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20/05/2010

Nasa et Extraterrestres

Gary McKinnon, l'homme qui a piraté les ordinateurs de la Nasa à la recherche des Extra-Terrestres


Gary McKinnon, né à Glasgow en 1966, également connu sous le nom Solo, est un hacker britannique accusé par les États-Unis d’avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps.

Cet administrateur système de 42 ans, au chômage, est accusé d’avoir pénétré dans 97 ordinateurs des États-Unis appartenant à l’armée et à la NASA, en 2001 et 2002. Les réseaux informatiques américains qu’on l’accuse d’avoir pénétrés appartenaient à la NASA, à l’armée, à la marine, au Ministère de la Défense,à l’armée de l’air, ainsi qu’au Pentagone.

Les États-Unis estiment que les dépenses nécessaires pour le retrouver et corriger les problèmes dont on le croit responsable se montent à environ 900 000 USD.

McKinnon a protesté qu’il cherchait seulement à établir l’existence des OVNIS et a dit être absolument certain que les Américains ont réussi à récupérer une technologie antigravité extra-terrestre. Le journal Le Figaro a décrit un homme qui ne se lave plus, vit en peignoir dans son appartement, perd son travail et que sa petite amie quitte]. Il passe ses journées et ses nuits à pirater les ordinateurs militaires américains, obsédés par la recherche d’informations sur les extra-terrestres et tout cela depuis sa chambre dans le nord de Londres.

McKinnon a d’abord été poursuivi et arrêté sur la base du Computer Misuse Act (Loi concernant les délits informatiques) par la National Hi-Tech Crime Unit britannique en 2002, mais a été relâché sans être inculpé et sans supplément d’information.

Il a été à nouveau arrêté en juin 2005, et cette fois-ci relâché sous caution et sous conditions, entre autres qu’il n’aurait plus le droit d’accéder à internet. S’il est extradé aux É.-U. et reconnu coupable, McKinnon risque jusqu’à 70 ans de détention. Il a fait savoir qu’il se battrait contre les procédures d’extradition et qu’il préférait passer devant un tribunal britannique puisqu’il n’a que peu confiance dans le système judiciaire américain.

Alors que Gary McKinnon affirme qu’il désirait mettre fin au secret sur les ovnis et ainsi libérer la technologie de l’énergie libre, les procureurs américains crient au plus grand hack militaire jamais commis. Il est vrai que Gary s’était introduit dans les systèmes de l’armée, de la NASA, de la Navy, du ministère de la défense et de l’Air Force. Nous savons qu’il se bat pour éviter une extradition vers les Etats-Unis, mais savons-nous ce qu’il a découvert exactement?

Dans chacun de ses entretiens, Gary McKinnon mentionne deux trouvailles liées aux Ovnis. Au quotidien The Guardian, il confie avoir trouvé quelque chose de si important qu’il essaie de marchander avec le gouvernement. Lors de sa première arrestation, on lui propose une négociation : une peine de 3 ou 4 ans. Il refuse dans l’espoir de raccourcir la durée de la peine en menacant de publier ses découvertes. Hélas pour lui, le gouvernement US ne se laisse pas impressionner, Gary fait face à une peine de 70 années d’emprisonnement dans un lieu qui ne lui apportera pas le thé et les petits gateaux à l’heure habituelle.

L’initiative Disclosure Project du Dr.Steven Greer avait inspiré Gary. La réunion de personnes crédibles et leurs témoignages devant le Club de la Presse à Washington, avait permis au public d’apprendre que ces témoins confirmaient l’existence de visiteurs extraterrestres. L’un d’eux avait déclaré que les photos de l’espace étaient retouchées sur le site du Johnson Space Center, on y supprimait les ovnis. McKinnon parvient à s’introduire dans les systèmes du Space Center, il dit “avoir trouvé la photo en haute définition d’un objet en forme de cigare au dessus de l’hémisphère nord.” Sous le choc, il ne pense pas à la télécharger, le fichier étant très lourd, il en vient à perdre sa connection ainsi que l’image.

Mais ce qu’il découvre en s’introduisant dans le système de l’ US Space Command le surprend plus encore. Il affirme avoir trouvé une liste de noms d’agents non-terrestres.

Il pensera plus tard et à tord que cette information lui servira d’atout et lui permettra de négocier avec le gouvernement US. Il ne croit pas que ces agents non-terrestres soient des aliens mais pense que c’est une preuve que l’armée américaine dispose d’un bataillon secret dans l’espace. Les listes mentionnent des transferts de vaisseau à vaisseau mais McKinnon ajoute qu’il fumait de l’herbe à l’époque lorsqu’il piratait, si bien qu’il ne se souvient pas du nom des vaisseaux.
Des rumeurs circulent selon lesquelles il aurait mentionné les noms de deux vaisseaux, aperçus sur les journaux de transfert. Les noms étant : Le USSS LeMay et le USSS Hillenkoetter. Habituellement les vaisseaux de la Navy ne comprennent que deux “S” pour signifier “United States Ship”, cependant nous avons trois “S”, ce qui signifierait “United States Space Ships”. ..

http://www.ovnis-usa.com/2010/04/22/les-secrets-de-gary-m...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_McKinnon


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09/04/2010

USA : Données radar et Ovnis : La FAA fait marche arrière

Il faut à tout prix que nous demeurions ignorants !

avril 9th, 2010 Posted in Avril 2010

loga FAA

 

Un article de Billy Cox expose le récent revirement de la FAA (Federal Aviation Administration), contraire à la Directive présidentielle sur la transparence.

"Robert Powell, le co-auteur méconnu du rapport du MUFON sur Stephenville, a subi sa dernière déconvenue la semaine dernière concernant ses requêtes FOIA. La FAA lui a fait savoir qu'elle ne donnerait aucune suite à ses demandes de données radar, s'agissant de plusieurs incidents d'Ovnis en 2009.

Rien d'étonnant à cela, les données ne sont-elles pas protégées en toutes circonstances ? A cela près que les refus vont exactement dans le sens opposé des directives prescrites par l'Executive Order du Président Obama en Janvier 2009, imposant aux agences fédérales de jouer le jeu de la transparence.



Selon le récent bilan des requêtes FOIA effectué par le Département des Transports, la FAA avait l'année dernière rejeté 105 des 6.294 demandes au motif d'exemptions légales, au lieu de 73 sur 7.202 en 2008.

C'est d'autant plus contradictoire, selon Powell, que la FAA n'a même pas pris la peine de justifier ses décisions au cas par cas : "Ils se sont contentés de dire que l'information ne pouvait être diffusée parce que ça pourrait compromettre la sécurité nationale".

Stephenville Radar Report

En outre, la décision de la FAA est totalement contradictoire avec sa réponse à la sollicitation du MUFON, en 2008, qui voulait obtenir les données concernant Stephenville.

A l'époque, la FAA avait fourni aux chercheurs 2,5 millions de données radarqui ne révélaient pas seulement la trajectoire de l'Ovni en direction du ranch du Président Bush à Crawford.

Elles détaillaient également les itinéraires des avions de combat qui suivaient l'objet, alors qu'il approchait d'une zone interdite de survol sans transpondeur actif.



Deux des nouvelles requêtes FOIA de Powell concernaient des observations de pilotes à Houston et Memphis. La troisième, et peut-être la plus intéressante, impliquait une bande d'adolescents et un policier dans une banlieue à l'ouest de Kansas City, le 21 août 2009. Au moment de l'incident, les ados et le flic étaient à 8 kms de distance mais ils avaient photographié le même objet sur leurs portables.

Les témoins avaient noté qu'il produisait un bourdonnement. Ils avaient écarté les bras d'un mètre vingt pour représenter l'envergure de l'Ovni, ce qui laissait supposer qu'il était énorme, ou proche, ou les deux. Ca voulait dire également que s'il était descendu en-dessous de 300 mètres, l'objet n'avait probablement pu échapper au radar. En supposant qu'il n'avait pas utilisé de contre-mesures pour se rendre invisible. Powell écarte la possibilité qu'il pu s'agir d'un prototype secret, en raison de sa trajectoire à basse altitude au-dessus d'une zone fortement peuplée.

De toutes manières, le directeur des recherches du MUFON a fait savoir qu'il ne pouvait pas se permettre de verser les 30 à 40.000 dollars d'honoraires qui seraient nécessaires pour assigner l'administration devant les tribunaux. Il envisage cependant de sortir son chéquier pour payer les 500 ou 1.000 dollars d'inscription, et de poursuivre sans avocat.

Robert Powell conclut : "Ce n'est pas seulement à propos des Ovnis. Ca me parait indécent que le gouvernement se comporte de manière aussi désinvolte." - Source

Source : Ovnis USA

Robert Powell

17/02/2010

Aller sur Mars en moins de 40 jours

Par Marc Mennessier

12/02/2010 | Mise à jour : 23:29

Un nouveau moteur mis au point par un ancien astronaute de la Nasa pourrait bientôt révolutionner le transport spatial.




Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie


Si Jules Verne promettait de faire le tour du monde en 80 jours, Franklin Chang-Diaz propose, lui, d'aller sur la planète Mars en deux fois moins de temps ! Soit très exactement en 39 jours au lieu des six à huit mois requis avec les moteurs de fusée actuels, le tout grâce à un nouveau système de propulsion. Les avantages sont multiples : outre le gain de temps, ce voyage raccourci permettrait de réduire fortement l'exposition des astronautes aux radiations cosmiques ainsi que les conséquences négatives de l'apesanteur sur l'organisme humain, en particulier les muscles et les os.

Le projet, qui peut paraître surprenant de prime abord, n'a pourtant rien de farfelu. Diplômé du Massachusetts Institute of Technoloy (MIT), Franklin Chang-Diaz a mené, à partir de 1979, une brillante carrière de chercheur et d'astronaute, totalisant pas moins de sept missions à bord de la navette spatiale. Quand il n'était pas dans l'espace, il travaillait à la mise au point du Vasimr (prononcer «vasimare»), son moteur à impulsion magnétoplasmique dont un premier prototype, le VX-200 a été testé avec succès en septembre dans une chambre à vide.

Le principe de ce moteur révolutionnaire, auquel le magazine Ciel & Espace vient de consacrer un long article, consiste à chauffer du gaz argon jusqu'à plusieurs millions de degrés Celsius. Confiné à l'intérieur d'un puissant champ magnétique pour éviter qu'il n'entre en contact avec les parois du moteur, le faisceau de plasma ainsi obtenu est accéléré puis éjecté à travers une bobine électromagnétique de diamètre variable permettant d'obtenir une poussée plus ou moins forte selon son degré d'ouverture.

Lorsqu'elle est à son maximum, la puissance déployée est telle qu'on peut envisager d'utiliser ce nouveau type de moteur pour transporter de grandes quantités de fret (nourriture, équipement, matériel scientifique) depuis l'orbite basse de la Terre vers de futures bases lunaires ou pour envoyer des équipages vers des destinations plus lointaines comme Mars. À condition, toutefois, de le doter d'un réacteur nucléaire capable de lui fournir l'énergie électrique requise.

Un prototype sur la station

Mais le Vasimr peut également servir, en version plus réduite, à réapprovisionner en carburant des satellites géostationnaires (télécoms, météo), dont la durée de vie serait ainsi avantageusement prolongée, où à rehausser l'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) qui a tendance à perdre régulièrement de l'altitude. Cette tâche incombe aujourd'hui aux vaisseaux Progress russes ou à l'ATV européen, mais le Vasimr a un bien meilleur rendement. Selon la société Ad Astra Rocket, fondée il y a cinq ans par M. Chang-Diaz, le moteur magnétoplasmique ne consommerait que 320 kg d'argon par an au lieu des 7 tonnes d'ergol utilisés par les Progress et l'ATV pour effectuer le même travail. À 25 000 dollars le kilo lancé en orbite basse, on mesure l'économie qui pourrait être réalisée.

La Nasa a d'ailleurs signé, il y a plusieurs années, avec Ad Astra un accord visant à installer sur l'ISS, en 2013, un second prototype, le VF 200 afin de le tester en condition réelle pendant plusieurs mois. Incapable de fonctionner ailleurs que dans le vide, et donc de décoller seul depuis la Terre, l'engin devra être placé en orbite basse par une fusée classique. Si les résultats sont concluants, une version définitive pourrait prendre le relais.

Nul doute que les travaux de M. Chang Diaz sont suivis de près par les responsables de la Nasa qui s'apprêtent à consacrer 3,1 millions de dollars, d'ici à 2016, dans la recherche de nouvelles technologies spatiales après l'arrêt du programme Constellation décrété par Barack Obama. « Imaginez que les voyages vers Mars ne durent plus que quelques semaines », lançait l'administrateur de la Nasa, Charles Bolden, le 1er février. Pensait-il au Vasimr en rêvant ainsi à haute voix ?

http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2010/02/13/01030-20100213ARTFIG00191-aller-sur-mars-en-moins-de-40-jours-.php

Autres articles : ICI

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12/02/2010

Ovnis et ET : Les risques de révéler notre existence

Ils ne nous prendraient pas pour des imbéciles par hasard ?


1- cela fait belle lurette que les ET sont chez nous, dont les Illuminati-Reptiliens (Les Grands Gris) qui mènent le monde et qui veulent instaurer le Nouvel Ordre Mondial !
2 - les manifestations d'Ovnis sont légion depuis la nuit des temps et relatées y compris dans les écrits dits sacrés,
3 - on les dit plus intelligents que nous et nous dépassant au niveau de la technologie !

4 - depuis 1945 nous faisons des voyages spatiaux si nous comptons les voyages d'Hitler sur mars.

Et tout à coup, il faudrait avoir peur d'attirer l'attention des ET ?

 

février 12th, 2010 Posted in Fevrier 2010 |

Les tentatives de communication avec des formes de vies extraterrestres, hors de notre système solaire, font toujours débat.

Les sondes spatiales Voyager 1 et 2, lancées en 1977, embarquaient le Voyager Golden Record, "un disque contenant des sons et des images sélectionnés pour dresser un portrait de la diversité de la vie et de la culture sur Terre, qui sont destinés à d'éventuels êtres extraterrestres qui pourraient les trouver."

Bien plus tard, le projet "Earth speaks" (la Terre parle) lancé par l'Institut SETI en 2009, a proposé aux internautes de l'aider à définir "ce que nous aimerions leur dire"... en ciblant d'éventuelles formes de vies intelligentes dans l'univers que nous serions amenés à découvrir.

Message de Voyager

En décembre 2007, une polémique sur le SETI "actif" avait amené deux responsables à démissionner : ils soulignaient les risques d'émettre des messages vers l'espace et le danger potentiel d'alerter des entités dangereuses ou malveillantes quant à notre présence.

Albert Harrison

En février 2008, la NASA - depuis son antenne géante installée à Madrid - diffusait dans l'espace la chanson des Beatles "Across the Universe". Une initiative alors saluée par Paul McCartney.

Mais des experts s'inquiètent toujours de la profusion des messages filant vers le cosmos. Est-il sage de signaler notre présence à d'éventuels voisins hostiles ?

Cette question a été à nouveau abordée lors de la conférence organisée à la Royal Society de Londres (Académie des sciences britannique) les 25 et 26 janvier.

Parmi les intervenants, Albert Harrison, professeur de psychologie sociale à l'Université de Californie : "Beaucoup de messages sont responsables mais je m'interroge sur certaines autres choses qui sont transmises".

Il faisait allusion à "des photos de célébrités, de deux candidats politiques - l'un identifié comme bon, l'autre comme mauvais - des publicités alimentaires, des lettres d'amour de rock stars".

Il précisa : "Lorsqu'on commence à émettre et à attirer l'attention sur nous, il faut faire très attention à l'image que l'on donne. Nous pourrions apparaître comme une menace pour eux".

Albert Harrison concluait : "Nous ne savons pas ce qu'il adviendra de ces messages".

L'astrophysicien européen Malcolm Fridlund pense qu'en l'absence de preuve de l'existence d'ET, ces tentatives de communication risquent d'être une perte de temps.

Mais il invite néanmoins à la prudence : "Je ne me réveille pas la nuit en me demandant s'il existe des seigneurs de la galaxie. Mais quand on ne sait rien de ce qu'il y a là-bas, on devrait être un peu plus prudents".

Quoiqu'il en soit, il y a des dizaines d'années que nos émissions radios et télés se propagent dans l'espace.

http://www.ovnis-usa.com/2010/02/12/les-risques-de-revele...
Malcolm Fridlund

23:22 Publié dans NASA, NSA, Ovnis et Extraterrestres, Ovnis et Politiques, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Nasa : Une flotte secrète en orbite ?

Dimanche 19 Avril 2009

Voir l'article avec les vidéos : ici

Michael Salla est de retour le 15 avril sur The Examiner avec un nouvel article : "Les notes de Reagan & la flotte de vaisseaux à antigravité du Commandement Spatial" :

"Le 13 avril, l'Administration des Archives Nationales a diffusé 250.000 pages de documents concernant le gouvernement de Ronald Reagan. Ca représente des mois de travail avant que les chercheurs aient fini de les recenser.

Nous espérons que celà permettra, entre autres, d'éclairer un commentaire relevé dans son Journal à la date du mardi 11 juin 1985 (page 334) :


"Déjeûner avec 5 savants spatiaux de haut niveau. Passionnant. L'espace est décidément notre ultime frontière, et certaines découvertes en astronomie, etc... font penser à de la science-fiction, mais nous sommes bien dans le réel.

J'ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite."

The Reagan Diaires (Harper Collins, 2007)


Reagan Diaries

Je trouve celà curieux parce que notre Navette spatiale peut embarquer un maximum de huit passagers, et cinq seulement ont été construites. Même en chargeant ces cinq navettes et les envoyant toutes ensemble dans l'espace, nous n'arriverions jamais au chiffre de 300 passagers. Reagan avait-il révélé l'existence de programmes hautement classifiés ? C'est apparemment le cas, selon des dizaines d'informateurs des milieux militaires et issus de compagnies privées : le Strategic Command est l'un des dix poles de commandement dans l'armée américaine; il contrôlerait une flotte de vaisseaux à antigravité qui ont la taille de porte-avions.

AF Space Command

Les Etats-Unis ont structuré leurs forces militaires en instituant dix commandements unifiés, chacun sous la responsabilité d'un général ou un amiral à quatre étoiles, qui dépend directement du Ministre de la Défense. Six d'entre eux servent à couvrir toutes les régions géographiques du globe.

A celà s'ajoutent quatre commandements opérationnels dont les activités militaires spécialisées sont orchestrées par un unique "Combatant Commander". De 1985 à 2002, le Space Command a été responsable des opérations militaires dans l'espace. En juin 2002, le Space Command a fusionné avec le Strategic Command, qui a la charge des activités spatiales comme la gestion des satellites, des missile, du nucléaire, et des missions de renseignement.

Les rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis possèdent une flotte ultra-secrète de vaisseaux à antigravité circulent depuis des années.

Le 23 mars 1993, lors d'une réunion destinées aux ingénieurs, organisée à Los Angeles, le Dr. Ben Rich - ancien directeur éxécutif des 'recherches avancées' chez Lockheed - a montré une image d'un disque noir se dirigeant vers l'espace et a déclaré :

"Nous possédons maintenant la technologie nécessaire pour ramener E.T. à la maison".

Des informateurs des milieux militaires et d'autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu'ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l'Aurora et le TR-3B.

Nick Cook

Dans son livre, "The Hunt for Zero Point", l'analyste Nick Cook, du Jane's Defense Weekly, écrit ceci à propos de l'Aurora : "Depuis la fin des années 80, on s'interroge sur l'existence du successeur secret du Blackbird; il s'agit d'un avion mythique nommé l'Aurora qui serait capable de voler deux fois plus vite et aux limites de notre atmosphère" (p. 14).

D'autres informateurs, comme Edgar Fouche, ancien contractant du Ministère de la Défense, ont soutenu que l'Aurora, à la suite du Blackbird [ou du SR-71] se compose de deux types d'avions hypersoniques pour aller dans l'espace :

"L'Aurora intègre le SR-75, qui est capable de voler à Mach 5, et sert de vaisseau-mère pour le SR-74, qui peut atteindre Mach 18 et aller placer des satellites dans l'espace."

Plus spectaculaire, il y a aussi le TR-3B, de forme triangulaire, qui selon Fouche génère un champ électromagnétique intense, lequel réduit son poids de 89%. D'après lui, le TR-3B utilise l'effet Biefeld-Brown (créé par d'importantes charges électrostatiques), puis des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets l'amènent à des vitesses prodigieuses. Ca se situerait bien au-dessus de Mach 18, qui est selon lui la vitesse du SR-74. Fouche affrime que le TR-3B a un diamètre de 200 mètres, ce qui approche la taille d'un porte-avions.

Des preuves bien établies confirment qu'il existe une flotte secrète d'engins spatiaux à antigravité. Par exemple, cette note étonnante du Président Ronald Reagan, dans son Journal, nous parle d'une navette qui aurait la capacité d'emporter 300 passagers en orbite terrestre. Autre exemple, le 6 août 2007, la NASA a honoré "l'Equipe de Soutien aux Vols Habités" parce qu'elle a permis d'éviter aux vaisseaux de la NASA d'entrer en collision avec des débris spatiaux. Cette équipe faisait partie du Space Command, dont il est notoire qu'il est le principal commandement militaire qui fournit une assistance spatiale à l'U.S. Strategic Command.

"Cette récompense… souligne le soutien exceptionnel que l'équipe nous a apporté pour permettre à la navette, à la Station Spatiale Internationale et à leurs équipages, d'éviter les dangers des débris en orbite, les collisions de vaisseaux, et autres accidents potentiels qui sont inhérents aux manoeuvres en orbite."

Toutefois, le public n'a pas connaissance que l'USAF Space Command ni le Strategic Command disposeraient d'engins spatiaux qui puissent assister la Navette ou l'ISS. Normalement, ces vaisseaux de la NASA devraient nécessiter des corrections graduelles, lesquelles prennent beaucoup de temps, et ne permettraient pas de faire face à des dangers imminents.

Selon Ted Twietmeyer, cette récompense est la preuve que des engins à antigravité existent, qui sont dotés d'armes à rayonnement de particules avec lesquelles ils peuvent détruire les débris qui se trouvent sur le chemin des vaisseaux de la NASA.


Ted Twietmeyer
Shuttle alien

Cette idée d'une flotte secrète, disposant de technologies avancées, capable d'intervenir pour assister la Navette et l'ISS, est également renforcée par le témoignage d'un ancien employé de la NASA.

Clark McClelland a travaillé comme opérateur pour plusieurs lancements de la Navette de 1989 à 1992. Il a déclaré avoir vu embarquer un passager immense, qui devait faire 2,5 à 2,80m et à côté de lui un engin à antigravité en forme d'aile delta.

McClelland connaissait tous les astronautes de ce programme de la NASA, et il pense que ce personnage en combinaison spatiale était un extraterrestre. On ne peut écarter la possibilité que cet être, ainsi que l'engin, aient fait partie d'une mission secrète en relation avec la Flotte de l'Espace, sous l'autorité de l'U.S. Strategic Command.

L'idée d'une flotte secrète a été aussi relancée par le hacker britannique Gary McKinnon, qui risque d'être extradé aux Etats-Unis pour avoir fouillé dans les ordinateurs de la NASA et de l'armée. McKinnon avait annoncé qu'il avait eu accès à des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA, dont une 'liste d'officiers non-terrestres', ainsi qu'une directive qui évoquait des 'transferts de flotte à flotte'.

Se pourrait-il que le géant, accompagnant deux autres astronautes, fasse partie d'un groupe d'officiers 'non-terrestres', qui peuvent apporter leur soutien aux programmes de la Navette, sous l'égide du Space Command de l'US Air Force ?


Si on considère ces preuves, émanant de diverses sources, la note du Président Reagan rédigée en 1985 dans son Journal apparait comme une reconnaissance évidente d'un programme spatial secret qui permet de transporter et de prendre en charge des centaines d'astronautes. Cette note montrerait qu'il a reçu un ou plusieurs briefings sur ce sujet. D'autres indices importants peuvent émerger des 250.000 pages de documents récemment déclassifiés. L'essentiel serait que le public soit informé des technologies d'antigravité qui ont été développées dans le plus grand secret, et qu'on utilise depuis des décennies pour envoyer des astronautes militaires dans l'espace." - Source

Compléments & Commentaires


Samedi 9 Mai 2009

Michael Salla a poursuivi dans The Examiner son article du 19 avril sur le journal de Ronald Reagan, la NASA, et les programmes secrets. Il titre aujourd'hui : "Le déclin de la NASA et la flotte qui maîtrise l'antigravité".

"Le Président Obama n'a toujours pas nommé le nouvel administrateur de la NASA. Un délai qui n'est pas sans précédent. Le Président Bush, dans la première année de son mandat, avait attendu jusqu'en Novembre avant de nommer Sean O’Keefe à l'époque.

Si l'on tarde à désigner le remplaçant de Michael Griffin, c'est peut-être que des décisions importantes doivent être prises sur des opérations programmées, alors que l'administrateur intérimaire, Christopher Scolese, est toujours en place.


Des décisions cruciales ont déjà été prises pour réduire les effectifs lorsque la Navette Spatiale cessera de fonctionner, en 2010, malgré une demande du Congrès visant à étendre sa durée de service. A noter également que les responsables de la NASA ont décidé le mois dernier de ramener de six à quatre le nombre d'occupants dans la capsule du programme Constellation - la solution de remplacement pour la Navette spatiale.

Constellation doit servir à emmener des astronautes vers la Lune et Mars, et assurer l'entretien de l'ISS. Le retard d'Obama reflète l'idée déjà très répandue que les affaires de la NASA ne font pas partie de ses priorités. On peut constater que le budget de la NASA n'a cessé de diminuer depuis la fin des missions Apollo au début des années 70. Le déclin de la NASA est inévitable. Si les rapports des informateurs sont corrects, alors la NASA ne serait en fait qu'une couverture servant à dissimuler les activités d'une flotte hautement classifiée, qui maitriserait l'antigravité, et serait utilisée pour placer des centaines d'astronautes militaires dans l'espace.

Ben Rich

Comme je l'ai précédemment évoqué, le Président Ronald Reagan avait fait une allusion à cette flotte dans son journal, à la date du 11 juin 1985, en écrivant : "J’ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite." De nombreux informateurs et des experts aéronautiques ont déjà révélé divers aspects des technologies avancées d'antigravité, grâce auxquelles, selon les termes de Ben Rich (ancien directeur éxécutif de la branche des Recherches avancées de Lockheed), "nous serions capables de ramener E.T. à la maison".

Si le commentaire de Reagan et les témoignages des informateurs sont fondés, nous avons vu dans la 1ère partie que cette flotte spatiale est gérée par l'U.S. Strategic Command. Le nom de code de ce programme secret est 'Solar Warden'. L'existence de Solar Warden, si elle est vérifiée, prouverait que la NASA n'est qu'un programme de couverture qui utilise les technologies obsolètes de propulsion avec des fusées.

Dès lors, le Programme "futuriste" de Constellation serait lui aussi une couverture parce que nous aurions déjà un programme spatial capable de missions interplanétaires utilisant des technologies de propulsion par antigravité.

La première référence à Solar Warden date de Mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs du forum Open Minds, a révélé son existence et ses moyens : tous les programmes spatiaux ne serviraient qu'à occulter la réalité de cette flotte. Nous disposions, dès 2005, de huit vaisseaux, utilisés comme des porte-avions, et 43 "protecteurs" - qui sont des avions spatiaux.

L'un aurait été récemment perdu, suite à un accident dans l'orbite de Mars, alors qu'il tentait de ravitailler la colonie multinationale. Cette base aurait été établie en 1964 par une équipe américano-russe.

Une autre source qui a évoqué Solar Warden est un informateur anonyme du Projet Camelot, nommé 'Henry Deacon', qui a travaillé comme physicien aux laboratoires Laurence Livermore. Les initiateurs du Projet Camelot connaissent sa véritable identité; ils ont vérifié ses qualifications et l'ont estimé crédible. Selon eux : "Henry Deacon a confirmé qu'il existe une vaste base sur Mars, dont la maintenance est assurée par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN)."

D'après l'ouvrage du journaliste William Arkin sur les noms de codes militaires, qui attribue deux lettres spécifiques aux programmes militaires secrets, Solar Warden relève d'un Commandement militaire unifié. Ca voudrait dire que Solar Warden est contrôlé par le Strategic Command, ainsi que nous l'avons déjà exposé.


William Arkin Code names


Si Solar Warden a permis d'établir une colonie sur Mars, en utilisant des systèmes de propulsion à base d'antigravité, ça pourrait expliquer pourquoi les recherches sur l'antigravité sont devenues hautement classifiées vers le milieu des années 50.

Ca expliquerait également pourquoi les chercheurs civils qui étaient parvenus à répliquer les technologies d'antigravité furent brutalement écartés ainsi que c'était arrivé pour Otis T. Carr en 1961.

Cette mise à l'écart a été révélée pour la première fois en 2007 grâce au témoignage de Ralph Ring, l'ancien fidèle de Carr.

Les témoignages d'informateurs et d'experts se multiplient, qui attestent de l'existence d'un tel programme spatial.

Il permettrait d'envoyer des centaines d'astronautes militaires dans l'espace. Si Solar Warden existe, ou s'il s'agit d'un programme militaire classifié de même type, alors on peut comprendre pourquoi le Président Obama tarde à nommer un nouvel administrateur à la tête de la NASA. Le déclin persistent de la NASA depuis la réussite d'Apollo ne met pas en cause la compétence et le savoir faire des personnels de l'organisation. La réalité politique serait que des programmes militaires hautement compartimentés empêchent que les technologies avancées d'antigravité soient versées au secteur public pour des applications commerciales.

Constellation, le nouveau Programme "futuriste" de la NASA, avec ses technologies obsolètes des années 40, n'est qu'un programme de couverture et ne mérite pas d'être financé. Il serait préférable que le public soit informé des réels programmes menés par l'armée américaine et des compagnies privées qui utilisent des technologies avancées d'antigravité, et nous devons savoir comment ils les ont obtenues." - Source

http://www.ovnis-usa.com/une-flotte-secrete-en-orbite/