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11/10/2015

Les avions russes ont frappé 55 positions de l'EI en Syrie

Comme Londres s'apprête à faire des frappes en Syrie, et que l'on sait sur qui ! Moscou a demandé à Londres des informations sur les positions de l'EI pour les piéger, comme ils l'ont déjà fait pour Washington qui  esquive les questions sur l’échec du programme de formation des rebelles modérés syriens !

En attendant Poutine avance en Syrie !

Les avions russes ont frappé 55 positions de l'EI en Syrie

12:55 10.10.2015 (mis à jour 14:43 10.10.2015)

avion russe en Syrie

Lors des dernières 24 heures, les avions russes ont effectués 64 sorties et ont frappé 55 positions de l'EI, dont 29 camps du groupe terroriste de l’Etat islamique.

Les avions des forces aériennes russes ont effectués 64 sorties et ont frappé 55 positions de l'EI, rapporte le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général de brigade Igor Konachenkov.

Lors des attaques, 29 camps du groupe terroriste de l’Etat islamique ont été détruits ainsi que 23 fortifications dotées d'armes et de matériel militaire, a précisé le général. Selon lui, les sorties militaires ont été effectuées par les avions Su-34, Su-24M et Su-25SM.

"A l'étape initiale de l'opération nos avions ont détruit les positions les plus importantes de ravitaillement en matériel du groupe terroriste Etat islamique", a-t-il déclaré, ajoutant que cela a affaibli le potentiel militaire des djihadistes.

 

 

 

L'armée syrienne libère la vallée de Hama

Quel bonheur de voir la Syrie se libérer de tous ces criminels !

Bravo aux courageux combattants de l'armée Syrienne et à Poutine de venir en aide aux opprimés !

L'armée syrienne libère la vallée de Hama

14:21 10.10.2015 (mis à jour 15:08 10.10.2015)

L'armée syrienne libère la vallée de Hama

L'armée syrienne a annoncé avoir libéré la vallée de Hama, située à 25 kilomètres de la ville d'Idleb, dans le nord-ouest du pays.

"La vallée dans le nord de la province de Hama, est complétement libérée. Près de 10 localités situées dans cette région ont été abandonnées par les djihadistes", a déclaré aux journalistes le porte-parole de l'armée syrienne Samir Souleiman.

M.Souleiman a ajouté qu'actuellement les militaires s'occupaient du déminage des localités et n'a pas exclu que des djihadistes ou des tireurs isolés puissent toujours se trouver dans la région.

Selon le porte-parole de l'armée, des galeries sous-terraines faites par les djihadistes ont été trouvées dans plusieurs villes et les combattants peuvent toujours s'y cacher.

 

Ces groupes terroristes en Syrie soutenus par les Etats Unis

Dans quels pays les USA ne forment-ils et ne soutiennent-ils pas leurs mercenaires ?

Ces groupes terroristes en Syrie soutenus par les Etats Unis

vendredi 9 octobre 2015

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Si l'attaque russe en Syrie est aussi efficace, c'est parce qu'elle vise les buts réels, à savoir les groupes terroristes. Et si cela fait autant de bruit, c'est parce que certains sont soutenus par les Etats Unis. 

Contrairement aux pilotes de la coalition qui n'ont pas le droit de toucher certains objectifs de certains groupes terroristes, l'aviation russe vise et touche.

Ainsi, la plupart des positions du groupe Tadjamou Azizou, qui était en possession de systèmes anti-chars américains, certes pas de modèle récent, mais suffisant pour attaquer l'armée syrienne, dont le matériel n'est pas non plus de la dernière fraîcheur. C'est justement l'attaque de ce groupe soutenu par les Etats Unis qui a provoqué la colère outre Atlantique. Et comme le souligne la presse russe, ce n'est pas Daesh qui est surtout dans le désert qui présente un grand intérêt stratégique, ses positions ne sont pas difficiles à toucher. En revanche, les groupes financés et formés par les Etats Unis sont beaucoup mieux organisés et structurés. Ce sont eux qui présentent un intérêt stratégique.

Et les Etats Unis l'ont très bien compris. D'où la réaction de Brzezinski:

"la décision apparente de Moscou de frapper les miliciens de la CIA reflète « au mieux l'incompétence militaire russe », et au pire, « la preuve d'une dangereuse volonté de mettre en évidence l'impuissance politique américaine. » Il a ajouté que si Moscou continue à les prendre pour cible, Washington devra alors user de représailles contre les Russes. "

Ce qui montre bien que dès le début, personne n'était dupe du rôle réel de Daesh et de l'importance des "autres" groupes terroristes.  

Ce qui explique aussi la réaction du sénateur MacCain demandant aux forces américaines d'attaquer les positions de Assad en représailles aux attaques russes contre les groupes terroristes en Syrie:

"Si la Russie poursuit ses attaques contre l'opposition que nous soutenons, nous devrons augmenter le prix qu'elle va payer pour imposer ses intérêts, par exemple en attaquant des ouvrages qui ont une grande importance pour le régime syrien"

Et pour continuer, la guerre de l'information est menée tambour battant - ce qui démontre bien l'indépendance de la presse en Occident. Ainsi, CNN et à sa suite, Reuters, AFP et autres, donc l'ensemble de la presse écrite qui ne fait que reprendre les textes des agences d'information, annoncent que 4 des 12 missiles tirés par la Russie sont en réalité tombés en Iran. 

Le texte du Figaro vaut le détour:

"D'après des responsables américains, quatre des missiles de croisière tirés par la Russie mercredi vers la Syrie sont tombés en Iran. Les Américains n'ont pas donné de détails sur les régions touchées en Iran, un pays allié de la Russie dans la défense du régime de Bachar al-Assad, ni sur d'éventuels dégâts provoqués par les missiles. Le responsable n'a pas voulu non plus préciser exactement le nom du missile de croisière utilisé. Mais elle a précisé qu'il s'agissait de certains des missiles dont la Russie avait annoncé le tir mercredi, à partir de bateaux militaires croisant en mer Caspienne."

Bref, on ne sait pas quels missiles, ni où, ni si, mais les Etats Unis l'ont dit, alors on répète, mais on sait pas. Du grand journalisme.

Dans le même temps, dommage, l'Iran dément. Rien n'est tombé sur son territoire et eux sont au courant. C'est peut être pour ça que le responsable américain a du mal, malgré tous les satellites, à situer l'endroit exacte en Iran où il aurait aimé voir tomber les missiles russes. Ces missiles qui ont le mauvais goût de toucher leur cible. 

En effet, les Etats Unis ont de quoi ne pas être contents. C'est leur investissement que la Russie est en train de bombarder. Sans vergogne et sans autorisation. En plus sans remords et avec le sourire. Déjà l'Irak qui commence à laisser filtrer que, finalement, si la Russie voulait intervenir aussi chez eux aussi, ils ne seraient pas contre. En fait, plutôt pour. Mais là-bas c'est un fief officiel US, donc un autre stade dans la confrontation. Chaque chose en son temps.

Faute de mieux, le Congrès décide de réarmer l'Ukraine. Cela permettra toujours au nouveau prix nobel de politique de littérature de continuer à insulter les morts du Donbass. Elle finira peut être par recevoir le prix nobel de la paix.

 

Moscou renforce sa présence militaire à la frontière afghane

Et qui se trouve depuis des années en Afghanistan pour qu'il y ait près de 3000 mercenaires de l'EI ?

Les USA et la CIA bien sûr qui forment leurs bras armés et qui assurent leurs rentrées financières grâce à la culture et aux rentrées financières de la drogue !

Les Américains n'en ont pas fini avec l'Afghanistan

Les États-Unis encouragent le trafic de drogue en Afghanistan

L'opium, la CIA et l'administration Karzai, par Peter Dale Scott

La CIA et l'empire de la drogue - Contre-Info

Moscou renforce sa présence militaire à la frontière afghane

La prise éphémère de Kunduz en Afghanistan par les talibans a suffi pour convaincre la Russie à agir. Moscou a ainsi envoyé des hélicoptères de combat pour renforcer sa 201e base militaire au Tadjikistan, ancien satellite de l'URSS et situé à 70 kilomètres seulement de Kunduz. Les Russes sont à l'affût d'une possible propagation des islamistes et surveille l'EI de près


Moscou renforce sa présence militaire à la... par ITELE

 

Les USA cèdent leur dominance à la Russie dans le Proche Orient

Ce n'est pas étonnant que les USA et leurs alliés soient en déclin au proche orient, car de partout où ils passent ce n'est que guerre, chaos et désolation !

La Russie mérite bien de prendre le relais dans cette région.

Les USA cèdent leur dominance à la Russie dans le Proche Orient

21:12 10.10.2015 (mis à jour 21:20 10.10.2015)

Российская боевая авиагруппа на аэродроме Хмеймим в Сирии

Grâce à l'opération en Syrie, l'influence russe dans le Proche Orient est sans précédent, alors que les positions des Etats-Unis ne font que s'affaiblir, ses adeptes ne voyant plus en Washington un allié fiable estiment les analystes de The Wall Street Journal.

"L'influence américaine et son implication dans les affaires de la région traverse une période de déclin sans précédent depuis la Seconde guerre mondiale", estime l'ancien ambassadeur américain en Afghanistan, en Syrie, en Irak, au Liban, au Koweït et au Pakistan Ryan Crocker. D'après lui, le vide politique dans la région est rempli pas à pas par les forces que Washington tentait d'endiguer durant tout ce temps.

Bien que Washington conserve toujours sa puissance militaire dans le Proche Orient, ses alliés et ses adversaires ne croient plus que les Etats-Unis vont soutenir leurs amis, affirment les analyses.

"La région ne possède aucun groupe qui soutienne les Etats-Unis, et c'est frappant", fait remarquer Emile Hokayem, analyste à l’International Institute for Strategic Studies de Londres. Ainsi, d'après lui, les cercles libéraux sont persuadés que le président américain Barack Obama est de connivence avec les dirigeants autoritaires. Pourtant, les autocrates voient en les Etats-Unis un allié peu crédible.

Washington perd à jamais sa dominance dans le Proche Orient…

L'analyste estime que Washington a perdu à jamais sa position dominante dans le Proche Orient. "Celui qui viendra après M. Obama n'aura pas beaucoup de cartes à jouer. Je ne vois pas de stratégie même pour le président suivant. Nous y sommes trop loin", fait remarquer l'analyste.

Les alliés des Etats-Unis dans le Proche Orient sont inquiets et optent souvent pour un compromis avec la Russie, souligne le Wall Street Journal (WSJ). C'est notamment le cas d'Israël, qui a refusé de soutenir la résolution proposée par les Etats-Unis à l'Assemblée Générale de l'Onu, concernant la Crimée, et qui ne critique pas actuellement les frappes russes en Syries. 

…Moscou prend le relais

Bien que la Maison Blanche essaye de contester le déclin de ses forces, les événements de ces dernières semaines, notamment le "gambit syrien" russe, font que la Russie est actuellement encore plus puissante dans le Proche Orient que dans les années 1970-1980.

"M. Poutine aspire à une sorte de dominance conjointe avec les Etats-Unis dans le Proche orient et il a presque réussi", estime Camille Grand, directeur de la Fondation pour la recherche stratégique à Paris.

Plusieurs forces dans la région, surtout l'Irak et les Kurdes, sont désenchantées par l'incapacité des Etats-Unis de contrer le groupe terroriste Etat islamique et saluent donc l'opération russe en Syrie.

Quels sont les résultats de cette coalition américaine? La promotion de l'EI", souligne Hicham M. Jaber, président du Centre du Moyen-Orient pour les Etudes et Relations publiques à Beyrouth.

Une situation semblable a lieu en Asie centrale. Les pays qui avaient un jour rendu possible le déploiement des bases militaires occidentales sur leurs territoires rentrent sur l'orbite de Moscou.

"Ce qui se passe en Afghanistan pousse nos pays vers la Russie. Personne ne sait ce que feront demain les Etats-Unis. Personne ne leur fait confiance: ni l'élite, ni les gens ordinaires", conclut l'ex-vice premier ministre du Kirghizistan Tokon Mamytov.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.
 
Lors des dernières 24 heures, les avions russes ont effectués 64 sorties et ont frappé 55 positions de l'EI, dont 29 camps du groupe terroriste Etat islamique.