Ukraine : élections truquées et les pions placés et choisis par BHL, les US/UE/Sionistes. (07/06/2014)

Un petit retour au 7 mars 2014 pour que nous puissions tous comprendre que les élections présidentielles en Ukraine étaient truquées et que les deux pions à placer par les US/UE/Sionistes étaient déjà choisis pour être placés l’un à la Présidence de la République Ukrainienne, pour ce qui concerne l’oligarque, Petro Porochenko et l’autre à la Mairie de Kiev pour ce qui concerne, le boxeur Vitali Klitschko, présentés tous deux à Hollande par BHL, à l’Elysée le 7 mars 2014 après le massacre perpétré par les nazis au Maïdan et le coup d’état organisé à l’encontre de Viktor Ianoukovitch, l’ancien président Ukrainien qui avait refusé de faire rentrer l’Ukraine dans l’Europe et compromettre les relations avec la Russie.

Ensuite ils viendront nous dire que ces élections organisées sur fond de crise et de crimes commis contre la population ukrainienne étaient régulières et voulues par le peuple Ukrainien et qu'il faudrait que Poutine reconnaisse la légitimité du nouveau VRP des Illuminati placé à la tête de l'Ukraine: Obama exhorte Poutine à reconnaître le nouveau président ukrainien.

Petits rappels : Coup d’état en Ukraine : cachons donc ces néo-nazis qu’USA, UE… et BHL ne sauraient voir !
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coup-d-etat-...

Ukraine: La CIA coordonne nazis et jihadistes par Thierry Meyssan

Vitali Klitschko, Petro Porochenko rencontre François Hollande à l’Elysée, le 7 mars 2014.

BHL, Vitali Klitschko, Petro Porochenko rencontre François Hollande à l’Elysée, le 7 mars 2014. Photo : Marc Roussel

Klitschko-Hollande-Porochenko-BHL.jpg

http://laregledujeu.org/2014/03/11/16300/hollande-rencont...

 

VIDÉO. À l'Élysée avec l'opposition ukrainienne et BHL

Que s'est-il dit dans le bureau présidentiel entre Hollande, BHL et les leaders de la révolte ukrainienne ? Réponse avec cette vidéo exceptionnelle.

François Hollande a reçu à l'Élysée Bernard Henri-Lévy en compagnie des Ukrainiens Petro Porochenko et Vitali Klitschko.

François Hollande a reçu à l'Élysée Bernard Henri-Lévy en compagnie des Ukrainiens Petro Porochenko et Vitali Klitschko. © DR

À quoi sert Bernard-Henri Lévy ? Quand on le voit grimper les marches du perron de l'Élysée vendredi 7 mars en compagnie de Vitali Klitschko, candidat à la présidence ukrainienne, et Petro Porochenko, lui aussi candidat et ancien ministre des Affaires étrangères de l'Ukraine ainsi que figure très atlantiste et pro-américaine de la révolution de la place Maïdan, médias et observateurs se posent des questions. Récupération ? Volonté de se faire de la pub ? De provoquer le buzz ? Pas du tout, il est l'homme sans qui cette rencontre n'aurait pas eu lieu. C'est à son initiative que les deux frères ennemis de la révolte ukrainienne sont venus à Paris. L'ancien boxeur en provenance de Dublin et l'ex-homme d'affaires venu de Kiev sont arrivés en milieu de journée au salon Signature de l'aéroport du Bourget. BHL leur a ensuite organisé une série de rencontres avec les hommes et des femmes qui comptent pour populariser leurs causes.

L'après-midi, des artistes, des patrons de presse et les candidates à la mairie de Paris Anne Hidalgo, Nathalie Kosciusko-Morizet et Marielle de Sarnez ont pu discuter au domicile de l'écrivain avec ces visages de l'opposition. Le soir, le cinéma Le Saint-Germain était archi-comble pour un grand meeting populaire. Entre-temps, François Hollande a reçu le trio. La rencontre a duré 1 h 30. Les Ukrainiens en sont sortis rassurés et heureux, avec le sentiment d'avoir - enfin - été écoutés et peut-être même entendus.

Comme avec le président bosniaque Alija Izetbegovic et François Mitterrand, comme avec les figures de l'opposition libyenne et Nicolas Sarkozy, BHL a joué le rôle de "diplomate pirate". Il est l'auteur du premier acte de la pièce. Les autres scènes appartiennent désormais à l'histoire...

Regardez les coulisses de la rencontre de François Hollande avec les chefs de file de la nouvelle Ukraine (images du journaliste Marc Roussel) :

 http://www.lepoint.fr/video/video-bhl-s-immisce-dans-la-crise-ukrainienne-10-03-2014-1799205_738.php

http://www.lepoint.fr/monde/video-a-l-elysee-avec-l-oppos...

 

Ukraine: le champion de boxe Vitali Klitschko élu maire de Kiev

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/25/97001-201405...

 

Ukraine: qui est Petro Porochenko, reçu avec Vitali Klitschko par François Hollande, et favori des sondages à l'élection présidentielle

http://www.huffingtonpost.fr/2014/03/07/ukraine-rencontre-petro-porochenko-vitali-klitschko-francois-hollande_n_4917139.html

Ukraine, Euromaïdan : couvrez ces extrémistes que je ne saurais voir

Voici ceux que couvrent les US/UE/Sionistes !

Euromaïdan : couvrez ces extrémistes que je ne saurais voir

|  Par Anthony MARANGHI Lorsque l’on aborde la question ukrainienne, l’appel au silence semble être de mise par décence pour les victimes de la révolte. Les journalistes ont été appelés à “se consacrer à des sujets plus familiers, plus simples et moins ambivalents” que le mouvement contestataire de la place Maïdan. Ceci afin de ne pas servir “une forme d’impérialisme ultra-national de souche russe” selon les mots d’un collectif de chercheurs ukrainiens.

Toute remise en question du nationalisme des acteurs du mouvement Euromaïdan et de leur ancrage dans le gouvernement provisoire d’Arsenii Yatseniuk annoncé sur la place de l’Indépendance de Kiev, le 26 février dernier, semble être prohibé. Oser le contraire nous assimile d’emblée au “réseau pro-russe” qui regrouperait aussi bien des journalistes de médias alternatifs de gauche américains comme Alec Luhn de The Nation, le sulfureux - car marxiste - Seumas Milne du Guardian, et le controversé Centre pour la Recherche sur la Mondialisation, connu notamment pour accueillir des conspirationnistes comme Thierry Meyssan, basé à Montréal (Nouvelles d’Ukraine, 5/02). Cette population bigarrée est accusée de discréditer le mouvement d’Euromaïdan en le présentant comme étant une manifestation d’extrême droite. Pendant ce temps, Bernard-Henri Lévy, le docteur honoris causa en mouvements nationalistes et ministre des Affaires étrangères bis de la France, clamait sur le plateau d’ITélé de Laurence Ferrari du 25 février dernier que Svoboda était “moins fasciste que le Front National”. Il ajoutait que le parti Svoboda était en “perte de vitesse” alors que l’on retrouvait le lendemain, lors de l’annonce de la composition du gouvernement provisoire,  un de ses membres, Oleksandr Sych, au poste de vice-premier ministre, soit le numéro 2 derrière Yatseniuk auquel il faut rajouter sept autres portefeuilles tenus par le même parti d’extrême droite.Qui se cachent derrières les manifestants d’Euromaïdan?Si on observe la composition sociale des manifestants de la place Maïdan, elle a évolué au cours des mois, passant d’une majorité de membres des classes moyennes pro-occidentales, partisans des partis d’opposition au régime de Ianoukovitch à des classes plus populaires, en réponse aux répressions policières (Article 11, 28/02). Si on pouvait retrouver parmi eux des agents de sécurité, des retraités, des instituteurs, des charpentiers, des vendeuses de supermarché, ou encore des gardiens de parking (Le Nouvel Observateur n°2573 du 27/02 au 5/03), on a surtout assisté à une instrumentalisation de la contestation par les partis. Un manifestant et syndicaliste de l’Union autonome des ouvriers d’Ukraine a dit avoir observé que c’était chez les classes moyennes et une partie de la jeunesse étudiante de la place Maïdan que les partis d’extrême droite nationalistes et racistes avaient recruté leurs activistes (avtonomia.net, 20/02). C’est ainsi que le parti Svoboda (“Liberté”) - et son chef Oleh Tyahnybok - a pu gagner une certaine importance au coeur de la contestation. Pour ce qui est de Dmytro Yarosh, leader du groupe paramilitaire Praviy Sektor (“Secteur droit”) - une bannière qui regroupe quatre groupuscules d’extrême droite “Tryzub" (“Trident”), "UNA-UNSO", “Patriotes de l'Ukraine” et "Billy Molot" - il a implanté son mouvement “national-socialiste” chez les travailleurs précaires et les chômeurs d’Ukraine occidentale. Yarosh a déjà reconnu son admiration pour Hitler et la discipline nazie, d’ailleurs il ne peut se passer de sbires armés même lorsqu’il se présente en costume-cravate pour déclarer sa candidature à la présidence ukrainienne (RFI, 9/03). Ces “fils embarrassants” de la place Maïdan (France Info, 10/03) sont dans les coulisses du pouvoir et se sont vus proposer les postes de vice premier ministre pour ce qui est du chef de Svoboda, Oleh Tyahnybok, et de vice-secrétaire du Conseil de sécurité national pour l’homme à la tête du parti néo-nazi Praviy Sektor, Dmytro Yarosh. Les deux hommes ont décliné ces offres, plaçant d’autres membres de leurs parti et groupuscule d’extrême droite au coeur du pouvoir en attendant mieux peut-être pour eux.Une révolte nationaliste encadrée par des extrémistesLe mouvement s’est limité au square baptisé Euromaïdan, il n’y a eu aucune mobilisation générale de la population et on a ignoré l’autre Ukraine “qui n’est pas montée sur les barricades” (Mediapart, 26/02). Celle qui peut être à la fois russophone et patriote comme l’ont clamé des étudiants de l’Université de Donetsk, dans la partie orientale du pays (Télérama, 22/03). En dehors des conversations, la vie en Ukraine a suivi son cours en dépit d’appels à la grève lancés par quelques organisations libérales de gauche. Seuls quelques étudiants ont tenté de lever des mouvements de grève dans quelques universités mais ils furent tous cassés par des milices d’extrême droite. Dans les premiers jours de la contestation, les partis de l’opposition n’ont pas su réagir et ont laissé au parti Svoboda et aux autres groupes nationalistes et racistes la mainmise sur le mouvement de la place Maïdan (Asheville FM Radio, 4/01). Comme le souligne Emmanuel Dreyfus, dans Le Monde diplomatique, Maïdan s’est rapidement métamorphosée, passant d’un rassemblement pro-européen à une révolte de tous bords contre le régime de Ianoukovitch mais également contre les partis d’opposition (Le Monde diplomatique, 03/2014). Les groupes extrémistes ont réussi à rapidement investir l’essentiel des activités pratiques et l’organisation de l’occupation de la place, en mettant en place des groupes paramilitaires, les Sotnia, dans le but de prendre en charge l’autodéfense de la place. On ne s’étonnera pas qu’il n’y ait pas eu de prises de décision collective au sein de ce mouvement dans lequel seules les questions nationalistes et politiques étaient ouvertes au débat. Les groupes paramilitaires sont restés sous la direction de chefs nationalistes de Svoboda qui excluaient toute autre milice qui serait “racialement impure”(Article 11, 28/02). Lorsque ces groupes ont pris la mairie et organisé un cordon devant l’entrée principale, ils n’ont pas voulu la rendre et se sont opposés à d’autres manifestants d’Euromaïdan. Pétro, qui se présente comme anarchiste, est désabusé : “Maintenant, on voit des gens de l’Euromaidan qui s’opposent à des gens de l’Euromaïdan. On n’a même plus besoin de la police pour s’affronter” (Libération 16/02). Après la fuite du président Ianoukovitch et de ses proches, le 23 février dernier, il n’a pas été étonnant de voir que ces derniers se sont également emparés des bâtiments officiels avec le soutien de la police de Kiev qui s’est rangée à leurs côtés.Un gouvernement en mal de démocrates et de casiers viergesSi l'instauration d'un gouvernement provisoire - comprenant 21 membres -  a été présentée comme une victoire démocratique, il célèbre également l'arrivée au pouvoir de toute une frange extrémiste (7 ministres apparentés à Svoboda) accolée à des leaders pro-européens, du parti de l’ancienne premier ministre Ioulia Tymochenko installée par l’OTAN, ayant déjà trempé dans des scandales de corruption et de collusion avec des oligarques.

Rajout du Pouvoir Mondial : Ukraine: 85 comptes bancaires de Timochenko découverts à Londres (médias)

Dossier: Procès contre l'ex-première ministre Ioulia Timochenko

 On retrouve des pro-européens - surtout atlantistes - au sein des Affaires étrangères avec notamment Boris Tarasiuk à l’intégration européenne, qui a été représentant de l’Ukraine à l’OTAN et fondateur de l’Institut pour la coopération euro-atlantique (IEAC). Aux finances, Oleksandr Shlapak, est un ancien ministre de l’intégration européenne, de l’économie sous la présidence de Leonid Kuchma (1994-2005) et ancien président du Trésor ukrainien. Il a également été à la tête d’un conglomérat de banques - dont PrivatBank, première banque d’investissement du pays - auprès de l’oligarque Kolomoïsky, principal actionnaire de Privat Group. Enfin, on retrouve à des postes stratégiques pas moins de sept membres de partis et groupuscules nationalistes et racistes.Commençons le tableau des nazillons avec un poste-clé et non des moindres, celui de second vice-premier ministre, occupé par Oleksandr Sych - auprès de Vitaliy Yarema - membre du parti Svoboda élu à la Rada, le Parlement ukrainien, en 2012 où il est connu pour son activisme anti-avortement. Outre le fait qu’il veuille faire une loi pour l’interdire même en cas de viol, Sych s’est aussi illustré pour son anti-communisme virulent via l’interdiction du Parti Communiste d’Ukraine au  sein de sa région d’Ivano-Frankisvk.Au coeur de la défense et des affaires intérieures, à la présidence du Conseil de sécurité nationale, on retrouve Andriy Parubiy, le fondateur du Parti national-social, ancêtre de Svoboda, en 1991 avec Oleh Tyahnybok. Il devait être épaulé de Dmytro Yarosh, leader du “Secteur Droit” qui a refusé la vice-présidence du même Conseil qui lui était proposée. Bien que Parubiy fût le “Commandant” des groupes paramilitaires de la place Maïdan, il se réclame aujourd’hui de l' “opposition modérée”. Il a décrété que le pays était “infiltré” par des saboteurs et des espions russes à de nombreux niveaux (Kyiv Post, 14/03). On retrouve à ses côtés un membre de Svoboda, au poste de ministre de la Défense, Ihor Tenyukh qui est amiral et ancien commandant en chef de l’armée navale ukrainienne (2006-2010). Lors du mouvement Euromaïdan, il a appelé les forces armées à commettre des actes illégaux (BBC News, 19/01).A un autre poste majeur, celui du Bureau du Procureur général, on retrouve un autre membre de Svoboda, Oleh Makhnitsky. Le procureur général dispose du pouvoir suprême sur le plan judiciaire, il supervise toutes les enquêtes judiciaires et peut inculper tout élu, ce qu’il a déjà fait en accusant de “criminel” Sergueï Aksionov, leader criméen pro-russe (Time, 10/03/2014).Pour ce qui est du ministère de la Politique agraire et de la nourriture, il a été confié à Ihor Shvaika, député du parti Svoboda élu à la Rada en 2012. «Il est l’un des hommes les plus riches du pays, en tant qu’oligarque de l’agroalimentaire cumulant le poste de ministre de l’agriculture. Vous avez dit conflits d’intérêts ? Le ministère de l'écologie et des ressources naturelles revient également à un membre du parti Svoboda, Andriy Mokhnyk. Il jouait le rôle d’envoyé spécial dans tous les partis extrémistes et fascistes européens comme en Italie où il a rencontré les leaders du parti ouvertement néo-fasciste Forza Nuovo l’an dernier. Au-delà de ne rien connaître à l’écologie, il est surtout reconnu pour être un farouche opposant aux énergies renouvelables, ce qui arrangera les multinationales du secteur énergétique traditionnel (gaz, électricité, pétrole,etc.).Au ministère de l'Education et de la science, Serhiy Kvit a fréquenté dans sa jeunesse diverses organisations néo-nazies, dont le “Trident” (Tryzub), mouvement d’extrême droite dont Praviy Sektor (“Secteur droit”) utilise le site Internet (Slate, 23/01). Il était à la tête de la prestigieuse université ukrainienne de Kyiv Mohyla depuis 2007 sans n’avoir jamais eu le soutien de la communauté étudiante qui préférait un autre ministre de l’Education (Kyiv Post, 27/02).Au ministère des Sports, Dmytro Bulatov était un des leaders de l’organisation de la place Maïdan, il est aussi connu pour ses liens étroits avec le groupe fasciste « Secteur Droit ». Son activisme durant la contestation lui a valu de recevoir un ministère. Parmi les héros du mouvement, on retrouve Tetiana Tchornovol, la responsable à la “personnalité explosive” de la communication du groupe nationaliste ukrainien UNA-UNSO se revendiquant du nazisme, qui à été nommée à la tête du Bureau anti-corruption. Le 27 février dernier, elle s’est vantée sur son blog d’être la “première” à être entrée dans le manoir de Mezhyhirya du président Ianoukovitch en fuite (Pravda.com/27/02). Sauf qu’elle omet de dire qu’elle y est entrée par effraction comme le note Katya Gorchinskaya (Kyiv Post, 27/02).Enfin, pour couronner le tout, plusieurs personnalités déjà accusées de corruption et de détournements de fonds ont été reconduites au pouvoir. Lyudmyla Denysova, ministre des Affaires sociales, poste qu’elle a déjà occupé sous Tymoshenko, n’est pas étrangère aux controverses. Une campagne non-gouvernementale pour la transparence, baptisée Chesno, a déclaré en 2012 la “haute probabilité” que Denysova ait été impliquée dans une affaire de népotisme, d’abus de pouvoir et de détournement de fonds de 60 millions de hryvnia (environ 4 600 000 euros) sans qu’aucune affaire judiciaire n’ait été ouverte. Arsen Avakov, ministre de l’Intérieur et ancien chef de campagne de Ianoukovitch, a été accusé de privatisation illégale de terres et d’abus de pouvoir et a fui en Italie après que le précédent gouvernement l’ait visé dans le cadre d’une enquête criminelle. Bien qu’en étant sur la liste des personnes recherchées par Interpol (Kyiv Post, 21/03/2012), cela ne l’empêche pas d’être l’un des membres les plus influents de l’Union panukrainienne “Patrie”, parti dirigé par Tymochenko, depuis la contestation.Il faudra attendre l’élection présidentielle du 25 mai, pour qu’il y ait un quelconque changement dans ce petit théâtre des horreurs dont on souhaite effacer les idées néo-nazies à travers la pseudo-respectabilité d’un gouvernement “révolutionnaire” à l’image de la mutation des extrêmes droites en Europe, comme nous le rappelle Jean-Yves Camus (Le Monde diplomatique, Mars 2014). Pourtant, comme l’ajoute Emmanuel Dreyfus (Le Monde diplomatique, mars 2014), on fait bien face à un “malaise identitaire” où le succès de Svoboda sur la place Maïdan comme au gouvernement s’est accompagné de celui de groupes néo-fascistes comme Praviy Sektor. Enfin, aucune élection législative n’a été prévue alors que la Rada est en décomposition et qu’elle est soumise à des groupes de pression extérieurs et aux influences extrémistes alors que le retour à la Constitution de 2004 lui restitue des pouvoirs importants face au président.

 http://blogs.mediapart.fr/blog/anthony-maranghi/150314/eu...

 

 

 

 

 

10:11 | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |