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03/07/2014

Documents secrets sur le TTIP : privatisation des services publics au profit des multinationales

Et voilà comment les traîtres que nous avons eus et que nous au pouvoir, nous vendent, nous ruinent et nous mettent sous la tutelle des fossoyeurs de l'humanité, les banksters et leurs multinationales, grands promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !

Merci au traître de SARKOZY d'avoir trompé le peuple français et balayé d'un revers de main, le NON clair des français qui refusaient la Constitution Européenne et le traité Liberticide de Lisbonne et pour s'être assis sur le vote des Français en le faisant passer par la force ! 

Encore une preuve de l'occupation de la France et des pays européens par les fascites et les nazis !

 

Les Maîtres du Monde

 

DocumentDocuments secrets sur le TTIP : privatisation des services publics au profit des multinationales

 

Wikileaks publie de trois documents secrets sur la négociation du TTIP et du TISA entre l'Union Européenne et les Etats-Unis, et d'autres pays, accords négociés en secret. Il publie un nouveau texte confidentiel .

Il en ressort à travers ces documents une initiative orchestrée contre les services publics au profit des grandes entreprises multinationales à travers des concessions de 20 à 25 ans.

Tout nouveau service ou tout service issu de la division d'un ancien service public devra mis sur le marché. Ce délai de concession laisse la part belle à l'exploitation sans l'obligation d'investissement.

Le document confirme la privatisation des services publics et l'impossibilité de faire marche arrière. Comme l'Argentine a pu le faire en remettant la main sur certains secteurs stratégiques qui avaient été privatisés et dont la gestion -faute d'investissement notamment- s'est avérée calamiteuse.

Un groupe de pression est très actif sur le TISA et le TTIP US Coalition of Service Industries, faisant un lobby actif soutenu par les services financiers étasuniens

D'après Martín Cúneo pour Diagonal

Diagonal, Espagne, 25 Juin 2014.

Traduction et résumé : El Correo

http://fr.sott.net/article/22050-Documents-secrets-sur-le-TTIP-privatisation-des-services-publics-au-profit-des-multinationales

09/06/2014

L'Europe une fabrication nazie du 4ème REICH ? Walter HALLSTEIN, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne

Allez un peu d’histoire vraie au milieu du  maelström  de mensonges et de propagande médiatique qui nous sont perfusés au quotidien.

Walter HALLSTEIN, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne

Walter HALLSTEIN, un NAZI,
1er Président de la Commission  Européenne

http://www.youtube.com/watch?v=nwS0E1N1OCg

Qui gouverne la France et l'Europe ? - François ASSELINEAU ¼

 https://www.youtube.com/watch?v=bZZf703Ck3o

La suite :

Partie 2 : https://www.youtube.com/watch?v=SWKBp32IFmk&feature=y...

Partie 3 : https://www.youtube.com/watch?v=_MUBLRZahc0&feature=y...

Partie 4 : https://www.youtube.com/watch?v=90cbjV9IqC8&feature=y...

 

 

07/06/2014

Ukraine : élections truquées et les pions placés et choisis par BHL, les US/UE/Sionistes.

Un petit retour au 7 mars 2014 pour que nous puissions tous comprendre que les élections présidentielles en Ukraine étaient truquées et que les deux pions à placer par les US/UE/Sionistes étaient déjà choisis pour être placés l’un à la Présidence de la République Ukrainienne, pour ce qui concerne l’oligarque, Petro Porochenko et l’autre à la Mairie de Kiev pour ce qui concerne, le boxeur Vitali Klitschko, présentés tous deux à Hollande par BHL, à l’Elysée le 7 mars 2014 après le massacre perpétré par les nazis au Maïdan et le coup d’état organisé à l’encontre de Viktor Ianoukovitch, l’ancien président Ukrainien qui avait refusé de faire rentrer l’Ukraine dans l’Europe et compromettre les relations avec la Russie.

Ensuite ils viendront nous dire que ces élections organisées sur fond de crise et de crimes commis contre la population ukrainienne étaient régulières et voulues par le peuple Ukrainien et qu'il faudrait que Poutine reconnaisse la légitimité du nouveau VRP des Illuminati placé à la tête de l'Ukraine: Obama exhorte Poutine à reconnaître le nouveau président ukrainien.

Petits rappels : Coup d’état en Ukraine : cachons donc ces néo-nazis qu’USA, UE… et BHL ne sauraient voir !
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coup-d-etat-...

Ukraine: La CIA coordonne nazis et jihadistes par Thierry Meyssan

Vitali Klitschko, Petro Porochenko rencontre François Hollande à l’Elysée, le 7 mars 2014.

BHL, Vitali Klitschko, Petro Porochenko rencontre François Hollande à l’Elysée, le 7 mars 2014. Photo : Marc Roussel

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http://laregledujeu.org/2014/03/11/16300/hollande-rencont...

 

VIDÉO. À l'Élysée avec l'opposition ukrainienne et BHL

Que s'est-il dit dans le bureau présidentiel entre Hollande, BHL et les leaders de la révolte ukrainienne ? Réponse avec cette vidéo exceptionnelle.

François Hollande a reçu à l'Élysée Bernard Henri-Lévy en compagnie des Ukrainiens Petro Porochenko et Vitali Klitschko.

François Hollande a reçu à l'Élysée Bernard Henri-Lévy en compagnie des Ukrainiens Petro Porochenko et Vitali Klitschko. © DR

À quoi sert Bernard-Henri Lévy ? Quand on le voit grimper les marches du perron de l'Élysée vendredi 7 mars en compagnie de Vitali Klitschko, candidat à la présidence ukrainienne, et Petro Porochenko, lui aussi candidat et ancien ministre des Affaires étrangères de l'Ukraine ainsi que figure très atlantiste et pro-américaine de la révolution de la place Maïdan, médias et observateurs se posent des questions. Récupération ? Volonté de se faire de la pub ? De provoquer le buzz ? Pas du tout, il est l'homme sans qui cette rencontre n'aurait pas eu lieu. C'est à son initiative que les deux frères ennemis de la révolte ukrainienne sont venus à Paris. L'ancien boxeur en provenance de Dublin et l'ex-homme d'affaires venu de Kiev sont arrivés en milieu de journée au salon Signature de l'aéroport du Bourget. BHL leur a ensuite organisé une série de rencontres avec les hommes et des femmes qui comptent pour populariser leurs causes.

L'après-midi, des artistes, des patrons de presse et les candidates à la mairie de Paris Anne Hidalgo, Nathalie Kosciusko-Morizet et Marielle de Sarnez ont pu discuter au domicile de l'écrivain avec ces visages de l'opposition. Le soir, le cinéma Le Saint-Germain était archi-comble pour un grand meeting populaire. Entre-temps, François Hollande a reçu le trio. La rencontre a duré 1 h 30. Les Ukrainiens en sont sortis rassurés et heureux, avec le sentiment d'avoir - enfin - été écoutés et peut-être même entendus.

Comme avec le président bosniaque Alija Izetbegovic et François Mitterrand, comme avec les figures de l'opposition libyenne et Nicolas Sarkozy, BHL a joué le rôle de "diplomate pirate". Il est l'auteur du premier acte de la pièce. Les autres scènes appartiennent désormais à l'histoire...

Regardez les coulisses de la rencontre de François Hollande avec les chefs de file de la nouvelle Ukraine (images du journaliste Marc Roussel) :

 http://www.lepoint.fr/video/video-bhl-s-immisce-dans-la-crise-ukrainienne-10-03-2014-1799205_738.php

http://www.lepoint.fr/monde/video-a-l-elysee-avec-l-oppos...

 

Ukraine: le champion de boxe Vitali Klitschko élu maire de Kiev

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/25/97001-201405...

 

Ukraine: qui est Petro Porochenko, reçu avec Vitali Klitschko par François Hollande, et favori des sondages à l'élection présidentielle

http://www.huffingtonpost.fr/2014/03/07/ukraine-rencontre-petro-porochenko-vitali-klitschko-francois-hollande_n_4917139.html

Ukraine, Euromaïdan : couvrez ces extrémistes que je ne saurais voir

Voici ceux que couvrent les US/UE/Sionistes !

Euromaïdan : couvrez ces extrémistes que je ne saurais voir

|  Par Anthony MARANGHI Lorsque l’on aborde la question ukrainienne, l’appel au silence semble être de mise par décence pour les victimes de la révolte. Les journalistes ont été appelés à “se consacrer à des sujets plus familiers, plus simples et moins ambivalents” que le mouvement contestataire de la place Maïdan. Ceci afin de ne pas servir “une forme d’impérialisme ultra-national de souche russe” selon les mots d’un collectif de chercheurs ukrainiens.

Toute remise en question du nationalisme des acteurs du mouvement Euromaïdan et de leur ancrage dans le gouvernement provisoire d’Arsenii Yatseniuk annoncé sur la place de l’Indépendance de Kiev, le 26 février dernier, semble être prohibé. Oser le contraire nous assimile d’emblée au “réseau pro-russe” qui regrouperait aussi bien des journalistes de médias alternatifs de gauche américains comme Alec Luhn de The Nation, le sulfureux - car marxiste - Seumas Milne du Guardian, et le controversé Centre pour la Recherche sur la Mondialisation, connu notamment pour accueillir des conspirationnistes comme Thierry Meyssan, basé à Montréal (Nouvelles d’Ukraine, 5/02). Cette population bigarrée est accusée de discréditer le mouvement d’Euromaïdan en le présentant comme étant une manifestation d’extrême droite. Pendant ce temps, Bernard-Henri Lévy, le docteur honoris causa en mouvements nationalistes et ministre des Affaires étrangères bis de la France, clamait sur le plateau d’ITélé de Laurence Ferrari du 25 février dernier que Svoboda était “moins fasciste que le Front National”. Il ajoutait que le parti Svoboda était en “perte de vitesse” alors que l’on retrouvait le lendemain, lors de l’annonce de la composition du gouvernement provisoire,  un de ses membres, Oleksandr Sych, au poste de vice-premier ministre, soit le numéro 2 derrière Yatseniuk auquel il faut rajouter sept autres portefeuilles tenus par le même parti d’extrême droite.Qui se cachent derrières les manifestants d’Euromaïdan?Si on observe la composition sociale des manifestants de la place Maïdan, elle a évolué au cours des mois, passant d’une majorité de membres des classes moyennes pro-occidentales, partisans des partis d’opposition au régime de Ianoukovitch à des classes plus populaires, en réponse aux répressions policières (Article 11, 28/02). Si on pouvait retrouver parmi eux des agents de sécurité, des retraités, des instituteurs, des charpentiers, des vendeuses de supermarché, ou encore des gardiens de parking (Le Nouvel Observateur n°2573 du 27/02 au 5/03), on a surtout assisté à une instrumentalisation de la contestation par les partis. Un manifestant et syndicaliste de l’Union autonome des ouvriers d’Ukraine a dit avoir observé que c’était chez les classes moyennes et une partie de la jeunesse étudiante de la place Maïdan que les partis d’extrême droite nationalistes et racistes avaient recruté leurs activistes (avtonomia.net, 20/02). C’est ainsi que le parti Svoboda (“Liberté”) - et son chef Oleh Tyahnybok - a pu gagner une certaine importance au coeur de la contestation. Pour ce qui est de Dmytro Yarosh, leader du groupe paramilitaire Praviy Sektor (“Secteur droit”) - une bannière qui regroupe quatre groupuscules d’extrême droite “Tryzub" (“Trident”), "UNA-UNSO", “Patriotes de l'Ukraine” et "Billy Molot" - il a implanté son mouvement “national-socialiste” chez les travailleurs précaires et les chômeurs d’Ukraine occidentale. Yarosh a déjà reconnu son admiration pour Hitler et la discipline nazie, d’ailleurs il ne peut se passer de sbires armés même lorsqu’il se présente en costume-cravate pour déclarer sa candidature à la présidence ukrainienne (RFI, 9/03). Ces “fils embarrassants” de la place Maïdan (France Info, 10/03) sont dans les coulisses du pouvoir et se sont vus proposer les postes de vice premier ministre pour ce qui est du chef de Svoboda, Oleh Tyahnybok, et de vice-secrétaire du Conseil de sécurité national pour l’homme à la tête du parti néo-nazi Praviy Sektor, Dmytro Yarosh. Les deux hommes ont décliné ces offres, plaçant d’autres membres de leurs parti et groupuscule d’extrême droite au coeur du pouvoir en attendant mieux peut-être pour eux.Une révolte nationaliste encadrée par des extrémistesLe mouvement s’est limité au square baptisé Euromaïdan, il n’y a eu aucune mobilisation générale de la population et on a ignoré l’autre Ukraine “qui n’est pas montée sur les barricades” (Mediapart, 26/02). Celle qui peut être à la fois russophone et patriote comme l’ont clamé des étudiants de l’Université de Donetsk, dans la partie orientale du pays (Télérama, 22/03). En dehors des conversations, la vie en Ukraine a suivi son cours en dépit d’appels à la grève lancés par quelques organisations libérales de gauche. Seuls quelques étudiants ont tenté de lever des mouvements de grève dans quelques universités mais ils furent tous cassés par des milices d’extrême droite. Dans les premiers jours de la contestation, les partis de l’opposition n’ont pas su réagir et ont laissé au parti Svoboda et aux autres groupes nationalistes et racistes la mainmise sur le mouvement de la place Maïdan (Asheville FM Radio, 4/01). Comme le souligne Emmanuel Dreyfus, dans Le Monde diplomatique, Maïdan s’est rapidement métamorphosée, passant d’un rassemblement pro-européen à une révolte de tous bords contre le régime de Ianoukovitch mais également contre les partis d’opposition (Le Monde diplomatique, 03/2014). Les groupes extrémistes ont réussi à rapidement investir l’essentiel des activités pratiques et l’organisation de l’occupation de la place, en mettant en place des groupes paramilitaires, les Sotnia, dans le but de prendre en charge l’autodéfense de la place. On ne s’étonnera pas qu’il n’y ait pas eu de prises de décision collective au sein de ce mouvement dans lequel seules les questions nationalistes et politiques étaient ouvertes au débat. Les groupes paramilitaires sont restés sous la direction de chefs nationalistes de Svoboda qui excluaient toute autre milice qui serait “racialement impure”(Article 11, 28/02). Lorsque ces groupes ont pris la mairie et organisé un cordon devant l’entrée principale, ils n’ont pas voulu la rendre et se sont opposés à d’autres manifestants d’Euromaïdan. Pétro, qui se présente comme anarchiste, est désabusé : “Maintenant, on voit des gens de l’Euromaidan qui s’opposent à des gens de l’Euromaïdan. On n’a même plus besoin de la police pour s’affronter” (Libération 16/02). Après la fuite du président Ianoukovitch et de ses proches, le 23 février dernier, il n’a pas été étonnant de voir que ces derniers se sont également emparés des bâtiments officiels avec le soutien de la police de Kiev qui s’est rangée à leurs côtés.Un gouvernement en mal de démocrates et de casiers viergesSi l'instauration d'un gouvernement provisoire - comprenant 21 membres -  a été présentée comme une victoire démocratique, il célèbre également l'arrivée au pouvoir de toute une frange extrémiste (7 ministres apparentés à Svoboda) accolée à des leaders pro-européens, du parti de l’ancienne premier ministre Ioulia Tymochenko installée par l’OTAN, ayant déjà trempé dans des scandales de corruption et de collusion avec des oligarques.

Rajout du Pouvoir Mondial : Ukraine: 85 comptes bancaires de Timochenko découverts à Londres (médias)

Dossier: Procès contre l'ex-première ministre Ioulia Timochenko

 On retrouve des pro-européens - surtout atlantistes - au sein des Affaires étrangères avec notamment Boris Tarasiuk à l’intégration européenne, qui a été représentant de l’Ukraine à l’OTAN et fondateur de l’Institut pour la coopération euro-atlantique (IEAC). Aux finances, Oleksandr Shlapak, est un ancien ministre de l’intégration européenne, de l’économie sous la présidence de Leonid Kuchma (1994-2005) et ancien président du Trésor ukrainien. Il a également été à la tête d’un conglomérat de banques - dont PrivatBank, première banque d’investissement du pays - auprès de l’oligarque Kolomoïsky, principal actionnaire de Privat Group. Enfin, on retrouve à des postes stratégiques pas moins de sept membres de partis et groupuscules nationalistes et racistes.Commençons le tableau des nazillons avec un poste-clé et non des moindres, celui de second vice-premier ministre, occupé par Oleksandr Sych - auprès de Vitaliy Yarema - membre du parti Svoboda élu à la Rada, le Parlement ukrainien, en 2012 où il est connu pour son activisme anti-avortement. Outre le fait qu’il veuille faire une loi pour l’interdire même en cas de viol, Sych s’est aussi illustré pour son anti-communisme virulent via l’interdiction du Parti Communiste d’Ukraine au  sein de sa région d’Ivano-Frankisvk.Au coeur de la défense et des affaires intérieures, à la présidence du Conseil de sécurité nationale, on retrouve Andriy Parubiy, le fondateur du Parti national-social, ancêtre de Svoboda, en 1991 avec Oleh Tyahnybok. Il devait être épaulé de Dmytro Yarosh, leader du “Secteur Droit” qui a refusé la vice-présidence du même Conseil qui lui était proposée. Bien que Parubiy fût le “Commandant” des groupes paramilitaires de la place Maïdan, il se réclame aujourd’hui de l' “opposition modérée”. Il a décrété que le pays était “infiltré” par des saboteurs et des espions russes à de nombreux niveaux (Kyiv Post, 14/03). On retrouve à ses côtés un membre de Svoboda, au poste de ministre de la Défense, Ihor Tenyukh qui est amiral et ancien commandant en chef de l’armée navale ukrainienne (2006-2010). Lors du mouvement Euromaïdan, il a appelé les forces armées à commettre des actes illégaux (BBC News, 19/01).A un autre poste majeur, celui du Bureau du Procureur général, on retrouve un autre membre de Svoboda, Oleh Makhnitsky. Le procureur général dispose du pouvoir suprême sur le plan judiciaire, il supervise toutes les enquêtes judiciaires et peut inculper tout élu, ce qu’il a déjà fait en accusant de “criminel” Sergueï Aksionov, leader criméen pro-russe (Time, 10/03/2014).Pour ce qui est du ministère de la Politique agraire et de la nourriture, il a été confié à Ihor Shvaika, député du parti Svoboda élu à la Rada en 2012. «Il est l’un des hommes les plus riches du pays, en tant qu’oligarque de l’agroalimentaire cumulant le poste de ministre de l’agriculture. Vous avez dit conflits d’intérêts ? Le ministère de l'écologie et des ressources naturelles revient également à un membre du parti Svoboda, Andriy Mokhnyk. Il jouait le rôle d’envoyé spécial dans tous les partis extrémistes et fascistes européens comme en Italie où il a rencontré les leaders du parti ouvertement néo-fasciste Forza Nuovo l’an dernier. Au-delà de ne rien connaître à l’écologie, il est surtout reconnu pour être un farouche opposant aux énergies renouvelables, ce qui arrangera les multinationales du secteur énergétique traditionnel (gaz, électricité, pétrole,etc.).Au ministère de l'Education et de la science, Serhiy Kvit a fréquenté dans sa jeunesse diverses organisations néo-nazies, dont le “Trident” (Tryzub), mouvement d’extrême droite dont Praviy Sektor (“Secteur droit”) utilise le site Internet (Slate, 23/01). Il était à la tête de la prestigieuse université ukrainienne de Kyiv Mohyla depuis 2007 sans n’avoir jamais eu le soutien de la communauté étudiante qui préférait un autre ministre de l’Education (Kyiv Post, 27/02).Au ministère des Sports, Dmytro Bulatov était un des leaders de l’organisation de la place Maïdan, il est aussi connu pour ses liens étroits avec le groupe fasciste « Secteur Droit ». Son activisme durant la contestation lui a valu de recevoir un ministère. Parmi les héros du mouvement, on retrouve Tetiana Tchornovol, la responsable à la “personnalité explosive” de la communication du groupe nationaliste ukrainien UNA-UNSO se revendiquant du nazisme, qui à été nommée à la tête du Bureau anti-corruption. Le 27 février dernier, elle s’est vantée sur son blog d’être la “première” à être entrée dans le manoir de Mezhyhirya du président Ianoukovitch en fuite (Pravda.com/27/02). Sauf qu’elle omet de dire qu’elle y est entrée par effraction comme le note Katya Gorchinskaya (Kyiv Post, 27/02).Enfin, pour couronner le tout, plusieurs personnalités déjà accusées de corruption et de détournements de fonds ont été reconduites au pouvoir. Lyudmyla Denysova, ministre des Affaires sociales, poste qu’elle a déjà occupé sous Tymoshenko, n’est pas étrangère aux controverses. Une campagne non-gouvernementale pour la transparence, baptisée Chesno, a déclaré en 2012 la “haute probabilité” que Denysova ait été impliquée dans une affaire de népotisme, d’abus de pouvoir et de détournement de fonds de 60 millions de hryvnia (environ 4 600 000 euros) sans qu’aucune affaire judiciaire n’ait été ouverte. Arsen Avakov, ministre de l’Intérieur et ancien chef de campagne de Ianoukovitch, a été accusé de privatisation illégale de terres et d’abus de pouvoir et a fui en Italie après que le précédent gouvernement l’ait visé dans le cadre d’une enquête criminelle. Bien qu’en étant sur la liste des personnes recherchées par Interpol (Kyiv Post, 21/03/2012), cela ne l’empêche pas d’être l’un des membres les plus influents de l’Union panukrainienne “Patrie”, parti dirigé par Tymochenko, depuis la contestation.Il faudra attendre l’élection présidentielle du 25 mai, pour qu’il y ait un quelconque changement dans ce petit théâtre des horreurs dont on souhaite effacer les idées néo-nazies à travers la pseudo-respectabilité d’un gouvernement “révolutionnaire” à l’image de la mutation des extrêmes droites en Europe, comme nous le rappelle Jean-Yves Camus (Le Monde diplomatique, Mars 2014). Pourtant, comme l’ajoute Emmanuel Dreyfus (Le Monde diplomatique, mars 2014), on fait bien face à un “malaise identitaire” où le succès de Svoboda sur la place Maïdan comme au gouvernement s’est accompagné de celui de groupes néo-fascistes comme Praviy Sektor. Enfin, aucune élection législative n’a été prévue alors que la Rada est en décomposition et qu’elle est soumise à des groupes de pression extérieurs et aux influences extrémistes alors que le retour à la Constitution de 2004 lui restitue des pouvoirs importants face au président.

 http://blogs.mediapart.fr/blog/anthony-maranghi/150314/eu...

 

 

 

 

 

16/04/2014

Alerte désinformation des merdias occidentaux : UKRAINE. Des blindés arborant le drapeau russe circulent à Kra matorsk

Attention aux manipulations et à la propagande mensongère anti-russe des merdias occidentaux ! Pour avoir les vraies infos, suivez au moins ces deux sites de presse Russe.

La Voix de la Russie et Ria Novosti

 

Les merdias occidentaux aux ordres des criminels US/UE/Sionistes veulent provoquer la Russie et lui faire supporter la responsabilité de la soi-disant présence de son armée en Ukraine ! Surtout que Poutine participe à la réunion sur l'Ukraine prévue le 17 avril à Genève pour permettre de trouver une solution pacifique à la crise qui affecte ce pays. Et bien sûr, il faut croire sur parole le président par intérim de Kiev et ses acolytes néo-nazis, qui constituent un gouvernement provisoire insurrectionnel et illégitime !

Ukraine: Poutine et Merkel confiants avant la réunion de Genève

Il faut bien que les Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes organisent le chaos mondial en provoquant la Russie, la Chine, l’Iran, la Syrie et les pays qui résistent à l’Empire et qu’ils fassent le lit de la 3ème guerre mondiale qui leur permettra de trouver la solution au chaos mondial qu’ils auront créé de toutes pièces en nous instaurant leur Nouvel Ordre Mondial.

Surtout que la veille des attaques armées contre les Pro-russes à Kramatorsk, le directeur de la CIA s’était rendu secrètement à KIEV pour y rechercher des mercenaires US qui ont aidé l’armée régulière. Un hasard sans doute !


Ukraine: une visite du directeur de la CIA à Kiev, un fait accompli (parlementaire)

La Maison Blanche reconnaît que Brennan, le directeur de la CIA est allé "secrètement" à Kiev (Zero Hedge)

Ukraine/Kramatorsk : des mercenaires US aident l'armée régulière

Qu'ira faire Jo BIDEN à Kiev, mandaté par les USA ?

Ukraine : Washington dépêche Jo Biden à Kiev

La version des merdias occidentaux :

Est Ukraine: des blindés arborant le drapeau russe à Kramatorsk

EN DIRECT - Ukraine: la Russie accusée de construire un "nouveau mur de Berlin"

La tension est à son comble, dans l'Est de l'Ukraine, où des séparatistes pro-russes poursuivent leur offensive. Mercredi, des blindés arborant le drapeau russe ont été vus dans la ville de Kramatorsk.

 

US/Israël : La source de la désinformation, des mensonges et de la propagande anti-russe

John Kerry parle aux oreilles de votre journal

Et comme si cela ne suffisait pas d’avoir fait attaquer les protestataires contre le régime nazi en place à KIEV, après Kramatorsk, c’est maintenant Donetsk qui est en ligne de mire des nazis !

 Ukraine/Donetsk : l'armée prête à lancer une opération de nettoyage

Tout est fait pour déstabiliser et provoquer la Russie par tous les moyens. Maintenant on nous sort aussi l’Ossétie du Sud !

Ossétie du Sud: Moscou dénonce une provocation impliquant des Géorgiens

L’OTAN agresse la Russie. Un général français témoigne

Un député français évoque les objectifs américains en Ukraine

 


Les vraies versions ci-dessous :

Ukraine/Kramatorsk: des équipages de blindés rejoignent les protestataires

"La Russie menace d'envahir l'Europe": balivernes, selon Moscou

Ukraine : les militaires hissent le drapeau russe au-dessus de Slaviansk


Ukraine: Moscou suspend la remise du matériel de guerre à Kiev

9.200 ex-militaires ukrainiens ont rejoint l'armée russe (Défense)

 

Un bon point quand même, Pékin soutient Poutine dans la crise en Ukraine

Moscou apprécie le soutien de Pékin dans la crise ukrainienne

 

28/03/2014

Valls à Matignon : le dernier (mauvais) coup du PS, oui mais à condition qu'il y ait un attentat commis sous fausse bannière en France ?

Valls à Matignon ? Oui, mais il existerait une condition d’après le site de Islamic Intelligence !!!

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Pax talmudica: URGENT: 11 septembre nucléaire-chimique français: Hollande aurait affirmé au téléphone à sheytanyahu que Valls serait premier ministre mais qu'il fallait un  événement majeur pour que cela se produise, comprenez un false flag. Était-ce celui de Cannes ou un autre aura-t-il lieu dans les heures qui suivent??? La conversation téléphonique date de moins de 48 heures... Boeing malaisien MH 370: Une réplique de l'avion, utilisé également par la Malaysia Airlines par le pasée, est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...? Lire ici

 - Nazisme talmudique français: Valls à Matignon, Tel Aviv et l'AIPAC poussent au chaos et à la guerre civile: Le CRIF et Tel Aviv poussent, mais le plus suisse des ministres français risque d'être la cause de l'effondrement de l'état français. En tout cas la photo ci-dessous vous confirme que l'alliance FN-Valls-CRIF au pouvoir dirigée contre les Musulmans selon les plans du CRIF et de Tel Aviv. Valls a Matignon est la confirmation de l'état de guerre totale dans les rues de France, le plus suisse des ministres français aux multiples comptes bancaires en Suisse est-il vraiment capable de tenir tète aux réseaux Musulmans ou n'est-il que le pion de Cukierman dans le cadre du 11 septembre nucléaire-chimique français car a Paris, Alger et Rabat, le 'grand Israël' boit le calice jusqu'a la lie ?!

 

http://www.panamza.com/wp-content/uploads/2014/02/crif270214.jpg

Voila qui parle et qui vaut mieux que tous les mots... Le CRIF tient Valls et Aliot et au nom du 'grand Israël', le CRIF entraine la France dans une guerre civile totale, déclenchée par le.... FN

La suite : ICI


Valls à Matignon : le dernier (mauvais) coup du PS

Valls à Matignon en réponse à l’échec cuisant des municipales ? En tout cas, la pression monte  et cette hypothèse devient une quasi-certitude. « Je ne vois pas comment le président va faire pour ne pas nommer Valls, confie l’un de ses proches. On a encaissé une déroute sévère qui appelle une réponse. Il faut frapper fort, vite et mettre du lourd. Manuel est le mieux à même de faire ça. » A en croire son entourage politique, après le tour désastreux qu’a pris ce premier test électoral du quinquennat Hollande, le ministre de l’intérieur se présente comme l’homme de la situation. « Si la réponse, c’est un Ayrault III, ça ne le fait pas », tranche un conseiller. Nommer à Matignon celui qui est "éternellement attaché à Israël" et qui a fait de la lutte contre la dissidence une affaire personnelle, en dit long sur les (funestes) projets politiques du gouvernement socialiste…

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Diatribes contre les Roms, islamophobie revendiquée, allégeance à Israël, nouvelles lois antiterroriste et antivoile, encadrement des réseaux sociaux, censure d’État contre un humoriste, attaques contre la liberté d’expression, défense de son bilan sécuritaire (pourtant calamiteux), déclarations de guerre contre une ultra-gauche plus fantasmée que réelle…, Manuel Valls fait feu de tout bois. Derrière son ambition personnelle (accéder à la présidence de la République) et sa méthode (sur-occuper le terrain médiatique) se cache un projet d’envergure : achever de mettre la France aux normes économiques et sociales du mondialisme sur le plan intérieur, l’arrimer totalement au bloc atlantiste (USA-Israël) sur le plan extérieur. Projet bien peu "socialiste"… mais il est vrai que la gauche a depuis bien longtemps jeté aux oubliettes son combat pour la défense du monde du travail.

Né à Barcelone en 1962, naturalisé en 1982, à la fois Maire d’Evry et député de l’Essonne entre 2002 et 2012, Manuel Valls est rentré à 18 ans au PS où il milite dans le courant rocardien de la « deuxième gauche » libérale et antimarxiste. Également militant au syndicat UNEF-ID à cette période, il fait la connaissance d’Alain Bauer et de Stéphane Fouks avec lesquels il conservera des liens d’amitié politique et personnelle (il est notamment le parrain de l’un des enfants du premier) mais aussi maçonniques (Alain Bauer et Manuel Valls étaient franc-maçons et le premier deviendra même Grand maître du Grand Orient de France au début des années 2000). Ses convictions sont déjà bien peu « socialistes ». En 1985 il quitte la Ligue des Droits de l’Homme quand elle s’oppose à l’extradition des membres de l’ETA par le gouvernement socialiste français vers l’Espagne.

Partisan de la première heure d’une évolution droitière, «blairiste» ou «clintonienne», du PS, il se distingue par ses appels à la refondation de ce parti (et à son changement de nom) dans un rassemblement plus large incluant des hommes et des femmes comme Dominique de Villepin, François Bayrou ou Corinne Lepage. De fait, ses prises de position marquent une nette rupture par rapport à l’orthodoxie socialiste : à la fois économiquement libéral et politiquement autoritaire, il est par exemple hostile aux 35 heures qu’il souhaite « déverrouiller » ainsi qu’au projet de dépénalisation de cannabis proposé par Daniel Vaillant mais il est revanche favorable aux quotas d’immigration et à l’amendement instituant le délit d’outrage au drapeau tricolore et à l’hymne national, pour lequel il a voté en janvier 2003.

En dépit de son échec cuisant aux primaires socialistes (5 % des voix), le futur occupant de la place Beauvau a réussi «à se rendre indispensable» et à s’imposer dans l’entourage du Président à force de calculs et d’omniprésence médiatique. Sa quête incessante de popularité basée sur une communication soignée n’est pas exempte d’erreurs grossières : son acharnement médiatique contre Dieudonné lui fait perdre plusieurs points dans les sondages.

Serviteur zélé de l’oligarchie et du mondialisme (favorable au contrôle par la Commission européenne des budgets nationaux, il vote en février 2008 pour la réforme de la constitution permettant la ratification du traité de Lisbonne), son ambition politique est servie par son appartenance au club Le Siècle qui réunit les membres les plus puissants et influents de la classe dirigeante française, choisis par cooptation : politiciens de droite et de gauche, patrons des plus grandes entreprises françaises, journalistes de premier plan dans les médias qui "font l’opinion", auxquels s’ajoutent quelques universitaires.

Manuel Valls est un adepte du "Choc des civilisations" et il a choisi son camp : Israël et ses vassaux occidentaux. Pas une semaine ne se passe sans qu’il ne manifeste avec ferveur les liens qui l’unissent à l’État hébreu, comme dernièrement à l’occasion du rassemblement organisé par le CRIF en hommage aux victimes de Mohamed Mehra, dans lequel il assimile antisionisme et antisémitisme et traîne dans la boue ceux qui osent critiquer la politique de l’État hébreu. Ces prises de position font écho à ses nombreuses professions de foi en faveur d’Israël, notamment à celle prononcée sur Radio J en novembre 2012, au moment même où l’armée israélienne déployait l’opération Pilier de défense dans la bande de Gaza qui s’est soldée par des centaines de morts et des milliers de blessés, côté palestinien.

Interrogé en 2011 sur sa participation à une réunion du Groupe de Bilderberg deux ans plus tôt, il tente de minimiser le pouvoir de décision de ce réseau d’influence qui réunit pêle-mêle leaders de la politique, de l’économie, de la finance, des médias, des responsables de l’armée ou des services secrets. Défense classique, il accuse ses interlocuteurs – qui y voient le siège d’un gouvernement mondial occulte échappant à tout contrôle démocratique – de complotisme et même de négationnisme. Étrange raisonnement quand on sait que des décisions stratégiques essentielles y sont prises, après discussions secrètes à huis clos, engageant l’avenir économique, politique, social et démographique de la planète, et conditionnant ensuite la politique d’institutions comme le G8 ou les gouvernements nationaux. Comprenant que la domination se nourrit de l’ignorance des dominés, Manuel Valls cherche à éradiquer tout foyer de pensée critique. Internet étant un espace privilégié de l’expression d’opinions dissidentes mettant en cause le pouvoir des banques et de la finance internationale sur la société, il était logique que Manuel Valls s’attelle à y réduire la liberté de parole sous couvert de lutte contre "l’antisémitisme" en intensifiant la surveillance des réseaux sociaux. Plutôt inquiétant, quand on sait qu’il assimile critique de la finance mondialisée et antisémitisme …

Manuel Valls incarne à lui seul la soumission totale de la gauche à l’oligarchie financière mondialiste et sioniste et son renoncement définitif à défendre les intérêts du monde du travail. Son rejet de l’Islam, l’un des derniers remparts contre le Nouvel ordre mondial, son soutient sans faille à Israël, son autoritarisme face à la contestation dissidente montrent le vrai visage du PS : fort avec les faibles, faible avec les forts, et la vraie nature du gouvernement : un simple exécutant des basses œuvres de la finance internationale.

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