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08/07/2009

Nibiru : Hercolubus ou planète rouge

Un message pour l'humanité du Maître Rabolú ?

Une vidéo extraite de ce site :

http://www.hercolubus.tv/francais.html

HERCOLUBUS : LA PLANÈTE DE LA FIN DU MONDE

http://www.youtube.com/watch?v=XukXN1xiT88

 

Le message de l'association Alcione

COLLABORER AVEC NOUS

L’Association Alcione est un organisme sans but lucratif. Toutes ses activités se déroulent de manière altruiste, sans en tirer aucun bénéfice économique.

L’unique but de l’Association Alcione est la distribution internationale du livre « Hercolubus ou Planète rouge » du Maître Rabolú.

Sa principale activité consiste en l’envoi gratuit de livres à n’importe quel endroit du monde, en espérant faire connaître ce message universel à toute personne intéressée, sans aucune distinction.

Si vous pouvez nous aider à faire connaitre le livre « Hercolubus ou Planète rouge » à vos proches et ami(e)s, nous vous en serons très reconnaissant.

Si vous souhaitez participer à la diffusion du message du Maître Rabolú, et maintenir une plus grande collaboration avec nous, vous pouvez nous écrire à l’une de ces adresses :

Par courriel :

infohercolubus@yahoo.es

Par la poste :

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Apartado de correos 4
09080-Burgos (Espagne)

 


04/07/2009

Climat : Le "pot au noir" migre vers le Nord

CLIMAT

Le pot au noir migre vers le Nord

NOUVELOBS.COM | 02.07.2009 | 18:38

La bande équatoriale, connue sous le nom de zone de convergence intertropicale, à l’intérieur de laquelle les pluies sont abondantes, remonterait vers le nord. Certaines îles pourraient en pâtir.

 


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La ZTIC au-dessus du Pacifique. (agrandir la carte)(University of Washington)

Tout autour de l’équateur s’étend une bande au sein de laquelle les pluies sont abondantes : elles fournissent de l’eau douce à près d’un milliard d’habitants de la planète. Cette bande, connue sous le nom de zone de convergence intertropicale (ZCIT), s’est déplacée de 500 km depuis le petit âge de glace, remontant vers le Nord à la vitesse moyenne d’un kilomètre et demi par an, selon une étude publiée cette semaine par Nature Geoscience.

Si la migration de cette zone se poursuit, des régions aujourd’hui arrosées pourraient être plus sèches dans quelques décennies, souligne Julian Sachs, de l’Université de Washington (Seattle, États-Unis), premier auteur de cette étude.

La zone de convergence intertropicale est formée par la rencontre entre les alizés de l’hémisphère nord, qui soufflent vers le sud-ouest, et ceux de l’hémisphère sud, qui soufflent vers le nord-ouest. Les averses brusques et les orages violents de cette zone lui valent le surnom de ‘pot au noir’ chez les navigateurs.

Des études paléoclimatiques menées en Afrique ou en Australie avaient déjà suggéré que la ZTIC avait bougé au cours du dernier millénaire. L’équipe de Sachs a étudié des sédiments lacustres prélevés dans plusieurs îles du Pacifique –Palau, Galápagos, îles de la Ligne- pour retracer avec précision leur climat.

Palau, qui est aujourd’hui au cœur de la ZTIC, était aride pendant le petit âge de glace, celui qui a refroidi l’hémisphère nord entre 1250 et 1850, rapportent les chercheurs. L’île de Washington, dans l’archipel des îles de la Ligne, qui reçoit aujourd’hui près de trois mètres d’eau par an, était également très aride pendant le petit âge glaciaire. Les sédiments forés dans des lacs d’eau douce révèlent aussi que des microbes aimant les milieux salés vivaient dans ces mêmes lacs il y a 400 à 1000 ans, preuve que les pluies étaient beaucoup moins intenses qu’aujourd’hui, selon Sachs et ses collègues. A l’inverse, l’archipel des Galápagos était beaucoup plus humide pendant le petit âge de glace que maintenant.

Les chercheurs supposent que pendant cette période glaciaire la ZTIC était bloquée 550 km plus au sud par les températures plus froides de l’hémisphère nord, due à une baisse du rayonnement solaire. Avec le réchauffement, la zone remonte vers le nord : si elle poursuit sa migration sur le même rythme, elle se trouvera 126 km plus haut à la fin de ce siècle.

Cécile Dumas
Sciences-et-Avenir.com
02/07/09

Source : Nouvel Obs Sciences

Changements cosmiques : faut-il se sentir menacés ?

Selon un groupe de travail de l'ONU, le millenium Ecosystem Assessment, nous vivrions la sixième extinction de masse des espèces de toute l'histoire de la planète.

La planète a connu cinq épisodes d'extinction massive des espèces ...... Erkman, considère l'industrie comme un écosystème.....

Ces projections du groupe de travail II du GIEC, publiées en mai 2007. Ici la note :

Faut-il se sentir menacés ?

http://www.odilejacob.fr/fichiers_pdf/EconomieVerteNotes....


30/06/2009

2012 : Le film - Bande d'annonce

2012 - Le film

Bande d'annonce en français

Le fim sortira le 11 novembre 2009

 

 

25/06/2009

Le retard des taches solaires : enfin une explication ?

Le 24 juin 2009 à 13h29

Par Laurent Sacco, Futura-Sciences

Le Soleil est en retard sur son cycle de taches solaires. Bien qu'il soit en partie prédit par certains modèles, son importance commençait à rendre les astrophysiciens perplexes. Certains d'entre eux pensent connaître la raison du phénomène. Ils proposent une hypothèse soutenue par les observations de la sismologie solaire.

On présente souvent Galilée comme le découvreur des taches solaire mais il semble clair aujourd'hui que, tout comme pour les premières observations de la Lune avec une lunette astronomique, ce soit Thomas Harriot qui l'ait précédé. En fait, il semble que les observations de taches à la surface du Soleil soient fort anciennes car aussi bien dans des textes de l'antiquité grecque que dans d'autres d'origine chinoises et japonaises, datant de plus de mille ans, on trouve des traces probables d'observations de ce phénomène.

Depuis Galilée, les astronomes ont compilé les observations des taches solaires et c'est ainsi qu'un cycle de 11 ans a été déterminé pour la première fois par l'astronome amateur allemand Heinrich Schwabe vers 1843.


Sur cette image de la surface du Soleil, le disque en bas à gauche donne une comparaison de la taille des taches solaires avec celle de la Terre. Crédit : Nasa

On comprend mieux aujourd'hui la nature des taches solaires, leurs connexions avec la convection du plasma solaire et la magnétohydrodynamique qui s'y développe. On distingue par exemple très clairement les taches solaires lorsqu'on réalise un magnétogramme du Soleil. Les taches sont en effet des zones plus froides où la convection est inhibée par un fort champ magnétique.

Un tube de flux magnétique intense relie ces deux zones et c'est pour cela que les taches sont associées par paires. Comme elles sont plus froides, elles rayonnent moins et apparaissent donc plus sombres dans le domaine optique. Leur taille dépasse facilement celle de la Terre et elles ne durent que deux semaines en moyenne.


Un schéma de la structure interne du Soleil prédit par la théorie de la structure stellaire et vérifiée par la sismologie solaire.
En noir, la propagation de rayons associés aux ondes sismiques p et g. Crédit : Nasa

Des modèles de l'intérieur du Soleil ainsi que de son atmosphère existent depuis des décennies et ils deviennent de plus en plus complexes et précis grâce aux ordinateurs, aux observations de Soho et surtout de l'héliosismologie.

Tout comme la Terre, le Soleil est parcouru d'ondes sismiques qui se manifestent en surface par des modes de vibrations complexes. De la même manière que les ondes sismiques ne sont pas les mêmes selon la forme et la composition minéralogique des couches internes de la Terre, les modes de vibrations du Soleil contiennent des renseignement précieux sur la constitution et les mouvements internes de notre étoile.

Il suffit de mesurer par effet Doppler les mouvements d'oscillations de la surface du Soleil pour réaliser une véritable sismologie solaire et en apprendre beaucoup sur notre astre favori.


Le 22 juin 2009, la surface du Soleil dans le visible ne montre que deux timides taches solaires. Crédit : Nasa

La réponse dans les jets streams

Or, alors qu'il venait de terminer son dernier cycle solaire, avec un minimum de tache, le Soleil tardait à reprendre son activité. Certains astrophysiciens avaient bien prévu un retard d'un an pour la réapparition des premières taches solaires mais leur absence se prolongeait au-delà de la durée prévue.

Fallait-il en conclure que débute un autre minimum solaire comme celui de Maunder ? Mentionné une première fois en 1890 par E. W. Maunder, cet événement correspond à un minimum marqué du nombre de taches solaires entre 1645 et 1715, curieusement concomitant avec un refroidissement de la Terre. Le champ magnétique du Soleil ne montrant pas de signe d'affaiblissement, cette hypothèse était peu probable.


Toujours le 22 juin 2009, un magnétogramme montre plus clairement la présence de quelques rares taches solaires. Crédit : Nasa

Rachel Howe et Frank Hill, deux astrophysiciens américains spécialistes de l'héliosismologie et membres du National Solar Observatory (NSO) à Tucson (Arizona), viennent de proposer une autre explication lors d'une conférence à Boulder (Colorado).

Selon les études qu'ils ont conduites, tous les 11 ans des jet streams analogues à ceux existant sur Terre mais se propageant à des milliers de kilomètres à l'intérieur du Soleil, prennent naissance aux pôles. Lorsqu'ils atteignent la latitude critique de 22° les taches solaires recommenceraient à apparaître.

Or, à l’aide des réseaux d’observation sismologique du Soleil, les deux chercheurs ont découvert que l’un de ces jets streams migrait plus lentement que d’habitude depuis les pôles et son arrivée à la latitude critique semble coïncider avec un début de reprise de l’activité solaire qui devrait être plus marquée dans les mois et les années à venir.

Si le modèle des chercheurs se confirme bien, il devrait aider puissamment à améliorer les prédictions concernant la météorologie solaire et les risques qu'elle fait courir sur les satellites terrestres, avec, par exemple, les électrons tueurs.

Source : Futura Sciences