Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/10/2015

Les zones de combat en Syrie comme vous ne les avez jamais vues (VIDEO HD)

Les zones de combat en Syrie comme vous ne les avez jamais vues (VIDEO HD)

Les journalistes russes qui couvrent le conflit armé en Syrie ont publié des vidéos d’une beauté envoûtante, et en même temps terrifiantes, qui montrent les batailles en cours entre les troupes gouvernementales et les combattants qui s’y opposent.

Les vidéos ont été réalisées par l’équipe de la chaîne russe d’actualité Rossiya 24, qui diffuse ses reportages depuis le cœur des combats


Le drone lancé par les journalistes traverse des nuages de fumée noire qui se détachent des décombres consécutifs aux bombardements et survole les opérations militaires en cours, les missiles en action et les chars qui se déplacent au sol le long des routes montagneuses.


 

 

Syrie/Assad: Hollande, les Européens ne sont pas d'avis...

Et vous croyez qu'il la fermerait sa grande gueule ?

Comme la France adhère à la coalition internationale illégale, il doit se taire parce qu'il est le problème en Syrie et qu'il ne peut pas faire partie de la solution !

La seule chose qui puisse le concerner, c'est d'être poursuivi pour crimes de guerres et contre l'humanité !

 

Syrie/Assad: les Européens ne sont pas d'avis...

http://media.ws.irib.ir/image/4bhh3cba833cd011fr_800C450.jpg

Oct 23, 2015 13:31 UTC - IRIB - Le président français, François Hollande qui s'oppose toujours contre l'intervention russe en Syrie, ne tolère toujours pas Bachar al-Assad comme faisant partie du règlement de la crise syrienne.

Lors d'une conférence de presse, à Athènes aves le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, le président français François Hollande a indiqué que "rien ne doit être fait pour conforter Bachar el-Assad".

Hollande a ainsi prétendu qu'Assad ne pourrait pas être la solution car il est le problème.


Sur la même longueur d'ondes, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius a prétendu qu'Assad ne pourrait pas être une issue au règlement de la crise syrienne car il est, selon lui, responsable de la mort de 200.000 Syriens.


Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE qui dénoncent l'intervention militaire russe en Syrie, ne sont pas encore arrivés à un consensus sur une contribution d'Assad à la solution de la crise syrienne.

 

« Les ennemis de la Syrie sont les ennemis de la Palestine »

« Les ennemis de la Syrie sont les ennemis de la Palestine »

Afficher l'image d'origine

Déclaration de groupes et individus palestiniens dans la patrie occupée, dans les camps de réfugiés et la diaspora sur la guerre mondiale contre la Syrie

 

Nous, Palestiniens et organisations palestiniennes, exprimons notre solidarité avec le peuple syrien dans sa lutte historique pour survivre, maintenant dans sa cinquième année. Nous sommes bien placés pour comprendre et apprécier les défis auxquels sont confrontés nos frères et sœurs syriens, parce que nous sommes confrontés aux mêmes défis.

Nous savons ce que cela signifie d’avoir nos terres et nos biens pris par des usurpateurs étrangers. Nous savons ce que cela signifie pour des millions de notre peuple d’être chassés de leurs maisons et d’être dans l’incapacité d’y revenir. Nous savons ce que cela signifie de voir nos intérêts et nos droits nationaux devenir le jouet des nations les plus puissantes du monde. Nous savons ce que cela signifie de souffrir et de mourir pour défendre notre souveraineté et nos droits humains.

Nous n’avons pas la prétention de dire aux Syriens ce qui est bon pour la Syrie, de même que la Syrie a respecté le droit palestinien à libérer laPalestine depuis l’époque de la Nakba. Cependant, nous déclarons que les ennemis de la Syrie sont les ennemis de la Palestine, et ceux qui portent les armes contre le peuple syrien et l’armée syrienne – indépendamment de leurs noms et affiliations – sont de simples pions qui servent Israël et son plan de division et de contrôle de la région arabe. Les gens qui enlèvent, assassinent et massacrent en Syrie sont les ennemis de la nation arabe, tout commeIsraël, avec lesquels ils partagent les objectifs et la nature criminelle.

Nous rejetons donc la violence et l’assassinat que subissent le peuple et l’Etat de Syrie, qui n’ont rien à voir avec une quelconque revendication juste ; au contraire, ces violences ne cherchent qu’à détruire l’Etat syrien. Toute attaque contre la Syrie est une attaque contre la nation arabe, et une véritable opposition nationale est celle qui souscrit aux principes de son pays et brandit son drapeau, et qui ne reçoit pas d’ordres de l’étranger.

Les luttes palestiniennes et syriennes ne sont pas des luttes religieuses. Nous respectons un Etat qui garantit la liberté de culte sans préférence pour une foi par rapport à une autre. Diviser les communautés arabes en sectes hostiles ne sert que le régime israélien et lui permet de mettre à exécution ses complots pour la région.

Alors que les réfugiés palestiniens ont souffert et souffrent dans de nombreux endroits, la Syrie les a accueillis et leur a accordé tous les droits des Syriens, à part le droit de vote. Nous sommes reconnaissants pour cette politique fraternelle et nous ne pouvons faire moins que rendre la pareille à la Syrie et lui exprimer notre solidarité dans ces temps où elle en a tant besoin. C’est le moins que nous puissions faire.

Les politiques cyniques et génocidaires de l’OTAN et de ses alliés au Moyen-Orient ont pour objectif principal de détruire les dernières nations indépendantes qui restent et les forces qui ne sont pas compromises dans une complicité avec les forces sionistes et impérialistes. Ces nations et forces ne causent aucun préjudice aux autres, pourtant leur simple existence est intolérable pour le sionisme et l’impérialisme. Il est de notre devoir de nous tenir aux côtés de la Syrie et de toutes les nations et mouvements qui résistent aux intrus et cherchent une voie et une politique indépendantes pour le bénéfice et l’intérêt de notre propre peuple et de ne pas devenir les marionnettes des puissances étrangères.

Par conséquent, nous sommes solidaires de la Syrie dans ses efforts pour repousser les envahisseurs et les pays qui créent, entraînent, financent, arment et soutiennent les groupes terroristes en Syrie. Nous appelons à l’expulsion de ces groupes vers leurs propres pays, et que leurs partisans consacrent leurs ressources à l’amélioration des vies de leurs propres citoyens dan leurs propres pays au lieu de détruire les vies de nos citoyens dans nos pays. Comme le régime sioniste étranger et raciste, ces pays criminels et leurs dirigeants doivent être poursuivis pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour mener des guerres illégales contre des Etats et des peuples souverains, dont la Palestine, la Libye, l’Irak, la Syrie, le Liban et le Yémen.

Plus de 1.000 Palestiniens et organisations palestiniennes du monde entier ont signé cette déclaration, et nous accueillons maintenant toutes les personnes et organisations qui souhaitent ajouter leurs noms. Il suffit de remplir les cases à la fin du communiqué (1) et de cliquer sur Envoyer (« Send »). Merci pour votre soutien.

Par Groupes et individus palestiniens

(1) Une liste de 1.101 signatures est consultable à ce lien, et 139 autres ici, ndt.

Article oroginal : Syria Solidarity Movement

Traduction : MR pour ISM

Source: ism-france.org/

 

Le Qatar a financé la « révolution » en Syrie avec du cash et des armes

Ces faux musulmans, amis de Holl'andouille et de Sarkozy, qui salissent l'Islam mais que les corrompus qui leur vendent la France, adorent !

Le Qatar a financé la « révolution » en Syrie avec du cash et des armes

 Un article, de 2013, toujours intéressant à lire

qatar_finance_le_psg_et_le_terrorisme

DR.

L’État gazier du Qatar a dépensé jusqu’à 3 milliards de dollars ces deux dernières années au profit de la rébellion syrienne, soit bien plus qu’aucun autre gouvernement, bien que l’Arabie Saoudite soit en train de devenir le principal fournisseur d’armes des rebelles.

Le coût de cette intervention représente pour le Qatar une fraction de ses investissements à l’international. Mais ce soutien financier qatari à une révolution qui s’est transformée en guerre civile féroce ne doit pas masquer le soutien occidental à l’opposition.

De nombreux entretiens avec des leaders de la rébellion vivant à l’étranger ou en Syrie ainsi qu’avec des officiels occidentaux, relatés par le Financial Times ces dernières semaines, révèlent dans le détail le rôle du Qatar dans le conflit syrien, et donnent lieu à une polémique grandissante.

Ce petit État à l’appétit gargantuesque est le plus gros mécène de l’opposition politique syrienne, fournissant même de généreuses primes aux déserteurs (estimées à 50 000 $ par an par déserteur et sa famille) sans compter l’énorme dépense dédiée au soutien humanitaire.

En septembre, de nombreux rebelles de la région d’Alep reçurent ainsi un bonus de 150 $ de la part du Qatar. D’après des sources proches du gouvernement qatari, la dépense totale approcherait plutôt les trois milliards, alors que les sources diplomatiques l’estiment, elles, à un milliard de dollars.

Pour le Qatar, qui détient la troisième réserve de gaz au monde, cette intervention fait partie d’une agressive quête de reconnaissance mondiale et n’est que le dernier épisode en date afin de s’imposer en tant qu’acteur majeur de la région, après son soutien aux rebelles libyens qui renversèrent Kadhafi en 2011.

D’après le Stockholm International Peace Research Institute qui surveille les transferts d’armes, le Qatar a effectué les plus importantes livraisons d’armes en Syrie, soit 70 vols d’avions cargos militaires à proximité de la Turquie entre avril 2012 et mars 2013.

Si le Qatar s’est d’abord voulu pragmatique et opportuniste plus que dogmatique, cet État s’est néanmoins retrouvé engagé entre des politiques exclusives qui ont provoqué les critiques envers les qataris. “Vous ne pouvez pas vous payer une révolution”, assure un homme d’affaires de l’opposition.

Le soutien du Qatar aux groupes islamistes dans le monde arabe, en désaccord avec ses pairs des pays du Golfe, alimente aussi sa rivalité avec l’Arabie Saoudite. L’émir régnant Hamad bin Khalifa al-Tani voudrait être le Nasser d’un monde arabe islamique, affirme un politicien arabe, évoquant feu le leader égyptien du panarabisme.

L’intervention du Qatar suscite une attention croissante. Des rivaux régionaux lui reprochent de vouloir simplement s’acheter de l’influence en finançant de la puissance de feu, quitte à atomiser l’opposition syrienne. Toujours et encore pour concurrencer l’Arabie Saoudite en tant que soutien plus volontaire des rebelles syriens, quitte à renchérir en terme d’engagement.

De récentes tensions au sein de l’opposition à l’occasion des élections pour choisir un Premier ministre par intérim qui emporterait le soutien des  de Syrie avaient conduit l’Arabie Saoudite à resserrer ses relations avec l’opposition syrienne, une position auparavant abandonnée aux mains des Qataris.

La relégation du Qatar à la deuxième place en tant que fournisseur d’armes répond à l’inquiétude formulée par l’Ouest et d’autres pays du Golfe selon laquelle ces armes pourraient finir dans les mains d’Al-Nosra, groupe proche d’Al-Qaida.

Des diplomates assurent que le Qatar peine à assurer une distribution d’armes constante et stable, alors que les Saoudiens en ont été capables grâce à leurs réseaux plus développés.

Une route d’acheminement d’armes à travers la Jordanie vers le sud de la Syrie a été ouverte ces derniers mois (printemps 2013). Le gouvernement jordanien, terrifié à l’idée de voir les djihadistes contrôler le voisinage de son royaume, a été réticent à autoriser ces livraisons par les Saoudiens.

Le fait que l’Ouest répugne à intervenir plus radicalement en Syrie contraint les opposants à Bachar al-Assad à être dépendants du soutien qatari, saoudien et turc, même si depuis l’an dernier les Émirats Arabes Unis et la Jordanie constituent aussi des partenaires, même mineurs.

Le ministre qatari des affaires étrangères, Khalid al-Attiyah, qui dirige l’intervention en Syrie, assure qu’il n’y a pas de rivalité avec l’Arabie Saoudite et nie toutes allégations quant à l’atomisation de l’opposition syrienne et quant à l’affaiblissement des institutions de l’opposition émergeantes dus à sa politique d’aide aux rebelles.

Dans un entretien avec le Financial Times, il assure que chaque initiative qatarie s’est faite en collaboration avec le mouvement Amis de la Syrie et les pays occidentaux. “Notre problème au Qatar est que nous n’avons pas de plans secrets et donc on nous en attribue toujours à notre place”, dit-il.

Par Roula Khalaf et Abigail Fielding Smith

Source : Financial Times, le 16/05/2013

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr.

24/10/2015

Qu’est-ce qui a incité Washington à lever les sanctions imposées à l’Iran ?

Courage fuyons devant la technologie détenue par les Iraniens et Poutine !

Voir aussi :

Poutine possède la technologie de KESHE / MAGRAV : Magnetic and Gravitational Field Technology

Le Général Philip Breedlove : la Russie a créé en Syrie des zones impénétrables pour l'OTAN

 

Qu’est-ce qui a incité Washington à lever les sanctions imposées à l’Iran ?

Qu’est-ce qui a incité Washington à lever les sanctions imposées à l’Iran ?

Les sanctions imposées à l’Iran par les Etats-Unis, en raison de son programme nucléaire, ont été levées durant l’été à la suite des pressions faites par Moscou. Israël, qui reçoit une aide militaire annuelle des Etats-Unis d’une valeur de 4,3-4,5 milliards de dollars, s’est senti trahi par son principal partenaire. Israël avait conçu un plan pour des frappes aériennes contre des objectifs en Iran, en utilisant l’espace aérien de la Turquie, de la Jordanie ou de l’Arabie Saoudite.

ORIENTUL-MIJLOCIU-HARTA-IRAN

L’Arabie Saoudite, le plus riche rival sunnite de l’Iran chiite, avait réagi durement vis-à-vis de la Maison Blanche. Beaucoup d’analystes ont essayé de trouver une explication à cette surprenante décision des Etats-Unis. Le mystère s’est épaissi encore plus quand, immédiatement après que la Russie ait commencé ses frappes en Syrie, le porte-avions américain USS Theodore Roosevelt, a reçu l’ordre de quitter le golfe Persique et de retourner aux États-Unis. C’est la première fois depuis 2007, qu’il n’y a aucun porte-avions américain dans le golfe Persique, zone sous la responsabilité de la 5e flotte des États-Unis.

FLOTA-SUA-GOLFUL-PIERSIC

Quelle est exactement la cause de cette série de décisions apparemment inexplicables de Washington? Un indice serait que, bien que soumis à des sanctions imposées par les Etats-Unis, le gouvernement iranien a investi, au cours de la dernière décennie, une part exceptionnellement importante de son budget dans la recherche. La conséquence logique de ces investissements a été que, le 14 septembre, le Général de brigade iranien Farzad Esmail, commandant de la base aérienne Khatam al-Anbiya, a déclaré qu’à partir de mars 2016, entrera en fonction un radar à ondes courtes, capable de détecter des cibles aériennes et spatiales à des distances de 3000 km.

En juin 2014, l’Iran a mis en fonction le premier radar à large rayon d’action dans la ville de Garmsar, dans la province de Semnan. Le radar a été nommé Qadir et a un rayon d’action de 1100 km. Le 4 juillet 2015, l’armée de l’air iranienne a annoncé la mise en œuvre d’un autre radar Qadir, en ondes courtes, dans la ville d’Ahvaz. Ce radar est situé à l’ouest de l’Iran, non loin du golfe Persique, de la frontière koweïtienne, et de la ville irakienne de Bassorah.

BIG-RADAR-IRAN

La plupart des radars militaires de détection et de contrôle de tir fonctionne dans les gammes centimétrique et millimétrique. Le relief peut constituer un obstacle pour le trajet des faisceaux électromagnétiques émis par les radars centimétriques et millimétriques, car ces faisceaux se déplacent parallèlement au sol. Un autre obstacle est la courbure de la terre, de sorte que leur distance maximale de détection est de 300 à 500 km.

Les radars à ondes courtes (appelés aussi décimétriques, fréquence de 3 à 30 MHz) du type Qadir émettent des faisceaux d’un angle allant jusqu’à 45 degrés par rapport au sol. Les faisceaux sont réfléchis de manière répétitive par la couche ionosphérique de l’atmosphère terrestre. L’avantage est que la perte de signal est insignifiante en raison de la réflexion ionosphérique. Les radars iraniens de type bi-statique, avec des stations d’émission et de réception séparées, éloignées les unes des autres, semblent avoir été copiés à partir des radars russes de la classe russe Dniepr qui ont un champ de vision avec une ouverture de 240 ° et peuvent surveiller un espace aérien jusqu’à 3000 km de distance.

DUGA-RADAR-DNIEPR

En dehors des radars Dniepr, la Russie a mis en place une série de radars de type 77Ya6DM–Voronet (la distance de détection est de 6000 km), notamment à l’aéroport Dunayevka de l’enclave de Kaliningrad, à Lekhtusi (près de Saint-Pétersbourg) et Olenegorsk dans la péninsule de Kola, limitrophe de la Finlande. Un autre radar Voronet a été placé à Armavir (150 km au Nord de Sotchi), sur la mer Noire.

ACOPERIRE-RADAR

Pour compléter le tableau, rappelons que le général Philip Breedlove, le commandant militaire de l’OTAN a reconnu le fait qu’en Syrie, la Russie a créé une zone d’exclusion, impénétrable à toutes les ressources de l’OTAN (Anti-Access/Area Denial -A2/AD bubble). La zone d’exclusion dispose des moyens AA, navals et terrestres de dernière génération.

Le Général Philip Breedlove : la Russie a créé en Syrie des zones impénétrables pour l’OTAN

Le général Philip Breedlove avait rajouté que la Syrie n’était pas la seule zone d’exclusion de l’OTAN créée par les Russes. Ces zones, selon lui, existent déjà dans l’enclave de Kaliningrad (il y a un radar Voronet à l’aéroport de Dunayevka), sur la côte balte et sur les côtes russes de la mer Noire (le radar Voronet d’Armavir), qui comprend la Crimée. Et dans ces zones, les systèmes Krasukha-4 réalisent un brouillage non-stop des radars de surveillance, ceux des satellites militaires américains de la famille de Lacrosse/Onyx, ceux qui sont basés au sol, ceux des avions AWACS, E-8C, et ceux des avions sans pilote RQ-4 Global Hawk, MQ-1 Predator, MQ-9 Reaper.

KRASHUKA-SISTEM

Un drone américain « furtif » de reconnaissance RQ-170 Sentinel, envoyé par la CIA en mission d’espionnage dans le nord-est de l’Iran, a été brouillé sur les deux canaux (à la fois satellitaire et terrestre) qui permettent le pilotage du drone. Quelqu’un a pris le contrôle du drone à distance, le faisant atterrir en bon état à l’aérodrome militaire iranien près de Kurt. Les Iraniens avaient-ils une station de la famille des Krasukha avec laquelle ils ont effectué cette performance ?

DRONA-SANTINEL

En extrapolant et en mettant bout à bout tous ces petits détails, de fabrication russe, les conclusions tirées par les américains concernant le système défensif iranien, nous semblent maintenant bien fondées.

Valentin Vasilescu

Traduction Avic – Réseau International

http://www.ziaruldegarda.ro/ce-a-determinat-washingtonul-sa-ridice-sanctiunile-impuse-iranului/