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19/12/2009

Discours d'Hugo Chavez à Copenhague

Bravo Monsieur Hugo Chavez - Président du Vénézuela pour ces paroles justes et vraies !

Vous constaterez que le traité fondateur de Copenhague est tenu au "TOP SECRET".

Ce n'est pas Sarkozy qui penserait à nous faire connaître ce traité, ni à défendre les intérêts des Peuples  Souverains et ceux de l'Humanité !

Honte à lui d'être inféodé au Capitalisme, aux banquiers internationaux, aux Laboratoires pharmaceutiques, aux Illuminati-reptiliens, d'oeuvrer pour la dictature mondiale et l'instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Dehors les Banquiers mondiaux et que vive l'humanité en Paix !

Hugo Chavez prononce un discours à Copenhague, le 16 Décembre 2009, lors de la XVème conférence des Nations Unis sur le changement climatique. Il fait le point sur les conséquences du capitalisme et le dénonce comme responsable du "désastreux panorama mondial".


Chavez à Copenhague 1/2


 

14/12/2009

Le bloc de commandement Russe et le Nouvel Ordre Mondial

Ecoutez bien ces révélations sur le climat, l'épandage de virus dans les airs par les chemtrails et autres thèmes.


LE BLOC de COMMANDEMENT RUSSE AVANCE SES
PIONS SUR L'ECHIQUIER
GEOSTRATEGIQUE INTERNATIONAL

Le 14/12/2009

Je vous avais prévenu et force est de constater que dans le cadre du nouvel ordre mondial, le bloc de commandement russe avance bel et bien ses pions sur l'échiquier géostratégique international et avant celui du 11 Septembre, exploite les dossiers liés à la grippe A et au climat.

Mais également : Etranges "affaires" autour de l'accélérateur de particules conçu par le Cern de Genève.

Après le crash du 01/06/2009, un second A 330 victime d'incidents un certain, 29/11/2009 : même trajet, même zone de turbulences !

Débat sur l'Identité Nationale se focalise sur l'Islam.

LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT :

 

http://www.blog-video.tv/video-1063198f52-Archive-tele-du...

 


Source : Richard Pellegrin : http://revelations4.blogs.fr/

 

 

13/12/2009

Climat : Meadows annonce les objectifs, pas plus de 2 milliards d’humains

Brèves /
Climat : Meadows annonce les objectifs, pas plus de 2 milliards d’humains
12 décembre 2009 - 23:46

12 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – Alors qu’à Copenhague le lobby anti-population peine à pousser les nations au suicide, l’un de ses plus loyaux valets, l’expert en ingénierie sociale du MIT, Dennis Meadows, annonce ouvertement les objectifs de la fraude du réchauffement climatique : réduire la population mondiale à 2 milliards d’individus. Meadows joua un rôle fondamental au commencement de cette propagande malthusienne, puisqu’il est le co-auteur du rapport du Club de Rome Halte à la croissance de 1972 (plus justement surnommé Halte à l’intelligence). [*]

« Nous devons apprendre à vivre une vie remplie avec le niveau d’émissions de CO2 de l’Afghanistan », explique Meadows dans une interview publiée le 9 décembre sur le site de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. « Est-ce possible avec 9 milliards de personnes sur cette planète ? »« Non, réplique-t-il, même 7 milliards c’est trop pour cette planète. (…) Si tout le monde est autorisé à pouvoir pleinement se déplacer, se nourrir et s’auto-développer, c’est 1 à 2 milliards. » Lorsqu’on lui demande comment atteindre cet objectif, le gourou de l’anti-population n’a pas le courage d’aller au bout de sa pensée, en expliquant qu’il est une personne éthique et ne ferait jamais de mal à une mouche. « Mais, poursuit-il, le problème c’est que notre mode de vie actuel fait directement du mal aux générations futures. » lui demande l’interviewer.

Un journaliste inspiré lui aurait alors rétorqué : « Non Dennis, ce sont les meurtriers comme vous qui font du mal aux générations à venir, mais nous ferons en sorte que vous soyez très vite un phénomène du passé. »

http://www.solidariteetprogres.org/article6109.html


Copenhague et dépopulation

Brèves /
La presse financière du Commonwealth appelle Copenhague à réduire la population mondiale
11 décembre 2009 - 13:38

11 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – La véritable intention derrière la fraude du réchauffement climatique promue au Sommet de Copenhague est une politique malthusienne de réduction drastique de la population. Hier, le quotidien de la City de Londres, le Financial Times, et son homologue canadien, le Financial Post, ont appelé les dirigeants du monde à entreprendre de toute urgence une politique d’austérité démographique.

Le quotidien britannique se félicite d’abord que « le Sommet de Copenhague ait donné un nouvel élan au débat sur la nécessité de stabiliser la population mondiale », tout en déplorant que « certains pays en développement ont échoué à suivre la grande transition démographique vers des niveaux de fertilité plus bas, qui s’est produite ces dernières décennies dans le monde occidental ». Heureusement, le Financial Times voit en Obama le salut :« En tant que Président, une des premières décisions de Barack Obama a été de briser la règle du silence mondial. Il a depuis annoncé une révision des financements de la santé mondiale, en insistant sur l’élargissement des programmes comme le planning familial plutôt que de se concentrer sur une poignée de maladies prioritaires ». C’est la nouvelle philosophie eugéniste que le Fonds des Nations Unies pour la population a recommandé pour le Sommet de Copenhague : moins de naissances, c’est moins de CO2. Mais le FT souligne que de nombreux défenseurs du planning familial s’opposent à ce type d’argument liant CO2 et démographie, en expliquant que les gens des pays riches font moins d’enfants mais ont une « empreinte carbone » bien supérieure.

Sous le titre « La véritable vérité qui dérange : le monde entier doit adopter la politique chinoise de l’enfant unique », le Financial Post y va plus directement : « La dérangeante vérité qui plane sur le Conférence de l’ONU à Copenhague n’est pas le réchauffement ou le refroidissement du climat, mais le fait que les humains surpeuplent le monde. Une loi planétaire similaire à la politique chinoise de l’enfant unique, est le seul moyen d’inverser le taux de natalité catastrophique qui est actuellement d’un million de naissances tous les 4 jours. Les autres espèces, la végétation, les ressources, les océans, les terres arables, l’eau et l’atmosphère sont détruits à cause du taux de reproduction croissant de l’humanité. Le remède est simple. C’est dramatique. Et pour l’instant à Copenhague, les dirigeants du monde ne le prennent pas en compte. Ils se feront prendre en photo, feront leur blabla sur la science et la fraude climatique, annonceront la création de fermes éoliennes géantes et la mise en place de droits d’émission carbone. Rien de cela ne marchera à moins d’imposer une politique de l’enfant unique à la chinoise. Les discussions de Copenhague sont à côté de la plaque. Le seul remède est que tous les pays procèdent à une réduction drastique de la population, nettoient leur foutoir et imposent des mesures contraignantes de conservation ».

http://www.solidariteetprogres.org/article6102.html


Copenhague : L’outrage de M. Sarkozy

Vous trouverez ci-joint une déclaration de Jacques Cheminade sur le rôle joué par Nicolas Sarkozy lors du sommet de Copenhague, à diffuser le plus largement possible.

 

Copenhague : L’outrage de M. Sarkozy

Paris, le 8 décembre.

L’hyperactivité manifestée par Nicolas Sarkozy en vue du sommet climatique de Copenhague est pire qu’une erreur, un crime contre l’avenir de l’humanité. Qu’il n’en soit pas réellement conscient et ne soit pas seul à le commettre ne le rend pas moins grave, car il enrôle la France sous la bannière d’une politique vouée à la dépopulation et à de scandaleuses opérations financières sur les échanges de quotas d’émission de gaz à effet de serre. A une heure de l’histoire où les grands financiers de la City et de Wall Street spéculent avec ce que nous respirons, ce que nous mangeons et notre vie elle-même, sous la forme de contrats d’assurance-vie titrisés, nous faisons le choix de collaborer. C’est moralement, économiquement et politiquement inadmissible.

Limiter les naissances est bel et bien présenté comme un « remède » à un péril climatique inventé pour justifier le choix malthusien. Ce péril a été forgé dans l’entourage de Margaret Thatcher, et les révélations sur les travaux biaisés et manipulés de l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia, qui ont inspiré le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), révèlent le montage. Et c’est fort de ce montage que le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) appelle à ce qu’elle baptise une « régulation de la démographie ». La réalité derrière ce label est que tous les freins mis aux émissions de CO2 entraîneraient une incapacité de nourrir et de développer l’humanité future, conduisant à une capacité d’accueil sur la planète de moins de 2 milliards d’habitants. C’est ce que désirent les Jonathan Porritt et les Paul Ehrlich, c’est à quoi veulent parvenir les entourages de Gordon Brown et de Barack Obama. Que nous nous situions à la pointe de leur combat, contre l’intérêt de tous les peuples et des pays du Sud, est inadmissible.

L’autre aspect désastreux du choix de MM. Sarkozy et Borloo est de favoriser les spéculations financières de Wall Street et de la City, qu’ils prétendent par ailleurs vouloir réguler. En effet, les grandes banques comme la Hong-Kong and Shangaï Banking Corporation (HSBC), Goldman Sachs, Citigroup ou Morgan Stanley multiplient les partenariats avec des start-up « écologiques » pour générer du crédit carbone. Les allocations de droits à polluer sont ainsi devenues objet de spéculation sur le Chicago Climate Exchange et, en Europe, à Paris sur le Bluenext pour les échanges au comptant et à Londres sur l’ECX (Al Gore y détient une participation à travers son entreprise Blood and Gore) pour les échanges à terme, bien plus intéressants pour les spéculateurs. Pire encore, il se crée des plateformes alternatives (dark pools), totalement opaques et dérégulées, sur lesquelles ces droits à polluer s’échangent, sans compter les opérations de gré à gré et la prochaine création, si rien ne l’en empêche, de nouveaux produits dérivés sur ces opérations. Il est vrai que notre ministre de l’Economie, Christine Lagarde, et le nouveau commissaire européen chargé du Marché intérieur et des Services financiers, Michel Barnier, entendent proposer des « régulations » et des agences de supervision européennes. Cependant, prétendre réguler ou contrôler le vice sans remettre en cause le système qui l’engendre ne peut aboutir à la vertu.

Disons-le crûment : lorsqu’un arnaqueur veut mystifier son public, il attire son attention sur un faux terrain alors qu’il opère sur un autre. Tout le brouhaha sur le « changement climatique » vise ainsi à entretenir le pessimisme culturel sur la nature même de l’homme, en l’assimilant à un animal prédateur, en couvrant le grand mensonge d’un système financier monétariste qui spolie l’homme en offrant un pouvoir absolu aux établissements financiers. Ceux-ci disposent de la garantie implicite des Etats contre la faillite, qui entraînera inéluctablement celle des Etats eux-mêmes au profit d’un ordre financier impérial, celui que représente le conglomérat de forces opérant depuis Londres.

C’est à ce conglomérat d’intérêts que Nicolas Sarkozy s’est soumis, qu’il le veuille ou non, lors de sa présence au sommet du Commonwealth à Trinidad et Tobago, car le Commonwealth est la structure impériale qui protège ce conglomérat. Alors que la reine d’Angleterre y proclamait que le changement climatique est une occasion pour le Commonwealth de reprendre le leadership du monde et de « prouver sa raison d’être au-delà de ses propres frontières », Nicolas Sarkozy proclamait sa fierté d’être le premier président de la République française invité à un sommet de cette institution. Et tout en mettant la pression sur les pays du Sud pour qu’ils se soumettent à « l’ultimatum climatique » du World Wildlife Fund sponsorisé par le Prince Philip d’Edimbourg, Nicolas Sarkozy y a défendu la création d’une « Organisation mondiale de l’environnement », « une première étape, fondatrice de la réforme de la gouvernance mondiale ».

En même temps, Jean Tirole, le « nobélisable » français, appelait quasi-officiellement à la « création d’un système mondial de droits à polluer négociables sur un marché », à la « mise en place d’une gouvernance mondiale » et au « déploiement rapide d’un réseau de satellites capables de mesurer précisément le niveau des émissions dans chaque pays ».

Dépopulation, occasion de spéculations financières insensées, abolition des souverainetés nationales : il est temps que M. Sarkozy et aussi Mme Aubry, qui appelle à « une gouvernance globale... avec une organisation mondiale de l’environnement dotée de pouvoirs contraignants », se demandent à qui profite le crime.

Nicolas Hulot, dans son Syndrome du Titanic, dit tout haut ce que d’autres insinuent : « Les jours du monde, tel que nous le connaissons, sont comptés… si nous tous, riches comme pauvres, ne modifions pas immédiatement notre comportement pour ‘faire mieux avec moins’ et mettre l’écologie au centre de nos décisions individuelles et collectives, nous sombrerons inéluctablement ». On a bien lu riches et pauvres, comme si nous étions tous coupables. Cette opération de culpabilisation générale vise en fait à couvrir les crimes des spéculateurs et de l’économie casino qui entraînent, eux, bien réellement le monde à sa ruine. M. Sarkozy et la France, et surtout ceux qui se prétendent du « peuple de gauche », doivent immédiatement se démarquer de cette idéologie criminelle, en dénoncer les conséquences et engager le passage d’un système monétariste dominant vers un ordre de crédit public et de service public redonnant au monde un avenir. Il faut un peu de courage pour exposer les mystificateurs à la lumière de la vérité.

Cette déclaration est disponible au format tract ICI.

http://www.solidariteetprogres.org/article6084.html