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26/11/2014

Les Illuminati sionistes contrôlent Israël.

Leur objectif s'accaparer Jérusalem qui sera la capitale du Nouvel Ordre Mondial et la Mosquée Al-Aqsa pour reconstruire le 3ème temple qui accueillera l'Antichrist qui sera contre l'humanité entière !

 

Les Illuminati sionistes contrôlent Israël (1/3)
L'étoile de David, symbole occulte



Le drapeau d'Israël ne représente en rien les juifs ; c'est une figure occulte utilisée dans la kabbale et par les sorciers et les Francs-Maçons ; elle est présente partout, car c'est la marque des sionistes Illuminati.


Les Illuminati sionistes contrôlent Israël (2/3)

Israël, leur point stratégique


 

Les Illuminati sionistes contrôlent Israël (3/3)
La reconstruction du temple


 
Le bâtiment officiel de la Cour Suprême d'Israël est une pyramide surmontée d'un "oeil", le symbole du drapeau d'Israël est le pentagramme satanique etc.

On est donc bien sur le lieu de prédilection des Illuminati ; ils veulent, par l'intermédiaire des juifs, détruire la mosquée AL AQSA pour y reconstruire leur temple, en réalité, le siège de l'Antéchrist à venir.

 

04/11/2014

« Les premières difficultés pour les contrats d’assurance vie fonds euros… »

Allez, le pillage des économies des épargnants, commence !

Sans compter que Les investisseurs américains abandonnent la France, qu'Il va falloir sauver à nouveau l’auto !! Rechute du marché automobile français en octobre, et que le concours organisé par la BCE tourne mal

 

« Les premières difficultés pour les contrats d’assurance vie fonds euros… »

bombe atomique

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

À l’ère des taux d’intérêt plus que bas, il devient difficile d’être un épargnant heureux et percevant une rente attendue de ses différents placements. Que vous soyez riches ou pauvres, désormais votre épargne ne rapporte presque plus rien. D’ailleurs, certaines banques taxent en fait ni plus ni moins les dépôts de leurs clients puisque la BCE elle-même applique des taux d’intérêt négatifs.

L’argent ne sert plus à rien, il ne vaut plus rien !

Cela signifie une chose simple. L’argent, devenu tellement abondant suite à des années de création monétaire excessive, ne vaut plus rien. Il n’a plus de prix et cela préfigure une perte d’intérêt pour l’argent : c’est la première étape de la perte de confiance généralisée.

Comme nous l’apprend donc le grand quotidien allemand Handelsblatt, « les épargnants se sont habitués à des taux d’intérêt bas. Ce qui est nouveau c’est qu’ils devront désormais payer s’ils apportent leur argent à la banque. À la Deutsche Skatbank à Altenburg, Thuringe l’avenir sera ainsi. À partir du 1er novembre, un taux d’intérêt négatif de 0,25 pour cent pour les dépôts supérieurs à 500 000 euros sera appliqué. Cela en fait la première banque en Allemagne qui impose un taux de pénalité. ».

Évidemment, il s’agit là d’une petite banque régionale allemande mais la symbolique est forte. Déposer de l’argent non seulement ne vous rapporte rien, en plus vous êtes soumis à un risque de contrepartie (votre banque peut faire faillite et votre argent partir en fumée) et, enfin, vous allez voir votre épargne fondre comme neige au soleil. D’abord doucement mais qui sait si ce mouvement ne va pas s’accélérer. En cause ? L’abondance d’argent et de cash dont personne ne sait plus quoi faire, raison pour laquelle la BCE a imposé des taux négatifs sur ce « cash » qui ne circule plus dans l’économie et que les gens ne veulent plus placer sur des fonds plus ou moins risqués qu’ils soient obligataires ou « actions ».

Ce qui est très inquiétant c’est que l’un des attributs d’une monnaie c’est justement sa capacité à stocker de la valeur. Une monnaie qui ne sait pas stocker de la valeur sur une longue période… n’est plus une monnaie fiable !! C’est par ce genre de phénomène que débutent les pertes de confiance généralisées.

En France, le gouverneur de la Banque de France, le président de la FFSA et le secrétaire général de l’ACPR demandent aux assureurs vie de baisser les rémunérations des placements !!

Cette information est à relier à cet article de Contrepoint qui nous explique que « le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a fait une déclaration dans laquelle il a estimé nécessaire que les assureurs fassent baisser significativement la rémunération de leurs contrats d’assurance vie, pour prévenir le risque d’une variation importante des taux d’intérêt ».

« Il est très important que les compagnies d’assurances soient capables de faire baisser leur taux de rémunération et j’attends cette année une baisse significative », a-t-il déclaré.

« La version officielle de ce risque énoncé est que la persistance des taux d’intérêt bas pèse sur les compagnies d’assurances car les obligations qu’elles achètent sont moins rémunératrices, ce qui réduit leurs marges. Il y a en réalité deux autres raisons à cette annonce. La première c’est le risque que représentent ou pourraient représenter dans les mois ou les années qui viennent les obligations françaises, colonne vertébrale des fonds euros. La seconde est que les placements en unités de compte rapportent beaucoup plus aux compagnies qui perçoivent des commissions d’achat et de vente, ne s’engagent à aucun rendement garanti et reportent le risque sur les actions ».

« Dans Les Échos, c’est Fabrice Pesin, le secrétaire général adjoint du régulateur de la banque et de l’assurance, l’ACPR, évoque à son tour, fidèle aux éléments de langage, « un contexte unique dans l’histoire de l’assurance vie, compte tenu des taux très bas ». Il appelle donc, comme le gouverneur de la Banque de France et le président de la FFSA, à la « prudence » et demande aux assureurs de se « constituer des réserves pour gérer cet épisode de taux bas, ce qui implique de ne pas tout redistribuer aux assurés au titre de l’année 2014 ».

Tout se passe comme prévu, hélas…

Comme prévu (hélas), on voit bien les nuages s’accumuler au dessus du placement préféré des Français et représentant environ 1 400 milliards d’euros d’épargne cumulés.
Cela était assez prévisible. Non, les fonds euros ne sont pas sans risque dans la mesure où les obligations d’États sont garanties uniquement si l’État concerné ne fait pas faillite, ce qui n’est pas si évident que cela. Mais, plus grave, non seulement les risques de ces placements augmentent et en plus dans le même temps, la rémunération baisse significativement. Il arrivera un moment où tout cela finira par une casse d’anthologie et de très nombreux épargnants seront spoliés. Ce n’est pas faute de les prévenir et de leur dire d’au moins « assurer » leurs placements financiers par 10 à 20 % d’or pour s’offrir un matelas qui compensera les pertes en cas de gros pépins. Pourtant, personne ne le fait ou si peu de monde.

L’or vendu en France représente une goutte d’eau par rapport au 1 400 milliards de l’assurance vie. Une journée normale en France, il s’échange entre 5 et 10 millions d’euros d’or… Imaginez ce qu’il se passera lorsque ne serait-ce que 1% des clients voudra placer 1 % de ces sommes, soit 14 milliards d’euros pour un marché susceptible de traiter… 10 millions d’euros ! Le potentiel de hausse est vertigineux mais la réalité c’est qu’il y aura surtout une pénurie vertigineuse et que seuls ceux qui auront compris « avant » pourront avoir de l’or, pour tous les autres ce sera trop tard.

Alors faites ce que vous-voulez, sortez de vos assurances vie, débancarisez, achetez un lopin de terre, de l’or, de l’argent ou encore des bouteilles de vin, sans oublier les boîtes de conserve. Faites ce que vous voulez mais faites-le.

Il est déjà trop tard. Préparez-vous et restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez bien !!

Charles SANNAT

 

03/11/2014

Merkel envisage une sortie de la Grande-Bretagne de l'UE (médias)

Le bon prétexte de sortir de l'UE à cause des quotas d'immigration ! Et s'ils fichaient la paix aux nôtres chez eux, au lieu d'organiser des guerres génocidaires pour les chasser de chez eux et les contraindre à immigrer, tout le monde aurait la paix, n'est-ce pas ?

La GB voit surtout le vent venir avec l'écroulement futur du dollar, elle, qui est en lien direct avec la City et Wall Street. Les Banksters ont surtout peur de perdre de leur suprématie sur le monde et de devoir passer à la Caisse pour rembourser tout ce qu'ils volent depuis des décennies aux pauvres citoyens qu'ils spolient sans vergogne pour se remplir les poches ! 

 
 

Aujourd'hui, 13:53

Merkel envisage une sortie de la Grande-Bretagne de l'UE (médias)

Par La Voix de la Russie | La chancelière d'Allemagne Angela Merkel a admis envisager possible, lors d'un entretien avec le Premier ministre britannique David Cameron, une sortie du Royaume-Uni de l'UE à cause des divergences sur des quotas de migrants européens, écrit Der Spiegel.

Angela Merkel a rejeté les propositions du Premier ministre britannique de mettre en place des quotas de migrants en provenance de l'UE, soulignant que l'exigence de modifier les règles sur la liberté de circulation était un « point de non retour ».The Guardian note que le 10 Downing Street ne nie pas l'information sur l'entretien. Le week-end dernier, David Cameron a renoncé à son idée de quotas et examine la possibilité pour Londres d'expulser les migrants en provenance de l'UE et incapables de s'assurer les moyens d'existence au bout de trois mois après l'arrivée en Grande-Bretagne. /N
 
 
 
 
 

Ukraine: l'Europe met en garde Moscou après le vote séparatiste dans l'Est

Plus les jours passent et plus nous avons la confirmation qu'avec les Banksters et l'US/ UE, nous avons affaire à des psychopathes et à des Nazis !

Ils critiquent les votes des peuples et les qualifient d'illégitimes, comme si le fait d'avoir organisé et provoqué un coup d'état à Kiev, et d'avoir placé leur pion Nazi/sioniste, était légitime.

Et comme l'Europe n'a pas assez perdu d'argent et qu'elle est riche, elle menace encore d'imposer de nouvelles sanctions à la Russie !  En attendant, pendant que les NAZIS "boivent", la Russie "trinque" parce qu'elle doit supporter l'assistance, l'asile et les frais des réfugiés Ukrainiens qui se trouvent sur son territoire !

* La Russie a débloqué 36 millions de dollars pour l'aide aux réfugiés ukrainiens

Ukraine: l'Europe met en garde Moscou après le vote séparatiste dans l'Est

Publié le 03.11.2014, 14h58

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk | Dimitar Dilkoff

 

  
  

Les Européens ont mis en garde lundi la Russie contre les atteintes à l'unité de l'Ukraine, au lendemain d' séparatistes dans l'Est pro-russe que Moscou a dit "respecter", qui ont relancé les craintes d'une nouvelle offensive militaire.

Le allemand a appelé les autorités russes à respecter "l'unité de l'Ukraine", n'excluant pas de nouvelles sanctions européennes contre Moscou, après le scrutin séparatiste remporté sans surprise par les rebelles prorusses dans l'est du pays.

"Ces soi-disant élections (...) ne peuvent avoir aucune validité juridique" et "aggravent la " dans le pays, a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seibert, faisant écho aux déclarations de l'Union européenne dénonçant un "nouvel obstacle" sur la voie d'une solution pacifique au conflit.

Six mois après le début du conflit ayant fait plus de 4.000 morts dans l'Est, les républiques autoproclamées de Donetsk et Lougansk ont élu dimanche leurs "présidents" et "parlements" dans un vote présenté comme devant légitimer les autorités séparatistes.

La Russie a dit qu'elle "respectait" le choix du peuple et appelé lundi l'Ukraine à mettre fin à son opération militaire dans l'Est, estimant que les dirigeants rebelles élus avaient désormais la légitimité nécessaire pour dialoguer avec les autorités ukrainiennes.

"Ce travail ne peut être productif que s'il est basé sur un dialogue équilibré et le respect mutuel, et si Kiev renonce aux opérations militaires", a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Grigori Karassine à l'agence TASS.

Le vote controversé dans les territoires contrôlés par les combattants prorusses - soit la moitié de la région de Donetsk et une petite partie de la région de Lougansk - a confirmé dans leurs fonctions les chefs rebelles désignés en août.

Le "Premier ministre" de la République autoproclamée de Donetsk (DNR), Alexandre Zakhartchenko, 38 ans, a été élu "président" avec 77,51% des voix.

A Lougansk, l'ex-militaire de 50 ans Igor Plotnitski, très attaché au passé soviétique, a obtenu plus de 63% des suffrages, selon les autorités autoproclamées.

Ces élections constituent un nouvel épisode de la confrontation sans précédent entre Moscou et l'Occident déclenchée cet hiver par la contestation du Maïdan à Kiev, réprimée dans le sang et ayant entraîné la chute du régime prorusse et la fuite en Russie du président Viktor Ianoukovitch.

- Offensive russe? -

Les relations entre le Kremlin et l'Occident ont depuis touché le fond, après l'annexion en mars par la Russie de la péninsule ukrainienne de Crimée et la rébellion pro-russe dans l'Est de l'Ukraine, dans laquelle Moscou est accusée par Kiev et les Occidentaux de soutenir militairement les séparatistes et d'envoyer des troupes régulières.

Un cessez-le-feu a été conclu en septembre, mais malgré la baisse de l'intensité des combats, plusieurs centaines de personnes ont été tuées depuis.

Alors que le président ukrainien Petro Porochenko a qualifié dimanche le vote séparatiste de "farce menée sous la menace des chars", beaucoup à Kiev craignent une nouvelle offensive majeure des rebelles et de l'armée russe, visant notamment à créer un couloir terrestre vers la Crimée.

L'accès maritime à la péninsule depuis la Russie risque d'être gravement perturbé, voire bloqué, par les tempêtes en hiver.

"Le plus grand risque est qu'ils lancent une offensive", a déclaré à l'AFP une source diplomatique ukrainienne haut placée, résumant les craintes de bon nombre d'observateurs et médias.

"Beaucoup dépend d'un accord entre Kiev et Moscou sur l'approvisionnement de la Crimée", a estimé un haut responsable ukrainien chargé de la sécurité, sous le couvert de l'anonymat. "S'il existe, il n'y aura pas d'offensive majeure d'ici le printemps. Mais s'il n'est pas trouvé, les Russes n'auront pas d'autres options" que d'attaquer, a-t-il expliqué.

Kiev a dénoncé à nouveau lundi le déploiement "intense" d'équipements et de troupes russes dans la zone contrôlée par les rebelles.

"La présence de troupes russes n'est même plus camouflée", a assuré un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko, alors que des journalistes ukrainiens et occidentaux ont diffusé ce weekend des images et vidéos sur lesquelles on voit plusieurs dizaines de camions militaires sans plaques d'immatriculation, présentés comme une "colonne russe dans les rues de Donetsk".

 

Russie : Goodbye dollar ! Changement de paradigme en cours !

 
Quand les Banksters et  l'US/UE Nazis creusent leurs tombes seuls  ! La fin des BANKSTERS et de leur hégémonie mondiale, sont proches !

 
 
Aujourd'hui, 16:30

Goodbye dollar !

Goodbye dollar !

Par La Voix de la Russie | La Russie est disposée à desserrer l'étau du dollar. Il s'agit aujourd'hui de renoncer au billet vert dans le commerce du pétrole et du gaz. La Russie doit substituer aux prix en dollars son propre système de formation des prix des matières premières énergétiques en roubles.

La Russie a des alliées en puissance dans sa volonté d'introduire des paiements en monnaie nationale. L'allié le plus puissant est la Chine. En octobre 2013 le chef du pétrolier russe Rosneft Igor Setchine a déclaré au cours du Congrès énergétique international qu'il était nécessaire de créer un « mécanisme mondial du commerce du gaz naturel » et « une bourse internationale pour tous les pays qui le désirent afin de réaliser des transactions en monnaies régionales ». En novembre 2013 la Banque populaire de Chine a décidé « qu'accumuler les monnaies étrangères ne répondait plus aux intérêts » du pays et Pékin a déclaré qu'il fallait choisir une nouvelle monnaie de réserve internationale pour remplacer le dollar.

La guerre contre le dollar est menée simultanément sur plusieurs fronts : pétrolier, gazier et monétaire.

Front pétrolier. Le projet du commerce des matières premières énergétiques sans dollars a commencé à prendre corps à la Bourse des matières premières de Saint-Pétersbrourg en mai 2014. L'idée clée consiste à abandonner le dollar dans la zone la plus dynamique et prometteuse du marché mondial des ressources énergétiques, à savoir l'Asie-Pacifique, au profit du yuan et du rouble. Les sociétés d'Etat russes ont pour objectif de garder la totalité de la plus-value. Outre la Chine, les alliées en puissance de la Russie sont l'Inde et l'Iran. La Russie a proposé à l'Inde plusieurs projets de grande envergure dans le domaine pétrogazier dès le mois de mars dernier. L'Iran est en train d'organiser, depuis 2004, une bourse du pétrole indépendante par rapport au dollar.

Moscou se propose d'obtenir un avantage colossal susceptible de minimiser la dépendance vis-à-vis des marchés occidentaux et assurant des bénéfices maximum. Des démarches réuissies en ce sens ont été déjà faites. Le 13 octobre Rosneft et la Corporation pétrogazière nationale de Chine ont signé un accord sur l'approfondissement à long terme de la coopération stratégique dans le domaine du pétrole et du gaz.

Front gazier.Selon Washington Times, en mai Vladimir Poutine « a remporté une victoire stratégique ayant conclu un contrat gazier avec la Chine ». Selon la presse américaine, ce « marché du siècle » empêchera les tentatives des Etats-Unis pour isoler la Russie à l'aide de sanctions économiques et permettra d'enlever au dollar le statut de monnaie de réserve mondiale. En été Gazprom et la Chine ont concerté la construction du gazoduc Sila Sibiri et en juin l'Inde a déclaré son intention de le conduire jusqu'à sa frontière.

En septembre, le chef de Gazprom a annoncé un accord sur le deuxième grand contrat avec la Chine portant sur la construction du gazoduc Altaï et les livraisons de 100 milliards de mètres cubes de gaz par an dans la région d'Asie-Pacifique. Le contrat doit être signé dès le mois de novembre. Selon les experts occidentaux, les fournitures par le biais du gazoduc Altaï évinceront du marché chinois environ 21 millions de tonnes de gaz importé. Cela portera un coup aux exportateurs comme les Etats-Unis, le Canada, l'Australie et le Qatar dont les fournitures sont orientées essentiellement sur le marché asiatique.

Front monétaire. En octobre, lors du forum La Russie appelle, Vladimir Poutine a déclaré l'intention d'introduire activement la monnaie nationale dans les règlements avec la Chine et d'autres partenaires. La Russie réduit les investissements dans les obligations d'Etat américaines et retirera, à partir du printemps prochain, ses dépôts dans des banques américaines. Rien qu'en mars 2015, plus de 100 milliards de dollars seront retirés des comptes de la Fed.

La Russie a brusquement intensifié l'achat de l'or sur le marché mondial ayant augmenté ses réserves d'or de plus de 18 % au cours de ces six derniers mois et ayant devancé au début de l'automne la Chine et la Suisse en termes de la part de l'or dans l'ensemble des réserves. La Banque de Russie réduit simultanément la part du dollar. La Banque nationale du Kazakhstan agit de la même manière. Certains experts occidentaux estiment que l'accumulation de l'or par Moscou et Astana fait partie d'une politique monétaire coordonnée.

La Chine dont les réserves en dollars sont les plus grandes au monde met en place, sur la base de la Bourse de l'or de Shanghaï, un centre de formation d'un marché de ce métal. Selon les économistes occidentaux, le but est de placer sous son contrôle l'ensemble du commerce de l'or et d'en priver la bourse américaine Comex pour procéder ensuite à un « redémarrage » monétaire complet grâce à un brusque changement du prix de l'or.

Washington fait feu de tout bois pour empêcher des actions et alliances faisant peser une menace mortelle sur le billet vert. Les Etats-Unis ne cachent plus de mener une guerre contre la Russie. Le 17 septembre le secrétaire de presse de la Maison Blanche Josh Earnest a dit dans son commentaire de la chute du rouble : « Notre objectif consistait initialement à isoler la Russie et à la faire payer un prix économique ». Les Etats-Unis et leurs alliés saoudites jouent à la baisse des prix du brut contre la Russie. Pour l'économie russe une baisse du prix de pétrole n'est pas dangereuse en tant que telle, mais plutôt comme prétexte à une attaque contre le rouble pour de gros spéculateurs.


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