Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/10/2014

Brésil : Dilma réélue, le Parti des Travailleurs confirmé !

Bravo ! Les BRICS ont donc pour l'instant la vie longue !

SOROS et la CIA battus par le peuple !

Dilma réélue, le Parti des Travailleurs confirmé !

Le Brésil est dans une mauvaise passe, avec une croissance écroulée, et une ambiance plombée par la corruption, (SOROS et la CIA), mais pour qui ne connait pas plus que ça la vie brésilienne, il faut croire que Dilma Rousseff et Lula ont vraiment transformé le pays, et marqué la vie des gens, car c’est un quatrième mandat de suite pour le Parti des Travailleurs, au pouvoir depuis 2003 ! Gouverner est partout aussi difficile, et franchement, cette longévité dans cet immense pays de 200 millions d’habitants,… faut le faire. Parlez-en un peu à votre Monsieur 3%…

bresil-3

Le score est net, à 51,52% contre 48,48%, avec près de 20% de votes blancs, le scrutin étant obligatoire au Brésil. Pour l’opposant Aecio Neves, le chiffre est bon, surtout dans le Sud-Est, plus aisé, et qui avait le principal lieu du grand mouvement de protestation de juin 2013. Mais attention, cette base n’est pas si solide, car Aecio Neves a bénéficié au second tour du soutien inattendu de Marina Silva, l’écologiste. Les partis vont reprendre leur indépendance, et le Parti des Travailleurs reste donc nettement leader.

Marina Silva avait été en tête dans les sondages, avant de s’écrouler. Elle apportait la nouveauté attenue, mais le fait qu’elle soit évangéliste est apparu comme un obstacle, décisif. Aecio Neves est alors devenu le favori, et il a fallu que Dimla Rousseff et la machine du Parti des Travailleurs assurent une fin de campagne d’anthologie pour gagner cette présidentielle. Le résultat était loin d’être acquis, avec comme chiffres au premier tour : Dilma Rousseff à 41,6 %, Neves 33,6 %, et Da Silva 21,3. L’électorat de Da Silva s’est partagé de manière égale.

Dimla, que l’on admire tous pour son parcours, va avoir fort à faire, avec trois défis.

Le premier est politique, avec un pays qui ressort divisé. Le Nordeste et le Nord du pays, démunis, accordent plus de 70 % des voix à Dimla Rousseff, alors qu’au Sud-Est, plus riche, autour de Sao Paulo, Aécio Neves est souvent au-dessus de 60%.

Le second est économique. En quatre ans, la croissance s’est écroulée, passant de 7% par an à zéro, et la récession menace. L’inflation revient, et il sera difficile de ne pas réorienter le cours actuel de la politique, très social.

Enfin, la grande affaire qui empoisonne le climat est la corruption, avec beaucoup trop de trafics autour du Parti des Travailleurs, et beaucoup d’informations laissant entendre que Dimla était au courant. Les juges, bien enhardis, vont vite avancer… ce qui aidera peut-être aussi à renouveler le Parti des Travailleurs !

En attendant, bravo Dimla, grande dame de la politique.

Dilma19702

Les juges se planquent quand il faut juger la jeune militante, soumise à l’isolement et la torture

 

 

10:09 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

26/10/2014

La Russie appelle à lutter contre le néonazisme en Europe

Et la Russie ne se trompe pas quand elle appelle à lutter contre le néonasizme en Europe et dans le monde !

La Russie appelle à lutter contre le néonazisme en Europe

Partisan du mouvement radical ukrainien Secteur droit
16:55 25/10/2014

KIRKENES, 25 octobre - RIA Novosti

La Russie est persuadée que la communauté mondiale doit tout faire pour éviter l'apparition de néonazis en Europe, y compris en Ukraine, a déclaré samedi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, en visite en Norvège.

 

"Nous jugeons nécessaire d'évoquer le problème de la renaissance des tendances néonazies en Europe, y compris en Ukraine, à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du nord de la Norvège des nazis (...). Nous sommes persuadés qu'il faut tout faire pour éviter l'apparition de nouveaux Bandera, Choukhevitch et Quisling" (collaborationnistes pendant la Seconde guerre mondiale-ndlr.), a indiqué M.Lavrov lors d'une rencontre avec les anciens combattants russes et norvégiens.

 

Le ministre russe a déposé samedi une gerbe devant un monument au Soldat-libérateur soviétique à Kirkenes. Il a remercié les Norvégiens pour l'ambiance de fête qu'ils ont créée à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du nord de la Norvège des occupants nazis par l'Armée rouge.

 

 

Stepan Bandera (1909-1959), dirigeant de l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), a été l'un des fondateurs de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA) en Ukraine occidentale. Il a participé à la création de la Légion ukrainienne sous commandement de la Wehrmacht.

Roman Shoukhevitch (1907-1950) est l'un des dirigeants des nationalistes ukrainiens. En 1941, il a participé à des opérations punitives sur les territoires occupés de l'Ukraine. Devenu commandant en chef de l'UPA en 1943, il a dirigé les actions militaires contre les troupes soviétiques en Ukraine. 

Vidkun Quisling (1887-1945) est un collaborationniste et national-socialiste norvégien, ministre-président de la Norvège de 1942 à 1945.

Sur le même sujet

 

 

Documentaire complet: A Qui Profite Le Printemps Arabe ?

Au Qatar et à l'Arabie Saoudite qui veulent imposer l'Islam radical, ainsi qu'à tous leurs alliés, dont la France qui passe son temps à leur vendre la France et à les laisser s'occuper des banlieues.

Avec ça, la France leur déroule le tapis rouge, tandis qu'elle passe son temps à faire monter la phobie Islamiste. Est-ce que tous les musulmans sont des extrémistes islamistes ou sont-ils les victimes de tous ces radicaux ?

Les relations de la France avec le Qatar et l'Arabie Saoudite :

L'Expansion.com, publié le 31/05/2011 à 12:27

Publié le 10-10-2012 à 11h13 - Modifié le 09-10-2012 à 16h17

 

Documentaire complet: A Qui Profite Le Printemps Arabe ?


25/10/2014

Discours de Poutine à Sotchi : l'un des plus importants selon le Financial Times

Discours de Poutine à Sotchi : l'un des plus importants selon le Financial Times

Discours de Poutine à Sotchi : l'un des plus importants selon le Financial Times

Par La Voix de la Russie | Le président russe Vladimir Poutine s’est exprimé vendredi le 24 octobre avec son discours « le plus anti-américain » au cours des 15 ans au pouvoir, écrit le journal Financial Times.

Le journal le qualifie d'une des déclarations les plus importantes de Poutine dans toute sa carrière politique, à côté du discours du président russe à Munich en 2007. Cette année-là, le dirigeant russe a accusé les Etats-Unis de violer leurs frontières dans de nombreux secteurs, ainsi que de création de nouvelles lignes de démarcation en Europe.

Selon les analystes politiques, une telle critique envers les Etats-Unis est liée à un discours du président américain Barack Obama lors d'une réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies, dans lequel il a qualifié le danger émanant de la Russie de deuxième plus grand après l'Ebola.

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

Et pendant que l'Europe attend les ordres des Banksters Nazis pour fermer les banques en Europe en cas de panique, la Russie et la Chine ont déjà pris leurs précautions pour ne pas être les victimes de l'effondrement du dollar ou économique !

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

  •   vendredi, 24 octobre 2014 16:36

(Agence Ecofin) - La Chine et vingt autres pays ont signé, le 24 octobre, un protocole d’accord visant à créer une banque régionale spécialisée dans le financement des infrastructures, et conçue comme une alternative à la Banque mondiale.

L’Inde, Singapour, le Kazakhstan, Pakistan, le Vietnam et le Qatar figurent parmi les  21 pays signataires de l’accord. Le Japon n’a pas signé cet accord en raison de la rivalité avérée entre Pékin et au Tokyo sur les plans militaire, économique et politique.  

A noter également que l’'Australie, l'Indonésie et la Corée du Sud n’étaient pas représentées à cette cérémonie.

La  «Banque asiatique d’investissements dans les infrastructures» (AIIB) sera dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin, selon les médias officiels chinois.

Les financements devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon des sources citées par le Financial Times. «En chinois, nous avons un vieux proverbe qui dit: si vous voulez devenir riche, construisez d’abord des routes ; je crois que cela décrit de façon concrète l’importance des infrastructures pour le développement économique», a déclaré à cette occasion le président chinois Xi Jinping.

L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux.

Les puissances émergentes des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient créé en juillet leur propre banque et un fonds de réserves, affichant ouvertement leur désir d’élaborer une architecture financière distincte d’organisations jugées aux mains des pays occidentaux.

Lire aussi

27/06/2014 - La Chine veut créer à tout prix une institution rivale de la Banque mondiale