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17/11/2015

En Russie, "nous sommes Paris" !! A méditer pour faire la différence entre la France et la bande de dégénérés de Charlie Hebdo !

En Russie, "nous sommes Paris"

#JeSuisParis

09:57 14.11.2015 (mis à jour 12:01 16.11.2015)

Extrait : Les habitants de la capitale russe affluent, depuis la nuit, vers l'Ambassade de France à Moscou, afin d'honorer la mémoire des victimes des actes terroristes survenus vendredi 13 novembre à Paris.

Les attaques de la nuit dernière à Paris ont bouleversé l'opinion publique russe. Les citoyens de Moscou expriment largement leur solidarité et leur chagrin pour les victimes françaises. Lire la suite : ICI

La vidéo en LIVE: Mourners lay flowers and candles at French embassy in Moscow after Paris terror attacks

Et voici, ce que nous a servi la bande de dégénérés de Charlie Hebdo après l’attentat perpétré contre l’avion Russe dans le Sinaï, sans que Hollande ni personne n'intervienne pour faire fermer ce torchon scandaleux qui sali la France et le Peuple Français !

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Poutine ordonne d'intensifier les frappes en Syrie

La Russie de Poutine, le seul pays au monde avec ses alliés, à pouvoir intervenir légalement en Syrie sur la demande du Président Bachar AL-ASSAD !

Poutine a donc parfaitement le droit d'intensifier les frappes aériennes russes en Syrie et ailleurs si on le lui demande, pour débarrasser le Moyen-Orient des mercenaires formés, financés et armés par la CIA/Mossad, USA, France et Cie qui font mine de ne pas connaître les dirigeants des formations terroristes et leurs salariés mercenaires, alors qu'ils les arment et les financent depuis des années.

Peut-on savoir à qui ils livrent en personne, l'argent, les véhicules et les armes ?

Poutine ordonne d'intensifier les frappes en Syrie

09:28 17.11.2015 (mis à jour 10:20 17.11.2015)

Su-25

Les frappes de l'aviation russe en Syrie doivent être intensifiées, pour que les terroristes comprennent que le châtiment est inévitable, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine.

Cette déclaration a été faite suite à un rapport du chef du FSB (renseignement russe) Alexandre Bortnikov, qui a informé que le crash de l'A321 russe dans le Sinaï, qui a fait 224 morts le 31 octobre dernier, a été causé par un attentat.

«Le travail de l’aviation en Syrie doit non seulement être poursuivi, mais il doit être intensifié de telle sorte que les malfaiteurs comprennent que le châtiment est inévitable», a déclaré Vladimir Poutine. 

Le président a chargé le ministère de la Défense et l’état-major de l’armée russe de lui présenter les propositions correspondantes. «Je suivrai l’évolution du travail», a-t-il conclu.

"Nous devons nous y atteler sans délai de prescription, les connaître par leur nom. Nous allons les rechercher partout, où qu'ils se cachent. Nous les trouverons à n'importe quel endroit de la planète, et nous les punirons ", a ajouté lors d'une réunion au Kremlin dans la nuit de lundi à mardi avec les hauts responsables militaires et des services secrets, ainsi que le chef de la diplomatie Sergueï Lavrov.

 

 

Poutine : "Nous allons les retrouver dans n’importe quel coin de la planète et ils recevront leur châtiment»

Moscou confirme qu’un acte terroriste est à l’origine de la catastrophe de l’A321 russe

17 nov. 2015, 09:17

Le site du crash en Egypte

Source: Reuters Le site du crash en Egypte

Le crash de l’avion russe dans la péninsule du Sinaï, en Egypte, est le résultat d’une attaque terroriste. En effet, des traces d’agents explosifs ont été découverts sur les corps des victimes, a rapporté le directeur du FSB au président Poutine.

«Nous sommes prêts à confirmer avec certitude qu’il s’agit d’un acte terroriste», a déclaré Alexandre Bortnikov, le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) tard lundi soir lors d’une réunion au Kremlin. Cette réunion a porté notamment sur les conclusions de l’enquête sur les causes du crash de l’Airbus A321, alors que les experts du FSB ont analysé les fragments de l’avion et les effets personnels des passagers.

«Pendant le vol, une bombe artisanale d’une puissance équivalente à un kilogramme de TNT a explosé à bord de l’avion, ce qui a provoqué sa dislocation et explique également la largeur du rayon dans lequel se sont éparpillés les débris», a expliqué Alexandre Bortnikov au président russe Vladimir Poutine.

D’après le directeur du FSB, des traces d’agents explosifs ont été retrouvés sur tous les éléments analysés par les enquêteurs.

 

Vladimir Poutine : «Nous n’oublierons rien»

Ce n’est pas la première fois que la Russie fait face « aux crimes barbares, le plus souvent sans raison apparente, ni domestique ni extérieure, comme ce fut le cas lors de l’explosion dans une gare à Volgograd à la fin de 2013», a réagi le président russe, cité par le service de presse du Kremlin.

«Le meurtre de nos citoyens dans le Sinaï figure parmi les attaques les plus sanglantes par le nombre de victimes. Et nous n’allons pas essuyer nos larmes. Nous ne l’oublierons jamais», a dit Vladimir Poutine.

«Mais cela ne nous empêchera pas de retrouver et de punir les responsables. Nous allons les retrouver dans n’importe quel coin de la planète et ils recevront leur châtiment», a martelé le président.

 

Tous les forces mobilisées pour répondre à l’attentat

En réaction aux informations sur l’attaque terroriste à bord de l’A321, la Russie entend «agir conformément à l’article 51 de la Charte de l’ONU, qui prévoit le droit des Etats à l’autodéfense», a souligné le dirigeant russe lors de la réunion au Kremlin.

Alors que tous les services de sécurité se concentreront sur la recherche des terroristes, Vladimir Poutine a ordonné le renforcement de l’opération aérienne antiterroriste russe en Syrie, «de sorte que les criminels comprennent que les représailles sont inévitables».

Entretemps, le service de presse du FSB a annoncé une récompense de 50 millions de dollars pour toute information concernant les responsables de l’acte terroriste de l’A321. Le service de sécurité a également annoncé qu’il sollicitait l’assistance de la communauté internationale dans la recherche des terroristes.

 

 

Officiel: le crash de l'A321 russe causé par un attentat

Officiel: le crash de l'A321 russe causé par un attentat

09:14 17.11.2015 (mis à jour 10:44 17.11.2015)

Airbus A321, Egypte 2015

 

Le crash de l'A321 russe dans le Sinaï, qui a fait 224 morts le 31 octobre dernier, a été causé par un attentat, a déclaré Alexandre Bortnikov, le chef du renseignement russe (FSB), lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine diffusée par la télévision russe.

Selon le directeur du FSB, des traces d'explosifs de fabrication étrangère ont été retrouvées sur les débris de l'appareil et sur les effets personnels des passagers.

"Une bombe improvisée, dont la puissance explosive équivaut à 1,5 kg de TNT, a explosé en vol. Cela a provoqué l'éclatement de l'avion dans l'air, ce qui explique la dispersion d'importants morceaux du fuselage de l'avion", a déclaré Alexander Bortnikov.

"Nous devons nous y atteler sans délai de prescription, les connaître par leur nom. Nous allons les rechercher partout, où qu’ils se cachent. Nous les trouverons à n’importe quel endroit de la planète, et nous les punirons ", a répondu le président russe.

Vladimir Poutine a chargé les services spéciaux russes de se focaliser sur la recherche des responsables de l’attentat. En outre, la Russie a annoncé l'octroi de 50 millions de dollars pour toute information sur l’attentat ayant causé le crash de l'A321.

Un Airbus-321 de la compagnie aérienne russe Metrojet (connue également sous le nom de Kogalymavia) s'est écrasé dans le Sinaï samedi 31 octobre peu après le décollage de l'aéroport de Charm el-Cheikh (Egypte).

Aucun des 224 passagers se trouvant à bord de l'avion n'a survécu.

Il s'agit de la catastrophe la plus grave dans l'histoire de l'aviation russe et soviétique.

 

Communiqué de presse officiel du Syndicat de la magistrature, sur l'état d'urgence.

Enfin les juges s'expriment sur l'état d'urgence !

Communiqué de presse du Syndicat de la magistrature

Communiqués de presse, publié le 16 novembre 2015, mis à jour le 16 novembre 2015

Communiqué officiel de la magistrature sur l'Etat d'urgence

Vendredi soir, des attentats meurtriers ont touché la France en plein cœur, faisant plus de cent vingt morts et plusieurs centaines de blessés dans une salle de concert, des bars ou dans la rue.

Le Syndicat de la magistrature apporte son entier soutien et exprime toute sa solidarité aux victimes et à leurs proches, ainsi qu’aux nombreux professionnels mobilisés, chacun dans leur domaine, après ces attentats.

Ces actes criminels d’une brutalité absolue appellent évidemment la réunion de moyens d’envergure pour en rechercher et punir les auteurs et, autant qu’il est possible, anticiper et prévenir leur commission.

Mais les mesures tant judiciaires qu’administratives qui seront prises ne feront qu’ajouter le mal au mal si elles s’écartent de nos principes démocratiques. C’est pourquoi le discours martial repris par l’exécutif et sa déclinaison juridique dans l’état d’urgence, décrété sur la base de la loi du 3 avril 1955, ne peuvent qu’inquiéter.

L’état d’urgence modifie dangereusement la nature et l’étendue des pouvoirs de police des autorités administratives. Des interdictions et des restrictions aux libertés individuelles et collectives habituellement encadrées, examinées et justifiées une à une deviennent possibles par principe, sans autre motivation que celle, générale, de l’état d’urgence. Des perquisitions peuvent être ordonnées par l’autorité préfectorale, sans établir de lien avec une infraction pénale et sans contrôle de l’autorité judiciaire, qui en sera seulement informée. Il en va de même des assignations à résidence décidées dans ce cadre flou du risque de trouble à l’ordre public. Quant au contrôle du juge administratif, il est réduit à peau de chagrin.

La France a tout à perdre à cette suspension – même temporaire - de l’Etat de droit.

Lutter contre le terrorisme, c’est d’abord protéger nos libertés et nos institutions démocratiques en refusant de céder à la peur et à la spirale guerrière. Et rappeler que l’Etat de droit n’est pas l’Etat impuissant.