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09/07/2009

L’Etat débloque 700 millions d’euros contre la grippe A

Il est intéressant de constater dans cet article que l'état a commandé 100 millions de vaccins pour une population française qui avoisine les 65 millions d'habitants. En sachant que toute la population ne se fera pas vacciner en fonction des contre-indications médicales et de ceux qui refuseront de se faire vacciner.

Et la différence elle est pour qui ? Pour ceux qui sont susceptibles de se faire vacciner deux fois ?

Ces 100 millions de vaccins commandés par l'état laisse présager deux choses :

1 - que la vaccination pourrait être rendue obligatoire à la rentrée,
2 - que le vaccin sera gratuit et offert par la sécurité sociale, puisque l'état a puisé dans son budget pour acheter les vaccins. Une manière de pousser la population à aller se faire vacciner, puisque ce sera gratuit.

Mais bien sûr les moutons vont trouver que l'état est généreux puisqu'il pense à leur bien-être et à leur santé. Sauf que ce sera pour les rendre malades en participant à enrichir les labos, à alimenter le système dit médical et à aggraver le budget de la sécu, plus que ce qu'il ne l'est déjà selon ce qu'ils prétendent.

Qui va payer le trou de la sécu ?  La CGS et le RDS ? Nous !
Donc, l'état c'est NOUS !!!

L’Etat débloque 700 millions d’euros contre la grippe A

Marc Payet | 09.07.2009, 07h00

Le gouvernement français va acheter 100 millions de doses de vaccins contre la grippe A pour un montant de 700 millions d’euros. Un achat financé par l’Etat et par la Sécurité sociale.

Le gouvernement va débourser 700 millions d’euros pour acheter des vaccins contre la grippe A. Cette somme permettra d’acquérir 100 millions de doses auprès de quatre laboratoires pharmaceutiques (Sanofi, GSK, Novartis et Baxter). Le montant de ce marché, classé « secret-défense », nous a été confirmé par Matignon, précisant que la décision avait été prise par la cellule de crise interministérielle placée sous l’autorité du Premier ministre.

« Matignon a joué un rôle de pilotage dans la mise en place de ce nécessaire système de vaccination », a expliqué l’entourage de François Fillon.

Mais tout n’est pas réglé pour autant. Une partie de cette somme sera tirée des caisses de l’Etat et une autre de celles de la Sécurité sociale. A l’Elysée, où ce dossier est suivi de très près, on confirme que « l’assurance maladie aura forcément un rôle à jouer dans cette affaire », sans préciser l’ampleur de sa contribution. Selon nos informations, dès cet après-midi, le directeur de la Caisse nationale d’assurance maladie, Frédéric Van Roekeghem, soumettra au vote de son conseil d’administration des « propositions sur les charges et produits pour l’année 2010 ». Dans ce document figurent les nouvelles dépenses, liées aux « mesures de prévention contre la grippe A (H1N1), dont l’achat de vaccins à l’industrie pharmaceutique ».

Polémique

Sollicitée, la Sécurité sociale n’a pas souhaité s’exprimer sur ce dossier, renvoyant vers le ministère de la Santé, qui ne veut pas davantage « faire de commentaire ». Cette dépense supplémentaire de la Sécurité sociale pourrait susciter une polémique. Selon Force ouvrière, « ce n’est pas le rôle de l’assurance maladie de prendre en charge les dépenses exceptionnelles de l’Etat », la CGT affirmant de son côté que « le gouvernement dépense trop d’argent pour cette grippe A, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques ». Du côté du gouvernement, on considère que les 100 millions de doses commandées seraient susceptibles de vacciner l’essentiel de la population française.

 

Source : Le Parisien

07/07/2009

Gaza : Le traitement des prisonniers

Criez pour les prisonniers, exprimez votre indignation

Il y a plus de 11 000 prisonniers politiques palestiniens, beaucoup d'entre eux n'ont pas été jugés, beaucoup d'entre eux ne peuvent pas voir leur famille. Israël surpasse les États-Unis lorsqu'il s'agit de torture, d'emprisonnement et de brutalité. (sous-titrage en français)

5th July 09 Video Free Gaza News Prisoners

http://www.youtube.com/watch?v=7Ri8jWj_KbY

Lorsqu'une vidéo comprend des sous-titres, vous pouvez les activer en cliquant sur le bouton du menu situé en bas à droite du lecteur vidéo. Lorsque vous cliquez sur ce bouton, vous pouvez choisir les pistes de sous-titres que vous souhaitez voir apparaître. Les sous-titres ne sont pas affichés par défaut, mais si vous les activez pour une vidéo, YouTube mémorise votre préférence et affichera les sous-titres la prochaine fois que vous lirez une vidéo qui en comprend.

Source : http://www.freegaza.org/

Le virus de la grippe canine maintenant ?

Ils ne savent plus quoi inventer ..........!!!!!!!!!!

Faut-il craindre H3N8 et une pandémie de grippe canine ?

Cela pourrait passer pour un mauvais canular de premier avril mais il n’en est rien. On parle actuellement d’une nouvelle grippe, affectant les chiens après une transmission du virus H3N8 depuis le cheval. Décidément, l’année 2009 est celle de la grippe.

 


Depuis que la médecine est devenue institutionnelle, avant d’être médiatisée, les époques sont marquées par des pathologies emblématiques. Accompagnées parfois de découvertes scientifiques majeures. On associe la fin du 19ème siècle à la rage et le célèbre Pasteur. Mais ce qui fut maintenu sous surveillance, ce furent deux maladies acquises par contact externe, l’une, popularisée par quelques artistes qui en moururent, fut la syphilis. Quant au cholera, il causa plusieurs pandémies, avec des dizaines de milliers de morts. La vaccination et l’hygiène ont pu venir à bout de cette pathologie qu’on voit encore dans des pays pauvres et notamment le Zimbabwe présent dans l’actualité récente. La décennie 1985-1995 fut celle du Sida. Il se pourrait bien que la décennie 2005-2015 soit celle de la grippe.

On se souvient de la grippe aviaire, devenue célèbre car elle causa nombres d’épizooties de part le monde mais surtout, elle est passée de l’animal à l’homme, infectant quelques centaines de sujets. En septembre 2008, 245 décès ont été comptabilisés depuis le premier cas en 2004. A noter, aucun décès n’a été constaté dans les pays industrialisés. Par précaution, des élevages d’oiseaux ont été abattus dès lors qu’un cas était détecté. On ne souvient de ces images de Bresse, avec ces vétérinaires passant dans les pédiluves alors que la zone était devenue interdite comme s’il y avait de la radioactivité. Du coup, les autorités ont pris l’affaire en main. D’aucun nous prédisaient la catastrophe, des millions de morts causés par cette souche dénommée H5N1. Et d’immenses stock de l’antiviral tamiflu, inhibiteur de la neuraminidase et donc de la multiplication du virus, furent constitués.

2009. Comme si les virus décidaient de s’inviter au titre de mode pandémique, une nouvelle pandémie se dessine, sans qu’on puisse trop savoir la dangerosité de cette souche appartenant à au genre H1N1. Apparue au Mexique, cette grippe fut désignée comme mexicaine et aussi comme porcine, car elle affecte les porcs. Les dernières nouvelles ne sont pas forcément bonnes, ni précises. On a mentionné le cas soi-disant exceptionnel d’un Danois réfractaire au traitement par le tamiflu, tandis que selon les chercheurs du CDC, la plupart des échantillons du H1N1 sont résistants au tamiflu. C’est ce qui inquiète car cela illustre bien le gros problème lié à toute pathologie virale. Un virus, même s’il conserve des déterminants permettant de le classer, mute inexorablement. Au risque de devenir de plus en plus létal.

Dernier virus en date dont on parle mais pas trop, le H3N8. Baptisé par ailleurs virus de la grippe canine, bien qu’il ait aussi causé la mort de canards sauvages. Découvert en 2004 lors d’une course de lévriers, ce virus cause une grippe pouvant donner affecter sévèrement le chien mais sont la mortalité est jugée assez faible. Comme bien d’autres souches virales, une transmission inter espèces s’est produite, en l’occurrence du cheval vers le chien. De là à imaginer que l’homme puisse être contaminé il n’y a qu’un pas dans l’ordre des raisons. Mais l’on sait bien que la vie a ses propres règles et qu’en la matière, c’est elle qui en dernier ressort décide si l’homme sera affecté ou non par H3N8. Une chose reste certaine, depuis la transmission du cheval au chien, constatée il y a 5 ans, aucun humain n’a été pour l’instant contaminé. Le virus H3N8 reste une affaire entre vétérinaires, comme bien d’autres pathologies affectant une espèce animale. Ce virus a été trouvé dans une bonne trentaine d’Etats américains, mais il n’a pas un caractère expansif considérable. C’est surtout dans les situations de promiscuité que le virus se transmet d’un chien à un autre. Nombre de cas recensés, entre 20 et 30 milles, autrement dit une goutte d’eau pour un pays qui compte 70 millions d’amis canins. Selon les scientifiques, le virus n’est pas tant adapté que ça à l’espèce canine. Il aurait mis 40 ans pour migrer depuis le cheval, à la faveur de 5 mutations mais quelques Cassandre ne plaisent à évoquer une ou deux mutations supplémentaires pouvant faire du H3N8 une arme virale de destruction massive. Laissons plutôt ce type de raisonnement aux auteurs de science fiction. Tout en soulignant que les chiens brachycéphales seraient plus sensibles à la létalité virale selon certaines sources vétérinaires. Ce qui n’étonne pas car un virus fait son « œuvre » en fonction du terrain qui l’héberge. Cela dit, on ne voit pas en quoi le fait d’avoir un nez aplati occasionnerait une fragilité spéciale. Sauf à entendre qu’un virus tient sa virulence à deux facteurs distincts mais complémentaires et reliés, le terrain épigénétique et le profil génétique. Auquel cas, certaines races seraient moins résistantes au virus.

Pour finir cette mini recension virale, on se demandera pourquoi les virus et spécialement celui de la grippe, suscitent tant de sollicitude. La peur d’une nouvelle grippe espagnole n’est pas étrangère à ce battage médiatique. Mais sait-on vraiment comment un virus mute, se transmet, déjouant les défenses immunitaires ? Et quel est le rôle précis des virus ? On notera un abus de langage de la part des scientifiques qui prêtent aux virus soit des intentions, soit des logiques propres au règne des êtres vivants. Parler d’un virus qui est adapté à un hôte n’a aucun sens. C’est l’inverse. Le virus est un élément formel et structurel contenant un fragment de séquence génique, ADN ou ARN, capable de se répliquer mais seulement en utilisant le dispositif moléculaire des cellules hôtes. Parlons plutôt de patients adaptés pour résister et d’autres plus fragiles. La grippe saisonnière touche les sujets les plus fragiles, nourrissons et personnes âgées. La grippe A semble toucher des sujets jeunes. C’est à ce titre qu’elle inquiète car la grippe espagnole emportait également des jeunes adultes, tout en épargnant des personnes plus âgées. Sans doute immunisées en ayant été en contact avec des souches au cours de leur longue vie (selon une hypothèse des virologues) Qui sait si nous ne sommes pas touchés par des tas de virus ne causant aucune pathologie si bien qu’on ne les détecte pas. Enfin, un élément important, que l’on connaît très bien maintenant. La mortalité virale est souvent due à des surinfections. C’était le cas pour la grippe espagnole. Que de morts par pneumonies, en cette époque où on ne disposait pas d’antibiotiques, la pénicilline n’ayant été découverte qu’en 1929.

Nous voilà donc dans la décennie de la grippe. Et qui sait si cette pathologie ne va pas être accompagnées de surprenantes découvertes scientifiques, comme ce fut le cas pour d’autres pathologies dans le passé. Certes, les infections virales sont connues depuis longtemps mais les virus recèlent encore une part de mystère que pourraient lever quelques Champollion de laboratoire capables de décrypter la logique du vivant. Et sans doute de son évolution. Qui sait si les grippes ne scandent pas quelques mutations au sein d’une espèce et notamment, l’humain. La génération de 1918 fut jugée comme différente (lire Zweig et le monde d’avant) Le mode de vie urbain a-t-il eu une influence ? Que de questions irrésolues.

Faut-il craindre H3N8 et une pandémie de grippe canine ?

Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/faut-il-crai...


Bioterrorisme : vaccins et chemtrails

Une journaliste a accusé l'OMS et les Nations unies de bioterrorisme et l'intention de commettre un génocide.




La date de sortie du nouveau vaccin contre la pandémie de grippe A/H1N1 est prévue pour début juillet selon la société Baxter, un journaliste d'investigation d’origine autrichienne averti par contre le monde que le plus grand crime de l'histoire de l'humanité est en cours.

Jane Burgermeister a récemment déposé plaintes auprès du FBI en accusant l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation des Nations Unies (ONU), et plusieurs des plus hauts fonctionnaires du gouvernement et des entreprises concernant le bioterrorisme visant à commettre un meurtre de masse. Elle a également préparé une injonction contre la vaccination, qui est forcé d'être déposée en Amérique ou en France notamment. Ces actions suivent ses accusations déposées en avril contre la société Baxter AG et AVIR Green Hills Biotechnologie basé en Autriche pour la production du vaccin contre la grippe des oiseaux contaminés, qui a été délibéré provoquer afin de profiter d'une pandémie et de s’en mettre pleins les poches.

Dans ses accusations, Burgermeister présente des preuves d'actes de bioterrorisme, qui est en violation avec la loi américaine.

Ces bio-terroristes seraient nulle autre qu’un groupe opérant dans les États-Unis sous la direction des banquiers internationaux qui contrôlent la Réserve fédérale, ainsi que l'OMS, l'ONU et l'OTAN.

Le bioterrorisme réaliserait un génocide de masse contre la population américaine, par l'utilisation d'un virus génétiquement modifié causant une pandémie avec l'intention de causer la mort et de réduire la population mondiale. Ce groupe possède d’ailleurs le gouvernement des États-Unis.

En particulier, la preuve que les accusés, Barack Obama, ‘président’ des États-Unis malgré qu’il n’a pas pu prouver qu’il est bien né aux États-Unis, David Nabarro, Coordonnateur du Système des Nations Unies pour la grippe, Margaret Chan, Directeur général de l'OMS, Kathleen Sibelius, Secrétaire du Département de la Santé et des Services, Janet Napolitano, Secrétaire du Department of Homeland Security, David de Rothschild qui est un banqster, David Rockefeller qui est un banqster aussi, George Soros qui est un banqster également, Werner Faymann qui est le chancelier d'Autriche, et Alois Stoger, la ministre autrichienne de la Santé Publique, entre autres, font partie de ce syndicat international d’entreprises criminelles qui a mis au point, fabriqué, stocké et utilisé des armes biologiques en vue d'éliminer la population des États-Unis et d'autres pays pour des gains politiques et financiers.


Les accusations confirment que les défendeurs ont comploté avec d'autres terroristes, de concevoir, financer et de participer à la phase finale de la mise en œuvre d'un programme d'armes biologiques dissimulées, impliquant les sociétés pharmaceutiques Novartis et Baxter entre autre. Ils ont fait cela par la bio-ingénierie et la libération létale des agents biologiques, en particulier de la «grippe aviaire» et le "virus de la grippe porcine" afin d'avoir un prétexte pour mettre en œuvre un programme de vaccination de masse forcé, qui serait le moyen d'administrer un agent biologique toxiques durant une vaccination forcée afin de causer la mort à la population des États-Unis. Cette action est en violation directe envers la Loi antiterroriste.

Que font les brigades anti-terroristes alors ???

Trop occupé avec le mythe AL CIADA.

Burgermeister a attesté que Baxter AG, filiale autrichienne de Baxter International, a délibérément envoyé 72 kilos de virus de la grippe aviaire, fournies par l'OMS, durant l'hiver de 2009 à 16 laboratoires dans quatre comtés. Elle réclame que cette preuve offre la pièce évidente du puzzle que les sociétés pharmaceutiques internationales et les agences gouvernementales se sont activement engagées dans la production, le développement, la fabrication et la distribution des agents biologiques comme armes biologiques, les plus meurtrières que la planète ait connu afin de déclencher une pandémie et provoquer la mort de civils innocents pour des profits et le pouvoir absolu.

Dans ses accusations qui date du mois d’avril, elle a noté que le laboratoire de Baxter en Autriche est un des labos les plus sûrs en biosécurité et probablement un des laboratoires les mieux sécurisé dans le monde entier, pourtant ce labo n'a pas respecté les procédures les plus élémentaires et essentiels afin de garder en sécurité plus de 72 kilos d'un des agent pathogène le plus classé comme arme chimique, pourtant il a été mélangé avec le virus de la grippe humaine ordinaire et envoyés à partir de ses installations dans l’Orth de la région du Danube.

En Février, quand un membre du personnel de BioTest basé à la République tchèque, a testé le matériel et donc les vaccins sur les furets destiné aux civils et candidats du monde entier, les furets ont été tués soudainement. Cet incident n'a pas été suivi d’une enquête approfondie de la part de l'OMS, de l'UE, de l'Autriche ou les autorités de la santé. Il n'y a pas eu d'enquête sur la teneur du virus et il n'existe pas de données sur la séquence génétique du virus libérés.

En réponse aux questions parlementaires du 20 mai, la ministre autrichienne de la Santé, Alois Stoger, a révélé que l'incident n’avait pas été traité en matière de biosécurité, comme elle aurait dû l'être, mais comme un crime contre le code des vétérinaires. Un médecin vétérinaire a été envoyé au laboratoire pour une brève inspection.

Burgermeister nous révèle dans le dossier que la libération des virus devait être une étape essentielle pour le déclenchement d'une pandémie qui permettrait à l'OMS de déclarer un niveau 6 afin de lutter contre la pandémie. Chose faite dès à présent.

Elle énumère les lois et décrets qui permettraient à l'ONU et à l'OMS d’éclipser les États-Unis en cas de pandémie. En outre, la législation imposerait le respect obligatoire de la vaccination qui sera mis en vigueur dans les États-Unis et dans d’autre pays globalisé suite à la pandémie.

Qu’elle affirme aussi que l'ensemble de la pandémie de "la grippe porcine" est fondée sur un énorme mensonge, qu’il n'y a pas de virus naturel qui constitue une menace pour la population.

Qu’elle présente des données qui conduisent à la conviction que la grippe aviaire et porcine, que le virus de la grippe ont été mélangés dans les laboratoires utilisant des fonds fournis par l'OMS et d'autres organismes gouvernementaux comme notamment le C.D.C., entre autres. Cette «grippe A/H1N1» est un hybride de la grippe porcine, une partie de la grippe humaine et une partie de la grippe aviaire, ce qui ne peut provenir que des laboratoires selon de nombreux experts comme notamment Dr. Horowitz de Harvard dans son témoignage qui peut-être visualiser sur Censored31.

Que la «grippe porcine» ne provoque pas plus la mort que d’autres grippes ordinaires.

Qu’il n'y a pas de danger potentiel dans cette pandémique de masse à moins que les vaccinations sont effectuées et aliment ainsi un énorme danger pour la santé sous le couvert de la protection de la population. Il existe des motifs raisonnables de croire que les vaccins obligatoires seront ‘volontairement’ contaminées par des maladies qui sont spécifiquement conçus pour provoquer la mort.

Au moyen de technologies classiques et ultra modernes de diagnostic et d’imagerie médicale, le Dr Moulden, M.D., médecin, expert en psychiatrie, neuro-psychiatrie et neurologie comportementale, apporte les preuves en termes de physiologie et de clinique médicales que TOUTES les vaccinations provoquent directement ou de manière différée des troubles et des maladies aiguës ou chroniques, permanentes ou transitoires susceptibles de toucher tous les systèmes du corps. Le Dr Moulden a mis au point une nouvelle technologie en imagerie médicale pour mettre en évidence les troubles et dégâts neurologiques se produisant après les vaccinations.

Le Dr Moulden explique que les vaccins provoquent une hyper-réactivité du système immunitaire au cours de laquelle les leucocytes se précipitent pour attaquer les produits étrangers injectés dans le flux sanguin. Étant donné le fait que ces derniers sont trop gros pour pénétrer les très fins capillaires où se logent les produits étrangers, les leucocytes finissent par obstruer, bloquer et délabrer ces capillaires. La route est donc coupée pour les globules rouges plus petits qui doivent apporter l’oxygène aux différents organes voisins des capillaires encombrés par des substances étrangères. Ces particules qui atteignent le cerveau, perturbant ou empêchant la circulation du sang, peuvent provoquer l’autisme, la mort subite du nourrisson ou de nombreuses autres maladies de l’enfant ou de l’adulte. Exactement comme il en va de l’attaque cardiaque, il est aussi possible de faire une attaque cérébrale, des problèmes de foie, des reins, chaque fois que les tissus sont carencés en oxygène. «Il s’agit ici d’une découverte majeure.» Visualisez le DVD du Dr. Moulden sur Censored31 également.

Que les vaccins causent la mort aux adultes également.

Qu’il est fait référence à une licence de Novartis et son vaccin contre la grippe aviaire qui a tué 21 personnes sans-abri en Pologne durant l'été 2008.

Qu’elle allègue que les même sociétés pharmaceutiques et organismes publics internationaux ont élaboré la pandémie afin de profiter d’un déclenchement d’une pandémie globalisée, avec des gros contrats de fourniture de vaccins et des pots de vin à la clé pour les dirigeants.

Que les médias contrôlés par le groupe Bilderberg et ses membres comme notamment Donald E Graham du Washington Ρost’, Matthias Nass du journal ‘Die Zeit’, ou encore Martin Wolf du ‘Financial Τimes’ ou Fareed Zakaria de Newsweek et bien d’autre encore qui ont diffusé de fausses informations aux citoyens des États-Unis en leur manipulant concernant le vaccin dangereux. Tapez leur nom et le mot pandemic dans un moteur de recherche pour voir.

Que le peuple des États-Unis subiront des dommages irréparables et des blessures si ils sont obligés de prendre ce vaccin sans leur consentement conformément à l’application de la loi à l'État d'urgence de la santé appelé ‘Powers Act’, ainsi que la loi d'urgence nationale, la Directive présidentielle de la sécurité nationale / NSPD 51, du Directive/HSPD-20 et le Partenariat sur la grippe aviaire et la grippe pandémique.

Aux États-Unis depuis 2008, Burgermeister a vu ceux qui sont nommés dans ses allégations mettre en œuvre de nouvelles procédures et /ou l'accélération de la mise en œuvre de lois et de règlements visant à dépouiller les citoyens des États-Unis et de dé-régularisé leur droit constitutionnel à refuser une injection. Ces personnes ont créé ou autorisé des dispositions afin de légiférer un acte de refus de prendre une injection contre la pandémie de virus comme criminel.

Qu’elles ont imposé d'autres sanctions telles que l'emprisonnement et / ou de quarantaine dans les camps de la FEMA qui sont des véritable camps de concentrations modernes et pour cela je vous conseille vivement de visualisez le DVD sur le program REX 83 et les cercueils poubelles sur Censored31.

Emplacement des camps d'internement FEMA déjà installés aux USA. On est donc loin ici d'une quelconque théorie conspirationniste.... Les faits sont là !

Qu’elles ont imposé une législation afin d’empêcher les citoyens des États-Unis de demander une indemnité suite aux lésions ou décès suite aux injections forcées.

Que ceci est en violation des lois fédérales régissant la corruption et l'abus de fonction ainsi que leur propre constitution.

Grâce à leurs actions, les parties défenderesses nommés ont construit les fondements d'un véritable génocide.

Qu’utiliser la «grippe porcine» comme un prétexte afin de préétablir le meurtre de la population américaine par le biais de la vaccination forcée est vraiment un acte de terrorisme.

Que l'ensemble des sociétés pharmaceutiques comme Baxter, Novartis et Sanofi Aventis ou Novavax font partie d'un programme à double usage, financé par ce syndicat pénal international destiné à mettre en œuvre le meurtre de civils innocents afin de réduire la population mondiale de plus de 5 milliards de personnes dans les dix prochaines années. Leur plan est de répandre la terreur pour justifier les gens à renoncer à leurs droits et à la force de masse sinon ils seront mis en quarantaine dans les camps de la FEMA.

Les maisons, les entreprises et les exploitations agricoles et les terres de ceux qui sont tués seront confisqué par ce syndicat qui deviendra un véritable butin de guerre.

En éliminant la population de l'Amérique du Nord, l'élite internationale accédera aux ressources naturelles des régions telles que l'eau et le pétrole sous terres. Et en éliminant les États-Unis et ses constitutions démocratiques en regroupant sous une Union nord-américaine, le groupe de sionistes aura le contrôle total de l'Amérique du Nord.

Qu’il y a des preuves que les vaccinations ont causé la grippe espagnole de 1918, y compris la conviction du Dr Jerry Tennant que l'utilisation généralisée de l'aspirine au cours de l'hiver qui a suivi la fin de la Première Guerre mondiale aurait pu être un facteur contribuant à la pandémie antérieure en supprimant le système immunitaire et abaisser la température corporelle, ce qui permet au virus de se multiplier.

Tamiflu et Relenza abaissent également la température corporelle, ou Imuran qui abaisse le système immunitaire et par conséquent, peuvent également être tenus de contribuer à la propagation d'une pandémie.

Jane Burgermeister a la double nationalité (autrichienne/irlandaise) qui a écrit pour le magazine ‘nature’, le ‘British Medical Journal’, et ‘American Prospec’t. Elle est la correspondante européenne de la ‘Renewable Energy World site’. Elle a beaucoup écrit sur le changement climatique, la biotechnologie, et l'écologie.

Qu'elle a déposée plainte contre Baxter AG et AVIR Green Hills Biotechnology en avril.

Qu’elle a déposé plainte contre l'OMS et Baxter, entre autres, concernant l’explosion de flacons contenant "la grippe porcine" destinés à un laboratoire de recherche et ce sur un train IC en Suisse.

Comme le contrôle des médias par l'élite au pouvoir a permis à l'association de terroristes de plonger la population dans l'ignorance de ce qui se passe réellement. Ses accusations sont une tentative de contourner ce contrôle des médias afin que l’affaire soit rendu public.

Sa plus grande inquiétude est qu’en dépit du fait que Baxter a été pris en flagrant délit avec sa main dans le sac, le déclenchement du nouveau vaccin est prévu quelque temps en juillet.

Ecrit par Censored31 qui est journaliste, chercheur et analyste, spécialiste du renseignement et de la communication stratégique.

P.S.: que le texte en gras n'a pas été écrit par Censored31 et a été tiré du site
http://expovaccins.over-blog.com
http://naturalnews.com

Source: www.infowars.com

« Maintenir l'humanité en dessous de 500.000.000 d’individus en perpétuel équilibre avec la nature »

C'est David Rockefeller qui l'a dit ???


En complément malheureusement en Anglais

Génocide par bioterrorisme : vaccins et chemtrails
Un document de 171 pages écrit par un anonyme "FBI OFFICER" qui demande à ce que ce rapport soit diffusé largement.

FBI Charges against WHO and UN ** FULL DOCUMENT **

If there is one document you need to read it is this one:
LINK : https://share.acrobat.com/adc/document.do?docid=2c7f15d9-...

Télécharger le document complet en PDF


I have never read such informative and concise document which charges a whole host of people and organisations. I can not believe this is fake, The swine flu, vaccination program and chemtrail program is all linked as this document states which has been given to the FBI. It even mentions Operation Blackjack.

Submitted: FBI OFFICER

EMBASSY OF THE UNITED STATES


Boltzmanngasse 16
A-1090 Vienna
Austria

Date: June 10, 2009

Contents


I. Introduction: Summary of Claims
II. Factual Background
III. Evidence the "swine flu" vaccines are bioweapons
IV. Scientific evidence the "swine flu" virus is an artificial (genetically engineered) virus.
V. Scientific evidence the "swine flu" was bioengineered to resemble the Spanish flu killer virus of 1918.
VI. Genome sequence of the "swine flu"
VII. Evidence as to deliberate release of the "swine flu" virus in Mexico
VIII. Evidence as to the involvement of President Obama
IX. Evidence as to the role of Baxter and WHO in producing and releasing pandemic virus material in Austria.
X. Evidence Baxter is an element in a covert bioweapons network.
XI. Evidence Baxter has deliberately contamined drugs.
XII. Evidence Novartis is using vaccines as bioweapons.
XIII. Evidence as to the WHO's role in the bioweapons program: supplier of the bird flu virus to Baxter
XIV. Evidence as to WHO's manipulation of disease data in order to justify declaring a Pandemic Level 6 in order to seize control of the USA.
XV. Evidence as to FDA's role in covering up the bioweapons program
XVI. Evidence as to the Canada's National Microbiology Labs role in the bioweapons program
XVI. Evidence of the involvement of scientists working for the UK's NIBSC, and the CDC in engineering the swine flu.
XVII. Evidence vaccinations caused the Spanish killer flu of 1918.
XVIII. Precedents: the abandoned swine flu mass vaccination program of 1976
XIX. Inadequate performance of the government in stopping the spread of the swine flu as cover for spreading a pandemic
XX. Evidence as to manipulation of the legal framework to allow mass murder with impunity
XXII. Constitutional issues: the legality v. Illegality of jeopardising the Life, health and "public good" by mass vaccinations
XXI. The Issue of immunity and compensation as evidence of intent to commit a crime
XXII. Evidence as to the use of chemtrails for population reduction
XXIII. Evidence as to the existence of an international corporate crime syndicate
XXIV. Evidence as to the existence of the "Illuminati"
XXV. Evidence of the Illuminati's involvement in the current collapse of the world's financial system
XXVI. Evidence as to the depopulation agenda of the Illuminati/Bilderbergs and their involvement in the engineering and release of the artificial "swine flu" virus
XXVII. Evidence as to the Genocide Agenda by means of Weaponised Flu being discussed at the annual Bilderberg meeting in Athens from May 14-17, 2009
XXXVIII. Conclusion
XXIX. Defendants
XXX. Attachments

- Criminal Charges filed against Baxter and WHO i.a. in Austria
- Criminal Charges filed against Baxter and WHO i.a. in Switzerland
- Parliamentary answers to the Baxter incident
- Excerpt: Biological Weapons Anti-Terrorism Act of 1989

I am a bit wary about making this public on youtube and would need you to download and re upload in any event.

I have linked a few people.

Michael Jackson was linked to Jane Burgermeister and was going to talk at O2. I can not confirm the talking but the connection is there. This all ties in with Diana.



Les camps d'internement de la FEMA installés aux USA

 

06/07/2009

GAZA: La procédure devant la Cour Pénale Internationale

Ce que l’humanité doit aux Palestiniens
par Maître Gilles Devers


Mondialisation.ca, Le 26 janvier 2009
Délégation Générale de la Palestine en France


Pendant longtemps j’ai cru qu’Israël n’était pas un Etat comme un autre. Je vois aujourd’hui, dans un déchirement douloureux, que pour les dirigeants d’Israël, le crime de guerre est un choix politique.

L’Histoire reste là. Après l’Holocauste, comment la communauté internationale pouvait-elle ne pas tout faire pour offrir au peuple rescapé du nazisme une pérennité ? Décision incontestable, mais injustice fondamentale pour les Palestiniens. « Les Palestiniens» ? Surtout celui-ci, celle-là à qui on a dit : « Tu n’es plus chez toi . Tu n’es plus chez toi parce que l’ONU a décidé que la terre de tes aïeuls n’était plus la tienne ». Et l’ONU a décidé ainsi parce que la communauté internationale, lors de la conférence d’Evian de 1939, avait fermé la porte de l’humanité à la communauté juive, la précipitant dans l’enfer nazi. L’Occident voulait compenser sa faute. Une faute payée sur le dos des Palestiniens, auxquels pas le moindre reproche ne peut être fait. Si, un seul : être là où il ne fallait pas.

Equation impossible ? Ce n’est plus le problème de 2009. Car soixante trois ans ont passé. En 2009, rien ne justifie qu’Israël, puissance économique et militaire, utilise la force armée pour construire son avenir. Israël peut continuer ses guerres. Israël peut continuer d’interdire aux partis arabes de se présenter aux élections. Israël peut faire tout ce qu’il veut avec la puissance qui est la sienne, mais Israël tombera devant la loi, qui est plus forte que lui. Car, devant l’intelligence du monde, c’est le juste qui est le plus fort.

Qu’on ne se trompe pas. Il y a eu d’autres guerres, et il y en aura d’autres, avec leurs horreurs. Mais l’agression d’Israël sur Gaza de décembre 2008 marque un basculement dans l’Histoire.

Qu’est-ce-que Gaza ? Gaza est une partie d’un territoire auquel la communauté internationale, par lâcheté, n’a jamais su imposer la qualité d’Etat. Une population isolée dans un territoire de 10 km sur 30, affaiblie par le blocus, sans possibilité de fuir. Désormais, quand Israël veut gagner une guerre, il attaque des civils… Fin d’un système. N’oubliez jamais le premier jour : 200 morts. Morts pourquoi ? Parce qu’ils se promenaient dans la rue, parce qu’ils allaient faire les courses, parce qu’ils étaient des enfants qui rentraient de l’école.

Et quel est le gouvernement qui a enclenché la guerre le 27 décembre 2008 ? Un premier ministre démissionnaire depuis septembre 2008 pour corruption et les deux principaux ministres – affaires étrangères et défense – en une opposition politique telle qu’ils n’ont pas réussi à constituer une coalition. C’est un pouvoir sans tête qui s’est engagé dans la guerre. Le matin, on décide des bombardements de civils ; le soir, on tient meeting. Du jamais vu ! Les bilans sont là. Monsieur Ban Ki Moon a dénoncé la disproportion dans l’attaque et il demande aujourd’hui qu’une enquête approfondie ait lieu pour qu’Israël rende compte. Toutes les grandes organisations intergouvernemental es et les ONG dénoncent ces crimes de guerre.

Pendant longtemps, lorsque j’entendais le mot d’Israël, je voyais en image de fond les camps de concentration et d’extermination. Le crime commis dans le berceau de la culture. Aujourd’hui je vois toujours les camps, mais Israël est ailleurs.

L’avenir appartient aux hommes qui savent construire la paix. Or, aujourd’hui la paix s’appelle le respect du droit. Qu’est-ce qui aujourd’hui fonde les droits de l’homme ? L’analyse de 1945 en réponse aux crimes nazis, qui est au cœur de l’actualité. Les bases du droit humain ont leurs racines dans la criminalité nazie. Tout part de là. De la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948 à la Convention Européenne des Droits de l’Homme en passant par les multiples systèmes nationaux, le droit de la civilisation a posé pour base qu’aucun homme ne peut être atteint pour le seul motif qu’il est l’homme qu’il ne faut pas.

Israël peut trembler. Trembler parce que, loin des bombes, s’est enclenchée la justice qui le jugera. Israël pourra encore gonfler les muscles de ses hélicoptères et de ses tanks. Mais un jour, dans 5 ans, dans 10 ans ou dans 30, on rendra hommage au peuple palestinien parce qu’il a su, puisant dans les tréfonds de ce qui fait l’humanité, retrouver l’idée même des droits de l’homme.

Parce que j’existe, sans que quiconque soit en mesure d’apporter la moindre appréciation sur la qualité de ma vie, j’ai droit à l’ensemble de ce qui fait la dimension humaine et qui s’appelle la liberté. Parce que je suis né ici, entre Rafah et Gaza, ou que je suis né ailleurs et que le canon des tanks m’a assigné à résidence ici, quand la terre n’est plus la mienne et que l’eau m’est volée, je reste. Regarde mes yeux, Israël, c’est un être humain qui te regarde. Ecoute ce que je te dis, Israël, car sans le langage nous périssons. Sors de la prison de ta violence, et viens goûter la force de la liberté. Depuis soixante ans, tu cherches, par la force, à m’enfermer dans une prison. Les murs brisent ma vie, mais c’est toi qui es devenu le prisonnier. Prisonnier des certitudes qui t’interdisent de voir le monde. La vraie liberté s’invente à Gaza, quand tu as tout détruit. Cette mère éplorée, qui a perdu sa famille et sa maison, assise sur les gravats en implorant Dieu, dit tout de la force humaine alors que tes misérables tanks signent la fin d’une folle épopée.

La sagesse arabe nous dit qu’il n’y a pas de malheur absolu. A Gaza, des êtres humains ont été tués parce qu’ils étaient palestiniens. Accusés et condamnés parce que Palestiniens. Qui peut aujourd’hui imaginer que le crime paie ? Qui peut imaginer qu’Israël emmènera au paradis les enfants qu’il a tués à Gaza ? C’est la justice humaine qui rétablira l’ordre, et rétablira les Palestiniens dans l’histoire.

Articles de Gilles Devers publiés par Mondialisation.ca


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Gaza : Plaidoyer pour la Cour Pénale Internationale
par Maître Gilles Devers
Mondialisation.ca, Le 7 avril 2009
20 minutes


La Cour Pénale Internationale n’est pas un idéal, mais l’idéal passe par la Cour Pénale Internationale, et après les massacres de Gaza, c’est l’heure du rendez-vous. D’où l’importance cette question qui tend à devenir un clivage : pour la CPI ? contre la CPI ? Sept ans après la création de cette juridiction, il reste de bon ton d’en parler avec un scepticisme évasif, feignant l’indifférence ou délivrant les critiques les plus vives. Que ces postures soient injustes vis-à-vis de l’institution est une chose. Mais il est plus préoccupant que plus d’une repose sur des analyses fausses. Les enjeux actuels appellent une clarification.

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La justice : pragmatisme et idéal

Aborder la question de la justice internationale place en situation périlleuse. Le décalage vertigineux entre le pragmatisme de l’outil judiciaire et l’idéal de justice devient un abîme quand il faut raisonner, et agir, après le carnage humain commis à Gaza entre le 27 décembre 2008 et le 17 janvier 2009.

C’est une donnée classique de la justice, à la fois idéal, inatteignable, et outil contingent. C’est dire que pour avancer, il faut accepter d’avoir les pieds sur terre et la tête dans les nuages. Les pieds sur terre, car rien n’est possible sans le respect des faits et une excellente pratique juridictionnelle. La tête dans les nuages, car l’oeuvre de tout procès est de s’approcher de l’idéal de justice, au regard de ce que peut faire – de ce que doit faire – la force humaine.

Pour dire les choses franchement, la CPI, oui, est l’histoire d’une déception, et cela pèse. Car avant d’être un statut, la CPI a été un idéal raisonné, porté par une remarquable universalité des militants des droits de l’homme. Et force est de constater la différence entre le projet d’origine et le statut, avec à la clé une manip’ peu honorable. Le projet d’origine a été édulcoré pour permettre le plus large accord, et obtenir la signature, notamment, des Etats-Unis et d’Israël. Des concessions importantes à l’efficacité, et finalement ces deux pays ont signé le texte. Signé mais pas ratifié, ce qui est une funeste victoire, leur laissant la satisfaction d’avoir érodé un outil que finalement, ils ont rejeté.

Mais ce n’est qu’une étape, et la CPI doit aussi être analysée telle qu’elle est, avec ses faiblesses mais aussi ses forces. Rien n’est possible sans le respect du Statut, certes, mais chaque juriste sait ce qu’il est en de la souplesse des textes, et de l’interprétation qui peut en être donnée dans la dynamique d’un procès. Surtout, n’oublions pas qu’à l’échelle de l’histoire, c’est le droit, et non la force qui l’emporte. Les puissants peuvent nuire, bloquer les évolutions, casser les énergies, nourrir l’injustice, causer des crimes. Mais ils finissent toujours par lâcher, car s’ils peuvent beaucoup interdire, ils ne peuvent annihiler les aspirations humaines à la liberté et à la justice. Alors, si cette CPI n’est pas la bonne, s’il faut faire mieux, on fera mieux. Ce mois de juillet, s’ouvrira la période de révision du traité. Et plus tard, d’autres traités viendront. Mais ce sera pour renforcer l’outil, et non le remplacer, car nous pouvons aller loin avec la CPI.


Une justice internationale ?

Voyons d’abord les critiques les plus globales : l’idée même de justice internationale est contestée. Bien sûr, c’est aux Etats, via la diplomatie et les instances internationales, de régler leurs relations et leur différends. La complexité des sujets à traiter, le calendrier de la vie internationale, le principe de souveraineté… tout légitime la diplomatie, et relativise le rôle des institutions juridictionnelles internationales. Relativise, oui, mais ne le fait pas disparaître, et le scepticisme désabusé exprimé encore dernièrement par l’ancien ministre Hubert Védrines est le fruit d’une pensée essoufflée.

Les outils de la justice internationale ont plus de cent ans, et n’ont fait que se renforcer au fil du temps. Cette construction serait condamnée à se briser sur les souverainetés ? Allons… En réalité, on voit se reproduire pour l’ordre juridique mondial ce qui s’est passé pour l’ordre juridique européen. Des textes généreux et des juridictions qui, à leur création, paraissent quasi-ésotériques, le tout nourrissant des critiques abruptes, qui deviennent elles-mêmes des obstacles à la compréhension. Mais loin de la lumière, au jour le jour, ces textes et ces institutions se mettent à vivre, nourries par le besoin de justice, la créativité de ceux qui s’en saisissent et la gravité des situations qui leur sont soumises. A terme, elles s’imposent comme des références, surtout quand dans le même temps, le pouvoir politique reste velléitaire.

L’Etat est irremplaçable car il est lieu où s’exprime la souveraineté et se forgent les mécanismes de solidarité. Et l’Etat reste le cadre privilégié pour rendre justice. Mais les valeurs de la justice sont universelles, ce qui explique que la greffe internationale prenne si bien et soit si féconde. Dès qu’on s’approche du droit fondamental, il faut penser international. Il ne s’agit pas de remplacer la diplomatie par la justice, ni de diluer les Etats dans un ordre international incertain, mais dire, tout simplement, qu’un seuil d’injustice interdit la construction de la paix, et qu’au final la meilleure chose qui puisse arriver aux criminels est d’être jugés. Un ordre international qui exclut le crime de guerre, le crime contre l’humanité et le génocide… Oui, la justice internationale peut y contribuer, et la CPI est une pièce maîtresse.


Le double standard

La seconde grande critique ne concerne pas le principe de la justice internationale, mais son mode de fonctionnement. La CPI ne serait qu’un outil de la puissance occidentale, laquelle après avoir imposé sa force diplomatique et économique, achevait sa domination par un raffinement juridictionnel. Et de mettre en avant cette évidence : la CPI traite uniquement de dossiers africains. Oui, mais il faut tout de même analyser un minimum.

Pour le Congo, République centrafricaine et l’Ouganda, ce sont les autorités étatiques elles-mêmes qui ont saisi la Cour Pénale Internationale : comme expression de l’impérialisme occidental, on fait mieux ! Oui, mais il y a le Soudan, me dira-t-on, et c’est la grande question. Le Soudan n’est pas partie au Traité de Rome, et fait l’objet d’une enquête, avec délivrance d’un mandat d’arrêt contre le chef de l’Etat, alors que bien d’autres crimes ont eu lieu dans bien d’autres pays et auraient justifié des mesures du même ordre. Il y a donc double standard, et ce double standard dans la pratique judiciaire est un scandale.

Mais, qui est l’auteur du scandale ? La CPI et son Procureur, aux poursuites sélectives ? Bien sûr que non. S’il y a des poursuites au Soudan, c’est parce que le Conseil de Sécurité a saisi la CPI. Le même Conseil de Sécurité qui a créé un Tribunal spécial pour l’assassinat de Rafic Hariri. Le même qui ne fait rien devant les massacres commis par les autorités israéliennes lors de l’opération « Plomb durci » : 1 300 palestiniens tués, dont une minorité de combattants, quatre mille blessés graves, et des destructions massives de biens civils et économiques. Le secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a demandé qu’une enquête soit ouverte, de même que le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Mais le Conseil de Sécurité ne bouge pas. Là est le scandale du double standard. Il est l’oeuvre de cet organe politique qui voit les crimes au Darfour mais les ignore à Gaza. Au Soudan, l’auteur est jugé assez faible pour être poursuivi ; en Israël l’auteur est jugé trop puissant pour être inquiété. Il est bien évident que ça ne pourra pas toujours durer ainsi. Il y a aura aussi, un jour, tôt ou tard, une addition à présenter au Conseil de sécurité, quand des organes juridictionnels incontestables, dont la CPI, auront jugé les crimes contre l’humanité commis à Gaza.

L’efficacité de la plainte

Viennent ensuite les critiques contingentes : de toute manière, cette CPI ne peut rien faire contre Israël, alors, mieux vaut passer outre.

D’abord, et même si c’était le cas, pourquoi passer outre ? La seule raison pouvant conduire à renoncer à saisir la CPI serait le risque d’affaiblir les actions engagées devant les juridictions nationales, dans le cadre de la compétence universelle ou en fonction de la nationalité des victimes (ex : victime franco-palestinienne). Or, ce risque est inexistant. Un échec à La Haye mettrait en évidence le caractère restrictif du traité, et c’est tout. Il n’affaiblirait en rien les autres procédures. En revanche, le moindre signe positif rendu par le Bureau des poursuites de la CPI serait un atout dans les procédures conduites en droit interne.

Plus surprenant, et contradictoire : chacun peut déplorer le peu de place que laisse le statut aux victimes et aux ONG dans l’engagement des procédures. Aussi, il faut chercher à pousser les feux, pour donner toute leur ampleur aux textes au regard de la gravité des faits, en faisant intervenir massivement les ONG devant la CPI. Il est manifestement contre-productif de s’abstenir et d’implorer le Conseil de Sécurité. D’autant plus qu’à ce stade de la procédure, il est bien évident que le Conseil ne fera rien…

Non, c’est là une vraie erreur d’analyse. La grande spécificité de la plainte est qu’elle est formée par les militants des droits de l’homme, en lien direct avec les victimes. Les ONG signataires viennent de toute la planète, à commencer par ceux de Palestine et du monde arabo-musulman. 450 ONG à ce jour, et il reste à élargir le cercle pour le rendre encore plus représentatif. Surtout, et ce dans le cadre d’un consensus politique, l’Autorité Nationale Palestinienne a donné compétence à la CPI pour les crimes commis à Gaza depuis 2002. Une déclaration de compétence à effet rétroactif, comme le permet le statut, passée trop inaperçue et qui assoit la compétence de la Cour pour enquêter sur le territoire de Gaza. Ce geste de l’Autorité Nationale Palestinienne est d’une importance historique. Il place la cause palestinienne sous l’angle du droit, permet d’agir en tant qu’Etat devant une juridiction internationale, et affirme publiquement où est l’agresseur et où est la victime.

Jusqu’où ?

Jusqu’où pourra aller la Cour Pénale Internationale ? Le plus loin possible, et tout le chemin parcouru sera bénéfique pour la cause.

Les faits sont avérés, et leur preuve n’est pas le plus complexe : Israël n’a pas imaginé la riposte juridique, et a laissé toutes les preuves de ses méfaits, de son absence de but militaire, de sa détermination à frapper la population civile. Les travaux du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, s’il n’y avait qu’eux, établissent la pertinence des qualifications de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, au sens du traité de Rome. La réalité s’impose chaque jour davantage : il n’y avait pas de but militaire, mais uniquement un but civil, à savoir causer des pertes humaines chez les civils et des destructions. Sinon, pourquoi bombarder aux heures de sortie des écoles ? Pourquoi détruire systématiquement les centres de la Sécurité civile ? Pourquoi bombarder les écoles de le l’ONU, ou les réserves alimentaires ? Pourquoi avoir détruit le tiers des terres cultivées ? Pourquoi bombarder les équipements économiques ? Pourquoi après l’exécution sommaire de toute une famille et la destruction de la maison, avoir laissé seul l’aïeul qui implorait la mort en lui disant qu’il restait là pour témoigner ? On en sait bien assez pour conclure qu’il est nécessaire d’enquêter.

La question de l’Etat ? La Cour vise la protection des peuples, et c’est bien parce que l’Etat palestinien est contesté que sa population a été victime d’un crime contre l’humanité. Aussi, il serait difficile d’envisager que la moins protégée des populations soit privée de la protection de la CPI, comme s’il fallait faire payer une seconde fois à ce peuple soixante ans de lâcheté de la communauté internationale. La CPI n’a pas à définir l’Etat, mais à s’assurer que l’Etat existe. Un peu comme un être humain qui s’adresse au juge. Le juge doit constater que cet être est vivant, mais il ne s’intéresse pas à sa structure biologique. Or, l’Autorité Nationale Palestinienne fournit maints exemples prouvant la réalité de son existence, en droit international. Le consensus existant autour de cette démarche en est le meilleur exemple.

Alors, les documents nécessaires seront adressés au Bureau des poursuites. Dans le respect du Statut, le Procureur pourra saisir la chambre préliminaire, ce qui aura un impact considérable. Des investigations devront être conduites sur place, pour établir la réalité des crimes. On n’a jamais demandé à une victime d’élucider une affaire au moment où elle porte plainte. Que l’enquête progresse donc, pour à partir des faits dire s’il y a eu crime, et remonter vers les auteurs.

Il sera alors bien temps de s’adresser aux dirigeants d’Israël. Aucun peuple ne peut envisager de construire son avenir son avenir à partir d’ordres criminels. Que toute la lumière soit faite sur l’ampleur des crimes commis. Que l’on mesure l’horreur : nous verrons bien alors où en sera l’opinion internationale.

Dans le même temps, les procédures vont se poursuivre dans le cadre de la compétence universelle, et devant les juges nationaux, au pénal et au civil. La CPI n’interdit rien. Elle facilite tout.

Notre système de défense des droits de l’homme a de grands mérites, et a permis beaucoup de progrès. Mais les crimes commis à Gaza montrent ses limites : sous nos yeux, des innocents sont morts de la folie criminelle des dirigeants d’un Etat estimé fréquentable, défendus par les plus puissants des Etats de la planète. Il faut, par respect des victimes, revoir tout cela. L’immensité du crime de Gaza parle à toutes les consciences. Ce besoin de justice doit être la pierre fondatrice d’un nouvel âge des droits de l’homme. Et finalement, nous le savions : la Palestine est un berceau de la civilisation.

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Gaza : la procédure devant la Cour Pénale Internationale
Synthèse au 1er juin 2009
par Gilles Devers
Mondialisation.ca, Le 8 juin 2009
ISM


Gaza 27 décembre 2008 – 18 janvier 2009 : Des faits d’une gravité exceptionnelle

1. Le principe a été de répondre en fonction de la gravité des faits. C’est la base de toute procédure : d’abord, les faits. Ceux qui côtoient le procès pénal le savent : la première difficulté est de voir le crime, c’est-à-dire d’amener un esprit raisonné à entrer dans la mécanique de la pensée criminelle.
2. Dès les premiers jours de l’agression, si on ne savait que peu de choses au sens procédural, c’est-à-dire à propos des circonstances exactes et de l’imputation à des personnes physiques, on en savait suffisamment pour dire qu’il s’agissait de faits d’une extrême gravité.


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