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12/10/2015

L'arme ultrasecrète qui permet à Poutine d'assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en Syrie ?

Avec ça, les USA et ses alliés criminels s'imaginent que leurs manœuvres malveillantes en Syrie pourront passer outre la surveillance de Moscou !

Rajoutons aussi la surveillance de tout le territoire Syrien et mondial par les satellites militaires Russes.

Poutine les avait du reste menacés, sur la base des données récoltées de dénoncer les USA et Israël pour leur complicité dans les attentats US en 2001.

L’arme ultrasecrète qui permet à Poutine d’assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en Syrie ?

L’arme ultrasecrète qui permet à Poutine d’assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en  Syrie ?

 

La Russie savait dès le départ que les systèmes de surveillance aérienne et spatiale de l’OTAN étaient en mesure de contrôler toute l’activité des avions militaires russes basés en Syrie. Grâce aux avions de reconnaissance américains RC135, aux avions britanniques Sentinel R1, aux avions-radars AWACS et aux drones (avions sans pilote d’observation) Predator, déployés aux frontières de la Syrie, il est possible d’intercepter : le trafic radio sur les réseaux russes, le nombre et le type d’aéronefs, les trajectoires de vol, le type d’arme utilisé, les objectifs ciblés chez les rebelles et leur emplacement. Surtout que la plupart des groupes rebelles en Syrie sont armés et soutenus par les Etats-Unis et peuvent être avertis à temps pour chaque opération.

Awacs

Awacs

Les médias ont présenté longuement les types de bombardiers russes opérant en Syrie, les armes dont ils sont équipés et qu’ils utilisent pour les frappes aériennes ainsi que les résultats de ces frappes. La plus sophistiquée, « l’arme secrète » avec laquelle les russes ont imposé leur suprématie en matière de guerre électronique (EW-Electronic warfare), reste entourée de mystère. Reste également enveloppé de mystère le redoutable système russe de collecte et de traitement de l’information. Ces deux catégories d’armes constituent le complexe automatisé C4I (commandement, contrôle, communication, computers, information et l’interopérabilité) que les Russes ont créé en Syrie. Il permet l’identification des cibles des bombardements et leur répartition parmi les différents types d’avions, tout en empêchant l’OTAN de découvrir quoi que ce soit du modus operandi des Russes. En l’absence d’un minimum d’informations, l’OTAN ne peut pas déclencher de contre-mesures électroniques (ECM) efficaces contre les Russes en Syrie.

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 Les moyens de guerre électronique terrestres, navals et aériens que la Russie a déployés sur le théâtre des opérations militaires de la Syrie permettent de surveiller l’intégralité du spectre électromagnétique pour localiser les émetteurs de l’ennemi et les brouiller. La guerre électronique s’étend aujourd’hui au brouillage des communications, des radars et des surveillances électro-optiques. Les équipements modernes générateurs de contre-mesures, y compris dans le spectre visible, infrarouge ou laser, utilisent des moyens de surveillance électro-optiques aériens et spatiaux (IMINT) pour contrecarrer les Russes dans l’anéantissement de l’EI. Pour protéger le dispositif contre les moyens de recherche de l’OTAN, les Russes ont déployé en Syrie, plusieurs Krasukha-4. Les avions russe Su-24, Su-25, Su-34 sont équipés de conteneur de brouillage SAP-518/ SPS-171, et les hélicoptères Mi-8AMTSh avec des Richag-AV. A cela s’ajoute le navire Priazovye (de classe Vishnya), appartenant à la flotte russe de la mer Noire, qui a été déployé en mer Méditerranée, près de la côte syrienne. Ce navire est spécialisé dans le brouillage et la collecte des informations de type SIGINT et COMINT (interception de tous les réseaux de communications).

krasukka-4

Le Krasukha-4 est un équipement à bande large mobile, monté sur le châssis 8 X 8 de type BAZ-6910-022, qui brouille les radars de surveillance des satellites militaires, les radars au sol et aériens de type AWACS et ceux montés sur des avions sans pilote (drone). Le Krasukha-4 est le seul système capable de brouiller les satellites-espions américains de la famille Lacrosse/Onyx. Ces satellites évoluent sur orbite basse et sont équipées de SAR (Synthetic Aperture Radar) qui leur permet de pénétrer la couche de nuages ainsi que le sol ou les murs des bâtiments, avec une résolution de 20 cm.


 

Quelles ont été les conséquences des mesures de guerre radio électronique mises en place par les Russes en Syrie? L’équipement Krasukha-4 disposé sur la base aérienne russe de Hmeymim (gouvernorat de Lattaquié) crée un bouclier d’invisibilité pour les objets dans les airs et au sol avec un rayon de 300 km. Le Krasukha-4 est en mesure « d’aveugler » les radars de détection et de guidage des missiles antiaériens MIM-104 Patriot situés sur la frontière turque, et également les radars des avions de chasse F-16C turcs décollant de la base de Incirlik, concourant ainsi à créer une « zone d’exclusion aérienne » au-dessus de la Syrie. La base aérienne d’Incirlik se trouve non loin de la ville d’Adana, à 140 km au nord de Lattaquié.

Latakia-map

Sous la protection des Krasukha-4 et d’autres systèmes de brouillage, des dizaines d’avions russes n’ont pas été détectés par l’OTAN durant leur vol et leur atterrissage en Syrie, mais seulement quelques jours après qu’ils soient arrivés sur la base aérienne Hmeymim.

Comment les avions de combat russes sont-ils arrivés en Syrie sans que personne ne s’en aperçoive ?

À la suite des mesures de guerre électronique appliquées par les Russes, les rebelles islamistes « modérés » qui étaient informés par les États-Unis à partir de 2013, sur tous les mouvements de l’armée syrienne, n’ont plus eu de données sur la concentration en secret des troupes syriennes sur l’axe Lattaquié-Idlib (Nord de Lattaquié), Lattaquié-Hama (à l’Est de Lattaquié) et Lattaquié-Homs.

syria-map

Cela a permis à l’armée syrienne, appuyée par des bombardiers russes, de déclencher des actions offensives avec des blindés pour reprendre aux rebelles le contrôle du segment Idlib-Hama-Homs de l’autoroute M5 qui relie Damas à Alep.

Offensive de grande envergure de l’armée nationale syrienne

Rappelons qu’en Syrie, l’armée russe a créé un système de surveillance-frappe au sein duquel la collecte et le traitement de l’information est stratifié sur plusieurs niveaux. Le premier niveau d’information est destiné aux unités de sécurité des cantonnements des troupes russes en Syrie (aéroport de Lattaquié et port de Tartous). Ceci est assuré par 4-6 mini avions et hélicoptères sans pilote (UAV) de type de ZALA, ultralégers et silencieux, propulsés par un moteur électrique, avec un rayon d’action jusqu’à 30 kilomètres.


 

Pour détecter les cibles pour les missions de bombardement de moyenne distance, les Russes utilisent 36 avions sans pilote type Yakovlev Pchela-1T et Orlan-10, et pour la surveillance de la totalité du territoire syrien, ils utilisent des drones de reconnaissance Dozor 600 ou Altius, similaires aux MQ-1B Predator américains.

 

 

Pour la surveillance de l’ensemble du territoire syrien, les Russes ont également déployé des avions de reconnaissance ELINT, de type Il-20M1, équipés de radar Kvalat-2, qui peuvent détecter des avions, des véhicules terrestres et des pièces d’artillerie jusqu’à une distance de 300 km. L’avion Il-20M1 est, de plus, équipé de système d’interception et de brouillage de toutes les communications militaires, radars et téléphonie mobiles, ainsi que d’un appareil photo haute résolution (A-87P).



Valentin Vasilescu

Traduction Avic – Réseau International

http://www.ziaruldegarda.ro/cu-ce-arme-ultrasecrete-a-cis...

Valentin Vasilescu

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Pilote d’aviation, ancien commandant adjoint des forces militaires à l’Aéroport Otopeni, diplômé en sciences militaires à l’Académie des études militaires à Bucarest 1992.

 

Ligue arabe : réunion d'urgence sur la situation en Palestine

 

Ligue arabe : réunion d'urgence sur la situation en Palestine

Oct 12, 2015 10:08 UTC

http://media.ws.irib.ir/image/4bhgdfbd1b1c40sbn_800C450.jpg

IRIB- La Ligue arabe va se réunir en urgence pour évoquer les tensions à la mosquée d'Al-Aqsa à Qods, et les agressions israléiennes qui ont émaillé ces derniers jours en Cisjordanie, sur fond de l'éclatement d'une nouvelle Intifada palestinienne, rapporte dimanche l'agence de presse palestinienne Wafa.

La réunion, qui se tiendra mardi au Caire en Egypte, a été sollicitée par l'Autorité palestinienne, et les participants devraient "examiner les mesures qui doivent être prises dans le contexte de tension croissante en Cisjordanie et à Qods", selon le secrétaire général adjoint de la Ligue, Ahmed ben Helli.


Elle étudiera également les réactions arabes aux violations inédites par Israël contre les lieux sacrés de Qods, notamment la mosquée d'Al-Aqsa, ainsi que les actes de profanation menés par les extrémistes israéliens dans la Mosquée sainte, sous la protection des autorités de l'occupation.

 

Le mystère des Toyota de l'EI élucidé

Ben oui ! D'un côté ils reconnaissent que la CIA forme et finance leurs mercenaires, avec le budget militaire US et d'un autre côté ils s'étonnent qu'ils soient financés ! Quitte à faire passer Toyota pour un sponsor de l’EI !


Les psychopathes à l'oeuvre du mensonge permanent, de la destruction et du crime organisé dans le monde !

Comme cela nous avons de plus en plus la confirmation du mythe du terrorisme musulman et que leurs plans de destruction de la Syrie était bien prémédité, dans l’objectif d’annexer la Syrie à Israël pour ensuite aller s’attaquer à l’Iran, et créer leur Grand Israël première étape avant la création du Grand Moyen Orient !

Le mystère des Toyota de l'EI élucidé

15:22 12.10.2015(mis à jour 15:29 12.10.2015)

 

Tout-terrain appartenant à l'EI

Plutôt que de demander au constructeur Toyota d'expliquer pourquoi l'État islamique disposait de centaines de nouvelles véhicules tout-terrain, les autorités américaines auraient dû poser la question au Département d'Etat de leur propre pays, qui aurait apparemment doté les rebelles syriens d'un parc automobile complet.

L'homme politique américain et membre du Parti républicain Ronald Paul, ainsi que ses associés, ont tenté de pénétrer le mystère des voitures tout-terrain japonaises mises à la disposition des djihadistes. Tony Cartalucci, observateur et représentant de l'Institut pour la paix et pour la prospérité, de Ronald Paul, a dénoncé le fait qu'en 2013 le Département d'Etat des USA, en coopération avec le gouvernement britannique, avait octroyé des véhicules à l'Armée syrienne libre, la principale force armée opposée au régime de Bachar el-Assad.

En 2014, le Département d'Etat des Etats-Unis a repris les livraisons des voitures aux rebelles syriens, selon M. Cartalucci, faisant référence au réseau de radiodiffusion américain Public Radio International (PRI).

Le Royaume-Uni n'a pas non plus manqué de livrer de l'aide "non létale" aux rebelles de Syrie, entre autres des camions et des véhicules tout-terrain dont le montant est évalué à approximativement huit millions de livres sterlings.

 

 

 

 

 

Moscou refuse d'aider Israël à bombarder les positions du Hezbollah

Tout est bon pour Israël pour essayer de provoquer Poutine à enfreindre le droit  International et le faire rentrer dans ses plans mortifères !

Moscou refuse d'aider Israël à bombarder les positions du Hezbollah

Oct 12, 2015 10:26 UTC

http://media.ws.irib.ir/image/4bhi25848e718e14ux_800C450.jpg

IRIB- Lors des négociations serrées avec les responsables du régime sioniste, Moscou a refusé la proposition avancée par ce régime pour bombarder les positions du Hezbollah.

Cité par Farsnews, un website américain actif dans les affaires de la région, basé à Washington DC, a annoncé, dans un reportage la tenue des négociations serrées entre les responsables russes et israéliens au sujet de la situation en Syrie et du Hezbollah libanais, négociations qui ont abouti sur un constat d'échec.

Selon ce website, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu s’inquiète sérieusement- vu la situation actuelle de la Syrie et l'absence d’entente nécessaire avec la Russie -, des modalités de confrontation aux menaces actuelles représentées par le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien.

Une haute délégation militaire russe présidée par Nikolaï Bogdanov, premier chef adjoint de l'Etat-major général des forces armées russes, s’est déplacé le 6 octobre aux territoires occupés pour donner le suivi aux négociations Moscou/Tel-Aviv, entamées le mois précédent. Au cours de ce deuxième round de négociations russo-israéliennes, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu et le commandant de l’armée israélienne avaient annoncé leur vive inquiétude et préoccupation quant à la sécurité d’Israël, demandant un espace libre pour pouvoir barrer la route à l’acheminement des aides en équipements depuis le Liban et Gaza vers la Syrie.

Le website américain évoque ensuite, dans son rapport au sujet des derniers développements en Syrie, de la détection par les Mig russes des chasseurs F-16 israéliens. « Israël a effectué jusqu’à présent quelques vols de reconnaissance au-dessus des frontières communes entre la Palestine occupée, d’une part et celles de Ia Syrie et du Liban de l’autre, dans l’objectif de s’informer des points faibles permettant de pénétrer les opérations dans la zone. », peut-on lire sur ce website qui a également affirmé que dans un cas, les Mig russes ont identifié les chasseurs F-16 du régime israélien, qu’ils ont alors poursuivi les faisant chasser de cet espace aérien.

Le website américain a ensuite évoqué les propositions avancées par la partie israélienne à la délégation russe, en visite sur les territoires occupés : « Le chef d'état-major adjoint israélien, le général de division Yair Golan et quelques autres hauts responsables de renseignements de l’armée ainsi que des hauts commandants de l’armée israélienne ont en effet proposé à la Russie de laisser l’armée israélienne bombarder les convois d’armement du Hezbollah, circulant le territoire syrien vers le Liban, en contrepartie de la remise par ce régime des renseignements fiables au sujet des rebelles syriens (ou les forces anti-gouvernement d’Assad). Israël avait aussi promis qu’il mettrait la Russie au courant de toutes les opérations avant qu’il ne procède à son exécution, a aussi écrit le website américain.

 

L'Irak préfère Moscou à Washington

Nous les comprenons aisément !

L’Irak préfère Moscou à Washington

09:09 12.10.2015(mis à jour 11:14 12.10.2015)

Soldats irakiens prennent part à un exercice de formation mené par l'armée américaine près de Bagdad, le 27 mai 2015

Déçu par l’opération américaine contre l’Etat islamique, l’Irak commence à considérer la Russie comme son partenaire principal dans la lutte antiterroriste.

Les militaires irakiens ont annoncé en septembre la création d'un centre de renseignement de la Russie, de la Syrie, de l'Irak et de l'Iran à Bagdad. Ce centre serait destiné à la coordination des efforts dans la lutte contre le groupe terroriste Etat islamique.

Le 1er septembre, le premier ministre irakien, Haider al-Abadi a déclaré qu'il saluerait des frappes aériennes russes contre le groupe djihadiste Etat islamique (EI) en Irak. "M.Poutine m'a dit que la Russie luttait contre l'EI en Syrie et je le crois. Je suis favorable aux frappes aériennes russes contre Daech en Irak", a indiqué M.al-Abadi à la chaîne France 24.

L’Irak préfère faire affaire plutôt avec la Russie qu’avec les Etats-Unis, note l’édition américaine Foreign Affairs. Le ministre irakien de la Défense, Khaled al-Obaidi a indiqué lors de sa visite à Moscou, début 2015, que les armes russes se sont fait une très bonne réputation et que les Etats-Unis ne pouvaient fournir rien de pareil.

Le 5 octobre, la plus puissante milice chiite irakienne, la brigade Badr, a souhaité que la Russie mène en Irak des frappes aériennes contre l'Etat islamique. Une autre milice chiite irakienne, Assaïb Ahl al Haq, a salué l'efficacité des raids de l'aviation russe contre les djihadistes en Syrie et a accusé les Etats-Unis de ne pas chercher sérieusement à combattre l'EI.

Les simples citoyens veulent actuellement que l’EI soit chassé de l’Irak, indique le parlementaire irakien, Ibrahim Bahr al-Ulum, cité par le journal américain New York Times. "Aujourd'hui ils croient que la Russie a des intentions plus sérieuses que les Etats-Unis", estime-t-il.

"Les Américains possèdent des technologies capables de trouver de l’eau sur Mars, pourquoi donc ne peuvent-ils pas vaincre l’EI?", se demande le professeur de l’Université de Kufa, Ahmed Naji, cité par le New York Times.