie en Crimée.

En d’autres termes, sauf à intervenir maintenant contre le terrorisme, l’OTSC devra bientôt affronter à la fois un ennemi extérieur, l’Otan et ses missiles, et un ennemi intérieur, les islamistes initialement formés par l’Otan.

JPEG - 43.3 ko

Les six chefs d’État et le secrétaire général de l’OTSC au sommet de Duschanbé.

 

La réunion de l’OTSC à Douchanbé

Le 15 septembre, l’OTSC a tenu la réunion annuelle de ses chefs d’État à Douchanbé (Tadjikistan). Comme je l’avais annoncé il y a un mois [6], le président russe, Vladimir Poutine, a présenté à ses collègues les études réalisées par ses armées sur la possibilité de combattre dès à présent le califat, avant qu’il n’entre massivement dans le territoire de l’OTSC.

Le président Poutine était parvenu à convaincre préalablement ses partenaires qu’il ne les engageait pas à soutenir les ambitions de la Russie en Syrie, mais bien de répondre à une menace directement dirigée contre l’OTSC.

En définitive, l’OTSC décida de se déployer en Irak et en Syrie pour combattre l’ensemble des jihadistes, qu’ils se réclament ou qu’ils soutiennent Daesh ou al-Qaïda. Cette opération est légale en droit international car elle répond aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies relatives à la lutte contre le terrorisme. Elle prolonge d’ailleurs l’opération, elle aussi légale, de la Coalition formée par les États-Unis contre le seul Daesh.

Cependant, à la différence de cette Coalition, l’OTSC entretient de bons rapports à la fois avec les gouvernements irakien et syrien ce qui lui permet d’envisager une bien plus grande efficacité.

De manière à préparer l’intervention de l’OTSC, un couloir aérien a été installé entre l’Organisation et la Syrie. Il devait au départ passer au dessus des Balkans, mais les alliés des États-Unis s’y sont opposés à l’exception de la Grèce. Ce couloir a donc été installé au dessus de l’Iran et de l’Irak. En moins d’une semaine, de très importantes quantités de matériel et plus de 2 000 hommes ont été acheminés. Techniquement, l’OTSC dispose de la capacité de déployer jusqu’à 50 000 hommes en moins de deux semaines.


Le forum des Nations unies

Par souci d’efficacité et sans préjuger de la bonne ou de la mauvaise foi occidentale, les chefs d’État de l’OTSC ont prévu d’intervenir devant l’Assemblée générale de l’Onu (à partir du 28 septembre) pour appeler la communauté internationale à unir ses efforts contre le terrorisme.

En outre, la Russie présidant le Conseil de sécurité pour le mois de septembre, Vladimir Poutine —qui n’est pas venu à l’Onu depuis une décennie— présidera la séance du 30 septembre consacrée à la lutte contre le terrorisme en Irak et en Syrie.

Dans le cas où la Coalition et l’OTSC trouveraient un accord, elles pourraient mener des actions communes ou se répartir le travail (l’Irak pour la Coalition et la Syrie pour l’OTSC). Dans le cas contraire, les deux organisations conduiraient des campagnes distinctes en essayant de ne pas se gêner mutuellement.

Du point de vue atlantiste, la campagne de l’OTSC profitera à la République arabe syrienne et garantira la poursuite du mandat du président élu Bachar el-Assad que l’Otan souhaitait renverser. Cependant, il est faux de prétendre que cette intervention a été conçue pour sauver la Syrie de l’Occident. En effet, lors de la préparation de la Conférence de Genève, en juin 2012, le président Poutine avait envisagé de déployer l’OTSC comme force de paix [7]. Le général Hassan Tourekmani, alors président du Conseil de sécurité national syrien, avait entrepris diverses démarches pour l’accueillir. Cependant, ce déploiement n’avait pas eu lieu d’une part parce que l’Organisation n’avait pas encore signé d’accord avec l’Onu [8] et d’autre part parce que deux membres de l’OTSC ne se sentaient pas alors directement menacés par la situation en Syrie.

Du point de vue de l’OTSC, la proposition faite aux Occidentaux les contraindra à clarifier leur politique. En effet, jusqu’à la signature de l’accord entre Washington et Téhéran, le 14 juillet, la Coalition anti-Daesh, loin de combattre le terrorisme, a parachuté régulièrement et à grande échelle des armes aux jihadistes. Cependant, au cours des dernières semaines, la Coalition a effectivement combattu Daesh. Ainsi, a-t-elle lancé, fin juillet, un bombardement massif en coordination avec l’Armée arabe syrienne et ses milices (le YPG kurde et le Conseil militaire syriaque) pour défendre Hassaké. Cette opération, que la Coalition n’a pas publicisée, permit d’éliminer environ 3 000 jihadistes.

En outre, la Maison-Blanche a d’ores et déjà indiqué qu’elle était ouverte « à des discussions tactiques et pratiques avec les Russes ». Le Foreign Office a déclaré ne plus s’opposer à ce que « le président syrien reste au pouvoir pour une période de transition si cela peut contribuer à résoudre le conflit ». Rejoignant le mouvement, le ministre français des Affaires étrangères a laissé entendre qu’il accepterait de laisser le président el-Assad terminer le mandat que son peuple lui a confié en déclarant : « Doit-on dire au peuple syrien que M. Bachar al-Assad détiendra le pouvoir exécutif au cours des quinze prochaines années ? Si on dit cela, il n’y a pas de solution possible. Entre dire cela et exiger le départ immédiat de M. Bachar al-Assad, il y a une marge. Cela s’appelle la diplomatie. » [9].


Thierry Meyssan annonce l’intervention de l’OTSC à la télévision syrienne


Conséquences de l’intervention de l’OTSC

Contrairement à une idée fausse répandue dans la presse atlantiste, la lutte contre le terrorisme en Irak et en Syrie n’est pas une affaire de décennies, mais de quelques mois pourvu que tous les États cessent leur soutien clandestin aux jihadistes.

Dans le cas d’un désaccord à l’Onu, la presse occidentale devrait dénigrer l’action de l’OTSC en mettant en valeur les pertes civiles. En effet, malgré toutes les précautions, il n’est pas possible de bombarder les terroristes sans « dommages collatéraux ». Chaque chef islamiste dispose de trois « épouses » et, suivant leur exemple, des jihadistes de plus en plus nombreux ont fait des prisonnières qu’ils ont réduit en esclavage et « épousées ».

Dans le cas contraire, on ne devrait jamais entendre parler de ces victimes et la guerre devrait être finie en Syrie pour la Noël orthodoxe, même s’il faudra une bonne année avant que la situation ne soit complètement stabilisée sur tout le territoire.

À retenir :
- L’OTSC interviendra à partir d’octobre 2015, à la fois en Irak et en Syrie, contre les individus classés comme « terroristes » par l’Onu, à savoir al-Qaïda, Daesh et tous les groupes qui se sont alliés à eux.
- L’OTSC ne cherche pas à venir en aide à Haïder al-Abadi ou à Bachar el-Assad, mais est directement menacée par les jihadistes.
- Les jihadistes ne sont pas en mesure de résister longuement à une alliance internationale si celle-ci inclut l’Irak et la Syrie.
-  Les États-Unis, qui ont déjà mené secrètement une vaste opération conjointe avec l’Armée arabe syrienne à Hassaké, sont prêts à un accord avec l’OTSC. Leurs alliés britanniques et français sont prêts à renoncer à renverser la République arabe syrienne.

Thierry MeyssanDiggRSS

[1] « Charte de l’Organisation du Traité de sécurité collective », Réseau Voltaire, 7 octobre 2002.

[2] Le Guam ou Organisation pour la démocratie et le développement est une alliance pro-US regroupant la Géorgie, l’Ukraine, l’Azerbaïdjan et la Moldavie ; quatre États visant à terme à rejoindre l’Otan.

[3] A Mosque in Munich. Nazis, the CIA and the rise of the Muslim Brotherhood in the West, Ian Johnson, Houghton Mifflin Harcourt, 2010. Version française : Une Mosquée à Munich. Les nazis, la CIA et la montée des frères musulmans en Occident, Albin Michel, 2011.

[4] Les Frères musulmans ont été fondés par Hassan el-Bana qui souhaitait rétablir le califat après la chute de l’Empire ottoman. Ils présentent l’islam à la fois comme religion et comme système politique totalitaire tout en récusant toute dimension spirituelle dans leur lecture du Coran. Sayyid Qutb théorisa l’usage de la violence pour s’emparer du pouvoir, le jihad. Bien qu’officiellement les Frères aient condamnés après sa mort les écrits de Qutb, il reste le penseur de référence au sein de la confrérie.

[5] « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade musulmane internationale », Réseau Voltaire, 3 août 2015. Plus de détails dans : « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade internationale islamique contre la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 août 2015.

[6] « L’armée russe commence à s’engager en Syrie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 24 août 2015.

[7] « Syrie : Vladimir Poutine propose une Force de paix de l’OTSC », Réseau Voltaire, 3 juin 2012.

[8] « L’OTSC pourra déployer des « chapkas bleues » sur mandat de l’ONU », Réseau Voltaire, 29 septembre 2012.

[9] « Audition de Laurent Fabius au Sénat sur les minorités persécutées au Moyen-Orient », par Laurent Fabius, Réseau Voltaire, 9 septembre 2015.

Thierry Meyssan

Consultant politique, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace.

Dernier ouvrage en français : L’Effroyable imposture : Tome 2, Manipulations et désinformations (éd. JP Bertand, 2007). Compte Twitter officiel.

Nouvelles consultations pour la Syrie à Genève

La préparation du déploiement militaire russe se poursuit en Syrie

La fausse « crise des réfugiés »

Deux épines dans le pied d’Obama

Au Liban, une manifestation populaire pour « la chute du régime »

 

 

 

ORGANISATION DES NATIONS UNIES - Une organisation maçonnique

L'ONU (Objectif Nuire Utilement) SE DÉCIDE ENFIN À TRANSFORMER LE MONDE D'ICI 2030, PARMI SES OBJECTIFS, ÉRADIQUER LA PAUVRETÉ sous toutes ses formes, promouvoir la santé, l'éducation, le combat contre le réchauffement climatique, la réduction des inégalités............la liste est longue aussi longue que leur baratin. Qu'ils commencent par la Palestine et la Syrie avec tous ces migrants qui arrivent en masse en Europe (l'organisation criminelle décide toute seule d'aller au combat).

Risible ! Les mafieux n'ont pas fini de nous leurrer !

L’ONU se fixe de nouveaux objectifs pour 2030

Publié le 22 septembre 2015

Surtout que la première chose que les peuples devraient faire c'est de se lever pour éradiquer l'Organisation mafieuse Illuminati dénommée l'ONU et toutes ses annexes dont l'OMS et l'OTAN  qui passent son temps depuis quelques décennies à participer activement à orchestrer les guerres et se rend complices de tous les génocides commis dans le monde !

ORGANISATIONS DES NATIONS UNIES - Une organisation maçonnique

NATO - OTAN - ATON

Lors du congrès des francs-maçons du 28 au 30 Juin 1917 à Paris, ceux-ci décidèrent de principes directeurs qui furent aussitôt votés : ce fut l'heure de naissance de la Société des Nations qui vit le jour en 1919 à Genève. Les Nations unies naquirent de cette Société des Nations en 1945 à San Francisco. La fin de la guerre prépara la voie pour la création de l'ONU en 1945, dont le siège principal se trouvait sur un terrain donné par ROCKEFELLER à New York. Parmi les membres fondateurs de l'ONU, 47 au moins faisaient partie du CFR.

Cette institution créée par les Illuminati représente la plus grande loge franc-maçonnique du monde où doivent se réunir toutes les nations. Ainsi qu'il est écrit dans l'article 4 de Machiavel qui a été mentionné dans la préface, ses fondateurs furent les instigateurs des guerres menées durant ces deux derniers siècles. Quelle ironie du sort de voir, de nos jours,les hommes de toutes les nations demander aux Nations unies d'aplanir les problèmes, d'arbitrer les guerres et d'y mettre fin !

logo ONU.jpg

Pour les peuples, l'ONU est l'ami sur lequel ils peuvent compter pour qu'il "prenne les choses en main". Lors de sa fondation, au moins 47 personnes Parmi les délégués amériains présents étaient membres du CFR dont David Rockefeller. Il saute aux yeux que l'emblème de l'ONU est un symbole franc-maçonnique. Je vais le décrire ici en le comparant au sceau d'Etat américain franc-maçonnique.


Le globe des Nations unies et la forme circulaire du sceau de l'Etat américain avec l'inscription "Annuit coeptis" ("notre entreprise - en fait, notre conjuration - est couronnée de succès") et en dessous "Novus Ordo Seclorum" ("Nouvel Ordre mondial") montrent le but poursuivi : celui d'une hégémonie mondiale.


Les parcelles du globe des Nations unies et les pierres de la pyramide représentent les degrés du "Rite écossais" des francs-maçons.

L'emblème des Nations Unies a été approuvé le 7 décembre 1946. Le dessin symbolise "une carte du monde figurée en projection azimutale équidistante, le pôle nord servant de centre ; autour de la carte, une couronne de branches d'olivier stylisées et croisées ; le tout en or sur champ gris-bleu, les mers en blanc. La projection de la carte s'étend jusqu'au 60ème degré de latitude sud, et comprend cinq cercles concentriques" (rapport de la Sixième Commission, A/204 ). Les branches de l'olivier symbolisent la paix. La carte du monde démarque les régions d'intérêt des Nations Unies dans la poursuite de leur objectif premier, assurer la paix et la sécurité. L'utilisation de cet emblème est strictement réglementée, selon les termes de la résolution 92(I),1946 de l'Assemblée générale .

En 1946, les Etats-Unis disposent d'une majorité à l'ONU et contrôlaient 25 % du FMI. De 1971 à 1973, George Bush est ambassadeur à l'ONU.

    

 

Syrie, Irak, Iran, Russie, Hezbollah Libanais : Formation de la coalition des 4+1, pour lutter contre le terrorisme, au Moyen-Orient

Et c’est là que le Bibi, parano, nous fera une belle crise cardiaque lorsqu’il se rendra compte que Poutine s’est bien moqué de lui lors de leur dernière entrevue à Moscou.

Suite à son entrevue à Moscou avec Poutine et grâce à la presse sioniste occidentale, nous sommes passés du titre Poutine et Netanyahou n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la Syrie, au titre Israël et la Russie d'accord pour éviter toute confrontation militaire en Syrie.

Question : que fait Israël dans le ciel Syrien pour vouloir éviter une confrontation avec l’armée Russe ?

Nous avons vu dans l'article précédent que Bibi, craignait que « les terroristes Syriens et du Hezbollah" ne s’emparent des armes russes pour ouvrir un deuxième front sur le plateau du Golan. Benjamin Netanyahou s’est dit persuadé que l’Iran et la Syrie auraient armé des groupes terroristes, dont le Hezbollah, et essaieraient«de créer un deuxième front terroriste sur le plateau du Golan», territoire syrien occupé par Israël depuis la Guerre des 6 jours en 1967.Pour cette raison, il a décidé de se rendre à Moscou le 21 septembre pour y détailler les actions israéliennes et éviter ainsi tout malentendu dans les relations russo-israéliennes.

Or, quand Poutine a été contraint de recevoir Netanyahou à Moscou, il savait déjà que sur la base de consultations secrètes, réunissant les experts sécuritaires russes, iraniens, syriens, irakiens, et du Hezbollah libanais, ils allaient créer la coalition des 4 + 1, soit réunir la Syrie, l’Irak, l’Iran et le Hezbollah Libanais pour lutter ensemble au Moyen-Orient, contre les mercenaires/terroristes payés sur les deniers US/UE !

Ainsi, les armes et l’aide russes serviront aux Syriens et au Hezbollah Libanais pour lutter contre les "terroristes" au Moyen-Orient,  les deux bêtes noires de Netanyahou !

Encore un échec et mat inflié par Poutine aux US/sionistes !

Formation de la coalition des 4+1, pour lutter contre le terrorisme, au Moyen-Orient

Sep 22, 2015 17:14 UTC

Une nouvelle coalition pour lutter contre le terrorisme?

Une nouvelle coalition pour lutter contre le terrorisme ?

IRIB- Le quotidien libanais, "Al-Akhbar", a fait état de la création de la coalition des 4+1, pour lutter contre le terrorisme, au Moyen-Orient.

Selon ce quotidien, l’Iran, l’Irak, la Syrie, la Russie et le Hezbollah libanais sont les membres de cette nouvelle coalition anti-terroriste.

Selon des sources bien informées, le gouvernement russe étudie, depuis plusieurs semaines, un nouveau plan anti-terroriste, après la tenue de consultations secrètes, réunissant les experts sécuritaires russes, iraniens, syriens, irakiens, et du Hezbollah libanais.

D’après le quotidien "Al-Akhbar", la création de la coalition anti-terroriste des 4+1 est le résultat de ces consultations.

 

Syrie : L'Iran envisage de tenir un exercice naval conjoint avec la Russie

Isolée la Russie ? Ah bon ?

On s’organise au Moyen-Orient pour s’allier avec la Russie pour lutter contre les terroristes financés par les US/UE en Syrie et au Moyen-Orient, et quand vous saurez avec qui, c’est le Bibi, sioniste parano, qui nous fera vite fait une belle crise cardiaque !

Poutine, s’est bien moqué de lui lors de leur dernière entrevue à Moscou et dont le contenu a été transformé par la presse occidentale sioniste pour ne pas ridiculiser leur dernier des sinistres !

Voilà comment a été transformé l'entrevue par la presse sioniste !

Du reste on se demande ce que fait Netanyahou dans le ciel Syrien alors qu'Israël s'est déjà accaparé le Golan Syrien en 1967 ! Hein ?

Israël et la Russie d'accord pour éviter toute confrontation militaire en Syrie

Voir aussi : Russie-Iran: relancer la coopération militaire (ministère)

L'Iran envisage de tenir un exercice naval conjoint avec la Russie

19:20 22.09.2015

L'amiral Habibollah Sayyari (à gauche)

Les forces navales iraniennes veulent organiser au cours des prochains mois un exercice naval conjoint avec des bâtiments de guerre russes.

Le commandant de la Marine iranienne, l'amiral Habibollah Sayyari, a annoncé l'intention de son pays de tenir un exercice conjoint avec les forces navales russes, a annoncé l'agence ISNA.

"La Marine de l'armée iranienne organisera un exercice conjoint avec la Marine russe", a déclaré l'amiral cité par l'agence. "Nous avons récemment tenu des exercices avec les flottes russe et indienne", a-t-il ajouté.

Habibollah Sayyari a également souligné que des bâtiments de guerre iraniens se "rendraient dans les prochains mois en Russie".

L'agence Sputnik ne dispose pas pour le moment de commentaires du ministère russe de la Défense.

22/09/2015

Syrie : Le coup de maître de Vladimir Poutine qui va définitivement ruiner le plan de domination US

Pendant ce temps, l'Iran et la Chine s'en mêlent et la Libye se réveille, le retour du fils Kadhafi !

Syrie: la coopération russo-iranienne empêche Washington de renverser Assad

Syria: Russian Marines on the ground, Chinese Navy already in the Mediterranean

Traduction Google : Syrie: la Russie Marines sur le terrain, la Marine chinoise déjà dans la Méditerranée

Syrie : la Chine, prête à s' engager militairement?!

Le premier mouvement important de Russie en Syrie

Les Russes ont fait dans les 3-4 derniers jours 15 vols d’avions de transport AN-124 (capacité de 100 t) et Il-76, apportant des tentes et de la nourriture pour la première série de 20 camps de réfugiés que la Russie construit dans le nord de la Syrie, chacun avec une capacité de plus de 1.000 personnes.

Libye : Seïf el Islam Kadhafi, le retour ....
 

Syrie : Le coup de maître de Vladimir Poutine qui va définitivement ruiner le plan de domination US

Mon, Sep 21st, 2015

Putin-and-Arab-Summit

BREIZATAO – ETREBROADEL (22/09/2015) La montée en puissance de la Russie sur le théâtre syrien ne fait plus de doute : chaque jour qui passe donne la mesure d’un déploiement constant de matériel et de personnel. Ce virage stratégique, qui a visiblement pris de court les USA mais aussi la France, a été salué par un tir de mortier contre la représentation diplomatique russe à Damas. Pas de quoi perturber Moscou qui s’apprête à infliger une défaite stratégique d’ampleur inédite aux USA et à leurs vassaux dans la région.

Le déploiement s’intensifie

L’arrivée continue de matériels militaires russes dans la région de Lattakié, le bastion du président syrien, prend chaque jour une nouvelle ampleur. A cette heure, les USA estiment que la Russie a déjà déployé 28 avions de combat, 20 hélicoptères et, pour assurer la sécurité immédiate de la base aérienne russe de Jableh, 9 chars d’assaut et des centaines de soldats d’élite.

 

 

Moscou livre déjà du matériel de guerre et de l’armement à la Syrie, mais l’intervention de l’armée de l’air russe va radicalement changer la donne sur le front. C’est ce qu’a indiqué le ministre des Affaires Etrangères syrien à la télévision russe. La presse belge s’en fait l’écho (lire ici) :

“La participation de la Russie dans le combat contre Daech (acronyme arabe de l’EI) et le Front al-Nosra (branche syrienne d’al-Qaïda) est encore plus importante que la fourniture d’armes à la Syrie”, a déclaré M. Mouallem à la chaîne de télévision Russia Today. Ses propos sont rapportés dimanche par les médias syriens.

Un désastre stratégique pour Israël

Et il est loin d’être le seul à partager cet avis puisque le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, s’est précipité aujourd’hui à Moscou pour tenter de négocier avec Vladimir Poutine les conditions de déploiement de l’aviation russe. Sans grand succès.

Rencontrant le président russe dans sa datcha aux côtés d’une délégation militaire israélienne de haut niveau, Benjamin Netanyahou a du faire face au fait accompli, sans obtenir de garantie sur la conduite des opérations russes en Syrie (source). La crainte principale de Tel Aviv est de ne plus pouvoir agir librement en Syrie sans affronter l’aviation russe, laquelle assure la sécurité de l’armée syrienne ainsi que celle de ses alliés.

De fait, Israël va devoir agir prudemment et, pour une large part, ne sera plus en mesure d’agir en Syrie. C’est une évolution stratégique catastrophique pour Tel Aviv. Et ce revers s’ajoute à la montée en puissance de l’Iran, désormais en paix avec les USA et les Occidentaux.

L’aviation russe sur le pied de guerre

Comme nous le rapportons aujourd’hui, l’aviation russe est déjà à pied d’oeuvre. Des chasseurs ont été ravitaillés en vol au dessus de Homs, comme le montre une vidéo réalisée par les islamistes de l’ASL soutenue par la France (voir ici).

Par ailleurs, la Russie a lancé ses premiers vols de drones dans le pays pour identifier les cibles islamistes.

 

Une intervention qui ne plait pas aux islamistes qui ont envoyé un message à Moscou sous la forme d’un tir de mortier contre son ambassade de Damas. Ce qui a suscité la fureur de la Russie qui a appelé “à l’action” contre les insurgés et les djihadistes :

Damas: l'ambassade russe attaquée

 

Débâcle occidentale, humiliation française

Il s’agit d’une débâcle géostratégique majeure pour les USA mais également pour la France. Cette dernière a soutenu sans faiblir les insurgés islamistes en partenariat avec le Qatar, la Turquie et l’Arabie Séoudite. L’intervention russe – largement inattendue par les Occidentaux – bouleverse la donne.

Difficile en effet de condamner la Russie qui, plutôt que de parler, entreprend la destruction de l’Etat Islamique et d’Al Qaeda.

L’insistance récente de François Hollande à “neutraliser” le président syrien soulignant davantage, s’il en était besoin, l’impuissance de Paris à influer sur les événements.

Coup de maître de Vladimir Poutine

Vladimir Poutine, par ailleurs, est en train de ruiner toute la stratégie américaine d’isolement de la Russie, consécutivement à l’affaire ukrainienne.

Les Occidentaux se retrouvent devant un choix cornélien. Soit ils soutiennent la Russie dans son action militaire en Syrie et aident, de facto, le gouvernement syrien à gagner la guerre. Ce qui signifie une défaite complète au Moyen-Orient avec, pour corollaire, un nouveau nouveau statut d’arbitre des relations régionales pour la Russie. Un scénario cauchemardesque pour les Etats-Unis.

Soit les Occidentaux refusent et ils démontreront, aux yeux de l’opinion publique mondiale, qu’en réalité ils n’ont aucunement l’intention de neutraliser le djihadisme. Ce qui confirmerait ainsi que, dès l’origine, Washington, Paris et les puissances régionales s’en servent à des fins inavouables. Mais pire encore, ce serait laisser au seul Poutine tout le prestige d’une victoire contre la barbarie islamiste.

La perspective d’un Vladimir Poutine “protecteur du monde libre et civilisé” qu’induirait l’écrasement de l’EI par la seule Russie n’est pas de nature à enchanter ceux qui s’échinent, depuis 15 ans, à le dépeindre en tyran.

Vladimir Poutine entend donc formaliser, à l’ONU, son intervention en Syrie contre l’Etat Islamique. Et proposer aux Occidentaux de le rejoindre dans son effort. S’ils s’avouaient contraints d’accepter, les Occidentaux devraient admettre que le mythe de “l’isolement de la Russie” ne tient pas. Ils connaîtraient par ailleurs des difficultés grandissantes pour légitimer, auprès de leur opinion publique, leur politique de sanctions contre un allié…

Et c’est là un tour de force de Vladimir Poutine : rompre l’isolement occidental, contraindre les USA à soutenir leur effort pour permettre à Bachar Al Assad de gagner la guerre, faire de la Russie une puissance incontournable au Moyen-Orient et par là même, faire de la Russie une grande puissance avec laquelle on devra compter.

Poutine, grand amateur de judo, sait que son principe essentiel est le suivant : retourner la force du mouvement de l’ennemi contre lui. Il ne fait pas autre chose en utilisant l’islamisme alimenté par ses ennemis pour renforcer sa position.

Réactions françaises

Difficile donc, surtout en France, de critiquer le pays qui entreprend de détruire un “Etat Islamique” qui a fait assassiner des citoyens français. Si la Russie parvient à détruire l’Etat Islamique, ce sera pour Vladimir Poutine une victoire qui lui vaudra une admiration et une reconnaissance universelles. Deux choses dont il jouit déjà en Russie après avoir “sauver” la Crimée.

Ce désastre imminent pour Paris explique la décision du gouvernement socialiste de “bombarder la Syrie” et ainsi faire croire à l’opinion publique française qu’il est au moins aussi “efficace” que Moscou lorsqu’il s’agit de garantir la sécurité des citoyens français.

Cependant, les 5 années de soutien à l’insurrection islamiste constitueront un fiasco géostratégique et diplomatique complet dont Paris n’a pas fini d'en mesurer le coût.