Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/11/2009

Europe : Nigel Farage réprimandé pour avoir critiqué l'Europe

Un député Européen courageux qui critique l'ingérence de personnes non élues auprès de l'Europe.
L'oligarchie financière veille au grain !

Un Député Européen réprimandé pour avoir critiqué la Dictature Européenne
http://www.alterinfo.net/Un-Depute-Europeen-reprimande-pour-avoir-critique-la-Dictature-Europeenne_a39777.html

Farage a poursuivi en mettant l’accent sur le fait qu'Ashton représentait l'agenda de l'UE dans « un âge post-démocratique, » où les gens sont choisis par l'élite pour occuper les positions les plus puissantes plutôt qu'être élus par le peuple.  

« Elle s'est bien mariée, elle a épousé un conseiller et un ami et un défenseur de Tony Blair et a obtenu son entrée dans la Chambre des Lords, quand elle a intégré la Chambre des Lords, on l’a assigné à une lourde tâche, sa mission était de faire accepter le Traité de Lisbonne à la Chambre des Lords, et de le faire en prétendant qu’il était entièrement différent de la constitution de l'UE… et elle a vigoureusement écrasé toute tentative de la Chambre des Lords d’organiser un référendum pour les Anglais, » a déclaré Farage en même temps que les dirigeants-bureaucrates de l'UE, vexés que leur tyrannie soit ouvertement discuté au Parlement de l'UE, ont commencé à essayer de vouloir le faire taire en criant et en gesticulant, vue que Barroso semblait visiblement secoué.

Farage a repondu à un élément perturbateur en affirmant, « bon, au moins j'ai été élu Monsieur, contrairement à elle, elle n'a pas été élue et le peuple n'a pas la pouvoir de lui demander de partir. »

Vue que les bureaucrates de l'UE continuaient à interpeler Farage, il a expliqué comment Ashton avait accepté d’énormes donations d'un membre proéminent du Parti Communiste en Grande-Bretagne, alors qu’elle occupait le poste de Trésorier pour le CND, exigeant des réponses sur ce qui l’a poussé à prendre de l'argent de quelqu'un qui représente une organisation viscéralement opposée à la démocratie occidentale.
 

« A-t-elle pris de l'argent des ennemis de l'ouest, cette question doit obtenir une réponse, » a affirmé Farage.

Farage a alors accusé les Députés Européens de « trahir leurs démocraties nationales » en permettant au Traité de Lisbonne de passer et a averti qu'une avalanche de nouvelles lois suivrait, avant d’appeler à un référendum national au Royaume-Uni pour décider si la Grande-Bretagne devrait quitter l'UE. La caméra s’est alors de nouveau posée sur Barroso qui semblait fumer de rage du fait que quelqu'un ait osé se lever contre la toute-puissante de l’Union Européenne et d’exposer leur nature autoritariste et dictatoriale.

Après que Buzek l’ait à nouveau averti concernant « certaines des expressions » qu'il a employé, Farage a essayé de savoir ce qu'il avait dit de si blessant, avant qu’un Député Européen Socialiste babille une rhétorique à peine compréhensible de globaliste, dans une tentative boiteuse de stopper le discours incisif de Farage.

<<Avec tout le respect que je vous dois, je pense que vous avez complètement manqué le point, » a répondu Farage, « parce que par deux fois vous avez dit : ‘les personnes qui ont été élues la semaine dernière' – alors qu’elles n'ont pas été élues, voila la remarque que j’ai fait à propos du cas de la Baronne Ashton : de sa vie entière, elle n'a été jamais élue à aucun poste de l'administration publique, elle prend un poste extrêmement puissant et les peuples de l'Europe n'ont aucun pouvoir pour lui demander des comptes et pour lui demander de partir et c’est ce qui est fondamentalement mauvais avec l’ensemble de cette Union Européenne, tout la question tourne autour de l’opposition entre la bureaucratie et la démocratie. »

Les fondements pour l'UE et dernièrement la monnaie unique de l’Euro ont été jetés par le groupe secret des Bilderberg durant les années 50. Les documents des Bilderberg ayant été l’objet de fuite montrent que l'agenda pour créer un marché commun Européen et une monnaie unique ont été formulés par les Bilderberg en 1955. Un des principaux fondateurs du groupe était le Prince H. Bernhard des Pays Bas, un ancien officier SS Nazi.

http://www.prisonplanet.com/leaked-1955-bilderberg-docs-outline-plan-for-single-european-currency.html

http://www.bilderberg.org/bernhard.htm#Nazis

Mais le contexte idéologique de l'Union Européenne remonte encore plus loin, aux années 40 quand les principaux économistes et universitaires Nazis ont tracé le plan pour une unique communauté économique Européenne, un agenda qui a été dûment suivi après la fin de la deuxième Guerre Mondiale.

Comme nous l’avons souligné dans le passé, le nazisme et l'UE ont quelques parallèles très inquiétants. En effet, les deux sont fondamentalement entrelacés et les origines de l'UE peuvent être directement être retracées jusqu’aux Nazis.

http://www.prisonplanet.com/top-nazis-planned-eu-style-fourth-reich.html

Le fait que l'UE soit une invention des principaux économistes et industriels Nazis, élaboré comme un moyen de préserver un pouvoir dictatorial et alors mis en place par un ancien nazi travaillant sous les auspices du groupe des Bilderberg en 1955, montre que l’ensemble du système de l'Union Européenne est empoisonné par un legs et sa raison d'être est le totalitarisme.

Cela devient de plus en plus voyant au 21ème siècle, alors que des mouvements sociaux populaires s’élèvent à travers l'Europe pour s'opposer à la flagrante prise de pouvoir de l'UE par l'intermédiaire du Traité de Lisbonne, qui est passé par la force en Irlande plus tôt cette année en dépit du fait que la population l'ait déjà rejeté dans un précédent référendum national.

Tout comme, dans les années 30, Hitler a obligé, à plusieurs reprises, les Allemands à revoter jusqu'à ce qu'il ait pu les intimider pour voter ce qu’il voulait, l'Union Européenne a suivi la même méthode. La ratification du Traité de Lisbonne a permis en premier lieu à l'UE de créer le poste de Président de l’Europe, et il n’y a aucun doute que Van Rompuy et Ashton feront tout ce qu’ils ont en leur pouvoir pour accélérer le mouvement vers l'objectif ultime des Bilderberg - un super-Etat fédéral dictatorial Européen qui a complètement englouti les lambeaux déchiquetés de ce qu’il reste de  souveraineté des Etats membres.

 
Nigel Farage réprimandé pour ses critiques

   
Nigel Farage interpelle Nicolas Sarkozy


Nigel Farage MEP Lambasts Gordon Brown


L'Europe aux mains de magnats non élus !

21/11/2009

Henri Makow : La Russie victime des complots de la Franc-maçonnerie

Droit de reproduction interdit. Veuillez consulter l'article par ce lien

http://www.spreadthetruth.fr/?p=5504

Article original en Anglais

http://www.henrymakow.com/how_the_illuminati_took_back_r....

 

NWO : Nouvel Ordre Mondial -1/2
http://www.youtube.com/watch?v=3QcPV6LAjwI

 

NWO : Nouvel Ordre Mondial 2/2
http://www.youtube.com/watch?v=afg30yoXcl0


20/11/2009

Climat: réduire les naissances, une solution?

Si vous aviez encore un doute sur une campagne vaccinale criminelle pour limiter les naissances et réduire la population mondiale, vous serez fixés avec le rapport de l'ONU sur le climat !

Réchauffement qui n'est pas dû au Co2 mais à un réchauffement cosmique, dû au fait que nous arrivions à la fin d'un cycle cosmique de 26 000 ans. Un alignement galactique de toutes les planètes avec le centre de la Galaxie est prévu pour le 21 décembre 2012. Notre système solaire se trouve depuis quelques années sur un bras de la galaxie et il remonte vers son centre pour nous permettre d'accéder à un autre niveau vibratoire.

Nous sommes les témoins de notre évolution spirituelle et neurologique.

Eh oui, l'évolution n'arrive pas qu'aux autres ! C'est  ce que l'on appelle en matière de spiritualité, faire son ascension !
C'est ce que les Illuminati-reptiliens (Annunakis) veulent nous empêcher de faire, nous et nos enfants, car ces entités veulent s'accaparer défitivement la Terre en créant leur Nouvel Ordre Mondial de dictature et leur Unique religion Mondiale !

Nous avons aussi leur planète Nibiru, qui s'approche de la Terre dangereusement, ce que toutes les élites politico-religieuses se sont bien attachées à vous cacher !

Comment rattraper des mensonges proférés sur le réchaufffement climatique depuis de nombreuses années par les élites politico-religieuses sans s'attirer les foudres des peuples ? On les élimine pour qu'ils ne se révoltent pas !

 

jeudi 19 novembre 2009 à 11H45

Climat: réduire les naissances, une solution?

Mercredi, le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) a publié son rapport 2009 sur l'État de la population mondiale.

Publié par : Olivier Caron

L'une des conclusions du rapport en fait sursauter plusieurs, soit celle qui recommande aux États membres de l'ONU de travailler à réduire la fécondité de leurs populations afin de lutter contre les changements climatiques en diminuant les émissions de GES.

Comme le rapporte François Cardinal dans La Presse, le rapport soutient notamment que la «voie à suivre pour rendre les chiffres de la population humaine conciliables avec un climat viable à long terme réside dans la suppression des obstacles à l'utilisation de la planification familiale». Les responsables du rapport sont aussi d'avis que «chaque naissance entraîne non seulement les émissions imputables à ce nouvel être durant tout le cours de sa vie, mais aussi les émissions produites par tous ses descendants».

La conclusion a en effet le potentiel de créer la controverse. D'emblée dans le rapport, l'UNFPA estime que le climat va changer radicalement dans le siècle qui commence. Or, l'organisme pointe du doigt directement l'activité humaine, d'où l'intérêt, selon lui, de cibler le nombre de naissances.

«Un nombre croissant de données montre que les changements climatiques récents sont en premier lieu le résultat de l'activité humaine. Le mode d'influence de l'activité humaine sur les changements climatiques est complexe» peut-on lire en préambule du rapport.

«Il s'agit aussi de la population croissante, qui approche 7 milliards. Comme la rapidité de la croissance démographique, de celle des économies et de la consommation distance la capacité de la terre à opérer les ajustements nécessaires, les changements climatiques pourraient devenir beaucoup plus extrêmes - voire, peut-on penser, catastrophiques» estiment les auteurs du rapport.

L'organisme ne parle cependant pas de programmes de contrôle des naissances. L'UNFPA estime que la population mondiale pourrait atteindre 10,5 milliards en 2050.

L'organisation demande donc entre autres à la communauté internationale de se pencher sur le sujet de l'augmentation de la population mondiale lors de l'important sommet sur le climat qui aura lieu à Copenhague en décembre.

Le rapport peut être consulté sur le site Internet de l'organisme de l'ONU.

(sources: La Presse, UNFPA, Times Online)

http://matin.branchez-vous.com/nouvelles/2009/11/climat_r...

Le texte de l'ONU :

http://www.unfpa.org/swp/2009/fr/overview.shtml

http://www.unfpa.org/swp/2009/fr/pdf/FR_SOWP09_Overview.pdf

Le fichier à télécharger en Pdf FR_SOWP09_Overview.pdf

 

 

USA, OBAMA : La République en faillite

 Ce qui se passe aux USA et qui ne manque pas de rejaillir sur nous !

Nomination du Président de l'EU : Un député Européen dénonce l'influence du Group de Bildenberg

Le président de l'UE, un choix par défaut qui se tiendra à huis clos ! Les Illuminati-Reptiliens se préparent pour le Nouvel Ordre Mondial  !

Nomination à Huis cvlos, bien-sûr ! il ne faut pas que les Peuples votent, on ne sait jamais s'ils devaient choisir celui qui leur conviendrait le mieux !
On se demande d'ailleurs pour quelles raisons on nous impose un Président de l'Europe alors que les Français ont voté NON au Traité de Lisbonne !

Le président de l'UE, un choix par défaut

Par Jean-Michel Demetz, publié le 05/11/2009 14:30

AFP

"Les noms de la première vague ne sont pas forcément les vainqueurs de la dernière", déclare Nicolas Sarkozy à Bruxelles, le 30 octobre.

"Les noms de la première vague ne sont pas forément les vainqueurs de la dernière", déclare Nicolas Sarkozy à Bruxelles, le 30 octobre.

 

La méthode pour désigner la future tête du Conseil européen est mauvaise. Elle pèse sur le choix final, qui, faute de débat public, pourrait bien être décevant.

Il aurait fallu écouter Giscard. En février 2008, le père du projet avorté de Constitution de l'Union européenne se félicitait dans L'Express de la ratification du traité de Lisbonne par la France. En privé, il évoquait la suite des événements: une adoption rapide par les Vingt-Sept et le lancement d'une véritable campagne à l'échelle du continent, afin de déterminer qui serait le premier président permanent du Conseil européen. Et de dessiner, non sans gourmandise, son déroulement idéal.

Un "comité de sages" présélectionnerait les candidats au cours d'auditions publiques. Les figures retenues s'affronteraient en un débat télévisé retransmis par toutes les chaînes de l'UE. Partis et médias prendraient position. Eclairés par ce recours à la démocratie d'opinion et l'expression du "demos" européen, les chefs d'Etat et de gouvernement feraient finalement le "bon choix", celui d'"un George Washington pour l'Europe". Rien de moins.

Une affaire de chefs

Las! Le non irlandais de juin 2008, puis les atermoiements polonais et tchèque ont bousculé le calendrier institutionnel. Il aura fallu concéder une dérogation sur la Charte des droits fondamentaux, lors du sommet européen des 29 et 30 octobre, à la République tchèque, selon l'exigence de son président, Vaclav Klaus, pour lever le dernier obstacle en date. La Cour constitutionnelle de Prague ayant donné son aval au traité le 3 novembre, un sommet exceptionnel pourrait être convoqué au milieu du mois afin d'annoncer finalement les noms des personnalités retenues pour les postes de président du Conseil européen et de haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune.

Seule certitude à ce jour: contrairement aux desiderata de Valéry Giscard d'Estaing, le processus de sélection de celui qui sera le visage de l'Europe aux yeux de ses 500 millions de concitoyens et du reste du monde aura été tout sauf transparent. Ni campagne ouverte ni programme exposé, pas davantage de débat contradictoire.

Ce que dit le traité de Lisbonne

Quel rôle pour le président du Conseil européen ? Modeste animateur ou vif inspirateur? Porte-voix mondial de l'Union ou non? Quelle fonction de représentation à côté du président de la Commission et du haut représentant? Le texte ne tranche pas.
"Il est élu par le Conseil européen à la majorité qualifiée pour une durée de deux ans et demi, renouvelable une fois [...]. Il ne peut exercer de mandat national en même temps. En cas d'empêchement ou de faute grave, le Conseil européen peut mettre fin à son mandat. Il réunit deux fois par semestre le Conseil européen et, si la situation l'exige, il le convoque en réunion extraordinaire.Il préside et anime les travaux du Conseil européen.Il assure la préparation et la continuité des travaux du Conseil européen en coopération avec le président de la Commission et sur la base des travaux du Conseil des affaires générales.Il oeuvre pour faciliter la cohésion et le consensus au sein du Conseil européen.Il présente au Parlement européen un rapport à la suite de chacune des réunions du Conseil européen.
Il assure, à son niveau et en sa qualité, la représentation extérieure de l'Union pour les matières relevant de la politique étrangère et de sécurité commune, sans préjudice des attributions du haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité."

Le texte du traité de Lisbonne indique que "M. Europe" doit être élu par les chefs d'Etat et de gouvernement à la majorité qualifiée, calculée de telle manière que ni les grands Etats ne puissent imposer seuls leur vue ni les petits, réunir seuls une minorité de blocage. Rien de plus. Tout juste est-il acquis que l'impétrant doit justifier d'une expérience au Conseil - ce qui, en pratique, veut dire qu'il y a représenté antérieurement son pays.

Ce qui a priori exclut les chefs d'Etat réduits aux fonctions cérémonielles, comme l'ex-présidente irlandaise Mary Robinson. L'élection sera donc un huis clos: loin des peuples, elle tiendra plus d'un conclave du Vatican que d'un choix démocratique. C'est, selon l'expression allemande, une "affaire de chefs". "Les peuples auront nécessairement, un jour, leur mot à dire sur ce choix, pronostique Hubert Haenel, président de la commission des Affaires européennes au Sénat, ancien membre de la Convention qui rédigea le projet de traité constitutionnel. Mais nous ne sommes pas mûrs pour cela aujourd'hui."

Un non ferme du Benelux à l'hypothèse Blair

Plus que l'Esprit saint, c'est une logique d'intérêts nationaux qui anime le grand marchandage en cours. Car ces deux nominations sont aussi liées à la répartition des postes au sein de la Commission, qui interviendra plus tard. Chaque gouvernement s'est fixé son propre but. Paris réclame ainsi le poste de commissaire au Marché intérieur. Londres souhaite l'un des deux "top jobs", afin de ranimer la popularité d'un gouvernement travailliste menacé, au vu des sondages, d'une déroute électorale. Berlin veut que le poste présidentiel revienne à la droite, majoritaire en Europe, d'où la tiédeur d'Angela Merkel, tout juste victorieuse de son combat électoral contre la gauche, à l'égard du travailliste Tony Blair, pressenti.

Les logiques de politique intérieure interfèrent. Le possible départ pour Bruxelles de Jan Peter Balkenende, chef du gouvernement néerlandais, panique les partis partenaires de la coalition gouvernementale à La Haye. Celui du Belge Van Rompuy risquerait de rompre le fragile compromis entre Wallons et Flamands. Madrid et Rome, enfin, souhaitent que le futur titulaire vienne d'un Etat membre de la zone euro.

D'autres facteurs compliquent ce Cluedo électoral. Le 6 octobre, au lendemain du référendum irlandais, les trois pays du Benelux publient une note conjointe stipulant que le futur président devra avoir "démontré son engagement européen et développé une vision sur l'ensemble des politiques de l'Union". La phrase est sibylline, le décryptage aisé. C'est un non ferme à l'hypothèse Blair, un temps favorisée par Nicolas Sarkozy. Car le Royaume-Uni n'est ni dans l'eurozone ni dans l'espace Schengen et déroge à la Charte des droits.

REUTERS/Yves Herman

Nicolas Sarkozy, le 30 octobre à Bruxelles: "Nous sommes d'accord avec Mme Merkel sur la vision des postes et les noms."

Nicolas Sarkozy, le 30 octobre à Bruxelles: "Nous sommes d'accord avec Mme Merkel sur la vision des postes et les noms."

L'ex-Premier ministre britannique se voit, en outre, rappeler qu'il n'a pas tenu sa promesse de pousser plus avant l'intégration du royaume dans l'Union. Les Belges tiennent là une petite vengeance : leur ancien Premier ministre Guy Verhofstadt avait été écarté de la présidence de la Commission en 2004 à la suite du veto de... Londres. Enfin, les "trois nains" du Benelux ont l'aval de Berlin. Angela Merkel ne veut pas d'une personnalité trop forte comme président : elle a déjà suffisamment à faire avec l'ardeur qu'elle juge brouillonne d'un Sarkozy pour se colleter en plus avec un Blair, lui aussi avide de feux médiatiques!

En laissant savoir qu'il est disponible pour le poste, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker - en disgrâce à Paris depuis la crise financière - envoie l'ultime torpille. A Londres, on tente bien de riposter : offensive dans la presse (l'édition européenne de l'hebdomadaire Newsweek fait de sa Une un appel à Blair) et mobilisation sonore du gouvernement. Mais le soufflé retombe. Le plaidoyer de Gordon Brown en faveur de son ex-rival "Tony" devant les socialistes européens, à Bruxelles, le 30, fait pschitt. Nul n'a oublié le soutien à la guerre d'Irak, objet, par ailleurs, d'une commission d'enquête britannique qui mettra forcément Blair sur la sellette.

Retour à la case départ? Le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, chargé de la présidence européenne jusqu'à la fin de l'année, attend officiellement la ratification tchèque. Sitôt le paraphe de Vaclav Klaus apposé, il saisira son téléphone pour appeler, un par un, ses 26 collègues du Conseil européen, afin de les sonder. Avec les mêmes questions: qu'attendent-ils de ces fonctions? Qui les remplirait le mieux? Deux interrogations cruciales qui n'en font, en réalité, qu'une. "Le poste de président n'est pas précisément défini par le traité, explique Pierre Lequiller, président de la commission des Affaires européennes à l'Assemblée nationale. Par son action, le premier président déterminera donc les contours de la fonction pour l'avenir."

Un président pris à droite, un haut représentant pris à gauche?

Faute de débat public, on ne saura donc qu'a posteriori comment le "président de l'Europe" - tel que le désignent déjà les médias internationaux - entend remplir sa mission. Sera-t-il l'homme capable de répondre à la question cruelle jadis posée par Henry Kissinger: "L'Europe a-t-elle un numéro de téléphone?" Saura-t-il incarner le génie du continent face aux opinions mondiales? Ou sera-t-il le jouet des eurocrates? Bâtira-t-il des coalitions variables selon les sujets? Ou se contentera-t-il de n'être - quatre fois par an - que le majordome stylé des Vingt-Sept réunis à Bruxelles? Ou, au mieux, leur greffier besogneux?

Les attentes sont, de fait, contradictoires. "Les petits pays se sentent déjà trop souvent violentés par la pression des grands au Conseil, explique le diplomate d'un nouvel Etat membre. Ils s'inquiéteraient d'une personnalité dotée d'une vision, voire d'une idéologie." Une logique minimaliste contre laquelle s'insurge, au Parlement européen, l'eurodéputé Arnaud Danjean (Parti populaire européen): "On nous avait dit que le traité de Lisbonne remettait de la politique dans la machine européenne, et voilà qu'on nous vante désormais la vertu des petits compromis techniques!" Un président choisi à droite, un haut représentant pris à gauche: c'est cette logique qui devrait l'emporter.

Le futur ministre européen des Affaires étrangères - vice-président de la Commission à côté des 26 commissaires - pourrait être alors l'actuel patron du Foreign Office, le Britannique David Miliband. Mais, (trop) brillant, ce dernier risquerait de concurrencer le président du Conseil... Sa compatriote Catherine Ashton, alors? Ou le social-démocrate autrichien Alfred Gusenbauer? Le Finlandais Olli Rehn souffre d'être un libéral, le Suédois Carl Bildt, d'être à droite. Tout comme l'Autrichienne Ursula Plassnik. Mais des surprises sont toujours possibles: Barroso, lui-même, avait été déniché, en 2004, à l'ultime moment.

D'autant que le puzzle se complique encore lorsqu'il faut prendre en compte les autres critères. Géographique, par exemple. Le Sud? Barroso en vient. Il faut donc satisfaire le Nord et l'Est. Ce serait bien aussi de placer une femme. Ne serait-ce que pour contrebalancer le profil de la future Commission, aujourd'hui tant dominée par les hommes que José Manuel Barroso a confié aux Vingt-Sept son inquiétude à l'idée de présider un exécutif "qui ressemble trop à un gouvernement saoudien"... Le traité de Lisbonne valait-il tant d'efforts pour en arriver à ce maquignonnage?

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/le-president-de-l-ue-un-choix-par-defaut_826055.html?p=2

Nomination

http://www.spreadthetruth.fr/?p=5468

Un député Italien: « les candidats à la présidence de l’UE participent à des réunions du Groupe Bilderberg »
http://www.spreadthetruth.fr/?p=5446


Mario Borghezio (Lega Nord) au Parlement Européen, 11 novembre 2009, à propos des candidats à la Présidence de l'Union Européenne (encore une belle arnaque). Le peuple aura-t-il son mot à dire dans cette affaire ? Si la démocratie existait, ça se saurait...

Informez-vous... Groupe Bilderberg, Commission Trilatérale, Council on Foreign Relations, Skull and Bones, Bohemian Club, Le Siècle, Fondation Bertelsmann, etc... etc... etc...

Groupe Bilderberg et silence des médias français...

http://aleth.over-blog.com/article-31683352.html