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05/08/2010

OVNI-Le secret américain

 

01:38 Publié dans NASA, NSA, Ovnis et Extraterrestres, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

04/08/2010

Le soleil se réveille !

4 août 2010

Après un long sommeil, le Soleil se réveille ! Dimanche 1er août, dans la matinée, notre étoile a en effet connu une importante éruption qui a projeté des tonnes de plasma dans l’espace interplanétaire. Ce plasma qui devrait atteindre la Terre au matin du 4 aout pourrait engendrer de spectaculaires aurores boréales.

Le Solar Dynamics Observatory de la NASA a pris cette photo du Soleil aux rayons X au début de la matinée du dimanche 1er août. L'arc sombre près du bord en haut à droite de l'image est un filament de plasma. NASA
Le Solar Dynamics Observatory de la NASA a pris cette photo du Soleil aux rayons X au début de la matinée du dimanche 1er août. L'arc sombre près du bord en haut à droite de l'image est un filament de plasma. NASA

« Cette éruption est dirigée droit sur nous et devrait arriver en début de journée le 4 août », a déclaré l'astronome Leon Golub du Centre Harvard-Smithsonian pour l'Astrophysique (CfA). «  C'est la première éruption majeure dirigée vers la Terre depuis un certain temps. »

Sur le même sujet

L'éruption, appelée éjection de masse coronale, a été prise en photo par le Solar Dynamics Observatory (SDO) de la NASA, un observatoire solaire développé par l'agence spatiale américaine, dont le lancement a eu lieu le 11 février 2010. Cette sonde peut fournir des images haute définition du Soleil à un grand nombre de longueurs d’ondes.

« Nous avons eu une belle vue de cette éruption », a déclaré Leon Golub. « Et il pourrait y avoir des vues encore plus belles à venir, si elle déclenche des aurores. Quand une éjection de masse coronale atteint la Terre, elle interagit avec le champ magnétique de notre planète, créant potentiellement un orage géomagnétique. Les particules solaires entrent en collision avec des atomes d'azote et d'oxygène dans l'atmosphère, déclenchant des lumières brillantes comme des enseignes de néon.

Les aurores ne sont normalement observables que dans les hautes latitudes. Toutefois, au cours d'une tempête géomagnétique des aurores peuvent éclairer le ciel à des latitudes inférieures. Ainsi il est possible que dans le Nord des Etats-Unis ou de l’Europe ce phénomène se manifeste.

Le soleil passe par un cycle d'activité régulière d'environ 11 ans en moyenne. Le dernier maximum solaire a eu lieu en 2001. Son dernier minimum a été particulièrement faible et de longue durée. Cette éruption est l'un des premiers signes que le soleil se réveille et se dirige vers un autre maximum.

J.I.
Sciencesetavenir.fr

03/08/2010

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20100803....

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Une explosion solaire en haute définition

Un satellite de la Nasa a réalisé de captivantes images d’une gigantesque éruption à la surface du Soleil. Comme si vous y étiez.

Image d'une impressionnante protubérance solaire vue par le télescope SDO le 30 mars dernier à la surface du Soleil. (NASA/Goddard/SDO AIA Team)
Image d'une impressionnante protubérance solaire vue par le télescope SDO le 30 mars dernier à la surface du Soleil. (NASA/Goddard/SDO AIA Team)

Grâce aux images prises par le dernier observatoire solaire de la Nasa, le Solar Dynamics Observatory (SDO), nous nous trouvons aux premières loges pour assister à une éruption à la surface de notre étoile.

L’événement filmé ici s’est produit le 30 mars dernier: l’éruption solaire s’accompagne d’une magnifique protubérance, projetée à plusieurs dizaines de milliers de kilomètres au-dessus de la surface, l’une des plus grosses jamais observées. Elle est associée à une éjection de matière (dite éjection de masse coronale), précise la Nasa sur le site de SDO.

La séquence prise par l’instrument AIA (Atmospheric Imaging Assembly) de l’observatoire spatial montre ce qu’il s’est déroulé en quelques heures. Eruptions, protubérances et éjections de matières sont les manifestations en surface du champ magnétique de l’étoile.


Vision inédite d'une éruption solaire
envoyé par sciencesetavenir.

(Credit: NASA/Goddard/SDO AIA Team)


Le SDO a été lancé le 11 février 2010 et placé sur une orbite géostationnaire pour une mission de 5 ans. Pour étudier le Soleil et ses relations avec la Terre, il scrute l'atmosphère solaire dans différentes longueurs d'ondes et fournit des données d'une résolution inégalée.

C.D.
sciencesetavenir.fr

10/05/10
http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20100510....

Un tsunami solaire pourrait frapper la Terre

03/08/10 10h15

La Terre pourrait être touchée ce mardi par une tempête solaire, suite à des explosions massives du soleil au cours du week-end, ont averti les scientifiques.

Les astronomes du monde entier ont constaté ce week-end des explosions solaires, enregistrées par plusieurs satellites. Elles seraient dues à une importante éruption à la surface du soleil. Cette projection, dirigée vers la Terre, a envoyé un "tsunami solaire" à travers l'espace. La vague de gaz devrait atteindre la Terre ce mardi et secouer le champ magnétique naturel qui protège notre planète. Elle pourrait notamment donner lieu à de spectaculaires aurores boréales.

Dans le cas d'une éruption massive véritablement imposante, le phénomène pourrait théoriquement détruire des satellites et entraver les réseaux de communication et d'énergie aux quatre coins du globe. Rien ne garantit que ce sera le cas cette fois-ci. (7sur7)

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1...


20/07/2010

Une pluie de météores pourrait endommager la Station Spatiale Internationale et le télescope Hubble

Là encore tout va bien ! Dormez tranquilles braves gens en attendant que le Ciel vous tombe sur la tête ! Nibiru n'existe pas et ni son cortège d'astéroïdes, n'est-ce pas !?

lundi 28 juin 2010 par NewsOfTomorrow

(Source : Zigonet)

États–Unis - Selon les scientifiques de la NASA une pluie de météorites, qui serait la plus puissante depuis une dizaine d’années, pourrait endommager fortement la Station Spatiale Internationale ainsi que des satellites.

Les scientifiques de la NASA ont fait savoir qu’une pluie de météores appelé Draconides (qui survient chaque année au mois d’octobre) pourrait sérieusement endommager la Station Spatiale Internationale mais également plusieurs satellites se trouvant en orbite.

Ainsi en 1933 et 1946, ce sont des pluies de plusieurs milliers de météores par heures qui avaient pu être observées. Celle qui se tiendra en 2011 inquiète fortement les scientifiques. Elle serait la plus importante pluie de météores depuis celle qui a eu lieu en 1998 avec des centaines de météores par heure. La NASA envisage déjà de prendre certaines mesures afin d’éviter tout problème. L’agence spatiale pourrait réorienter la station spatiale et le télescope Hubble. L’un des scientifiques a ajouté devant les journalistes du Daily Telegraph que "si vous êtes touchés par un météore sporadique c’est un acte de Dieu, si vous êtes touchés par une pluie de météores c’est un acte de négligence."

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8558

 

Anomalie dans la Thermosphère

Tout va bien, n'est-ce pas ?
En avez-vous entendu parlé dans la presse ?

Et rien ne va affecter nos vies qu'ils ont dit les scienfiques, n'est-ce pas ?
Ils se fichent de qui ?

Ils peuvent toujours chercher à comprendre ce qu'il se passe, tant qu'ils n'auront pas accepté le fait que nous soyons en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie et que nous soyons actuellement en train de traverser la ceinture de photons.

Forcément notre environnement cosmique change !

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lundi 19 juillet 2010 par LOLOpsw

 

(Source : CNN) , Traduit par LOlopsw pour N.O.T.

Récemment, une couche supérieure de l’atmosphère terrestre s’est rétrécie tellement que les chercheurs sont perdus pour l’expliquer avec une juste proportion, a dit la NASA jeudi.

La thermosphère, qui bloque les rayons ultraviolets nocifs, augmente et se contracte régulièrement en raison des activités du soleil. À mesure que l’anhydride carbonique augmente, il a un effet de refroidissement à de telles hautes altitudes, qui contribue également à la contraction de la couche.

Mais même ces deux facteurs n’expliquent pas entièrement la contraction extraordinaire qui, bien que peu susceptible d’affecter le temps, peut affecter le mouvement des satellites, ont dit les chercheurs.

« C’est la plus grande contraction de la thermosphère depuis au moins 43 années, » dit John Emmert du laboratoire de recherche navale, qui a été cité en tant que rapporteur dans le rapport de la NASA.

Emmert est l’auteur important d’un papier annonçant une conclusion pour la question du 19 juin des "lettres géophysiques de recherches" du journal.

« Nous ne pouvons pas expliquer les densités anormalement faibles, qui sont environ 30 pour cent inférieurs » que les contractions précédentes, Emmert a dit à CNN.com.

" La thermosphère se trouve haut au-dessus de la surface terrestre, à la limite d’où l’atmosphère finit et l’espace commence. Elle s’étend de l’altitude de 55 milles (90km) à 370 milles (600km) au-dessus de la terre — le royaume des météores, des aurores, des navettes spatiales et de la Station Spatiale Internationale.

La thermosphère interagit avec cette limite, et fortement avec le soleil et par conséquent est considérablement influencée par l’activité solaire, qui se produit par cycles."

Quand l’activité solaire est haute, les rayons ultraviolets extrêmes solaires chauffent et augmentent la thermosphère. Quand elle est basse, l’opposé se produit.

"L’effondrement s’est produit pendant ce qui est connu comme « minimum solaire » 2007-2009, où le soleil a plongé dans un minimum sans précédent d’inactivité. Les taches solaires étaient rares et les éruptions chromo sphériques étaient inexistantes", rapporte la NASA.

En tout cas, l’effondrement de la thermosphère a été plus grand que seule l’activité du soleil peut l’expliquer.

Emmert propose que les quantités croissantes d’anhydride carbonique transformant à sa manière l’atmosphère pourraient avoir joué un rôle dans l’anomalie.

L’anhydride carbonique agit en tant que liquide réfrigérant dans la haute atmosphère, à la différence de l’atmosphère inférieure, qui rejette la chaleur par l’intermédiaire du rayonnement infrarouge. Pendant que les niveaux d’anhydride carbonique s’accumulent sur terre, elle transforme sa matière aux niveaux supérieurs et magnifie l’action du refroidissement du minimum solaire, a dit Emmert.

Pendant que l’anhydride carbonique s’accumule graduellement, « nous pensions que chaque minimum solaire était un peu inférieur (NDT : par rapport au maxima), et puis ce minimum solaire long est arrivé, mais à la place il est très inférieur. Et c’est assez étonnant, » a dit Stanley Solomon, un scientifique senior au centre national pour la recherche atmosphérique qui n’a pas été directement impliqué dans cette recherche.

Mais, dit Emmert, même en prenant en considération l’activité solaire et la montée d’anhydride carbonique n’explique pas entièrement cet effondrement anormal.

En dépit de l’anomalie incompréhensible, l’effondrement de la thermosphère est peu susceptible d’exercer un effet direct sur nos vies quotidiennes, a dit l’homme.

" Il ne va pas affecter le temps, ou vous ne pourrez pas dire que ceci continue en regardant le ciel. Il ne va pas devenir plus foncé, mais la contraction de la thermosphère peut affecter la direction des satellites et les débris spatiaux orbitant à ces niveaux."

Les « débris qui sont vers le haut resteront en haut plus longtemps. La quantité de débris orbitaux est un souci pour la navigation dans l’espace. Il y a le souci que les débris spatiaux s’accumulent, » dit Emmert.

Le changement anormal de la thermosphère peut également affecter d’autres couches de l’atmosphère, et cependant moins certain, peut avoir comme conséquence de légères ruptures des communications par satellites, y compris le système de positionnement global de signal (GPS), dit Solomon.

Emmert a dit qu’il restait d’autres possibilités inexpliquées qui pourraient avoir contribué à ce phénomène.

« Cela pourrait être que nous sous-estimons les effets [de l’anhydride carbonique] d’une façon ou d’une autre. Cela se pourrait parce qu’il y a des lois de la physique que nous ignorons dans la région de l’atmosphère au-dessous de la thermosphère, qui affecte rapidement la thermosphère, » dit-il.

Les chercheurs disent qu’ils continueront à surveiller l’atmosphère, qui rebondit déjà.

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8636


« Ainsi nous allons probablement travailler dans les prochaines années pour tester et démêler tout ceci, » affirme Emmert.