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23/12/2009

Un avion d'American Airlines s'écrase à la Jamaïque, 40 blessés légers

Les nouvelles arrivent !

 

Publié le 23/12/2009 à 06:41 - Modifié le 23/12/2009 à 07:18 AFP

Un avion d'American Airlines s'écrase à la Jamaïque, 40 blessés légers

Quarante passagers ont été blessés lorsqu'un avion d'American Airlines qui les transportait s'est écrasé et brisé en deux mardi soir sur l'aéroport international Norman Manley de Kingston, a annoncé le ministre jamaïcain de l'Information Daryl Vaz au quotidien Jamaica Observer.

Quarante passagers ont été blessés lorsqu'un avion d'American Airlines qui les transportait s'est écrasé et brisé en deux mardi soir sur l'aéroport international Norman Manley de Kingston, a annoncé le ministre jamaïcain de l'Information Daryl Vaz au quotidien Jamaica Observer.

Le Boeing 737, qui transportait 148 passagers et 6 membres d'équipage, effectuait un vol Miami-Kingston, a précisé la compagnie à l'AFP.

L'appareil, qui tentait de se poser, a été accidenté lorsqu'il est sorti de la piste d'atterrissage, selon la compagnie.

Le biréacteur s'est brisé en deux parties après avoir tenté d'atterrir sous une pluie battante mardi vers 22H00 locales (03H00 GMT mercredi), selon les médias locaux.

"L'appareil s'est écrasé et s'est brisé", a déclaré au Jamaica Observer une passagère, Naomi Palmer.

American Airlines refuse pour le moment de "spéculer sur les causes de l'accident", selon un porte-parole, Billy Sanez.

Les blessés ont été hospitalisés à Kingston, a précisé le ministre jamaïcain.



20/12/2009

Sommet de Copenhague: l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial !

Sommet de Copenhague, l'émergence du gouvernement mondial anoncé depuis le dernier G-20 se concrétise enfin ?

Le sommet sur le climat de Copenhague, souvent “chaotique”, a mis en lumière l’émergence d’un nouvel ordre mondial avec la Chine qui refuse de céder face aux Etats-Unis et impose son statut de superpuissance, estiment samedi les quotidiens danois.

A 08h00 (07h00 GMT), la conférence de l’ONU sur le climat poursuivait ses débats, la plénière refusant d’adopter le projet de déclaration proposé la veille par les Etats-Unis, la Chine, l’Inde, l’Afrique du Sud et le Brésil.

“La réunion climatique chaotique a révélé que Washington ne décide plus et qu’il n’existe plus de consensus politique entre les pays du monde”, constate le quotidien Politiken (centre-gauche), mettant en exergue “la Chine qui s’affirme comme superpuissance”.

Le journal constate que “le vieux modèle de la Banque mondiale - où le pouvoir est partagé entre Washington et Bruxelles - ne fonctionne plus”, notant qu’avec le soutien des pays pauvres, la Chine a refusé d’accepter les mêmes standards pour tous et à s’engager à des réductions contraignantes des émissions de CO2 et une vérification extérieure de ses efforts climatiques”.

La présidence danoise de la conférence “n’était pas suffisamment préparée à cette nouvelle fierté et sûreté des pays en développement”, et a pris des risques élevés en misant “unilatéralement sur le président Obama et l’adhésion américaine” à un accord global.

Le journal conservateur Jyllands-Posten est arrivé à la même conclusion: “que le président russe soit reparti avant la fin alors que la Chine continuait de négocier avec les Etats-Unis est une illustration concrète du nouvel ordre mondial qui se dessine”, écrit son éditorialiste.

“Tout indique que la Chine a été payée en retour après des années d’investissements ciblés en Afrique” qui s’est rangée derrière Pékin, selon son éditorialiste.

Et le président américain Obama “apparaît affaibli après une dure lutte pour le pouvoir avec la Chine sur le climat de la planète”, relève le journal.

Pour l’autre quotidien conservateur Berlingske Tidende, “de nouveaux acteurs puissants -notamment les économies émergentes de la Chine, de l’Inde et du Brésil- ne se laissent plus mener à la baguette”.

“Les nouveaux pays industrialisés ne veulent plus être achetés avec des promesses d’assistance, comme ce fut le cas lors de nombre de sommets de l’ONU depuis les années 60″.

La donne est changée avec la Chine, la nouvelle superpuissance, qui a “refusé de plier face aux pressions massives”, selon ce quotidien.

Source: Agence France Presse

http://www.spreadthetruth.fr/?p=6216

 

 

19/12/2009

Ce que dit l'accord de Copenhague

Terre 19/12/2009 à 14h44


Ce que dit l'accord de Copenhague et tout cela basé sur des mensonges et sur les réelles causes cosmiques du réchauffement.

Les Illuminati-reptiliens, auraient-ils loupé leur instauration du Nouvel Ordre Mondial lors de la conférence de Copenhague ? Affaire à suivre de près...

Repères

Conclu dans la soirée de vendredi par une sorte de G20 élargi, sans l'accord de tous les pays, le texte ne fixe aucun objectif chiffré.

L'Accord de Copenhague, dont l'ONU a «pris note» ce samedi, permet pour la première fois d'enrôler l'ensemble des grands pays pollueurs, industrialisés et émergents, dans la lutte contre le changement climatique mais sur des ambitions réduites et sans cadre contraignant. Les principaux points de cet accord (à télécharger ici en pdf):

Accords de Copenhague du 18 -12-2009.pdf : (Ils se fichent de nous !)


Les objectifs

- La hausse de la température moyenne de la planète devra être contenue en-dessous de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels (1800). Mais cette disposition n'est assortie d'aucune garantie: l'accord ne mentionne pas en effet la division par deux des émissions polluantes d'ici 2050 ni de date à laquelle celles-ci devront cesser d'augmenter.

- D'ici au 31 janvier, les pays industrialisés devront communiquer leurs objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre à horizon 2020 et les pays en développement devront annoncer les actions qu'ils comptent mettre en oeuvre pour atténuer les leurs. Aucun objectif chiffré n'est inscrit dans le texte.

La vérification

- Les engagements des pays industrialisés devront être «mesurables, notifiables et vérifiables» (règles MRV), afin d'en contrôler la réalité.

- Les pays en développement communiqueront eux-mêmes, tous les deux ans, les informations sur leurs politiques nationales, en offrant les éléments ouvrant à des "consultations et analyses internationales", dans le "respect de leur souveraineté nationale" (concession à la Chine).

Seules les mesures bénéficiant d'un soutien international, financier ou technologique, seront soumises aux règles MRV.


Ce point a constitué l'un des plus durs de la négociation.

Le financement


- Une aide immédiate de 30 mds de dollars sur trois ans (2010-2012) doit soutenir l'adaptation des pays en développement aux impacts du réchauffement: elle sera allouée «prioritairement» aux plus vulnérables, notamment en Afrique et dans les petites îles.

- De 2013 à 2020, les pays développés s'engagent à mobiliser progressivement jusqu'à 100 mds de dollars: ces fonds proviendront «de sources variées, publiques et privées, bilatérales et multilatérales, y compris de financements innovants» - sans évoquer à ce stade de taxe particulière.

- Création du «Fonds Vert Climat» de Copenhague pour soutenir les projets des pays en développement visant à réduire leurs émissions, comme la protection des forêts et la lutte contre la déforestation, l'adaptation, le renforcement des capacités et le transfert de technologies.

Contrainte juridique

- Le «fantôme» de Copenhague: la prochaine conférence de Mexico, fin 2010, ne verra sans doute pas l'adoption d'un nouveau traité contraignant. Le protocole de Kyoto reste donc le seul instrument légal contre le réchauffement, mais ne concerne qu'un tiers à peine des émissions mondiales.

http://www.liberation.fr/terre/0101609587-ce-que-dit-l-ac...

 

 

 

12/12/2009

Une société entend ouvrir un hôtel dans l'espace en 2012

Il ne se passerait rien en 2012........mais on prévoit déjà ses arrières pour les plus fortunés ?
Nous serions curieux de connaître les porteurs de parts sociales de cette Société.

 

Le 02/11/2009 à 08:14

Une société entend ouvrir un hôtel dans l'espace en 2012


La société Galactic Suite Ltd, à l'origine d'un projet d'hôtel dans l'espace entend accueillir ses premiers hôtes payants en 2012, malgré les critiques qui se sont entendre sur la tenue des délais et l'investissement à réaliser. /Image d'archives/REUTERS/NASA Goddard Space Flight Center


BARCELONE, Espagne (Reuters) - L'entrepreneur à l'origine d'un projet d'hôtel dans l'espace entend accueillir ses premiers hôtes payants en 2012, malgré les critiques qui se sont entendre sur la tenue des délais et l'investissement à réaliser.

La société Galactic Suite Ltd, maître d'oeuvre du projet Galactic Suite Space Resort, prévoit de facturer les trois nuits pour trois millions d'euros, un prix incluant une session d'entraînement de huit jours sur une île tropicale.

Durant leur séjour, les hôtes pourraient observer 15 levers de soleil par jour, faire le tour du monde toutes les 80 minutes et porteront des combinaisons munies de velcro pour se déplacer agrippés au mur, à la manière du super-héros Spiderman.

Ancien ingénieur de l'aérospatiale, le directeur général de Galactic Suite Ltd, Xavier Claramunt, estime que le projet fera de sa société un pionnier de ce marché naissant mais prometteur et assure que le voyage spatial finira par devenir commun.

"Il est tout à fait normal d'imaginer que vos enfants, peut-être d'ici 15 ans, pourront passer un week-end dans l'espace", a-t-il dit à Reuters Television.

L'industrie du tourisme en est à ses balbutiements et commence à se développer avec la construction au Nouveau-Mexique du Spaceport America, première base spécialement dédiée à une exploitation commerciale.

Le site devrait notamment accueillir les navettes de Virgin Galactic, le nouveau projet grâce auquel le milliardaire britannique Richard Branson entend propulser des touristes dans l'espace moyennant 200.000 dollars par voyage.

Galactic Suite, société créée en 2007, devrait lancer son projet avec une capsule unique placée en orbite à 450 km de la Terre et capable d'héberger quatre personnes plus deux pilotes.

Le voyage jusqu'à l'engin prendra une journée et demie.

Plus de 200 personnes ont déjà signalé leur intérêt pour un séjour dans l'espace, dont 43 ont déjà réservé.

Ces chiffres sont semblables à ceux de Virgin Galactic, qui dit pouvoir déjà compter sur 300 clients pour ses voyages.

Les détracteurs de Galactic Suite remettent en cause le calendrier annoncé, irréaliste à leurs yeux, et s'interrogent sur la provenance des fonds. Selon Claramunt, un milliardaire amoureux de l'espace a apporté trois milliards de dollars pour financer le projet.

Stuart McDill, version française Grégory Blachier


Quelques réponses ici, sur les partenaires du projet.

Communiqué de presse de la Sté Galactic Suite Ltd



04/12/2009

Christophe de Margerie : non, l’âge du pétrole n’est pas fini !

Faudrait savoir s'il n'y a plus de pétrole ou s'il y en a encore ?

D'après vous ?

Nous n'y croyons pas un seul instant !
L'Univers et la Terre existent depuis des milliards d'années !

Ce pauvre Créateur qui serait plein de défauts et de carences ! C'est encore de sa faute !

Il est parfait, mais il aurait créé un Univers qui existe depuis des milliards d'années et il serait incapable de se renouveler pour entretenir la vie sur toutes les planètes ! Idem pour notre système immunitaire !

Pourquoi ne pas faire aussi un procès à l'Eternel pour ses carences ? Bref !

Sur quels calculs et moyens technologiques se basent-ils pour dire que les réserves en pétrole de la Terre sont épuisées ?

Une autre escroquerie pour continuer à nous voler nos richesses !


Christophe de Margerie : non, l’âge du pétrole n’est pas fini !
http://energie.lexpansion.com/articles/energies-fossiles/...


Climagate: un faux-réchauffement au service du pic pétrolier?