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25/10/2014

Sotchi : Poutine rencontre les membres du Club Valdaï (SYNTHESE)

Les 4 vérités de Poutine au cours de la rencontre à Sotchi, des membres du Club Valdaï.

Poutine rencontre les membres du Club Valdaï (SYNTHESE)

Dossier: 11e réunion du club de discussion Valdaï

 

Le président russe Vladimir Poutine

21:45 24/10/2014

MOSCOU, 24 octobre - RIA Novosti

Le président russe Vladimir Poutine a rencontré vendredi les membres du Club de discussion international Valdaï qui s'est réuni cette année à Sotchi, haut lieu des Jeux Olympiques d'hiver 2014. Les questions évoquées ont porté sur la place de la Russie sur la scène internationale, la crise en Ukraine, la sécurité en Europe et dans le reste du monde, les sanctions économiques décrétées par l'Occident contre Moscou.

Institué en septembre 2004, le Club de discussion Valdaï rassemble chaque année près de trois cents analystes politiques de différents pays et aborde des thèmes dont la discussion permet aux participants étrangers de mieux comprendre la Russie. Cette année, les sessions du Club ont réuni 108 experts, historiens et analystes politiques de 25 pays.

La Russie et le monde

La politique extérieure de la Russie a été évoquée par de nombreux membres du Club Valdaï.

"La Russie ne prétend à aucun leadership mondial", a indiqué Vladimir Poutine, soulignant que "la thèse selon laquelle la Russie prétendrait à l'exclusivité était complètement fausse".

"Nous ne réclamons pas de place particulière au soleil, mais estimons que tous les participants de la communication internationale doivent respecter les intérêts mutuels. Nous sommes prêts à respecter les intérêts de nos partenaires et comptons sur une attitude tout aussi respectueuse envers nos propres intérêts", a affirmé le chef de l'Etat russe.

Politique internationale

Selon le président, "le monde s'est engagé dans une époque de changements et de mutations profondes, époque où nous devons tous faire preuve d'un degré élevé de prudence et d'une capacité à éviter les démarches irréfléchies".

Le chef de l'Etat russe a appelé à mettre en place un "système explicite d'engagements et d'accords mutuels" afin de prévenir l'anarchie mondiale.

Pour Vladimir Poutine, le système des relations internationales a besoin d'être repensé. Or, "les Etats-Unis, qui se sont proclamés vainqueurs de la guerre froide, ce que je trouve assez présomptueux de leur part, ont estimé qu'aucune réforme n'était nécessaire", a constaté le président russe.

Selon lui, l'Occident donne l'impression d'être en perpétuelle lutte contre les résultats de sa propre politique.

"On a parfois l'impression que nos collègues et amis ne cessent de lutter contre les résultats de leur propre politique. Ils lancent toute leur puissance pour éliminer les risques qu'ils créent eux-mêmes, en le payant de plus en plus cher", a déclaré le chef de l'Etat à Sotchi.

D'après Vladimir Poutine, "il n'y a, malheureusement, plus de garanties ni de certitude que le système actuel de sécurité mondiale et régionale soit capable de nous épargner des bouleversements".

"Ce système est sérieusement affaibli, morcelé et déformé. Les institutions internationales et régionales de coopération politique, économique et culturelle traversent une période difficile", affirme le chef de l'Etat.

Bouleversements économiques

Les sanctions sapent les fondements du commerce international et les règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), le caractère immuable de la propriété privée et le modèle libéral de la mondialisation reposant sur le marché, la liberté et la concurrence, estime le président russe.

Il a par ailleurs rappelé que le bien-être des Etats-Unis dépendait pour beaucoup de la confiance des investisseurs, des détenteurs étrangers de dollars et de bons du Trésor américain.

L'UE et l'Union économique eurasiatique (UEEA) devraient mener un dialogue sur la création d'un espace économique unique s'étendant de l'Atlantique au Pacifique, estime Vladimir Poutine.

"Nous saluerions le lancement d'un dialogue substantiel entre l'Union eurasiatique et l'Union européenne qu'on nous a toujours refusé. Et je ne comprends pas pourquoi, où est le problème?", a demandé le président russe.

Problèmes militaires

La Russie appelle à poursuivre les entretiens sur la réduction des arsenaux nucléaires, a fait savoir Vladimir Poutine.

"Nous insistons sur des entretiens portant sur la réduction des arsenaux nucléaires. Moins il y a d'armes nucléaires dans le monde, mieux c'est. Nous sommes prêts à une discussion sérieuse et substantielle sur le désarmement nucléaire", a-t-il déclaré.

Cependant, les actions des Etats-Unis risquent de provoquer la destruction du système de contrôle des armements, affirme le président

Il estime que "les Etats-Unis ont lancé ce processus dangereux en se retirant unilatéralement du Traité sur la limitation des systèmes antimissiles balistiques (Traité ABM) en 2002".

Les Etats-Unis "ont ensuite procédé à la création de leur système global de défense antimissile. Chers amis et collègues, je tiens à attirer votre attention sur le fait que ce n'est pas la Russie qui a initié ce processus", a déclaré M. Poutine.

"L'éventualité de toute une série de conflits impliquant directement ou indirectement des grandes puissances monte en flèche. Non seulement des contradictions traditionnelles entre Etats, mais aussi l'instabilité intérieure de certains pays constituent un facteur de risque", a fait savoir le chef de l'Etat.

Selon lui, cela concerne particulièrement les pays situés à la jonction d'intérêts géopolitiques des grandes puissances ou à la frontière des continents culturels, historiques, économiques ou civilisationnels.

Ukraine

Il est capital pour l'Ukraine d'arrêter immédiatement la guerre, après quoi un dialogue sera envisageable, estime Vladimir Poutine.

"Quant à ma position sur l'Ukraine en tant qu'Etat souverain, je n'ai jamais mis en doute que l'Ukraine est un Etat européen souverain et moderne. Or, il en va autrement pour l'histoire de la formation de l'Ukraine dans ses frontières actuelles, qui a été un processus assez compliqué", a indiqué le président russe.

Il a fait savoir que Moscou avait aidé le président Viktor Ianoukovitch à fuir en Crimée après le coup d'Etat à Kiev, avant de le transférer en Russie à sa demande.

"Je ne vous cacherai pas que nous l'avons aidé à se réfugier en Crimée, où il a passé plusieurs jours. A cette époque, la Crimée faisait encore partie de l'Ukraine, mais puisque les événements à Kiev évoluaient très vite et de manière tumultueuse, il n'avait aucun intérêt à rentrer à Kiev", a raconté M. Poutine.

Selon lui, il était extrêmement dangereux pour Viktor Ianoukovitch de revenir à Kiev, où les putschistes tuaient des activistes du Parti des régions restés fidèles à l'ancien président ukrainien.

En voyant l'évolution des événements, les habitants de la Crimée ont demandé à la Russie de les aider à organiser un référendum.

Ce dernier s'est déroulé en bonne et due forme. Près de 97% des participants au scrutin ont voté pour l'adhésion de la péninsule à la Fédération de Russie.

 

http://fr.ria.ru/world/20141024/202812261.html

 

 

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

Et pendant que l'Europe attend les ordres des Banksters Nazis pour fermer les banques en Europe en cas de panique, la Russie et la Chine ont déjà pris leurs précautions pour ne pas être les victimes de l'effondrement du dollar ou économique !

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque mondiale

  •   vendredi, 24 octobre 2014 16:36

(Agence Ecofin) - La Chine et vingt autres pays ont signé, le 24 octobre, un protocole d’accord visant à créer une banque régionale spécialisée dans le financement des infrastructures, et conçue comme une alternative à la Banque mondiale.

L’Inde, Singapour, le Kazakhstan, Pakistan, le Vietnam et le Qatar figurent parmi les  21 pays signataires de l’accord. Le Japon n’a pas signé cet accord en raison de la rivalité avérée entre Pékin et au Tokyo sur les plans militaire, économique et politique.  

A noter également que l’'Australie, l'Indonésie et la Corée du Sud n’étaient pas représentées à cette cérémonie.

La  «Banque asiatique d’investissements dans les infrastructures» (AIIB) sera dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin, selon les médias officiels chinois.

Les financements devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon des sources citées par le Financial Times. «En chinois, nous avons un vieux proverbe qui dit: si vous voulez devenir riche, construisez d’abord des routes ; je crois que cela décrit de façon concrète l’importance des infrastructures pour le développement économique», a déclaré à cette occasion le président chinois Xi Jinping.

L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux.

Les puissances émergentes des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient créé en juillet leur propre banque et un fonds de réserves, affichant ouvertement leur désir d’élaborer une architecture financière distincte d’organisations jugées aux mains des pays occidentaux.

Lire aussi

27/06/2014 - La Chine veut créer à tout prix une institution rivale de la Banque mondiale

 

 

Marginaliser la Russie serait une grossière erreur !

Avec ce que cela inclus comme conséquences sur les entreprises et le taux de chômage en France ! Mais pourvu que les VRP/Sionistes obéissent aux US/UE/nazis, le peuple lui, peut payer ou crever !

Marginaliser la Russie serait une grossière erreur !

 

Marginaliser la Russie serait une grossière erreur !

Publié le 21 octobre 2014 par Réflexions et analyses de la Société Civile

Dernièrement Laurent Fabius Ministre des affaires étrangères a déclaré devant 400 personnes rassemblées à l’occasion d’un séminaire international du Medef : « le conflit russo-ukrainien pose de gros problèmes aux entreprises françaises ».

Mais à quoi pouvait-il s’attendre ? Des sanctions en appelant d’autres, la Russie a riposté en stoppant ses importations. On comprend l’inquiétude des 6 000 sociétés françaises qui exportent vers son territoire, à croire que la France sabote sa planche de salut pour plaire aux Etats-Unis !

Et pendant que notre pays essaie de ménager la chèvre et le chou jouant sur du velours avec la livraison des navires de guerre Mistral à la Russie sans courroucer nos amis US, la Russie et la Chine ont signé une quarantaine d’accords importants notamment un méga-contrat estimé à 400 milliards de dollars sur 30 ans prévoyant des livraisons de 38 milliards de mètres cubes de gaz par an à partir de 2018, via le gazoduc «Force de Sibérie» dont la construction a été lancée début septembre en Iakoutie (Sibérie Orientale).

Depuis cette nouvelle guerre froide entre la Russie et l’Occident, Le président russe Vladimir Poutine n’a cessé de multiplier les contacts avec les pays émergents. Le sommet de Fortaleza qui a réuni l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud, le Brésil et la Russie (alliance communément appelée B.R.I.C.S) en juillet dernier, a officialisé la création de leur propre banque de développement ainsi qu’une réserve de change commune. Certains y voient une réaction au blocage de la réforme du FMI.

On le constate les sanctions sont contre productives et peuvent se retourner contre les donneurs de leçons ! Les échanges entre la Russie et l’Union européenne représentent tout de même 460 milliards de dollars, pourrait-elle s’en passer ? l’Italie et l’Allemagne rechignent d’ailleurs à sanctionner lourdement la Russie en raison de leurs exportations industrielles et agro-alimentaires mais également de leurs besoins en hydrocarbures.

Nous devons garder une coopération active avec la Russie, la marginaliser serait lourde de risques pour la sécurité du continent. Mais les va-t-en-guerre écouteront ils les sirènes citoyennes du bon sens ? Candidement soyons optimistes !

 

Accord secret entre les USA et l’UE pour fermer rapidement les banques en cas de panique

C'est sûr qu'en cas de panique bancaire connue par les consommateurs, un bon attentat servirait à faire diversion et cela leur permettrait de s'enrichir, en rackettant  l'argent et les économies des citoyens directement à partir de leurs comptes bancaires !

[EXCLU News360x] Accord secret entre les USA et l’UE pour fermer rapidement les banques en cas de panique

octobre 25th, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
[EXCLU News360x] Accord secret entre les USA et l’UE pour fermer rapidement les banques en cas de panique
Economie
 

Crise Bancaire : Les États-unis et la commission Européenne montent un scénario de fermetures rapides des banques en cas de faillites !

Les autorités fiscales américaines ont expliqué  à des représentants de l’UE, comment fermer une banque en une seule nuit, si celle-ci se retrouvait en faillite !

Avant l’annonce de la BCE de stress tests, la nervosité augmente dans l’UE et les États membres: Apparemment, la BCE estime que plusieurs banques pourraient ne pas SURVIVRE…  Les banques défaillantes devraient être reprises par des banques concurrentes, au risque de déclencher un BANK- RUN !

Des représentants et l’UE et du FDIC simulent en secret le démantèlement rapide de banques en faillite !  Lors de ces exercices, les représentants de l’UE apprennent comment fermer des banques ruinées en UNE SEULE nuit !

Lors de la crise les USA ont été obligés de fermer près de 500 banques ! Cette opération se compare à une OPÉRATION COMMANDO, ou chaque seconde compte !!!

La BCE est actuellement en train de vérifier les BILANS des grandes banques de la zone EURO ! Les résultats de ces test seront connus DIMANCHE, mais plusieurs fuites indiquent déjà que plusieurs banques sont classées « en danger » !

Dès Novembre, la BCE prendra en charge la supervision bancaire. A cet effet, un mécanisme unique de traitement est mis sur pied, qui comprend un procédé de fermeture de banques dans la zone euro.

Un aspect jusqu’ici négligé de la supervision est la pratique de la fermeture des banques : la banque en faillite peut être fermé du jour au lendemain. Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a déclaré à l’occasion de la crise de Chypre que les dépôts bancaires sont une chose sensible, et que dans la mesure du possible, ces mesures là devaient être prises le week-end !

L’Association Globale des Risques Professionnels (GARP) rapporte que pour être au point le jour « J », les représentants de l’UE et des USA se sont sérieusement « entrainés » ensemble !

La responsable du GARP, Pamela Farwig : «Si vous avez à dire à quelqu’un que sa banque est fermée, cela doit être fait en un laps de temps très très court » ! L’Union européenne a été formée à la procédure de fermeture des banques en Juin, a rapporté Bloomberg. Les petites villes doivent être particulièrement bien surveillées, afin d’éviter toute panique générale ! « Dans ce cas de figure,  un nombre importants de véhicules inconnus pourraient semer le trouble dans ces localités !» dit Farwig !

Sur demande de la Commission européenne « les Nouvelles économiques allemandes » (journal) ont été informées que l’UE et la FDIC travaillent régulièrement ensemble. Par conséquent, des réunions conjointes étaient organisées deux fois par an : une à Bruxelles et une à Washington. La réunion la plus récente a eu lieu en mai à Washington.

La coopération avec la FDIC a la forme de courts détachements de fonctionnaires et des séminaires ad hoc, telles que celles qui avaient été organisées à la fin de Juin à Bruxelles.

Les 24 et 25 Juin, la Commission a organisé un séminaire de deux jours avec des experts financiers et juridiques de la FDIC. A cette occasion, la FDIC a présenté son approche de la résolution de la Banque avec un accent particulier sur les banques d’importance systémique tels que la Commission européenne a annoncé la demande.

L’objectif était d’échanger les expériences entre les deux parties, en particulier dans le cadre du mécanisme de règlement bancaire (SRM résolution simple du mécanisme) et de régler les résolutions du Conseil unique (fonds bancaire à la crise).

A la fin de l’année, les ministres des finances de la zone euro avaient adopté la résolution qu’un nouveau comité de règlement (le soi-disant «Conseil») devra prendre en charge la fermeture de banques zombies. Mais ce n’est pas tout.

Le « monstre bureaucratique » devant mettre ce plan à exécution en un week-end donne une bonne image des responsable Européens dit la députée européenne Sven Giegold.

Selon un communiqué de presse du Parlement européen pour s’assurer « que les déposants récupèrent leur argent beaucoup plus rapidement si leur banque fait faillite » les pays de l’UE doivent également construire leurs propres systèmes financés par la Banque pour compenser les dépôts garantis des déposants(…) Le soi-disant « bail-in », qui a été écrit dans les deux lois pour faire face à la crise bancaire, cependant, veille à ce que les principaux bénéficiaires (actionnaires et les détenteurs d’obligations) doivent adhérer d’abord, si une banque est en difficulté « .

Le cas du «sauvetage» du groupe bancaire portugais Banque Espirito Santo (BES) a montré que, même ici ont a respecté les contribuables européens. En fait, les banques en difficulté peuvent être fermées.

Dans le cas de la Corpbank, depuis des mois les clients ne peuvent plus avoir accès à leurs dépôts. Maintenant, la banque est sur le point de faire faillite après avoir eu la promesse il y a quelques semaines d’une extension de la ligne de crédit de l’UE. Dans quelle mesure l’argent des contribuables européens pourrait être perdu pendant une faillite, n’est actuellement pas encore clair.

Il n’est pas encore certain que la BULGARIE puisse réussir à survivre jusqu’à la mise en place du SRM ! Auquel cas, les autres états Européens et leur contribuables devront à nouveau rempiler !

Il y a quelques mois, il y a eu panique bancaire sur la Banque Corp. Le gouvernement bulgare avait alors affirmé que la banque était en bon état, et que ces paniques bancaires étaient le résultat d’activités criminelles sur Internet.

Quelques jours après la banque de Bulgarie a annoncé son adhésion à l’union bancaire de l’UE. Les observateurs estiment que les risques importants peuvent découler d’une telle déclaration unilatérale de l’adhésion d’un pays et demande qu’il devrait y avoir avant l’adhésion d’un pays à la Banque de l’Union un examen détaillé du secteur bancaire concerné.

Source : Deutsche Wirtschafts Nachrichten

Traduction News360x ; Merci à @Indiana23216

 

22/10/2014

Soros et la CIA tentent d'influencer les élections au Brésil !

Allez, encore les magouilles et complots organisés contre les politiques au Brésil par le sioniste Soros et la CIA.

Le Brésil fait partie des BRICS et en nuisant à sa présidente, les criminels nuiraient à la Russie, l'Inde, la Chine et à l'Afrique du Sud.

Ils ne savent plus quoi inventer, ces malfaisants, pour nuire à autrui et pour conserver le pouvoir par l'argent sur le monde, quitte à faire éliminer les gêneurs dans des accidents d'avions voire de les empoisonner lorsqu'ils s'opposent à leur dictature et à leur impérialisme !

L'article rédigé par Veterans Today est en anglais.
Mettre la traduction : ICI

 

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Soros and the CIA Now Banking on Neves to Defeat Rousseff

 

Rousseff maintains lead in voting intentions.

It is expected that the presidential election in Brazil is defined in a second round, where, according sondeos- Dilma Rousseff would win. (Photo: Reuters)

 

President Rousseff’s policies have created powerful enemies within the walls of the CIA in Langley, Virginia and among the board rooms of Wall Street and the West’s most powerful corporations. She succeeded in proving the polls and pundits wrong on October 5 but October 26 remains yet another hurdle. The people of Brazil will be voting on October 26 as if their lives depend on it. For Brazil’s poor and new middle class, a Neves victory will destroy their livelihoods, as well as their very lives.

 

by Wayne MADSEN

 

Strategic Culture

 

After the corporate media and the CIA and George Soros manipulators tried to engineer Green Party-turned-Brazilian Socialist presidential candidate Marina Silva into the Brazilian presidency after the classic CIA textbook aerial assassination of Socialist Party presidential standard bearer Eduardo Campos, these same forces are at it again on behalf of Social Democratic Party candidate Aecio Neves.

 

anti-Dilma campaign by Soros and CIA

Aécio Neves da Cunha is a Brazilian economist, politician and president of the Brazilian Social Democracy Party in an Anti-Dilma campaign with Soros & CIA

 

Although Neves was polling in second place to Brazilian President Dilma Rousseff before the first-round presidential election on October, the death of Campos and his senior aides in a highly suspicious plane crash on August 13, forced Neves into third place in polls.

 

Silva, a favorite of Soros and his international network of cash-flush non-governmental organizations, was propelled into second place.

 

However, thanks to an aware Brazilian investigative journalism press corps, Silva’s connections to Soros and his team of interventionists and hedge fund tycoons was exposed.

 

With Brazilian voters wise to Silva’s puppet strings to Soros and other global bankers, she managed to only come in third on October 5. Silva subsequently endorsed Neves, Soros’s second selection to take over the reins of presidential power in Brazil from Rousseff.

 

Arminio Fraga Neto Brazilian economist and George Soros.

Arminio Fraga Neto Brazilian economist and George Soros.

 

Neves’s chief economic adviser and the man who would become Finance Minister in a Neves presidency is Arminio Fraga Neto. A former close friend and associate of Soros and his Quantum hedge fund, Fraga is hoping that a Neves presidency will open up Brazil to “market forces,” the very same forces that have declared economic war on Venezuela and are attempting to swindle Argentina through vulture funds run by Soros’s Wall Street friends. Fraga, a habitué of the annual World Economic Forum in Davos, Switzerland, is also a former executive with Salomon Brothers and a former president of the Brazilian Central Bank. Fraga has also been linked to Goldman Sachs through a Manhattan real estate deal involving the purchase of a $7.5 million condominium from a former Goldman Sachs and Lehman Brothers executive.

 

Fraga’s membership of the elitist Council on Foreign Relations and Group of 30 puts Fraga in the same camp as such Wall Street villains as Alan Greenspan, David Rockefeller, former Bank of Israel chairman Jacob Frenkel, and Wall Street apologist/columnist Paul Krugman, and former U.S. Treasury Secretary Larry Summers.

 

Rousseff’s easy first place victory on October 5 sent Wall Street and its owned-and-operated media outlets opposed to Rousseff’s plans to create an alternative development bank among Brazil, Russia, India, China, and South Africa to compete with the World Bank into extreme propaganda mode.

 

Questionable polls suggesting that Rousseff and Neves are running neck-and-neck as the October 26 second round election approaches were featured as credible news stories by the usual Wall Street pathetic “stenographers” masquerading as journalists at The Wall Street Journal, Financial Times, Bloomberg News, and Forbes.

 

Neves’s grandfather, Tancredo Neves, a left-of-center threat to the longtime Brazilian military dictatorship, fell seriously ill just as he was to be sworn in as president on March 15, 1985. Neves’s illness resulted in his lackluster and more conservative vice presidential candidate José Sarney being sworn in as president. Tancredo Neves never recovered from what was said to be diverticulitis and he died on April 21. Later, it was revealed that Neves had a cancerous tumor that was not discovered until it was too late. Rousseff’s sudden illness after her October 16 televised debate with Aecio Neves alarmed a number of Brazilians who remember the fate of Tancredo Neves.

 

In addition to the Central Intelligence Agency arranging for convenient plane crashes such as those that killed Portuguese Prime Minister Francisco Sá Carneiro, Panamanian leader Omar Torrijos, and Ecuadorian President Jaime Roldos all within a six-month period between December 1980 and April 1981 [after the election of Ronald Reagan as U.S. president and the return to power within the CIA of George H W Bush's and William Casey's infamous gunslingers], the agency’s Technical Services Division continued to develop biological weapons, including cancer weapons, to assassinate its political targets.

 

In recent years, a number of Latin American leaders have been felled or have been stricken with cancer or heart attacks. The two most notable victims were Venezuelan President Hugo Chavez and Argentine President Nestor Kirchner. Kirchner’s wife, Argentine President Cristina Fernandez de Kirchner, was reported to have thyroid cancer, later denied by her spokespersons. The sudden onset of varying degrees of cancer also plagued such Latin American leaders as former Paraguayan President Fernando Lugo (later ousted in a CIA-engineered coup), Colombian President Juan Manuel Santos (after he signed a peace agreement with the left-wing FARC guerrilla movement), former Brazilian President Luiz Inácio Lula da Silva, and Bolivia’s recently-reelected President Evo Morales.

 

Guyana’s President Forbes Burnham died from throat cancer and Nauru’s President Bernard Dowiyogo died from a sudden heart attack while being cared for in Washington, DC hospitals. Suspicions surrounded the two deaths at Georgetown University and George Washington Hospitals, respectively.

 

Dr. Sidney Gottlieb, aka "Joseph Schneider."

Dr. Sidney Gottlieb, aka “Joseph Schneider.”

 

The CIA’s macabre Jewish-Hungarian chief scientist Dr. Sidney Gottlieb developed a host of biological weapons for the CIA’s MK-ULTRA program during his over 20 years of service with the agency. One was a biological toxin that was put inside a tube of toothpaste that was to be used by Congolese Prime Minister Patrice Lumumba and another was a botulism-infected handkerchief that was to be handed to Iraqi leader General Abdul Karim Kassem.

 

As for Aecio Neves abandoning the left-of-center credentials of his grandfather, this represents another aspect of CIA influence operations. Aecio Neves represents the interests of Wall Street, which is manifested by the presence of Fraga as his chief economic adviser. Wall Street vultures, including Soros and Fraga’s other associates in New York, want to privatize the Brazilian state-owned Petrobras oil corporation. Therefore, Aecio Neves has been handsomely bought off by the same globalized financial interests who attempted to engineer Marina Silva into office. With her defeat, these same forces have unsurprisingly rallied behind Neves.

 

For the CIA, blood is not thicker than water. It actually doesn’t matter to Aecio that the CIA may have played a part in assassinating his grandfather. Omar Torrijos’s son, Martin Torrijos, became president of Panama only to sign a pro-Wall Street free trade agreement with Washington. Martin Torrijos also gladly followed the global bankers’ orders to increase Panama’s retirement age and reform social security. Martin Torrijos also became a close ally of U.S. President George W. Bush even though Bush’s father, George H W Bush, likely signed off on the CIA’s operation to assassinate Torrijos’s own father.

 

George Soros’s favorite Asian opposition leader, Aung San Suu Kyi, does not seem to mind the fact that it was Soros’s friends at the Office of Strategic Services/CIA who ordered British intelligence to assassinate her father Aung San. Aung San, a founder of the Burmese Communist Party, was slated to become independent Burma’s first post-independence leader. Aung San was killed by terrorists working for pro-British former prime minister U Saw. The weapons for the assassins came directly from British Army Captain David Vivian, who managed, with high-level “assistance” from the Burmese government, to escape from a Burmese prison in 1949.

 

Canada's Liberal Party leader Justin Trudeau

Canada’s Liberal Party leader Justin Trudeau

 

Canada’s Liberal Party leader Justin Trudeau, the son of former Prime Minister Pierre Elliott Trudeau, has, unlike his father, warmed up to the United States, Wall Street, and the cause of globalization.

 

Justin Trudeau and Aecio Neves are prime examples of how the CIA eagle will take under its wings the progeny of leftist icons to achieve its goals.

 

President Rousseff’s policies have created powerful enemies within the walls of the CIA in Langley, Virginia and among the board rooms of Wall Street and the West’s most powerful corporations. She succeeded in proving the polls and pundits wrong on October 5 but October 26 remains yet another hurdle. The people of Brazil will be voting on October 26 as if their lives depend on it. For Brazil’s poor and new middle class, a Neves victory will destroy their livelihoods, as well as their very lives.

 

Wayne MADSEN is Investigative journalist, author and syndicated columnist. Has some twenty years experience in security issues. As a U.S. Naval Officer, he managed one of the first computer security programs for the U.S. Navy. He has been a frequent political and national security commentator on Fox News and has also appeared on ABC, NBC, CBS, PBS, CNN, BBC, Al Jazeera, and MS-NBC. He has been invited to testify as a witness before the US House of Representatives, the UN Criminal Tribunal for Rwanda, and an terrorism investigation panel of the French government. A member of the Society of Professional Journalists (SPJ) and the National Press Club. Lives in Washington, D.C.