Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/11/2009

Nibiru ou la planète X, n'existe pas ?

Depuis la projection du film 2012, sorti en salle le 11 novembre 2009, la Nasa s'évertue à nier l'existence de la planète Nibiru ou Planète X !

La Nasa obligée de démentir la fin du monde

Quel crédit accorder à la NASA qui est aux mains des Illuminati-Reptiliens qui ont aussi le contrôle sur  l'Area 51, base secrète militaire située dans le Nevada et qui bénéficie d'un département UFO ou OVNI ?

La preuve que la NASA avait découvert la planète X ou Nibiru, dès les années 1980.
On se moque de qui ?

Un article paru dans The Detroit News, en janvier 1981.
L'article n'est pas très lisible mais identifiable quand même :

1981_news_nibiru_detriot.jpg
Localisation de la planète X ou Nibiru
Rapport de 1988 par Robert Sutton Harrington de la NASA
nph-iarticle_query-Nasa 1988.pdf
 
 
 

Qui est Robert Sutton Harrington ?
 
 

Nibiru planet X 2012 PROOF of Government conspiracy
http://www.youtube.com/watch?v=iKn_2neBSyo

Rapport Sur La Découverte de Nibiru RS Harrington de La Nasa Du 17 Mai 1988

 

 

04/11/2009

Les Univers Gémellaires par Jean-Pierre PETIT

Jean-Pierre Petit - Le MHD et les Univers jumeaux

Jean-Pierre Petit (astrophysicien, mécanicien des fluides, physicien des plasmas, directeur de recherches au CNRS) présente ses recherches :

1) sur les "aérodynes MHD" (des accélérateurs magnétohydrodynamiques à écoulement externe de l'air ionisé) qui ressemblent aux "soucoupes volantes" ; et

2) en astrophysique, avec la théorie des univers jumeaux appliquée au voyage interstellaire.


http://www.dailymotion.com/video/xswfn_jeanpierre-petit-mhd-et-univers-jum_tech

 


Un modèle cosmologique : le Twin Bang

http://www.jp-petit.org/science/f200/modele_cosmo_gemellaire.pdf


La théorie des Univers Gémellaires expliquée au format PDF
:

Univers gémellaires par Jean-Pierre Petit.pdf

 

Univers gémellaires par Jean-Pierre Petit

 

16/09/2009

Découverte de la première exoplanète rocheuse

    

Découverte de la première exoplanète rocheuse

exo_360[1].jpg

Corot 7-b est la première planète rocheuse détectée. Crédit : ESO

Corot 7-b, la plus petite exoplanète découverte, est rocheuse comme la Terre. Située à 500 années-lumière de nous, autour d'une étoile de même type que notre Soleil, elle avait été détectée en avril 2008 par le satellite européen Corot. Depuis, les astronomes n'ont cessé de l'étudier. Pendant un an, l'observatoire spatial l'a ainsi vue passer plus de 150 fois devant son étoile. Les variations d'éclat stellaire à chacune de ces éclipses ont permis de déterminer la taille de la planète. Verdict : Corot 7b mesure 1,75 fois le diamètre de la Terre.

Restait à déterminer sa masse afin de connaître sa densité, donc sa composition. C'est aujourd'hui chose faite ! Didier Queloz, de l'observatoire de Genève, et son équipe ont mesuré la vitesse radiale de l'étoile avec le spectrographe Harps, vissé sur le télescope de 3,6m de La Silla. Ils en ont déduit la masse de Corot 7-b : 4,8 fois celle de la Terre.

"Une détection difficile, raconte Didier Queloz, car l'étoile est très active et les taches à sa surface induisent un signal semblable à celui d'une planète. Pour connaître enfin toutes les taches et pouvoir repérer la planète, nous avons observé pendant 70 heures ! Mais cela valait la peine: c'est la toute première fois qu'une planète de même densité que la Terre est caractérisée."

Couplée à la taille, la masse a en effet permis de déduire une densité de 5,6 g/cm3. Or, celle de la Terre est de 5,52g/cm3." Corot 7-b est donc un corps tellurique, au même titre que notre planète, Vénus ou Mars. Mais attention, cela ne signifie pas qu'elle soit habitable ! Corot 7-b est si proche de son étoile qu'une partie de sa surface doit être totalement fondue...

Pour en savoir plus sur ces découvertes à propos de Corot 7-b, rendez-vous dans le Ciel & Espace d'octobre, en kiosque jeudi 24 septembre 2009.

16/07/2009

USA/NASA : Les bases de données du soleil ne seront plus communiquées

Encore un scoop qui nous arrive des USA !
Le Gouvernement US et la NASA ont décidé de ne plus mettre en ligne sur le site de la NASA toutes les bases de données collectées, relatives aux éléments recueillis sur notre système solaire et sur l'activité solaire.

Après que l'armée US ait décidé de classifier les données relatives aux astéroïdes, (voir notre précédent article); le Gouvernement US et la NASA décident de nous cacher toutes les données relatives à notre système solaire, et à l'activité solaire en cours et à venir.

Ecoutez attentivement cette vidéo, vous hallucinerez autant que nous..!!

Ensuite ils iront dire que nous sommes des paranoïaques, adeptes de la théorie du complot !!!!
Et si nous avions raison en ce qui concerne l'alignement galactique prévu pour le 21 décembre 2012 ?

Pierre Jovanovic Revue de presse 08 juillet 09-2



Source : http://rutube.ru/tracks/2113662.html?v=6abe7d9353f3c73159...

La structure systémique du calendrier Maya et les neufs niveaux
(inframondes) du processus évolutif de la connaissance

21 décembre 2012 ou recalculé au 28 octobre 2011

La structure systémique du calendrier maya.jpg
Cliquez sur l'image pour agrandir

14/07/2009

Astronomie : le Soleil s'est réveillé

La science et les technologies russes au jour le jour

98955537.jpg

Astronomie/ espace/ médecine

Une puissante éruption solaire enregistrée par TESIS

Le nouveau télescope orbital russe TESIS vient d'enregistrer la plus forte éruption solaire de l'année, ce qui atteste la reprise de l'activité de notre astre, rapporte les sites inauka.ru et  strf.ru.

Embarqué à bord de la sonde Koronas-Photon (*), le télescope orbital TESIS a enregistré le 5 juillet la plus forte éruption solaire depuis mars 2008. Cet événement, qui s'est produit dans l'hémisphère sud du Soleil, est une nouvelle confirmation du regain d'activité de notre astre, après une période de minimum solaire inhabituellement longue.

"Cette éruption a duré 11 minutes, avec un maximum à 10h13, heure de Moscou. L'intensité du rayonnement X du Soleil a atteint, en son point le plus élevé, le niveau C2.7 sur l'échelle GOES, de 5, ont annoncé les chercheurs du laboratoire d'astronomie X du Soleil de l'Institut de Physique Lebedev.

Les éruptions solaires sont classées, en fonction de la puissance du rayonnement X, en 5 classes - A, B, C, M, et X. La classe minimale, notée A0.0, correspond à une puissance de rayonnement sur l'orbite de la Terre de 10 nanowatts par mètre carré. A titre de comparaison, lors du précédent maximum solaire, on a pu enregistrer, à la fin octobre 2003, des éruptions accompagnées d'un flux de rayonnement de plus de 1 million de nanowatts. Elles ont été classées X17.

Les chercheurs de l'Institut Lebedev précisent, dans leur communiqué, que cette éruption a été la plus forte enregistrée depuis plus d'un an - le 25 mars 2008 avait été fixée une éruption de niveau M1.7. La précédente éruption de classe C datait de décembre 2008.

Les chercheurs soulignent également qu'une remontée progressive de l'activité du Soleil s'observe depuis mars dernier. Après une période de minimum solaire extraordinairement longue (elle avait duré trois ans), de premiers domaines d'activité ont commencé à se former dans l'hémisphère nord de notre astre. On a enregistré alors des éruptions et des rejets de matière en provenance de la couronne solaire. A la fin mai, une ceinture d'activité est apparue dans l'hémisphère sud et la configuration magnétique du Soleil est alors devenue symétrique.

Et c'est précisément dans la partie sud du Soleil que s'est produite le 5 juillet cette éruption solaire très puissante, alors même que le 3 juillet, il n'y avait encore aucune tâche dans cette zone (il y en avait 7 le 4 juillet et 14 le 5 juillet). D'ordinaire, l'accumulation de l'énergie nécessaire pour une éruption dure beaucoup plus longtemps. Les chercheurs en déduisent que soit cette énergie s'était déjà accumulée dans des champs magnétiques avant que cette région ne parvienne à la surface du Soleil, soit le processus s'est déroulé à une vitesse extrêmement élevée, phénomène plutôt caractéristique d'une période de maximum solaire. Les chercheurs penchent pour la seconde hypothèse, et cette forte éruption pourrait ne pas être la dernière de la série, selon eux.

Cette nouvelle progression de l'activité solaire a coïncidé on ne peut mieux avec le début de la mise sur une orbite sans ombre du satellite Koronas-Photon, à bord duquel est installé le télescope. Le plan d'orbite de la sonde devrait être orienté, d'ici la dernière décade de juillet, en direction du Soleil, sous un angle d'environ 90 degrés. En pivotant sur son orbite, la sonde ne sera plus dans l'ombre de la Terre et pourra mener des observations de notre astre en continu. Autrement dit, rien de ce qui se produira alors sur le Soleil ne pourra échapper au télescope TESIS. Les données qui seront recueillies promettent d'être d'autant plus intéressantes pour le monde de l'astronomie que trois autres sondes d'observation (une japonaise, Hinode, et deux américaines, les Nasa Stereo) vont passer en régime de fréquence élevée de travail.

(*) La sonde Koronas-Photon, équipée du télescope orbital russe TESIS, a été mise en orbite le 30 janvier 2009. Elle a pour objectif de surveiller l'activité solaire. Cette sonde est la troisième de la série des satellites Koronas. Les deux précédentes, lancées en 1994 et 2001, ont cessé de fonctionner.

Espace: pour demain, des techniques d'hier et de demain

Les progrès remarquables accomplis en permanence par la science spatiale conduisent au développement de nouvelles technologies, tel le futur lanceur Angara. Mais celles d'hier sont - et seront - parfois toujours d'actualité, comme le confirme la future utilisation par les Américains d'un vieux moteur soviétique, rapporte le site inauka.ru.

Les moteurs NK-33, créés pour le programme lunaire soviétique, seront utilisés demain par le lanceur américain Taurus-2. D'ici environ cinq ans, l'usine Motorostroytel, de Samara, prévoit d'engager la fabrication de ces moteurs. "Il faudra préparer la documentation et assurer la fabrication, mais cela coûtera moins cher que de créer un nouveau modèle", a commenté le directeur général du Centre de lanceurs spatiaux TsKB-Progress, Alexandre Kiriline. Il a souligné que ses caractéristiques faisaient toujours du NK-33 un moteur de classe mondiale.

Le NK-33 sera également implanté sur le lanceur de classe légère Soyouz-1, élaboré également à Samara. Ce moteur avait été conçu initialement pour le lanceur N-1, qui devait acheminer les cosmonautes soviétiques jusqu'à la Lune. Il est extrêmement fiable et possède un excellent rapport poussée/masse. Samara conserve 46 moteurs NK-33 prêts à être montés.

La fabrication en série du lanceur de nouvelle génération Angara se situe, elle, dans un tout autre registre. Elle débutera en 2012 dans l'union de production Poliot, à Omsk. Cette entreprise a dès à présent dans son carnet de commandes la fabrication d'un Angara "léger" et de cinq modules de lanceurs universels (URM) pour un lanceur de classe lourde, a précisé le directeur général de l'entreprise, Grigori Mourakhovski. Son union de production a déjà commencé à livrer à l'entreprise qui pilote le projet - le Centre spatial scientifique et de production Khrounitchev - des éléments du futur lanceur. C'est le centre lui-même qui procèdera aux tests au sol des pièces et de certains éléments du lanceur.

En 2015, l'usine d'Omsk produira annuellement 60 URM pour une dizaine de lanceurs spatiaux de classe lourde Angara 3.2 et une dizaine de lanceurs de classe légère Angara 1.2. D'ici 2020, cette entreprise sera en mesure de sortir chaque année 120 URM. Le nombre annuel de tirs prévu pour cette date est d'au moins une vingtaine. Les lanceurs Angara partiront depuis le nouveau cosmodrome de Plessetsk, en cours de création sur le territoire russe. Le premier tir d'un lanceur Angara de classe légère est prévu à Plessetsk en 2011.

Salive et tartre pour poser un diagnostic

La salive et le tartre peuvent être porteurs d'un certain nombre d'informations sur notre état de santé et aider à établir des diagnostics, rapporte le site strf.ru, reprenant une enquête de informnauka.ru.

Comment la composition du tartre est-elle influencée par l'action de la salive et quels enseignements peut-on en tirer ? Des chercheurs de l'Université d'Etat d'Omsk Dostoïevski ont eu l'idée de procéder à l'expérience suivante. Ils "cultivent" du tartre dans des verres, à la fois sur de vraies dents, arrachées pour diverses raisons à des patients, et sur des dents artificielles. Leur objectif est d'établir les liens qui peuvent exister entre les propriétés de la salive et le tartre, d'un côté, et la santé de l'être humain, de l'autre. Ils ont constaté que les diagnostics de certaines affections peuvent être établis avec une grande précision grâce à l'analyse de l'interaction salive-tartre.

Peu de gens savent que la plaque dentaire - ces dépôts jaunâtres ou grisâtres que nous avons sur les dents et/ou entre celles-ci - est constituée de minuscules cristaux de minéraux d'hydroxyapatite. De par sa composition chimique, cette dernière est très proche de la composition minérale des os. Mais si elle est positive dans les os, la présence de cette substance à la surface des dents est tout à fait inutile.

Le tartre se développe essentiellement là où se trouve cette plaque dentaire "molle", en "pompant" progressivement dans la salive les composants dont il a besoin. Parmi ces composants figurent des sels, qui sont indispensables pour la formation du minéral et contiennent du calcium et du phosphore. Les stomatologues recommandent d'éliminer ce tartre pour éviter les caries. Mais Olga Golovanova et les membres de son équipe de chercheurs sont certains, pour leur part, que ce développement minéral nocif et inesthétique peut - et doit - être utilisé pour diagnostiquer certaines affections, telles que le diabète, et pour mettre en évidence la prédisposition à des caries ou à une parodontose.

Les chercheurs mènent leurs travaux dans plusieurs directions. Ils simulent la composition de la salive en utilisant des solutions aqueuses de protéines, d'acides aminés, de différents sels organiques et inorganiques, ainsi qu'en étudiant comment la concentration des composants de la solution influe sur la composition et la structure du tartre. Autrement dit, ils synthétisent l'hydroxyapatite dans des conditions proches de celles du milieu biologique et analysent la structure et la composition du minéral obtenu.

Il s'est avéré, ainsi, que certaines substances, telles que la caséine et les acides aminés, freinent le développement de la plaque dentaire. Le glucose, au contraire, accélère la formation du tartre, augmente le niveau de sa cristallisation, le rendant plus solide. Il ne découle évidemment pas de cette observation qu'il faut, à titre prophylactique, conserver en permanence dans la bouche un morceau de fromage. Mieux vaut se laver régulièrement et soigneusement les dents. Mais une autre observation est nettement plus intéressante.

Les chimistes ont comparé, avec des stomatologues et d'autres thérapeutes, la composition de la salive et du tartre, et l'état des dents de patients souffrant de diabète. Il s'est avéré que cette affection modifie la salive ce qui, à son tour, accélère l'augmentation des dépôts d'hydroxyapatite à la surface des dents, modifie leur composition, provoque des caries et des parodontoses. Par conséquent, en recueillant des renseignements sur la salive et la plaque dentaire, on pourrait tenter de diagnostiquer ces pathologies.

Les observations menées ont confirmé la justesse de ces hypothèses. Le diagnostic de diabète, établi d'après les résultats de l'analyse de la salive et du tartre, a coïncidé à 94% avec les autres méthodes. De même, les cas de prédisposition décelés aux caries et à la parodontose ont été très largement confirmés. Les travaux des chercheurs d'Omsk ne sont pas achevés. Mais il est clair que les médecins vont disposer là d'une méthode efficace, parfaitement indolore, permettant de diagnostiquer des affections à un stade précoce.  -0-

Source : http://fr.rian.ru/science/20090713/122323089.html