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19/11/2009

Réseaux pharmaceutiques criminels (11)

Voilà comment on créé de toutes pièces le génocide financier de la France et de l'Europe !
Tous les présidents de la République qui sont passés au pouvoir, ont tout fait pour nous mettre entre les mains de leurs amis banquiers internationaux : Les Illuminati-reptiliens !
Ils auront travaillé ainsi durant des décennies pour les Illuminati-Reptiliens et leur Nouvel Ordre Mondial au lieu dr travailler pour les peuples sur le dos desquels ils se sont enrichis !


Les liens entre Sarkozy et les Rothschild

L'irresistible ascension du «Roi David»

Le Rothschild de Sarkozy


Il dirige l'un des fleurons de la finance française. Mais dans les milieux bancaires secoués par la crise, on crie au favoritisme : David de Rothschild, ami du président, se taille la part du lion. Odile Benyahia-Kouider raconte comment cet homme bien né a reconstruit sa fortune, tissé ses réseaux d'influence et pris la tête d'une dynastie légendaire mais ô combien compliquée


Edouard de Rothschild

Edouard de Rothschild, 51 ans, le demi-frère. Après avoir travaillé durant dix ans avec David comme associé-gérant de Rothschild & Cie, il poursuit la vocation hippique de son père Guy. En 2004, il succède à Jean-Luc Lagardère à la tête du PMU.

Alexandre de Rothschild

Le fils, Alexandre de Rothschild, 28 ans, vient d'entrer à la banque à Londres, dans le secteur du private equity (investissement dans les sociétés), après avoir travaillé cinq ans dans deux banques américaines.

Eric de Rothschild

Le cousin français.Eric de Rothschild, 67 ans, est l'homme de l'ombre sans lequel le groupe bancaire n'aurait jamais pu grandir. Artisan du rapprochement des branches française et anglaise, il est aujourd'hui le président de Paris- Orléans, la holding familiale qui contrôle toutes les affaires du groupe. Il a aussi développé le vignoble familial Château- Lafite.

Sir Evelyn de Rothschild

Le cousin anglais.Sir Evelyn de Rothschild, 77 ans, ex-président de NM Rothschild & Sons, homme au caractère très difficile, plus passionné par l'Inde que par le métier de banquier. Il a épousé en troisièmes noces une jeune femme d'affaires américaine un brin dépensière, Lynn Forester, 54 ans.

Nathaniel Rothschild

Le petit-cousin anglais. Nathaniel Rothschild, 37 ans, fils unique de lord Jacob Rothschild, appartient à la catégorie des Rothschild bavards. En octobre, il a provoqué un scandale en racontant comment le numéro deux des tories était allé quémander de l'argent pour son

parti auprès de l'oligarque russe Oleg Deripaska.

De notre envoyée spéciale à Londres


David de Rothschild se demande comment il doit prendre la phrase de bienvenue dont l'a gratifié le président de la République. «Ah ! Voilà le Rothschild que j'aime», vient de lui lancer Nicolas Sarkozy qui l'accueille à l'Elysée ce 5 mai 2008. Est- ce un compliment ou la marque d'un léger agacement ? Ce jour de printemps, le grand banquier assiste à l'une des cérémonies les plus sélectes de l'année : le président de la République remet la cravate de commandeur de la Légion d'honneur à son conseiller et ami Alain Mnc. Les invités ont été triés sur le volet. Seuls sept happy few ont été conviés, parmi lesquels le président de la banque franco-britannique Rothschild & Cie. «Le Rothschild» que Nicolas Sarkozy «aime» et à qui il vient de manifester publiquement son affection. Car pour le président de la République il y a le «bon» et le «mauvais» Rothschild. Le premier, David, 65 ans, fait tranquillement son business à l'abri des regards. Le second, Edouard, demi-frère du précédent et propriétaire insolent de «Libération», éprouve le besoin de se rebeller bruyamment.


David est parfaitement conforme à l'image que l'on se fait d'un «bon» Rothschild, bien né et bien élevé. Costumes taillés sur mesure chez Feruch, chemises bleues à col blanc très vieille France, petit sourire british, et regard bleu translucide à la Brett Sinclair... Ses concurrents le surnomment «le roi David». Un monarque très secret, qui a fait de la discrétion une règle absolue. Ses conseils, toujours très recherchés, il ne les dispense qu'en tête à tête. Rien ou presque ne filtre jamais de ses conversations. Une «vraie tombe», semble regretter l'un de ses associés. Depuis la chute des grandes banques d'affaires américaines, sa réussite apparaît encore plus éclatante. En 1982, la banque familiale avait en effet été nationalisée. Le père de David, Guy de Rothschild, s'exclamait alors à la une du «Monde» : «Juif sous Pétain, paria sous Mitterrand.» Reparti de zéro avec une toute petite boutique de trois personnes, son fils se retrouve vingt- cinq ans plus tard à la tête de la puissante banque d'affaires Rothschild & Cie, spécialisée dans le conseil (fusions-acquisitions, gestion de fortune, restructuration de dette). Et il est désormais le chef de la légendaire dynastie.


«Monsieur David» (c'est ainsi qu'on l'appelle dans le groupe pour le différencier des autres Rothschild) est devenu totalement incontournable. Il passe la moitié de la semaine à Londres depuis qu'il a réussi, en 2003, à mettre la main sur la NM Rothschild & Sons, la branche britannique jusqu'alors totalement autonome. A Paris, il est le banquier «qui compte». Il a ses entrées auprès de tous les grands patrons et surtout à l'Elysée. Non seulement il connaît intimement Nicolas Sarkozy, qu'il tutoie, mais en plus c'est une des anciennes têtes d'affiche de sa banque, François Pérol, qui occupe un poste clé auprès du président de la République et qui règne sur les principaux dossiers économiques et financiers. Pérol avait été «embauché» par Rothschild en 2005 à la demande de Nicolas Sarkozy lui-même. En 2005, en effet, quand ce ? dernier quitte le ministère de l'Economie, il demande à son ami David de prendre son ex-directeur adjoint de cabinet à Bercy. Puis une fois élu en 2007, il appelle à nouveau auprès de lui son ancien collaborateur et le nomme secrétaire général adjoint de l'Elysée. «On l'a prêté au président, dit-on chez Rothschild. Et on espère bien le récupérer plus tard.»


Aujourd'hui, en témoignage de sa gratitude envers le banquier si accueillant, François Pérol conserve sur une étagère de son bureau une photo de «Monsieur David» entouré des personnels du prestigieux établissement.
«Connivence», «opportunisme politique», accusent les concurrents. Ces derniers mois, ils osent même lâcher le grand mot : «favoritisme». Ils affirment que «les associés de David sont tout le temps fourrés chez Pérol». De fait, depuis que ce dernier est devenu l'un des conseillers les plus influents de Sarkozy, la maison Rothschild se taille la part belle dans tous les nouveaux deals qui impliquent l'Etat : la privatisation de La Poste, l'ouverture de capital de la

Française des Jeux, la quasi-nationalisation de Dexia, la cession du pôle assurance de Natixis, l'entrée de la Caisse des Dépôts dans Eiffage... «Je n'y peux rien si cette banque est une bonne banque !», ré pond simplement François Pérol. Toujours d'une exquise courtoisie, et sans se départir d'un sourire aussi angélique qu'énigmatique, David de Rothschild laisse dire. Tout cela est «tellement exagéré». Tout cela ne mérite pas qu'on s'y attarde. Un «bon» Rothschild sait préserver ses relations avec l'Etat sans jamais s'en vanter et sans coup d'éclat intempestif.


Edouard, le turbulent demi- frère, n'a pas ce talent. Il est le «mauvais» Rothschild, que Nicolas Sarkozy n'aime pas, ou plutôt n'aime plus. Fils, comme David, du baron Guy de Rothschild et de sa seconde épouse, Marie-Hélène van Zuylen, il a travaillé pendant dix ans à reconstruire la banque. Aujourd'hui, beaucoup d'associés reconnaissent que cet homme au caractère aussi difficile que peu conventionnel a été l'un des artisans de la réussite du groupe. Mais Edouard est aussi impétueux que David est patient. En 2003, lassé d'attendre que son demi- frère veuille bien lui céder plus de responsabilités au sein de la banque, il a brusquement décidé de tout quitter pour se consacrer aux courses hippiques et au rachat d'un quotidien de gauche, «Libération» !


Ce 21 novembre, alors qu'il vient d'enchaîner, comme tous les matins, ses quatre heures d'entraînement à cheval, il a donné rendez-vous... au restaurant-buffet de l'hôtel Disneyland à Marne-la-Vallée. «Parce que c'est accessible en RER et proche de mon haras». Là, en tenue de cavalier, il raconte, avec cette inimitable diction à la Valéry Giscard d'Estaing, les raisons de sa disgrâce auprès du président de la République. Le 1er mars 2007, la France est en pleine campagne électorale, et «Libération» fait une manchette, intitulée «Le soupçon», sur la déclaration ISF
(impôt sur la fortune) de Nicolas Sarkozy. Celui-ci manque de s'étrangler de rage. «Ce jour-là, à midi, je venais de terminer mes entraînements, et je reçois un appel de Nicolas sur mon portable, qui me dit que ce n'est pas du combat politique, que l'actionnaire est responsable», raconte Edouard de Rothschild. «Tu aurais mieux fait de donner de l'argent à Ségolène Royal», s'énerve le candidat UMP «En m'appelant, il a commis une erreur, et depuis il m'en veut», tranche l'actionnaire majoritaire de «Libération».

Les deux hommes étaient pourtant si proches. Ils sont même partis en vacances ensemble, du temps où Nicolas était encore avec Cécilia. Ils se sont connus à l'époque où la banque Rothschild servait de refuge aux balladuriens, après la débâcle de la présidentielle de 1995. Comme en 2005 quand il s'est agi de trouver un point de chute à Pérol, c'est encore David qui a été sollicité. Par Balladur cette fois, qui laisse son fauteuil de Premier ministre et qui cherche à caser son ministre du Budget. Un dénommé Nicolas Sarkozy ! La banque accueillera dans la foulée le directeur de cabinet de Balladur, Nicolas Bazire, qui deviendra associé-gérant de la banque jusqu'en 1999. Nicolas Sarkozy, lui, après avoir songé à devenir banquier d'affaires, choisit finalement de reprendre ses activités d'avocat. Mais après tant d'années d'absence, il a besoin d'un sérieux coup de pouce. «Monsieur David» est là. Il délègue à son petit frère le soin de lui trouver des mandats. «Nous lui avons proposé de nous aider quand Jean-Claude Darmon a vendu son affaire à Canal+, se souvient Edouard de Rothschild. Et il nous a rendu la pareille sur plusieurs affaires avec Martin Bouygues.» Somme toute, David de Rothschild ne fait qu'entretenir une vieille tradition familiale. Ainsi, avant de devenir président de la République, Georges Pompidou a été directeur général de la banque Rothschild à deux reprises entre 1954 et 1962. Il a passé de nombreux week-ends avec Guy (le père de David et d'Edouard) au château de Ferrières et a présenté à la famille son brillant secrétaire général adjoint, Edouard Balladur. Pompidou-Balladur-Sarkozy-Pérol... Il y a une certaine logique dans ces recyclages très politiques. «A l'époque, David avait été très courageux. Ils n'étaient pas nombreux ceux qui nous ont tendu la main en plein triomphalisme chiraquien !», s'écrie Nicolas Bazire. Qui ajoute aussitôt : «Pendant la campagne, il a soutenu Edouard Balladur, mais a su rester en bons termes avec Jacques Chirac.» Un exploit ? «David de Rothschild ne se fâche jamais avec personne !», souligne l'un de ses proches. C'est ce que ses associés appellent la «David's touch».


Il faut les entendre parler de leur grand homme. Tous veulent y aller de leur compliment. Tous défilent pour louer son «aura», son «charisme», son «autorité naturelle», son «charme», son «intelligence», sa «vista». Et bien sûr sa «capacité à s'entourer de ?
talents» ! Tels les chevaliers de la Table ronde dévoués corps et âme à leur roi, ils sont tous égaux et solidaires dans la quête d'un Graal qui n'a rien de symbolique :
c'est David de Rothschild qui répartit en fin d'année les fameux fees (commissions). C'est lui aussi qui est appelé à trancher les conflits entre associés quand d'aventure il faut choisir entre deux clients. Ses décisions ne sont jamais remises en question. Dans la banque, David est considéré «comme un demi-dieu», assure un associé. Une figure mythique, toujours auréolée de son glorieux passé : «Gentleman en chapeau haut-de-forme aux champs de courses à Chantilly. Ou play-boy pendu au bras de l'actrice Marisa Berenson», extraordinaire épouse de Barry Lyndon dans le film de Stanley Kubrick. On se souvient encore avec admiration de son mariage, en 1974, avec la belle princesse italienne Olimpia Aldobrandini de treize ans sa cadette, avec qui il a eu quatre enfants (trois filles qui ont choisi la religion catholique comme leur mère et un fils qui a choisi la religion juive de son père). Mais derrière le cliché people, il y a un financier sans états d'âme à qui personne ne résiste : «Il a un côté statue du Commandeur, souligne un concurrent. Il suffit qu'il participe à un déjeuner arrosé d'un château-Lafite do maine Rothschild : les clients, arabes, russes ou français, sont tellement impressionnés que le deal est dans la poche.»


David de Rothschild n'a pourtant rien d'un mondain. Il préfère de loin passer ses soirées devant «le Commissaire Moulin» ou «Julie Lescaut» que dans les pince-fesses. Mais il est aussi un homme de devoir. De la même façon qu'il est prêt à aider ses associés à «remporter» un deal, il vous convie en toute simplicité à dîner à Londres, chez Wiltons, un établissement de 1742 tenu par une famille de banquiers. Corseté dans son armure Rothschild, «Baron David» (prononcez à l'anglaise) sait tourner les compliments comme personne. Et même faire dans l'autocritique. «C'est vrai, j'ai horreur des conflits, confesse-t-il. Je recherche en permanence le consensus. C'est sans doute une façon de vouloir se faire aimer de tous.» On pourrait aussi appeler cela un solide sens des affaires. Car si une question lui déplaît, il sait très bien vous transpercer d'un regard glacial.


«Il faut être indulgent, il a traversé beaucoup d'épreuves», souligne l'un de ses amis. La naissance de sa première fille, handicapée - qui vit dans la demeure familiale de Reux, en Normandie -, survenue quasiment en même temps que la nationalisation de la banque, a été un choc terrible. David de Rothschild ne le cache pas - il a participé à la fondation de l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière - mais en parle peu. Par pudeur. Parce qu'il ne veut pas qu'on s'imagine qu'il utilise sa fille pour se faire plaindre. Le chef de la dynastie Rothschild a également fort à faire avec les complexités de la généalogie familiale. A la fin de sa vie, son père, Guy, décédé en 2007, a souhaité remettre un peu d'ordre dans sa descendance : Philippe de Nicolay, le fils de sa seconde épouse, Marie-Hélène van Zuylen, devait désormais avoir une vraie place dans le «clan». Une fois de plus, c'est David, le diplomate, qui a dû gérer la chose et faire accepter au reste de la famille que Philippe de Nicolay - qui dirige l'activité gestion de fortune chez Rothschild - installe son bureau dans le saint des saints au septième étage du siège de la banque, réservé aux «vrais» Rothschild.


Il n'est jamais de tout repos d'être roi. Un autre sujet d'inquiétude mine en permanence le superbanquier : que son autre demi-frère, celui de «Libération», parle trop et nuise à l'image d'une famille unie. Alors, sans qu'on demande rien, le «patriarche» revient sans cesse sur ses relations avec Edouard, sur le départ d'Edouard, sur l'éventuel retour d'Edouard... qui
ne serait possible que si les associés l'acceptaient. «Dans la prochaine génération, il se peut très bien que les Rothschild soient actionnaires et managers ou actionnaires sans être managers, explique-t-il. Peut-être que la famille décidera qu'il faut fusionner avec un autre établissement. Ou bien qu'il vaut mieux qu'un professionnel de la maison devienne président de transition.» En filigrane, on sent bien qu'il rêve de voir son fils Alexandre prendre sa succession. Les Rothschild, comme les familles royales, ont vécu sous le régime de la loi salique : «Ce n'était pas parce que nos aînés pensaient que les filles de la famille étaient moins intelligentes, précise David de Rothschild. Mais par méfiance des gendres. Ce n'est naturellement plus vrai aujourd'hui !»


Finalement, seules ses relations avec son cousin Eric, un autre «bon» Rothschild, lui auront apporté quelques joies durant toutes ces années. Peu connu du grand public, il est pourtant l'une des têtes pensantes du groupe et travaille en duo avec David. Dans sa folle jeunesse pourtant, Eric préférait fréquenter les peintres - Francis Bacon, Lucian Freud ou Andy Warhol. Mais quand son cousin lui a proposé de réinvestir dans une nouvelle banque une partie des indemnités offertes aux Rothschild après la nationalisation, il n'a pas hésité. Depuis, ils ne se sont jamais quittés. Eric a épousé lui aussi une princesse italienne, Maria Beatrice Caracciolo di Foniro, cousine... de l'épouse de David. Les deux cousins, amis dans la vie et frères en affaires, ont fait les quatre cents coups ensemble. Le plus spectaculaire remonte à cinq ans : David et Eric ont «pris» la banque NM Rothschild & Sons, présidée par un autre cousin, anglais celui-là, et qui répond au doux prénom d'Evelyn. Un homme au tempérament pourtant bien trempé, qui a longtemps regardé David le «petit frenchy» avec condescendance. Jusqu'au jour où il a essuyé de grosses pertes avec son fonds d'investissement personnel. Encore un de ces «mauvais» Rothschild qui ne sait pas se tenir... Heureusement «Monsieur David» était là.

Guy de Rothschild

Le père, Guy de Rothschild - décédé en 2007 -, et ses frères Alain et Elie dans l'ancienne salle du conseil de la banque, rue Laffitte. Avant la nationalisation, c'est une banque de dépôt peu florissante. David en fera une grande banque d'affaires, concurrente de Lazard.

Odile Benyahia-Kouider
Le Nouvel Observateur

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2302/articles/...


Les Rothschild, une brillante énigme

Par scolapalatina

le 18/02/2009 à 23:22, vu 4629 fois,


L'histoire des Rothschild http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Rothschild se confond avec leur


exceptionnel essor bancaire. Outre d'innombrables activités financières, ils ont été à l'origine ou à la tête de plusieurs banques nationales européennes et leurs multiples tentatives aux USA avaient finalement abouti en 1913 avec la création de la Federal Reserve.

Certaines de leurs activités avaient été totalement pillées et spoliées par les nazis (Allemagne, Autriche, France de Vichy), alors qu'ailleurs, elles avaient pu continuer à se développer, comme en Angleterre aux USA ou en Suisse. La branche française avait connu de nouveaux déboires en 1981 avec la nationalisation par Mitterrand. Contrairement à son père, David de Rothschild ne s'était pas laissé abattre. Il avait réussi en peu d'années, à partir de trois employés et un capital de seulement un million, à brillamment recréer une des premières banques de France et d'Europe. David de Rothschild a été décoré de la légion d'honneur par le président Sarkozy le 1er janvier 2009.

Il y a des liens entre Sarkozy et les Rothschild. Edouard de Rothschild, le demi-frère de David est un ami de Sarkozy, selon le média LePoint. Il est le principal actionnaire du média de gauche français « Libération » qui avait failli à sa vocation de gauche en œuvrant très souvent contre Ségolène Royal et encore récemment pour le congrès de Reims où Libération avait poussé Delanoë contre Royal. D'autres liens se retrouvent par Nicolas Bazire, le PDG du groupe LVMH et témoin du récent mariage de Sarkozy, http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Bazire#column-one c'est un ancien administrateur de la banque Rothschild. De même le fils de l'actionnaire-propriétaire du Figaro, Laurent Dassault, administrateur du groupe, est aussi administrateur d'une banque Rothschild http://www.lcf-rothschild.lu/fr/luxembourg/overview/keyfi...


« The City of London is not that ancient city on the Thames River.
La City de Londres n'est pas seulement une ancienne ville sur la rivière Thames. It is not only separate, it once controlled the whole British Empire. Elle est non seulement distincte, mais elle avait jadis contrôlé l'ensemble de l'Empire britannique. It is generally considered to be a Rothschild entity. Elle est généralement considérée comme une entité Rothschild »

Voir : http://www.americanfreepress.net/html/london_banking_cent...


La banque centrale  des USA, la Federal Reserve, est en fait une association de banquiers privés qui contrôle l'ensemble du système monétaire US. Les Rothschild, très discrets, avaient été la pièce maîtresse de sa création, en coopération avec John D. Rockefeller et J.P. Morgan, les plus puissants capitalistes américains de 1913. Ils avaient réussi à rendre la création de la monnaie américaine indépendante de l'étalon-or et largement libre de toute autre régulation que leur volonté. En un siècle, il est devenu très difficile de voir clair dans l'extraordinaire complexité de sociétés dont les actionnaires se cachent dans l'anonymat, mais des tentatives de ces dernières décennies avaient conclu que les dynasties Rothschild et Rockefeller y sont toujours leaders, même à la fin du 20e siècle, soit très longtemps après la création de la Federal Reserve :

http://www.save-a-patriot.org/files/view/whofed.html

http://www.acsa2000.net/interlocks.htm

Si la fortune des établissements financiers qui portent le nom de Rothschild ne font « guère » apparaître que 45 milliards d'avoirs, certains pensent que les avoirs investis dans l'extraordinaire complexité de sociétés apparentées se situe dans une fourchette entre 100 et 300 billions de dollars (cent mille à 300 mille milliards de dollars) A titre de comparaison, la dette abyssale de l'état américain se situe aux environ de 11 mille milliards de dollars, soit aussi le montant estimé de l'ensemble des avoirs des Rockefeller en 1999... Ils seraient donc, et de loin, les plus riches de toute la Terre. Voir : http://www.prlog.org/10058722-morgan-chase-buyout-of-bear...

Cela ouvre la porte à tous les appétits et toutes les imaginations pour une prétendue volonté de prendre le contrôle de l'ensemble de la finance mondiale. A ce point de vue, on cite souvent la phrase du fondateur de la dynastie bancaire, Amschel Rothschild, au 18e : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d'une nation et je ne me soucie pas de qui  fait les lois » Troublante, est aussi le sigle d'une mystérieuse association, les Illuminati, http://www.syti.net/Organisations.html#cfr qui œuvrent pour un nouvel ordre mondial et que l'on a toujours actuellement sur les billets de 1 dollar émis par la Federal Reserve US (symbole de la pyramide, avec un œil en guise de sommet)

Symbole des Illuminati

 

Logo des Illimunati.jpg


Billet de 1$ émis par la Federal Reserve US :

 

Dollar.jpg

 



Dans ce contexte, la phrase de Sarkozy prononcée à mi-janvier « ensemble nous irons vers un nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer » alimente des spéculations de cet ordre.


Quoiqu'il en soit, on peut considérer les Rothschild comme des banquiers d'exception qui ne semblent guère avoir été touchés par la crise actuelle, continuant à participer à de belles fusions : http://www.prlog.org/10058722-morgan-chase-buyout-of-bear... qui consacre par la fondation en 2008 d'une des plus puissantes

banques de la planète, la JP Morgan Chase, l'ancienne alliance fondatrice de la FED, avec les Rockefeller et Morgan. De même, au cœur de la crise du siècle, la banque Edmond de Rothschild repart déjà de l'avant en rachetant des parts de Microsoft et de BMW (!) Voir : http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601100&sid=a...

Crédits image : Sity.net


Edouard de Rothschild, l'apolitique

 

Edouard de Rothschild. Photo © France Galop / Thierry Orban

Edouard de Rothschild est ami avec Nicolas Sarkozy et son épouse Cécilia "depuis longtemps". Il est même arrivé au président de France Galop, où il a succédé à Jean-Luc Lagardère, de passer ses vacances avec le couple à La Baule. Le descendant des célèbres banquiers rappelle quoi qu'il en soit au journal Le Monde qu'il "ne fait pas de politique" et qu'il a autant d'amis à gauche qu'à droite. Son entrée au capital de Libération à l'automne 2004 l'y a peut-être aidé.


Président de France Galop, associé-gérant de Rothschild & Cie Banque, administrateur de Libération et de Global Asset Management

http://www.journaldunet.com/economie/dirigeants/patrons-s...

 

 

 

 

 

24/07/2009

N.O.M. : Le Vatican manipulé par les sectes secrètes ?

Le Vatican lance un appel pour la création d’un gouvernement mondial, le Vatican est manipulé par les sociétés secrètes !

Source: SpreadTheTruth.fr

Source: Examiner

Le 8 juillet, le Vatican a publié une nouvelle encyclique intitulée « La charité dans la Vérité.” Une encyclique est une lettre que le pape adresse aux leaders religieux. Elle aborde différents aspects de la doctrine Catholique. Le Pape y exhorte les dirigeants du monde à constituer une « une véritable autorité politique mondiale » ou ce que certains pourraient appeler un gouvernement mondial.

D´après un article publié dans le site The NewAmerican.com, le Pape en appelle également à la reforme des Nations Unies, des institutions économiques et de la finance internationale afin que “le concept de famille des nations puisse devenir une réalité concrète.”

Il apparaît désormais que le Vatican s´est associé aux groupes tels que le Conseil des Relations Extérieures, les Bilderbergers et la Commission Trilatérale, qui en appellent à l´avènement d´un nouvel ordre mondial.

Le livre de Daniel, chapitres 1 et 2, annonce l´avènement d´un empire mondial qui dominera le monde entier et sera dirigé par un homme connu sous le nom de l’Antéchrist. Le livre Apocalypse 13 :7 indique que : « ….il avait le pouvoir de domination sur toutes les familles, langues et nations. »

L´idée d´un gouvernement mondial est en œuvre depuis des dizaines d´années, mais ce n´est que maintenant que nous voyons de plus en plus les signes de sa concrétisation imminente. Nous n´attendrons plus longtemps avant de voir se concrétiser les prophéties contenues dans les livres de Daniel et Apocalypse.

Voici juste quelques raisons pour lesquelles je pense que nous allons assister à la mise en place d´un système de gouvernement mondial très bientôt.

Des négociations sont en cours, en vue de la formation de grands ensembles politiques tels que l´Union Européenne . La constitution de puissances régionales telles que l´Union Nord Américaine,  l´Union Africaine et l´Union d´Asie du Sud se concrétisent.
• Plusieurs pays influents, à savoir la Russie et la Chine, ont pendant des mois invité les nations du monde à abandonner le dollar américain comme monnaie de référence et à adopter une monnaie mondiale. A cet effet, le président russe a présenté au début de ce mois un échantillon de monnaie mondiale.
• Grâce à la technologie des satellites, aux microprocesseurs et peut-être aux sites de réseau social, l´élite mondiale a la possibilité de surveiller tous les hommes vivant sur cette planète.

Il n´est pas difficile de comprendre que notre pays se dirige à grands pas vers une unification. L´on nous dit qu´un monde unifié sera source de paix, de compréhension et d´une plus grande prospérité (ce qui est peut-être vrai), mais malheureusement, la Bible nous enseigne qu´un système unique mondial dirigé par un pécheur n´apportera que destruction et confusion (voir l´histoire de la tour de Babel) et en fin de compte, la fin du monde, comme nous le savons.

Le temps presse, et le dernier chapitre de l´histoire est en train de s´écrire.

Etes-vous prêts ?

Source: SpreadTheTruth.fr

Géopolitique : Chine, Russie contre les USA

La Chine et la Russie préviennent les Etats-Unis qu’une attaque israélienne sur l’Iran déclencherait une “Guerre Mondiale”

Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr


Des sources proches du Kremlin affirment aujourd’hui´hui avec pessimisme que le Président Medvedev et son homologue Chinois, M. Hu Jintao, ont adressé un « avertissement pressant aux Etats-Unis pour dire que s´ils laissent Israël lancer une attaque nucléaire contre l´Iran « Nous réagirons par une Guerre Mondiale »


A l´origine des craintes sino-russes se trouvent des informations rapportées par les services de renseignement. Celles-ci font état de ce que trois quarts des forces navales Israéliennes ont traversé le canal de Suez et que ce pays a stationné, au Kurdistan, 30 de ses chasseurs fabriqués aux Etats-Unis en préparation d´une attaque. Au cours de celle-ci, des bombes « bunker buster » et des missiles de croisière équipés de têtes nucléaires seraient utilisés.


Selon des analystes militaires russes, Israël envisage d´utiliser d´abord des chasseurs fabriqués aux Etats-Unis pour attaquer les installations nucléaires iraniennes. Ensuite il utilisera ses sous-marins et ses navires de surface équipées de missiles nucléaires pour détruire les infrastructures militaires, religieuses et politique de l´Iran en cas de réaction combinée du Hezbollah libanais et de l´Iran qui ferait « pleuvoir des missiles au Nord d´Israël » .


Des informations de sources israéliennes confirment également les craintes russo-chinoises relatives à une attaque d´Israël contre l´Iran, ainsi qu´on peut le lire dans le journal Haaretz News Service :


Un responsable de la défense israélien a déclaré jeudi au journal londonien, Times que “le récent déploiement par Israël de navires de guerre dans la Mer Rouge doit être considéré comme des préparatifs sérieux en vue de mener des attaques contre l´Iran.


“Ces préparatifs doivent être prises au sérieux. La complexité d´une attaque contre l´Iran pousse Israël à investir du temps dans les préparatifs d´une telle action".


Avant de quitter la Maison Blanche, le Président Bush s´est tellement inquiété des projets d´attaques israéliennes contre l´Iran qu´il a refusé, un fait sans précédent, de répondre positivement à « la demande secrète » d´Israël concernant la fourniture de 1000 bombes bunker buster. Mais grâce à un accord conclu en 2005 avec le Pentagone, Israël avait déjà obtenu 100 de ces armes redoutées.


Apres l´arrivée du Président Obama à la Maison Blanche, le premier ministre israélien lui a lancé un sévère avertissement en ces termes : « Ou vous vous occupez rapidement de l´Iran, ou nous le ferons nous-mêmes ». C´est une menace que le président Obama a rejetée la semaine dernière au cours de sa visite effectuée en Russie en expliquant que les Etats-Unis ne soutiennent « absolument pas » Israël dans leurs projets d´attaquer l´Iran. Cette déclaration est toutefois curieuse au regard des affirmations du Vice Président américain qui déclaraient quelques jours auparavant qu’ «  Israël est libre de faire ce qu´il juge nécessaire pour éliminer la menace nucléaire iranienne ».


Ces faits indiquent que le projet de l´Etat juif d´utiliser le territoire irakien du Kurdistan, région frontalière de l´Iran a contribué à renforcer les craintes des Russes et des Chinois. Or ce territoire a affirmé sa volonté de devenir un Etat indépendant par l´adoption d´une nouvelle Constitution la semaine dernière. Or la mise sur pied d´une armée entraînée par des experts israéliens peut provoquer l´invasion de ce territoire par ses deux ennemis jurés que sont l´Iran et la Turquie.


Pire encore, le leader syrien aurait averti les Etats-Unis que si l´Iran et la Turquie déclarent la guerre au Kurdistan et à Israël, il n´aurait pas « d´autre choix » que de respecter l´accord de défense signés avec l´Iran. En effet cet accord stipule que les deux nations doivent se prêter assistance en cas d´agression de l´un ou l´autre.


Cette situation est davantage compliquée par le fait que la Turquie soit membre de l´OTAN. Or cette qualité de membre de cette alliance oblige les Etats-Unis ainsi que les pays européens à s´allier à la Turquie pour combattre Israël et le Kurdistan qui sont par essence leurs propres alliés.


Le peuple américain ignore l´existence des accords entre les Etats-Unis et l´Iran. Alors que les forces américaines se battent en Irak, ces accords autorisent l´Iran à bombarder le territoire kurde irakien sans risque de représailles de la part des Etats-Unis. Ce genre d´accords existe également avec la Turquie qui mène depuis des décennies une guerre contre les Kurdes irakiens.


Cependant, les informations les plus inquiétantes, selon ces sources, portent sur le fait que la Russie et la Chine se déclarent prêtes à imposer un « embargo immédiat » sur le pétrole, le gaz produits au Moyen Orient ainsi que sur les armes que les Etats-Unis pourraient être tentés de livrer. En outre, la Chine menace « d´interrompre immédiatement » tout financement de la dette des Etats-Unis en cas d´attaque israélienne contre l´Iran. Or c´est la Chine qui maintient l´économie des Etats-Unis à flot. Le déficit public des Etats-Unis bat des records historiques. Il est de 1 trillion de dollars, et dépassera les 2 trillions d´ici le 30 septembre, fin de l´exercice budgétaire. Dans ces conditions, les 2 trillions de réserves en bon de trésor américains que la chine possède constitue une menace particulièrement grave.


Les analystes des services de renseignement russe indiquent en outre que le chef de l´organisation de l´Energie Atomique Iranienne a présenté sa démission parce qu´il craignait pour sa sécurité et celle de sa famille en cas d´attaque israélienne contre la nation perse.


En définitive, selon ces informations, on ne sait pas en ce moment si le système de défense anti-missile d´Israël, nommé Iron Dome, dont les israéliens affirment qu´il a été « testé avec succès » serait en mesure de résister aux plus de 6000 missiles lancés à la fois par la Syrie, le Hezbollah et l´Iran.


De l´avis des chefs militaires israéliens, après la destruction conventionnelle de ses installations nucléaires, la Nation perse va « s´engager à demander la paix » plutôt que d´accepter de subir des attaques à l´arme nucléaire. Mais les informations indiquées par cette source font état de ce que les chefs iraniens se disent « totalement préparés » à entraîner le monde entier dans un « feu brutal » plutôt que de « s´agenouiller » devant les « sionistes » qui, à leurs yeux, n´ont aucun droit à l´existence dans cette partie du monde, le Proche-Orient.

Source : SpreadTheTruth.fr

 

19/07/2009

Gaza : Les « pratiques acceptées » de l’armée israélienne

International - Article paru
le 16 juillet 2009

Monde

Les « pratiques acceptées » de l’armée israélienne

Proche-Orient . Une association de soldats vétérans israéliens dénonce l’utilisation de boucliers humains lors de l’offensive de Gaza.

Lentement, le vent tourne. Si, en 2002, lors de l’offensive lancée en Cisjordanie, l’armée israélienne avait pu échapper à ses responsabilités dans les massacres perpétrés, notamment dans le camp de réfugiés de Jénine, il n’en est plus de même aujourd’hui. L’offensive menée à Gaza du 27 décembre au 18 janvier avait soulevé un cri de protestation à travers le monde. Si un quarteron de défenseurs acharnés d’Israël avait applaudi aux bombes au phosphore blanc, aux tirs contre des écoles de l’ONU ou aux destructions de maisons, la majorité des peuples avaient exprimé leur émotion devant une attaque qui a fait plus de 1 400 morts et 5 000 blessés palestiniens. D’autant que la volonté israélienne d’empêcher la presse internationale de pénétrer dans la bande de Gaza indiquait clairement que cette armée, et ses chefs, ne tenait pas vraiment à opérer devant des témoins qu’il serait difficile de contredire. Ce qui n’est pas le cas lorsqu’il s’agit de paroles de Palestiniens que Tel-Aviv assimile toujours à de la propagande, voire à de l’antisémitisme.

Parmi les nombreux murs dressés par Israël, un est en train de se lézarder. Au lendemain de l’offensive, déjà, des soldats avaient dénoncé des attitudes militaires contraires aux droits de l’homme, s’apparentant à des crimes de guerre, voire des crimes contre l’humanité. La branche israélienne de l’organisation Médecins pour les droits de l’homme (Physicians for Human Rights) a accusé l’armée d’avoir violé le droit international lors de l’offensive « Plomb durci » dans la bande de Gaza, notamment en ce qui concerne la sécurité des blessés et des équipes soignantes. Aujourd’hui, c’est une autre organisation non gouvernementale, une association de soldats vétérans, Breaking the silence (briser le silence), qui révèle les « pratiques acceptées » au sein de l’armée israélienne. Il s’agit selon elle de « la destruction de centaines de maisons et mosquées sans que cela n’ait d’objectif militaire, l’emploi de phosphore en direction de zones habitées, la mort de victimes innocentes tuées avec des armes légères, la destruction de propriétés privées et (…) une atmosphère permissive dans la structure de commandement qui a permis aux soldats d’agir sans contraintes morales ». Le document est composé de témoignages anonymes de trente soldats engagés dans les combats durant l’offensive israélienne à Gaza. « Les témoignages prouvent que la manière immorale dont la guerre a été menée était due au système en place et non aux soldats individuellement », a affirmé Mikhael Manekin, au nom de l’ONG.

Israël refuse toute commission d’enquête

Les soldats israéliens ont ainsi utilisé des civils comme boucliers humains (« À chaque maison dont nous nous approchions, on envoyait les voisins à l’intérieur », a expliqué l’un d’eux) et reçu pour instruction de tirer sans se préoccuper des conséquences. « On nous disait que la sécurité des soldats résidait dans leur puissance de feu, a raconté un militaire. On faisait ainsi comprendre aux soldats que leur vie était le plus important et qu’il n’y avait aucune raison qu’un de nos soldats soit tué parce qu’on avait laissé à un civil le bénéfice du doute. » L’armée israélienne a rejeté ces accusations, affirmant dans un communiqué que, selon ses propres enquêtes, « il est clair que les soldats des forces armées israéliennes ont opéré en accord avec les lois internationales et les ordres qu’ils ont reçus, en dépit des combats difficiles et complexes ». Le seul problème est que, comme toujours, Israël refuse toute commission d’enquête internationale qui permettrait de faire la lumière sur ce qui s’est réellement passé dans la bande de Gaza. Une attitude qui ne peut que jeter le doute sur les déclarations officielles israéliennes, alors que les témoignages des soldats corroborent ceux recueillis par les grandes ONG de défense des droits de l’homme.

Pierre Barbancey


Source : L'Humanité

Des soldats israéliens évoquent une guerre sans retenue à Gaza

Douglas Hamilton (Reuters )

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Des soldats israéliens ayant participé à la guerre de Gaza ont rapporté avoir eu pour instructions de "tirer d’abord" et de ne se soucier qu’ensuite de savoir si c’était contre des civils, rapporte l’ONG "Breaking the silence" que Tsahal accuse de s’être fondée sur des "racontars".

Accusé par Amnesty International, Human Rights Watch et l’Onu d’avoir causé des pertes civiles et des destructions injustifiables en décembre et janvier dans le territoire palestinien, Israël a toujours rejeté ces mises en cause.

Plusieurs soldats de Tsahal ayant participé à cette opération affirment à présent que leurs chefs les ont incités à tirer d’abord et à ne se préoccuper qu’ensuite de distinguer les combattants des civils. En conséquence, témoignent-ils, leurs forces se sont ruées dans le territoire enclavé sans retenir leurs tirs.

Selon ces trente soldats, dont les témoignages anonymes ont été recueillis par "Breaking the Silence", la priorité de l’armée était de minimiser ses pertes afin de s’assurer du soutien populaire israélien à l’opération, contrairement à ce qui s’est passé au Liban à l’été 2006.

"Mieux vaut atteindre un innocent qu’hésiter à viser un ennemi" : c’est en ces termes qu’un soldat résume la façon dont il a compris les instructions répétées durant les briefings préliminaires et pendant l’intervention, qui a duré 22 jours.

"Dans le doute, tuez. La puissance de feu était insensée. On arrivait et les explosions étaient hallucinantes. Dès l’instant où on arrivait à nos positions, on commençait à tirer sur tout ce qui était suspect", raconte un autre.

Tsahal a, dans un long communiqué, démenti les accusations "mensongères et diffamatoires, mélangeant rumeurs et on-dit".

"La plupart de ces témoignages sont anonymes et manquent de tout détail précis permettant à la Force de défense israélienne (IDF) d’enquêter et de les confirmer ou de les réfuter", dit ce communiqué.

DES SOLDATS TENUS AU MUTISME

L’armée "regrette qu’une nouvelle organisation de défense des droits de l’homme présente à Israël et au monde un rapport fondé sur des témoignages anonymes et généraux", sans avoir eu la "décence minimale" de lui soumettre auparavant aux fins de vérifications.

L’ONG dispose de financements de la part d’associations israéliennes de défense des droits de l’homme ainsi que des gouvernements britannique, néerlandais et espagnol et de l’Union européenne.

A l’exception d’un sergent prénommé Amir, l’ensemble des soldats parlent sous l’assurance de l’anonymat et leurs visages sont floutés dans les témoignages filmés. La transcription des propos est disponible sur le site www.breakingthesilence.org.il.

L’armée israélienne, qui repose essentiellement sur la conscription, interdit formellement à ses soldats de parler aux médias. Le rapport de 112 pages de "Breaking the Silence" contient le témoignage de trente soldats "ayant servi dans tous les services impliqués dans l’intervention".

"La majorité (...) sont encore en service dans leurs unités et, profondément alarmés par la dégradation morale de l’IDF, se sont tournés vers nous. (Leurs témoignages) suffisent à mettre en doute la crédibilité de la version officielle de l’armée", peut-on lire dans ce document.

Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côté palestinien s’est établi à 1.417 tués, dont 926 civils. Tsahal parle de 1.166 morts dont 295 civils. Côté israélien, dix soldats et trois civils ont péri.

Des rues entières de Gaza ont été rasées pour réduire le risque des tireurs embusqués et des pièges explosifs. Selon les Nations unies, les quelque 600.000 tonnes de gravats commencent à peine à être déblayées, six mois après la fin de l’opération.

DES "INCIDENTS ISOLÉS"

Dans son communiqué, l’armée rejette ces critiques, mais s’engage à enquêter en cas de plainte formelle pour exactions, tout en assurant que ses militaires ont respecté le droit international.

Le ministre israélien de la Défense, le travailliste Ehud Barak, a estimé pour sa part que l’IDF était "la plus morale des armées du monde" et qu’elle se comportait "conformément aux plus hautes normes éthiques".

Le long communiqué de Tsahal reconnaît toutefois "des cas isolés où du tort non intentionnel a été causé à des non-combattants à la suite d’erreurs opérationnelles", que l’armée affirme inévitables dans "des combats complexes et difficiles".

Plusieurs soldats décrivent une procédure de fouille de maisons où des civils étaient forcés à entrer dans des bâtiments suspects devant les soldats. Ils citent plusieurs cas dans lesquels des civils devaient s’avancer tandis qu’un militaire, derrière lui, reposait son fusil sur son épaule.

"Nous n’avons jamais utilisé aucun civil comme bouclier humain", a rétorque à Radio Israël un porte-parole de Tsahal, le colonel Avi Peled. Il assuré que les témoignages sur ce point ne sont que des choses dont les soldats ont entendu parler.

Le rapport évoque également l’emploi sans discernement de munitions incendiaires au phosphore blanc dans les rues de Gaza - ce que Tsahal dément -, des "destructions massives ne répondant à aucune menace directe" et des règles d’engagement "permissives".

"On ne nous disait pas de tirer sur tout ce qui bouge. Mais la consigne générale était : si vous vous sentez menacés, tirez. Ils n’arrêtaient pas de nous dire que c’était la guerre et que, à la guerre, on fait feu à volonté", se souvient un soldat.

Version française Gregory Schwartz et Marc Delteil : http://fr.news.yahoo.com/4/20090715...

VIRUS H1N1 : Qu'est-ce que c'est ?

VIRUS H1N1 : UNE ARME BIOLOGIQUE DE DESTRUCTION MASSIVE !

Le 19/07/2009

Le 10/06/2009, la journaliste d'investigation Jane Bürgermeister a porté plainte auprès du FBI en fournissant un document de 112 pages fournissant toutes les preuves que les membres de l'oligarchie financière avec la complicité de personnalités politiques de haut rang, auxquelles on peut rajouter l'Oms et l'Onu, fomentent un génocide de masse de la population mondiale et ont crée  le prétexte de la grippe porcine afin de justifier leur plan de vaccination de masse obligatoire et administrer un agent biologique toxique. Sans compter que 9220 fioles contenant des agents pathogènes très dangereux ont disparu du laboratoire militaire américain de Fort Detrick pourtant ultra sécurisé !!!

LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT :

http://www.blog-video.tv/video-106311d37a-Archive-tele-du...

Voir les articles précédents ici :

Le Pouvoir Mondial (1)

Le Pouvoir Mondial (2)