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26/03/2014

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Et voilà qui sont les amis de Fabius, de BHL, de Hollande, du CRIF et CIE ! Ensuite les nazis qui nous gouvernent à partir de l’UESA/Sioniste feront porter la faute sur Poutine et la Russie qu’ils accusent d’avoir provoqué les troubles en Ukraine et de violer le droit international !


Et le pire c’est que ce sont les Européens, c’est-à-dire nous tous qui allons payer pour entretenir la corruption, les crimes  et tous ces nazis en Ukraine que l’UESA s’est engagée à aider financièrement pour les sortir de leurs dettes colossales engendrées par la corruption !

 

Alors que les Peuples européens veulent sortir de la prison de l’UESA/Sioniste, et bien non, il faut continuer à jouer de l’expansionnisme vers les pays européens pour encercler et isoler la Russie avec l’OTAN.

Si ce n’est pas de la provocation pour déclencher la 3ème guerre mondiale contre la Russie et la Chine, on peut se demander ce que c’est ?  

N’est-ce pas SARKOZY et Hollande qui veulent faire rentrer la Turquie qui s’attaque à la Syrie dans l’Union Européenne ?

Jusqu’à quand allons-nous les laisser faire, commettre des crimes en notre nom, avec notre argent et nous ruiner ?

Comme vous l’aurez aussi compris, ils sont en train d’organiser l’épuration ethnique des Russes et des Juifs qui vivent en Ukraine, car ces néonazis sont en prime racistes et antisémites !

Et là, personne ne s’offusque du geste nazi fait par les nazis d’Ukraine, c’est le geste de la Quenelle de Dieudonné qui était un geste antisémite, bien que la caste sioniste qui dirige la France ait pris le soin de préciser qu’il s’agissait du "geste nazi inversé" ! C’est donc le monde inversé et les accusations inversées contre Poutine et la Russie !

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Mondialisation.ca, 25 mars 2014


Selon le New York Times, « Les États-Unis et l’Union européenne ont épousé la révolution ici comme un autre essor de la démocratie, un coup contre l’autoritarisme et la cleptocratie dans l’ancien espace soviétique ». (After Initial Triumph, Ukraine’s Leaders Face Battle for Credibility, NYTimes.com, 1er mars 2014. C’est l’auteur qui souligne.)

« Essor de la démocratie »? « Révolution »? La dure réalité est tout autre. Il s’agit d’un coup d’État appuyé par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN en violation flagrante du droit international.

La vérité interdite est que l’Occident, grâce à une opération clandestine soigneusement mise en scène, a conçu un régime par procuration intégré par des néonazis.

Les principales organisations en Ukraine, y compris le parti néonazi Svoboda, ont été généreusement soutenues par Washington, ce qu’a confirmé la secrétaire d’État adjoint, Mme Victoria Nuland : « Nous avons investi plus de 5 milliards de dollars pour aider l’Ukraine à atteindre, entre autres, ces objectifs [...] Nous allons continuer à faire avancer l’Ukraine vers l’avenir qu’elle mérite. »

Les médias occidentaux ont tout simplement évité d’analyser la composition et les fondements idéologiques de la coalition gouvernementale. Le terme « néonazi » est tabou. Il a été exclu du vocabulaire des chroniqueurs des médias de masse. Il n’apparaîtra pas dans les pages du New York Times, du Washington Post ou de l’Independent. Les journalistes ont reçu comme consigne de ne pas utiliser le terme « néonazi » pour désigner les partis Svoboda (Liberté) et Pravy Sektor (Secteur de droite).

Composition du gouvernement de coalition

Il n’est pas question d’un gouvernement de transition au sein duquel des éléments néonazis ont intégré la frange de la coalition, officiellement dirigée par le parti Batkivschina (la Patrie).

Le Cabinet est non seulement intégré par les deux principales entités néonazies, Svoboda et Pravy Sektor (sans compter les anciens membres de la défunte organisation fasciste UNA-UNSO), on leur a également confié des postes clés qui leur donnent de facto le contrôle sur les forces armées, la police, la justice et la sécurité nationale.

Bien que le parti Batkivschina de Yatsenuyk contrôle la majorité des portefeuilles et que le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok n’ait pas obtenu de poste ministériel important (apparemment à la demande de la secrétaire d’État adjoint Victoria Nuland), les membres de Svoboda et de Pravy Sektor occupent des postes clés dans les domaines de la défense, de l’application de la loi, de l’éducation et des affaires économiques.

Le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok

La secrétaire d’État étasunienne Victoria Nuland avec le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok (à gauche)

Andriy Parubiy [à droite], co-fondateur du Parti national-socialiste de l’Ukraine (parti néonazi rebaptisé Svoboda), a été nommé secrétaire de la Commission de la sécurité et de la défense nationale (RNBOU) (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé chargé de superviser le ministère de la Défense, les Forces armées, l’application de la loi, la Sécurité nationale et le renseignement. Le RNBOU est l’organe de décision central. Bien qu’il soit formellement dirigé par le président, il est géré par le secrétariat avec un personnel de 180 membres, incluant la défense, le renseignement et des experts de la sécurité nationale.

Parubiy a été l’un des principaux dirigeants de la révolution orange en 2004. Son organisation a été financée par l’Occident. Les médias occidentaux le surnomment le « kommandant » du mouvement EuroMaidan. Andriy Parubiy, tout conmme le chef du parti Oleh Tyahnybok, est un adepte du nazi ukrainien Stepan Bandera, qui a collaboré au massacre des juifs et des Polonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Marche en l’honneur du néonazi Stepan Bandera

Pour sa part, Dmytro Yarosh, chef de la délégation de Pravy Sektor au parlement, a été nommé secrétaire adjoint de Parubiy à la RNBOU.

Yarosh était le chef du groupe paramilitaire des chemises brunes néonazies durant les « manifestations » du mouvement EuroMaidan. Il a appelé à dissocier le parti des régions et du parti communiste.

Discours de Dmytro Yarosh à Euromaidan (Centre)

Le parti néonazi contrôle également le processus judiciaire avec la nomination d’Oleh Makhnitsky du parti Svoboda au poste de procureur général de l’Ukraine. Quelle sorte de justice prévaudra avec un néonazi renommé en charge du Bureau du Procureur de l’Ukraine?

Des postes au Cabinet ont également été attribués à d’anciens membres de l’Assemblée nationale ukrainienne – Autodéfense  nationale ukrainienne (UNA-UNSO), une organisation néonazie marginale:

« Tetyana Chernovol, que la presse occidentale dépeint comme une journaliste d’enquête militante sans faire référence à son implication passée dans l’organisation antisémite UNA-UNSO, a été nommée présidente du comité gouvernemental anticorruption. Dmytro Bulatov, connu pour son enlèvement présumé par la police, mais aussi pour ses liens avec UNA-UNSO, a été nommé ministre de la jeunesse et des sports.

Yegor Sobolev, chef d’un groupe de citoyens de la place de l’Indépendance et politiquement proche Iatseniouk, a été nommé président de la Commission d’épuration, chargée de purger du gouvernement et de la vie publique les adeptes du président Ianoukovitch. (Voir Ukraine Transition Government: Neo-Nazis in Control of Armed Forces, National Security, Economy, Justice and Education, Global Research, 2 mars 2014)

Le Comité d’épuration organisera la chasse aux sorcières contre tous les adversaires du nouveau régime néonazi. Les cibles de la campagne de purges sont des personnes en position d’autorité au sein de la fonction publique, des gouvernements régionaux et municipaux, de l’éducation, de la recherche, etc. Le terme « épuration » fait référence à la « disqualification massive » des personnes associées à l’ancien gouvernement. Il a également des connotations raciales. Selon toute probabilité, l’épuration sera dirigée contre les communistes, les Russes et les membres de la communauté juive.

Il est important de réfléchir sur le fait que l’Occident, officiellement dévoué aux valeurs démocratiques, a non seulement orchestré la chute d’un président élu, mais il a également instauré un régime politique intégré par les néonazis.

C’est un gouvernement par procuration permettant aux États-Unis, à l’OTAN et à l’UE d’interférer dans les affaires intérieures de l’Ukraine et de démanteler ses relations bilatérales avec la Fédération de Russie. Il faut cependant comprendre que ce ne sont pas les néonazis qui mènent le bal. La composition du Cabinet coïncide largement avec les « recommandations » qu’avait faites la secrétaire d’État adjoint des États-Unis, Victoria Nuland, à l’ambassadeur américain en Ukraine lors d’un appel ayant fait l’objet d’une fuite.

Washington a choisi de mettre les néonazis dans des positions d’autorité. En vertu d’un « régime de gouvernance indirecte », ces derniers prennent toutefois leurs ordres du département d’État étasunien, du Pentagone et de l’OTAN en ce qui concerne les décisions cruciales en matière de politique étrangère et militaire, dont le déploiement de troupes contre la Fédération de Russie.

Le monde est à un carrefour dangereux: Les structures et la composition de ce gouvernement par procuration installé par l’Occident ne favorisent pas le dialogue avec le gouvernement et l’armée russes.

 

Un scénario d’escalade militaire menant à la confrontation entre la Russie et l’OTAN est tout à fait possible. Le RNBOU, contrôlé par les néonazis, joue un rôle central dans les affaires militaires. Dans la confrontation avec Moscou, le RNBOU, dirigé par le néonazi Parubiy et son adjoint chemise brune Dmytro Yarosh, pourrait prendre des décisions, en consultation avec Washington et Bruxelles, pouvant avoir des conséquences dévastatrices.

Cependant, il va sans dire que l’« appui » des États-Unis à la formation d’un gouvernement néonazi n’implique aucunement le développement de « tendances fascistes » au sein de la Maison Blanche, du département d’État et du Congrès.

« L’essor de la démocratie » en Ukraine, pour reprendre les termes du New York Times, est approuvé par les républicains et les démocrates. Il s’agit d’un projet bipartisan. Rappelons-nous que le sénateur John McCain est un fervent partisan et ami du chef néonazi de Svoboda, Oleh Tyahnybok (image à droite).

Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


Guerre et mondialisation


Mondialisation de la pauvreté.

 

Article original : The U.S. has Installed a Neo-Nazi Government in Ukraine

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

25/03/2014

Représailles de l'Ukraine contre la Crimée !

Kiev réduit les livraisons d'électricité de la Crimée

Dossier: L’avenir de la Crimée

Kiev réduit les livraisons d'électricité de la Crimée

Kiev réduit les livraisons d'électricité de la Crimée : ICI

La Russie connectera la Crimée à son réseau énergétique

Dossier: L’avenir de la Crimée

La Russie connectera la Crimée à son réseau énergétique

La Russie connectera la Crimée à son réseau énergétique : ICI

 

Russie: un convoi humanitaire en route vers la Crimée (MSU)

Dossier: L’avenir de la Crimée

Russie: un convoi humanitaire en route vers la Crimée (MSU)

Russie: un convoi humanitaire en route vers la Crimée (MSU) : ICI

 

 

 

Ukraine: l'ultranationaliste Mouzytchko éliminé lors d'une opération spéciale

Un dangereux nazi de moins qui prétendait avoir sa place au Parlement Ukrainien et qui avait attaqué le 12 mars 2014 le Procureur de la République dans son bureau !

http://www.youtube.com/watch?v=mlKEF5uoU_I

Et les autres nazis qui prétendent occuper les postes des autorités officielles à KIEV, ne sont pas mieux, et malgré tout soutenus par les US/UE, Sionistes ! Tout est bon pour aller attaquer la Russie à ses portes ! Nous rappelons que pour l'heure aucune élection démocratique emportant les voix du peuple n'a encore eue lieu.

Ainsi les règlements de compte ont lieu après s'être servis des nazis violents pour tuer à Kiev et provoquer la chute du Président déchu on se débarrasse des gêneurs trop gourmands !

Voir toutes les vidéos par ce lien :

Notorious Ukrainian nationalist militant shot dead in police raid (GRAPHIC PHOTO)

http://rt.com/news/sashko-bily-dead-reports-013/

 

Ukraine: l'ultranationaliste Mouzytchko éliminé lors d'une opération spéciale

Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

Le militant ultranationaliste ukrainien Alexandre Mouzytchko (Sachko Bily)
14:31 25/03/2014
KIEV, 25 mars - RIA Novosti
 

Le militant ultranationaliste ukrainien Alexandre Mouzytchko (Sachko Bily) a été éliminé lors d'une opération du Service de sécurité d'Ukraine (SBU), a déclaré à RIA Novosti un ex-haut responsable du SBU désireux de garder l'anonymat.

 

Mardi matin, le vice-ministre ukrainien de l'Intérieur Vladimir Ievdokimov a annoncé que Mouzytchko, poursuivi en Russie pour banditisme et faisant l'objet d'un avis de recherche international, avait été assassiné dans une opération menée par les forces de l'ordre dans la région de Rovno (nord-est). Trois personnes qui l'accompagnaient, armées de fusils d'assaut Kalachnikov et de pistolets, ont été interpellées.

 

"L'opération ne visait pas à interpeller, mais à neutraliser Mouzytchko", a fait savoir l'interlocuteur de RIA Novosti.

 

Selon lui, Mouzytchko, coordinateur du groupe ultranationaliste Pravy Sektor (Secteur droit), "compromettait les nouvelles autorités ukrainiennes". Décision a été alors prise de l'éliminer, a indiqué la source.

 

Le 12 mars, un tribunal de la ville russe de Yessentouki (Caucase) a approuvé l'arrestation par contumace de Mouzytchko, soupçonné de meurtres et de tortures sur des militaires russes en Tchétchénie entre 1994 et 2000. D'après le Comité d'enquête russe, l'Ukrainien a tué au moins 20 militaires captifs.

 

http://fr.ria.ru/world/20140325/200806840.html

EXCLUSIF – UKRAINE. Face au bellicisme occidental, la Russie fait sortir son joker: l’Iran.

Une manoeuvre de Poutine pour empêcher Israël et ses complices US/UE, Sionistes d'attaquer l'Iran ? Juste un petit avertissement du genre nous nous battrons aux côtés de l'Iran !

Mieux Poutine a fait  prévenir les USA que : "Si l’Ouest poursuit ses provocations, notamment les Etats-Unis, nous allons nous tourner vers le marché iranien et casser l’embargo imposé par les Etats-Unis que nous respectons simplement pour ne pas les mettre en difficulté. Nous participons, entre autres, aux négociations sur le nucléaire iranien". Crainte de Washington, qui croyait qu’il était le seul capable de proférer des menaces. Les experts sont maintenant préoccupés par la possibilité de nouvelles ventes d’armes russes, sans contrôle, à la Syrie ou à l’Iran, en particulier, le système de missile de défense aérienne le plus puissant du monde, le S-300. En effet, en 2010, sous la pression américaine, la Russie avait annulé la livraison à l’Iran.

 

EXCLUSIF – UKRAINE. Face au bellicisme occidental, la Russie fait sortir son joker: l’Iran.

Publié le mar 24, 2014 @ 23:54

 

Rouhani et Poutine

Rouhani et Poutine

Comme le dit le proverbe africain: "Quand deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre." En effet, ceux qui essayent tant bien que mal d’exister auprès des Etats-Unis, la belle France et les autres comme l’Allemagne ou la Grande Bretagne, point de salut en s’opposant à la Russie. En réalité, les pro-Maïdan ont surestimé la puissance occidentale face à la Russie qui a encore de nombreuses armes, la Chine notamment, et surtout, l’Iran. Ambiance.

 

Lors de la rencontre entre le président américain Barack Obama et son homologue chinois Xi Jinping lundi à La Haye, ce dernier a été clair. Pour lui, il faut d’entrer oublier les questions concernant Taiwan et le Tibet. En d’autres termes, le Chinois a voulu dire à l’Américain que, quand il claironne sur l’intégrité territoriole de l’Ukraine, il faut qu’il pense aussi à celle de la Chine car, la Chine considère que Taïwan c’est la Chine, le Tibet aussi.

Piégés sur ce coup-là, les Etats-Unis ont dit leur volonté de traiter de manière constructive leurs divergences et désaccords avec la Chine, et de travailler avec Beijing à envoyer des signaux positifs montrant que les deux parties sont engagées à promouvoir leurs relations, a déclaré M. Obama. Conscient que les perspectives russes et chinoises ont le vent en poupe, ne pouvant sanctionner durablement la Russie économiquement, l’Occident a préféré sanctionner des individus. A cette folie, la Russie a répondu aussi fermement, aux Etats-Unis et au Canada. Moquée par les Américains, les autorités russes, critiquant leur arrogance ont donc sorti du chapeau, l’Iran.

Un fonctionnaire russe du ministère de la Défense, sous couvert d’anonymat, précisant que Moscou n’avait aucun intérêt que l’Iran obtienne une bombe nucléaire ou qu’une escalade des tensions dans le Golfe augmente, a déclaré: "Si l’Ouest poursuit ses provocations, notamment les Etats-Unis, nous allons nous tourner vers le marché iranien et casser l’embargo imposé par les Etats-Unis que nous respectons simplement pour ne pas les mettre en difficulté. Nous participons, entre autres, aux négociations sur le nucléaire iranien". Crainte de Washington, qui croyait qu’il était le seul capable de proférer des menaces. Les experts sont maintenant préoccupés par le possibilité de nouvelles ventes d’armes russes, sans contrôle, à la Syrie ou à l’Iran, en particulier, le système de missile de défense aérienne le plus puissant du monde, le S-300. En effet, en 2010, sous la pression américaine, la Russie avait annulé la livraison à l’Iran.

Ainsi, selon Cliff Kupchan, analyste chez Eurasia Group, ce serait une grande catastrophe et l’Iran aura son nucléaire coûte que coûte: «C’est la seule carte qu’ils [les Russes], ont, le S-300. Ceci peut véritablement changer la donne. Ce serait, primo, réduire la capacité d’Israël d’attaquer l’Iran, deusio, il pourrait développer aisément son nucléaire sans que personne ne soit capable de l’attaquer". Les analystes de pacotille occidentaux, estampillés "experts", n’avaient sans doute pas vu cette carte que Moscou vient de faire sortir de son chapeau de magicien.

http://allainjules.com/2014/03/24/exclusif-ukraine-face-au-bellicisme-occidental-la-russie-fait-sortir-son-joker-liran/

 

24/03/2014

NSA : Pékin indigné par l'espionnage de ses compagnies télécom par les USA

Retenez la capacité pour la NSA de localiser et d'espionner des millions de portables dans le monde !

Nous verrons pourquoi plus tard ! Retenons seulement pour l'instant que la géolocalisation des portables sert à sauver des vies en localisant les victimes d'accident par exemple ! 

 

Pékin indigné par l'espionnage de ses compagnies télécom par les USA

Dossier: Espionnage du Web par les services spéciaux américains

Pékin indigné par l'espionnage de ses compagnies télécom par les USA
19:42 24/03/2014
PEKIN, 24 mars - RIA Novosti

Pékin attend de Washington des explications au sujet des informations de presse sur l'espionnage par les services secrets américains des compagnies et des établissements d'Etat chinois et exige de cesser ce genre de pratique, a annoncé lundi le porte-parole de la diplomatie chinoise Hong Lei.

"Nous sommes sérieusement inquiets (...). La Chine a déjà émis des protestations à de multiples reprises (sur les pratiques de la NSA, ndlr). Nous appelons les Américains à s'expliquer clairement et à cesser ce genre de pratique", a déclaré le diplomate.

Et d'ajouter que les systèmes de télécommunication ne devaient pas servir à des fins de surveillance ou d'espionnage.

Selon les articles publiés samedi par le New York Times et Der Spiegel, l'Agence de sécurité nationale (NSA) américaine aurait piraté les serveurs de Huawei Technologies, espionné les communications de ses dirigeants et collecté des informations pour installer des portes dérobées sur le matériel du fabricant de réseaux chinois.

D'après les documents rendus publics par l'ancien consultant du renseignement américain, Edward Snowden, et publiés par divers médias, la NSA a mené ses propres campagnes d'espionnage, y compris par le biais de programmes destinés à pirater les équipements vendus par des fabricants chinois.

Par ailleurs, Der Spiegel rapporte que la NSA espionnait les ministères chinois du Commerce et des Affaires étrangères, ainsi que les hommes politiques du pays, dont l'ancien président chinois Hu Jintao.

http://fr.ria.ru/world/20140324/200801175.html