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16/08/2014

La Russie et la Chine évinceront le dollar en menant les transactions en monnaies nationales

La mort du dollar et de la FED des banksters, se précise entre la Russie et la Chine !

Fin du monopole du dollar pour très bientôt !!

Aujourd'hui, 13:46

La Russie et la Chine évinceront le dollar en menant les transactions en monnaies nationales

La Russie et la Chine évinceront le dollar en menant les transactions en monnaies nationales

Par La Voix de la Russie | Moscou et Pékin facilitent les relations commerciales mutuelles sur le fond des sanctions économiques. La Banque centrale de Russie et la Banque populaire de Chine se sont mises d’accord sur l’organisation des échanges financiers (des swaps) en roubles et en yuans. Il s’agit des transactions qui prévoient simultanément l’achat et la vente d’une monnaie en échange de la monnaie d’un autre pays.

Le projet d'accord sur les swaps a enfin été coordonné par les gouvernements des deux pays. Cependant la Banque centrale de Russie et la Banque populaire de la RPC n’ont fait aucun commentaire sur le volume éventuel des swaps en monnaies nationales. Et elles n’ont pas donné la date du lancement de ce programme. Pourtant, ce qui est évident, c’est que les deux pays vont faire tout leur possible pour ne pas s’entraîner dans des procédures formelles trop longues avant la signature de l’accord. Car les régulateurs ont déjà donné leur feu vert, ce qui permettra aux sociétés russes d’avoir l’accès au renminbi (yuan chinois). Quant à leurs partenaires chinois, ils auront également un accès direct au rouble russe.

Cet accord entre les régulateurs russe et chinois est également un signal pour les Etats-Unis, qui montre que la Russie et la Chine construisent un nouveau modèle de collaboration sur le fond des sanctions, et ce modèle leur permettra de se passer du dollar américain.

« Le renforcement de la pression de la part des pays occidentaux sur la Russie suscite naturellement l’élargissement des relations financières et commerciales de Moscou avec d’autres pays, et en premier lieu avec les pays d’Asie », analyse Sergueï Khestanov, administrateur délégué du groupe de société Alor. « Un accord pour une durée de 30 ans sur la livraison du gaz russe en Chine a été conclu en mai dernier. Et après la signature de ce contrat, il est devenu évident que le vecteur des intérêts économiques de la Russie est en train de se déplacer progressivement des pays occidentaux vers les pays orientaux. Cela ne peut ne pas déplaire aux pays occidentaux ».

Les sanctions des pays occidentaux contre la Russie avec sa position sur l’Ukraine ont déjà fait remonter le pouvoir financier du yuan chinois auprès des sociétés russes, alors que la monnaie chinoise bénéficiait d’une grande confiance sur le marché financier. En juillet, le volume des transactions « yuan-rouble » a fait un bond de 52% comparé au mois de juin. Et le 31 juillet dernier le binôme yuan-rouble a montré le meilleur résultat de toute son histoire des cotations à la Bourse de Moscou. Selon le chercheur de l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales (IMEMO) de l’Académie des sciences de Russie Alexandre Salitski, cette tendance ne fera que s’atténuer à l’avenir.

« Nous allons devenir de plus en plus dépendants de la Chine », explique-t-il. « Il s'agit d'une tendance objective dans le développement de l'économie mondiale. La Chine est déjà une grande nation commerciale. Et la part des marchandises que nous allons acheter en Chine va inévitablement augmenter. En conséquence, notre part dans l'exportation des marchandises vers la Chine va augmenter aussi, notamment grâce aux contrats sur les hydrocarbures que nous avons signés. Il est donc important de prévoir que nos sociétés du complexe pétrolier et gazier puissent accepter les yuans pour les transactions commerciales réalisées avec la RPC. Peut-être que l'un des moyens d'accroître leur intérêt pour ce genre de transactions pourrait être la présence croissante de nos sociétés sur le marché intérieur chinois. Cela permettra d'accroître considérablement le volume des transactions en yuans et en roubles, faisant sortir de la circulation le dollar dans ce secteur d’économie ».

Les experts soulignent que pour les États-Unis, les événements en Ukraine ne sont qu’un prétexte pour imposer les sanctions sur les livraisons de l’équipement gazier et pétrolier vers la Russie. Leur objectif – c’est de redessiner la carte mondiale de l'énergie, où la Russie joue actuellement un rôle dominant. Mais Moscou peut répondre à ces sanctions en évinçant progressivement le dollar de ses transactions avec les hydrocarbures. Le règlement des ventes du gaz et de pétrole en monnaies nationales avec la Chine, l'Inde, l'Iran, la Turquie, et en roubles et euros avec l'Union européenne, priverait les Etats-Unis de ce levier monétaire qui leur permettait jusqu’à présent de faire pression sur la Russie. Et ce nouvel accord créera une nouvelle marge de manœuvre permettant de se débarrasser de l'hégémonie du dollar dans le monde.


Source :  http://french.ruvr.ru/2014_08_16/La-Russie-et-la-Chine-ev...

 

15/08/2014

Les Indiens d’Amérique soutiennent Gaza

Encore un génocide des Indiens perpétré par les Francs-maçons sionistes !

Les Indiens d’Amérique soutiennent Gaza

dimanche 10 août 2014 - 22h:11

Mike Ahnigilahi

 

On compare souvent la dramatique histoire du peuple palestinien à celle des Indiens d’Amérique. Tony Gonzales du Mouvement des Indiens d’Amérique (AIM), a dit à San Francisco, que “du fait d’une histoire commune de bantoustans (homelands) – les réserves indiennes versus les territoires palestiniens encerclés – les Indiens d’Amérique comprenaient parfaitement la situation des Palestiniens.”

Les Amérindiens sont loin d’être d’accord sur tout en politique, mais ils sont de plus en plus nombreux à ressentir de l’empathie pour le peuple palestinien et à établir un parallèle troublant entre ce qui est arrivé aux peuples natifs d’Amérique du Nord et aux Palestiniens du Levant.

L’association des études des peuples indigènes américains s’est rendue célèbre en décembre 2013 pour avoir été un des trois groupes académiques d’Amérique du Nord a soutenir la campagne palestinienne pour un boycott académique et culturel d’Israël.

En janvier 2013, le Jerusalem Post a publié un article intitulé : “Les Amérindiens se retournent-ils contre Israël ?” L’article se centrait sur une anecdote : Joy Harjo, la diva poétesse et musicienne appartenant à la nation Muscogee Creek, avait suscité une “tempête de protestation en annonçant sur Facebook qu’elle partait se produire en Israël.”

Mais l’article qui explique le mieux l’ampleur de l’opposition, dans sa communauté d’origine comme dans d’autres, à son soutien à l’état d’Israël et à la politique de ce pays envers le peuple palestinien est celui de Gyasi Ross*, intitulé “Pourquoi moi, un Amérindien, je soutiens le peuple palestinien." Voilà ce qu’il écrit :

"En tant que membre du peuple autochtone de ce pays, je suis arrivé à la conclusion que je dois soutenir les Palestiniens et leur lutte pour un état palestinien autonome.

"Même si beaucoup pensent que ce qui relie les Indiens américains et les Palestiniens est le fait d’être des "peuples autochtones déplacés," ce n’est pas la raison pour laquelle je me sens proche des Palestiniens.

"Ce qui suscite chez moi un sentiment de fraternité pour mes frères et soeurs de Gaza et de Cisjordanie, c’est un sentiment beaucoup plus primaire et viscéral : la peur ; une peur qui vient de la prise de conscience que ce qui arrive à un groupe d’opprimés va inévitablement arriver à d’autres.

"Les peuples indigènes, comme d’autres groupes opprimés dans le monde sans distinction de race ou de religion, ont grandement intérêt à tirer les leçons des atrocités génocidaires commises par le gouvernement d’Amérique du Nord contre les peuples natifs d’Amérique. Tous ceux qui défendent l’humanité doivent aussi oeuvrer à empêcher ces mêmes atrocités de se reproduire ailleurs, à une autre époque, contre d’autres peuples — et dans le cas présent contre les Palestiniens.

"Les Palestiniens, comme les Amérindiens sont prisonniers sur leur propre terre. Eux non plus n’ont nulle part où aller, personne ne veut les accueillir. Le Liban, la Syrie et l’Egypte se sont tous montrés insensibles aux épreuves des Palestiniens et ils les ont utilisé comme des pions contre Israël.

"Les Palestiniens, comme les Amérindiens, n’ont d’autre alternative que de continuer à être une épine dans le pied de ces gouvernements à la fois apathiques et oppressifs qui sont arrivés au pouvoir par tous les moyens."

Les militants pour la paix amérindiens participent de plus en plus aux manifestations contre la guerre à Gaza et leur influence grandit. De plus en plus d’Amérindiens se reconnaissent dans ces paroles de Ross.

Note :

* Célèbre avocat, cinéaste et écrivain amérindien

 

9 août 2014 - CounterCurrents - Vous pouvez consulter cet article à :
http://countercurrentnews.com/2014/08/native-american-ind...
Traduction : Info-Palestine.eu - Dominique Muselet

 
   

Sanctions contre la Russie : l’Amérique du Sud renvoie l’UE dans les cordes

Et Bing !

Quand ce ne sont pas les sionazistes des USA qui menacent les pays souverains, ce sont ceux de l'UE et de l'Angleterre qui s'en chargent !

Excellente réponse de l'Amérique du Sud à l'UE !

Allez jouer dans la cour maternelle ! Nous, nous jouons avec les grands !

 

Sanctions contre la Russie : l’Amérique du Sud renvoie l’UE dans les cordes

La rédaction
jeudi 14 août 2014
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Le 9 décembre 2007, à Buenos Aires, les présidents Néstor Kirchner d’Argentine, Luiz Inácio Lula da Silva du Brésil, Evo Morales de Bolívie, Rafael Correa d’Équateur, Nicanor Duarte du Paraguay et Hugo Chávez pour le Venezuela signaient un accord officiel pour la création de la Banque du Sud, prélude à l’offensive des BRICS.
Crédit : Wikipedia Commons

A l’heure où l’Europe préfère couler avec les politiques économiques et militaires de l’Empire moribond anglo-américain, plutôt que de rejoindre le camp du monde libre des BRICS, l’Amérique du Sud vient lui donner quelques leçons utiles de républicanisme.

Sous pression de l’UE pour ne pas remplacer les exportations vers la Russie tombant sous le coup des sanctions décrétées par l’Angleterre et les États-Unis, ou des contre-sanctions prises par Vladimir Poutine, le président équatorien Rafael Correa a répondu sèchement :

Nous n’avons besoin de la permission de personne pour vendre nos produits à des pays amis. Pour autant que nous sachions, l’Amérique ibérique n’est pas membre de l’Union européenne !

Quant à l’Argentine, que des fonds vautours soutenus par les États-Unis tentent de précipiter dans la faillite, elle n’a pas hésité à venir en aide à la Russie, visée par les mêmes forces. Une mission commerciale argentine de haut niveau est attendue à Moscou le 19 août pour négocier des accords.

Car, comme l’a déclaré la présidente du pays, Cristina Fernandez de Kirchner, lors d’un discours prononcé le 23 juillet :

Il y a des acteurs nouveaux qui ne veulent pas vous écraser, mais au contraire coopérer avec vous pour voir si, ensemble, on peut redémarrer cette énorme voiture qu’est le monde aujourd’hui.

Le 10 août, la chaîne de télévision publique russe Rossiya-1 a diffusé un programme enthousiasmant de 7 minutes sur la nouvelle coopération russo-argentine, qui s’est mise en route grâce à l’attaque ignoble des fonds vautours. Elle est axée sur les domaines de l’abondance alimentaire, les progrès dans l’agriculture et dans la science.

Selon ce programme, plusieurs pays sud-américains, dont le Chili, l’Équateur, l’Uruguay, le Brésil et l’Argentine, se sont déjà portés candidats pour remplacer les « fournisseurs occidentaux politisés » afin de garantir un approvisionnement stable à la Russie. Ainsi, par exemple, l’avion de ligne brésilien moyen porteur Embraer pourra remplacer les Boeings loués par la compagnie low cost russe Dobrolet, sanctionnée par les États-Unis car elle assure en exclusivité le vol Moscou-Simféropol.

L’Argentine remplacera, bien entendu, les exportations de produits alimentaires qui pourraient manquer à la Russie. A commencer par la viande de bœuf – « la meilleure du monde », qui pourrait devenir le premier produit exporté vers la Russie, avec en plus quelques « cuisiniers » argentins pour garantir la qualité de la cuisson ! Déjà en 2013, les projets ont démarré pour assurer l’exportation à grande échelle de viande bovine argentine vers la Russie.

« La liste des produits qui viendront dans nos marchés inclut presque tous ceux que l’UE, la Scandinavie et la Nouvelle-Zélande ont perdus. La Russie donnera le sourire à l’Argentine en important beurre, crème et lait en poudre. » Cette dernière exportera aussi des fruits : « des poires, dont les meilleures proviennent de Patagonie, des tomates de la province de Salta », patates, oignons, etc.

Outre le secteur agricole, où la Russie fournit depuis longtemps l’Argentine en engrais, la collaboration touche aussi aux domaines de la science et de la haute technologie. Ce n’est pas un hasard si la conclusion du programme de Rossiya-1 a été tournée à Tecnopolis, la nouvelle cité des sciences argentine, où sont désormais concentrées la R & D de l’Argentine pour son industrie pétrolière, ses bio et nanotechnologies et son programme spatial.

Lino Baranao, le ministre argentin de la Science, de la technologie et de l’innovation productive, y est interviewé :

Le monde développé veut réduire l’Argentine à un garde-manger et un réservoir de ressources naturelles. Nous sommes convaincus que cela ne peut apporter aucune amélioration dans la qualité de vie de notre population. C’est pourquoi nous songeons sérieusement à adopter des technologies qui peuvent ajouter de la valeur à nos produits d’exportation. Le partenariat avec la Russie est donc stratégique. Il nous permettra d’avoir un accès à des marchés tiers. Compte tenu du développement technologique de la Russie et de l’Argentine, ceci nous permettra de nous renforcer au niveau international.

02/08/2014

Sanctions Russie : Poutine a téléphoné à Obama. Les sanctions sont contreproductives !

Courageux et responsable de la part de Poutine de prendre l'initiative de téléphoner à Obama pour régler les comptes directement ! Notamment quand l'ONU a reconnu que la Russie n'était pas impliquée dans le conflit en Ukraine.

Surtout que si ces affaires ne se règlent pas, ce sont les Peuples Européens qui en paieraient les pots cassés grâce aux VRP qui siègent aux gouvernements et à l'UE, les caniches et les pions placés ou inféodés aux USSionistes 

L'article en anglais ci-dessous :

Vladimir Poutine

Les sanctions US contre Moscou sont contreproductives (Poutine/Obama)

Dossier: Sanctions contre la Russie

MOSCOU, 1er août - RIA Novosti

Les sanctions adoptées par Washington contre Moscou sont contreproductives, ont reconnu vendredi les présidents russe et américain, Vladimir Poutine et Barack Obama, lors d'un entretien téléphonique.

 

"Les présidents ont reconnu que la situation actuelle ne répond pas aux intérêts des deux Etats et échangé leurs vues sur les perspectives du dialogue russo-américain", a annoncé le service de presse du Kremlin.

 

"La discussion a porté sur plusieurs aspects des relations russo-américaines. M.Poutine a déclaré que la politique de l'escalade des sanctions de Washington était contreproductive et qu'elle portait un grave préjudice à la coopération bilatérale et à la stabilité internationale", lit-on dans le communiqué.

Sur le même sujet

 

Moscou revoit sa doctrine militaire

MOSCOU, 1er août - RIA Novosti/La Voix de la Russie

La Russie remaniera prochainement les fondements de la sécurité nationale de l'Etat, écrit vendredi 1er août le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

La loi sur la sécurité, la stratégie de la sécurité nationale russe d'ici 2020 et la Doctrine militaire seront complétées par la description de nouvelles menaces qui pourraient à court terme devenir pertinentes pour la sécurité du pays. Ces documents reflèteront également les mesures pour neutraliser ces menaces, a annoncé une source du Conseil de sécurité de la Russie.

La Russie met actuellement en œuvre les directives élaborées pour le gouvernement et d'autres structures publiques le 22 juillet lors de la réunion du Conseil de sécurité concernant la protection de la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Russie.

La source du Conseil de sécurité russe affirme que la réunion portait sur les menaces générales fondamentales, y compris nouvelles, pour la sécurité du pays. En parlant des nouveaux risques, elle a souligné qu'il pourrait s'agir de nouveaux défis à l'instar de ceux observés aujourd'hui en Ukraine où a été renversé le gouvernement de Viktor Ianoukovitch par un "chaos contrôlé". Il a été remplacé par un gouvernement convenable pour certaines puissances mondiales. Autrement dit, on a assisté tout simplement à un coup d'Etat provoqué et financé de l'extérieur.

Un tel scénario est-il envisageable en Russie? Quelle est la nature des nouvelles menaces pour son intégrité territoriale et sa souveraineté? D'où émanent-elles et comment les neutraliser?

Selon le général d'armée Iouri Balouevski, ancien commandant d'état-major interarmées, les nouvelles menaces pour la Russie ne sont pas purement militaire, bien qu'elles puissent significativement influer sur la sécurité militaire du pays.

Le général Balouevski fait remarquer qu'il existe un point commun dans les révolutions de couleur – une guerre médiatique totale était déployée contre les régimes indésirables accompagnée d'autres démarches politiques et économiques. L'expert explique un autre aspect associé aux menaces pour la Russie par des facteurs intérieurs: "L'Etat doit définir et planifier les mesures pour éviter que les événements comparables à ceux de la place Bolotnaïa se reproduisent".

Il doit être question de mesures politico-économiques. Bien évidemment, elles doivent être accompagnées par le renforcement des forces policières et militaires, estime le général.

En mai 2014, au cours d'une conférence internationale à Moscou, le chef d'état-major interarmées Valeri Guerassimov a constaté dans son rapport sur le rôle de la force militaire dans les conflits contemporains: "Aujourd'hui, sous prétexte de propagation des valeurs démocratiques on utilise généralement des moyens non militaires et on fait un usage adaptatif de la force militaire pour renverser les régimes indésirables. Le principal outil pour ce faire deviennent les révolutions de couleur qui, selon leurs initiateurs, doivent conduire au changement non violent du gouvernement".

Les moyens pour le prévenir ont été évoqués au niveau officiel dans des termes généraux et de manière quelque peu abstraite seulement à la réunion du Conseil de sécurité le 22 juillet. Les détails de ces mesures seront probablement mentionnés prochainement dans les documents sur la sécurité nationale, dont les projets sont en cours d'élaboration au Kremlin.

RIA Novosti
Lire la suite:
http://french.ruvr.ru/2014_08_01/Moscou-revoit-sa-doctrin...