Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/02/2011

L'inversion des pôles géomagnétiques entraînée par de brusques changements du niveau des mers

Document important !

Nous vous avions promis de vous communiquer des documents importants et officiels, relatifs à l'existence de la planète Nemesis, Nibiru ou Planète X et sur l'inversion des pôles magnétiques terrestres.

Nous allons vous les communiquer, mais comme le savez ce sont des éléments qui ne sont pas communiqués au grand public et qui sont tenus secrets par les élites Illuminati-reptiliens, la NASA et le Vatican.

Nous sommes donc obligés de prendre nos précautions pour tout sauvegarder pour être crédibles et avant que ces données ne disparaissent du net.

Vous remarquerez que ces recherches datent pour certaines des années 1970 et que les rapports des recherches n'ont été mis en ligne que très récemment, en décembre 2009 et février 2011.

Pour quelles raisons, alors que ces travaux et rapports existent depuis quelques décennies déjà, les élites n'ont décidé de ne les mettre en ligne pour les mettre à la disposition du grand public que maintenant ? Il doit se passer quoi bientôt pour venir nous dire que tous ces documents étaient à notre disposition ? En avez-vous entendu parler dans la presse aux ordres ?

Et bien sûr pour s'assurer que ces documents ne seront pas compris par les francophones ou par tous ceux qui ne sont pas anglophones. Ils nous imposent le barrage de la lanque anglaise, un moyen supplémentaire pour barrer l'information au plus grand nombre.

Ils se moquent de nous depuis des décennies voire des millénaires. En effet, le Vatican est censé détenir des observatoires et des équipes de chercheurs qui travaillent en étroite collaboration avec la NASA, et ils sont censés être les gardiens de la connaissance depuis des millénaires. Les archives secrètes du Vatican en sont l'une des preuves. 

Ils ne sont donc pas censés ignorer les travaux des scientifiques et ceux des anciennes civilisations, non plus, dont celles des scientifiques, mathématiciens et physicienes Mayas.Tout ce qu'ils savent faire pour nous cacher les véritables informations, c'est de les classer au rang des mythes et des affabulations des complotistes. Qui sont les complotistes ? Ceux qui nous cachent les informations ou ceux qui les recherchent ?

Parmi nos recherches relatives à Nemesis, nous avons découvert un document inportant relatif à l'inversion des pôles magnétiques terrestres qui pourraient s'inverser lors d'un changement brutal du niveau des mers et des océans. Ce que nous vivons depuis quelques décennies, car avec la fonte des banquises, les mers et les océans montent sur tout le globe. Ils vont encore nous dire que ce n'est pas vrai sans doute ?

Il existe des documents que nous allons vous communiquer qui attestent aussi, que l'inversion des pôles magnétiques pourraient se produire non seulement à cause de la montée subite du niveau des mers et des océans, mais aussi à cause de l'arrivée dans notre système solaire d'un astéroïde, dont Nemesis ou Nibiru ou la Planète X.

Voici le document ci-dessous qui traite de l'inversion des pôles magnétiques entraînée par de brusques changements du niveau des mers. Et ce n'est pas la peine de croire que tout cela se passera en 2050 ou en 2100 ou dans mille ans. C'est en cours maintenant !

Quand allez-vous comprendre que l'on ne vous assène que des mensonges depuis des millénaires et que l'on vous cache toutes les vérités depuis des décennies ? La mise en ligne tardive de ces rapports vous en rapportant la preuve.

 

L'inversion des pôles géomagnétiques entraînée

 par de brusques changements du niveau des mers


GEOMAGNETIC REVERSALS DRIVEN BY ABRUPT SEA LEVEL CHANGES

Chercheurs et auteurs du rapport : Muller, R.A. ; Morris, D.E.

Date de publication : 1er octobre 1986 

Date de mise en ligne : 3 février 2011

Rpt : 8889

 

OSTI Identifier

        OSTI ID: 1004148

Report Number(s)

        LBL-20131

DOE Contract Number

        DE-AC02-05CH11231

Resource Type

        Technical Report

Research Org

        Ernest Orlando Lawrence Berkeley National Laboratory, Berkeley,                        CA (US)

Sponsoring Org

         Accelerator& Fusion Research Division

Subject

         99

Country of Publication

         United States

Language

          English

Format

          Medium: ED; Size: 15 p.

System Entry Date

          2011 Feb 03

 

Sources : http://www.osti.gov/bridge/product.biblio.jsp?query_id=0&page=0&osti_id=1004148&Row=5 

 

************************************************

CHERCHEURS 

("Muller, R.A.") 

http://www.osti.gov/bridge/searchresults.jsp?Author=%22Mu...

 Profil du chercheur  Muller R.A.
Thèmes des travaux de recherches sur le site du Département de l'Energie US

Muller RA.JPG

("Morris, D.E.") 

http://www.osti.gov/bridge/searchresults.jsp?Author=%22Mo...

 Profil du chercheur  Morris, D.E.
Thèmes des travaux de recherches sur le site du Département de l'Energie US

Maurice DE.JPG


Ces deux chercheurs ont fait des recherches notamment sur l’existence de Nemesis, ou Nibiru ou la planète X, comme étant le compagnon de notre Soleil. Nemesis a été appelée aussi l’étoile de la mort.

Voir ci-dessous la liste de leurs travaux et les images du site que nous avons voulu prendre pour preuves que ces chercheurs et travaux existent.

 

Vous remarquerez que certains de leurs travaux ont été effectués depuis les années 1970 et que les rapports de leurs recherches n’ont été mis en ligne que récemment sur le site officiel de

OSTI.Gov

Le Département de l'Énergie US 

http://www.osti.gov/bridge

Image source du rapport sur le site du département de l'énergie US (anglais)

Geomagnetic reversals driven by abrupt level changes.JPG

Image source du rapport sur le site du département de l'énergie US
(Français  - traduction Google)

 

L'inversion des pôles géomagnétiques entraînée par de brusques changements du niveau des mers.JPG


L'inversion des pôles géomagnétiques
entraînée par de brusques changements du niveau des mers
GEOMAGNETIC REVERSALS DRIVEN BY ABRUPT SEA LEVEL CHANGES
Chercheurs et auteurs des rapports : Muller, RA ; Morris,DE
Date de publication : 1er octobre 1986
Date de mise en ligne : 3 février 2011

La hausse du niveau de la mer Méditerranée est en l'accélération

Nous  vous  demandons d'être attentifs à cette indication, car la montée brusque des mers et des océans  sera l'un des facteurs  avec  l'approche d'un astéroïde pour provoquer l'inversion des pôles magnétiques. Tous ces éléments semblent se réunir actuellement selon les recherches que nous avons faites.

Voir l'article précédent : ICI

« Les changements dans le moment d'inertie de la terre, provoqués par la redistribution de l'eau de mer des tropiques à la glace dans les hautes latitudes, couple l'énergie de la rotation de la Terre en convection dans le liquide du coeur. Ce mécanisme peut contribuer à fournir l'énergie motrice pour la dynamo de la terre. Des changements suffisamment rapides du niveau des océans peuvent perturber la dynamo, résultant (dans la moitié des cas) dans une inversion du champ magnétique terrestre. Le modèle peut rendre compte de la mystérieuse corrélation précédemment signalée entre les inversions géomagnétiques et des extinctions de masse. »

La hausse du niveau de la mer Méditerranée est en l'accélération.
Depuis  le  début  du  21ème siècle le niveau a déjà augmenté de 20 centimètres.

 
Traduction Google de l'article :
 
The rise in sea level of the Mediterranean is accelerating
 

 25   février 2011

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur cette image, les scientifiques prélèvent des échantillons au cours de la campagne RADMED. Crédit: BIE

 

À la fin du 20e siècle, l'élévation du niveau marin de la mer Méditerranée a été plus faible que dans le reste du monde en raison de la pression atmosphérique, mais depuis le début du 21e siècle au niveau de la Méditerranée ont repris le rythme et semblent s'accélérer. Cela a été démontré par les résultats mis à jour de la deuxième édition du livre Cambio Climático en el Mediterráneo Español (changement climatique en Méditerranée espagnole).

  

"Le niveau de la mer en Méditerranée a augmenté entre 1 et 1,5 millimètres chaque année depuis 1943, mais cela ne semble pas se poursuivre, car il semble maintenant que la vitesse à laquelle il se lève s'accélère", Manuel Vargas Yáñez, auteur principal du livre Cambio en el Mediterráneo Climático Español, et chercheur à l'Institut espagnol d'océanographie (IEO), raconte SINC.
 

La publication, qui, dans sa deuxième édition comprend, pour la première fois, les chiffres du climat de 1943 à 2008 en utilisant un système d'observation maritime qui est unique en Espagne et pionnier en Europe, confirme que la Méditerranée est de plus en plus chaude. Sa salinité est également en augmentation, et la montée du niveau des mers s'accélère. Depuis le début du 21ème siècle le niveau a déjà augmenté de 20 centimètres.

Cependant, "au cours des trois dernières années, qui ont été ajoutés à l'étude (2005 à 2008) la hausse des températures a été plus lent qu'à la fin du 20e siècle, lorsque la température de la mer a augmenté de manière significative", souligne Vargas Yáñez, qui insiste sur la nécessité d'étudier de longues séries de chiffres pour montrer l'impact du  en Méditerranée.

Selon le livre, a présenté aujourd'hui à Malaga par la Fondation espagnole pour la Science et de la technologie (FECYT) et le BIE pour marquer le troisième anniversaire de SINC, les changements survenus dans les températures ne sont pas seulement dues aux effets du changement climatique, mais aussi naturel et "normal" des changements atmosphériques. "Ce sont des changements qui sont toujours qui va se passer, l'atmosphère et les océans sont des systèmes chaotiques", explique l'expert.

Quelque chose que les êtres humains ne peuvent plus éviter

Sur la couche de surface de la mer, la température a augmenté tout au long du 20e siècle à un niveau similaire à celui de l'air, en d'autres termes à peu près 0,7 ou 0,8 º C. "Il est à la hausse à une vitesse de près de un degré par siècle, mais il n'est pas possible d'extrapoler pour le 21e siècle, car il dépend de ce que les êtres humains font et ne répond qu'aux lois de la nature", explique-Yáñez Vargas.

Même si les hommes étaient à rejeter moins de CO2 dans l'atmosphère au cours de ce siècle, les pays émergents ont à réduire leurs émissions, et la combustion de combustibles fossiles a diminué et l'économie verte ont été promus, "à court terme, les températures continuent à augmenter", conclut le scientifique.

"Le climat de la Terre connaît l'inertie dans une certaine mesure. Même si nous avons diminué les émissions de gaz à effet de serre aux niveaux des années 1990, au cours des 30 prochaines années, la hausse des températures et  se poursuivra au même niveau que si nous n'avons rien fait ", le physicien fait remarquer, qui ajoute, néanmoins, que« l'avenir n'est pas gravé dans la pierre, et nous pouvons encore prendre des mesures pour y remédier ".

Vargas Yáñez et son équipe de continuer à mettre à jour les chiffres du climat méditerranéen pour l'année après année, consolidant ainsi le système d'observation et de surveillance. La prochaine étape sera de présenter un rapport qui est similaire mais «plus multidisciplinaire", et qui comprend une étude de l'impact du changement climatique sur les écosystèmes de la Méditerranée.

Plus d'informations: Manuel Vargas Yáñez, et al. «Cambio en el Mediterráneo Climático Español" actualizada edición Segunda. Instituto Español de Oceanografia, 2011.

Fourni par FECYT - Fondation espagnole pour la Science et de la technologie

 http://www.physorg.com/news/2011-02-sea-mediterranean.html


12/02/2011

2050 ? Et si c'était maintenant ?

 Voilà encore une preuve que l'on cache tout, et ce depuis 2006, soit 5 ans ! 

Ce documentaire a été diffusé en 2008, sur un rapport commandé par le Pentagine en 2006, sur les risques d'un changement brutal du climat en 2010.

Quand vous aurez vu ce reportage et que vous aurez fait la comparaison avec ce qui se passe depuis quelques mois sur terre avec les changements climatiques, nous pourrions tous dire que 2050 c'est maintenant !

dimanche 26 octobre 2008, par Hobbit

Un rapport du Pentagone avertit le président des États-Unis qu’un changement brutal du climat amènera la planète Terre au bord de l’anarchie et de la guerre nucléaire pour accéder aux ressources de base comme la nourriture et l’eau. Réaliser par Ruth Chao Garcia en 2006, ce documentaire approche l’enjeu du réchauffement climatique sous l’angle des conséquences pour notre civilisation et du peu de temps qu’il nous reste pour réagir.

Ce documentaire est celui d’un rapport commandé par le département de la Défense du Pentagone pour prévoir les éventuelles conséquences d’un changement climatique brutal sur la sécurité des États-Unis. Or ses conclusions se sont révélées si alarmantes que les plus hautes autorités ont tout fait pour l’étouffer. S’appuyant sur les plus récentes études et sur l’évolution générale des conditions climatiques à l’échelle terrestre, il faut maintenant envisager pour 2010 un brusque refroidissement du climat, qui ferait suite à des années de réchauffement croissant.

2050 et si c’était maintenant ?

http://video.google.com/videoplay?docid=-7741826116611282...#
 


.

Ils analysent ensuite méthodiquement, avec une froide logique, les effets sur les conditions de vies sur les différents continents, les prolongements inévitables d’une telle situation, qui conduira la planète au bord de l’anarchie. Ils ébauchent ainsi un scénario détaillé et réaliste sur quarante ans des conséquences géopolitiques de ce changement brutal : engloutissement de certaines villes européennes par la montée des eaux, développement des conflits sur toute la planète, dus au déplacement des populations et à la raréfaction de l’eau potable, famines, émeutes généralisée, etc. “Imaginer l’inimaginable” afin de s’y préparer, tel est le but de ce rapport, qui n’a rien d’une dénonciation vertueuse des effets nocifs de l’activité industrielle, mais qui anticipe le scénario le plus probable compte tenu des tendances climatiques et politiques actuelles.

 

 

29/01/2011

La fonte de la banquise relâche du mercure. Les gaz à effet de serre ne seraient pas responsables du réchauffe ment climatique.

Il était temps qu'ils reconnaissent leurs erreurs ! NON ?  Au lieu d'imputer à l'homme la libération du CO2 dans l'atmosphère !

Que les industriels cessent en tout premier lieu la libération de produits toxiques et chimiques dans les airs, les mers, les océans et les rivières !


Les scientifiques oublient aussi que les océans sont les premiers producteurs de CO2 au monde, à cause des réserves de méthane contenues dans leur sous-sol et qui se libèrent dans l'atmosphère sous la fonte des glaces aux pôles.

Les gaz à effet de serre ne seraient pas responsables du réchauffement climatique.

http://www.come4news.com/les-gaz-a-effet-de-serre-ne-sera...

http://rvfsl.free.fr/environnement2.html

La fonte de la banquise relâche du mercure.

Par Marielle Court
18/01/2011 | Mise à jour : 09:07

Le mercure s'oxyde sous une forme qui se dépose ensuite très facilement dans la neige ou la glace.
Le mercure s'oxyde sous une forme qui se dépose ensuite très facilement dans la neige ou la glace. Crédits photo : Torsten Blackwood/ASSOCIATED PRESS

Malgré des émissions stabilisées depuis trente ans, les concentrations augmentent dans l'océan Arctique. 

Pourquoi le taux de mercure ne cesse-t-il pas d'augmenter dans l'océan Arctique? Quelles sont les interactions avec le milieu? Ces questions sont d'autant plus importantes que ce produit qui appartient à la famille des métaux lourds est particulièrement toxique pour les animaux et, par voie de conséquence, pour l'homme qui se trouve au bout de la chaîne alimentaire. «L'exposition des populations du Grand Nord au mercure est parmi la plus élevée au monde en termes de concentration dans le sang et dans les cheveux», rappelle Peter M. Outridge, dans une publication du Csiro (l'organisme de recherche publique australien). «Dans certaines communautés le niveau de concentration est bien supérieur aux recommandations de l'OMS (Organisation mondiale de la santé)». Or il reste beaucoup d'inconnues sur le fonctionnement de ce polluant. Il existe non seulement des différences géographiques dans la concentration du mercure mais aussi de son impact sur les espèces. Entre la période pré-industrielle et aujourd'hui, la quantité de mercure retrouvée dans les régions arctiques a été multipliée par un facteur dix. Et sur les trente dernières années il n'a eu de cesse d'augmenter, alors même que les émissions sont restées stables.

Il n'y a aucune source directe de mercure en Arctique. Mais lorsque ce métal est relâché dans l'atmosphère il y reste une année environ. Les émissions de mercure, qui sont d'origine naturelle ou proviennent des exploitations industrielles, ont donc tout le temps d'être transportées par les courants et de retomber dans le Grand Nord. Il s'oxyde sous une forme qui se dépose ensuite très facilement dans la cryosphère (neige et glace). Avec le réchauffement climatique et la fonte accélérée de la banquise ce mercure se disperse dans l'océan sous sa forme la plus toxique, le méthylmercure.

 

De nouvelles interrogations 

Toutefois, une étude franco-américaine publiée hier dans Nature Geoscience avec la participation de deux jeunes chercheurs du CNRS et de l'IRD (Institut de recherche pour le développement) apporte de nouvelles interrogations. Elle montre en effet que les rayons du soleil peuvent détruire partiellement le méthylmercure contenu dans l'océan Arctique. Le travail effectué dans deux régions, l'une au nord de l'Alaska et l'autre plus au sud, montre «qu'environ 8% du méthylmercure disparaît lorsqu'il n'y a plus de glace et que les rayons du soleil atteignent la mer», explique ainsi Jeoren Sonke (CNRS). «Si un jour toute la banquise disparaissait ce serait 8% du méthylmercure qui ainsi disparaîtrait», poursuit le jeune chercheur.

Paradoxalement, ce constat n'est pas en adéquation avec les quantités de mercure relevées dans les oeufs des oiseaux observés, des guillemots. Celles qui vivent plus au sud, là où il y a moins de glace et donc a priori moins de méthylmercure, sont en fait plus contaminées que celles qui se trouvent plus au nord. «Cela montre qu'il reste encore beaucoup d'inconnues et des phénomènes que l'on ne comprend pas», explique le jeune chercheur.

«Nous allons approfondir ces questions en travaillant à une échelle plus globale dans d'autres régions du ­monde», précise David Point (IRD). Cette année, les deux scientifiques vont ­notamment poursuivre leur travail au Canada et en Scandinavie et en Bolivie.

LIRE AUSSI :

» Pôle Nord, pôle Sud : la fonte des glaces s'accélère

» Le pôle Nord se réchauffe, l'Europe se refroidit...

http://www.lefigaro.fr/environnement/2011/01/17/01029-201...

 

 

14/01/2011

Des forêts au pôle Nord !

 

Bruno Lamolet, lesdebrouillards.com, 13 janvier 2011
  
 
Le pôle Nord n'est pas si désert! Des arbres momifiés ont été découverts récemment dans le sol d'une île de l'Arctique canadien. Ils sont là depuis au moins deux millions d'années!


Photo : Wikimedia Commons

Des employés du parc national Quttinirpaaq ont découvert de gros morceaux de bois sur l'île d'Ellesmere. D'où venaient-ils? Mystère... Ils étaient beaucoup trop gros pour provenir des minuscules arbres nains de l'île.

Des scientifiques américains ont trouvé la réponse. Les gros morceaux de bois étaient enfouis dans le sol, mais une rivière qui passe à cet endroit les a déterrés.

 

Les chercheurs ont découvert du pin, du bouleau et de l'épinette. Selon eux, ces arbres ont vécu il y a de deux à dix millions d'années. Les arbres sont très bien conservés et ne se sont pas décomposés car la forêt a été engloutie par un glissement de terrain. La boue a protégé les arbres contre l'eau et l'air, responsables de la décomposition.

Il faisait plus chaud en Arctique
La découverte de cette forêt indique que l'Arctique a déjà été plus chaud. Ces arbres ont peut-être même subi le grand refroidissement planétaire d'il y a cinq millions d'années. Les scientifiques veulent étudier cette forêt pour savoir comment la nature réagit aux changements climatiques et ainsi prévoir ce qui se passera avec nos forêts.

 
Photo : Wikimedia Commons / Marianne S. V. Douglas, Department of Earth and Atmospheric Sciences, University of Alberta, Edmonton, Canada.