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03/04/2013

Ce que l'accord de libre-échange entre l'UE et les USA pourrait changer. Sous couvert de relance et d'échanges , la dictature du Nouvel Odre Mondial US-Sioniste annoncée !

Voici ce que les traîtres qui nous gouvernent nous préparent en douce pendant que leurs merdias aux ordres vous endorment avec leur propagande raciste et mensongère.

 
25 mars 2013
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On se fait les yeux doux des deux côtés de l'Atlantique. Suite à l'échec des négociations internationales menées par l'OMC, Bruxelles et Washington relancent l'idée de créer ensemble l'une des plus importantes zones de libre-échange au monde. Selon nos représentants politiques, si l'accord aboutit, il y aurait des créations d'emploi, la croissance économique rebondirait. Bref, nous pourrions sortir de la crise, nous serions plus forts. Tout dépend de qui englobe ce « nous ». Pensez-vous en faire partie ? Voici quelques explications qui devraient vous aider à vous situer. (IGA)

 

 
Les Etats-Unis et l’'Union européenne négocient depuis des années, en toute discrétion, la mise en place d'’un marché transatlantique. Prévu pour 2015, ce projet implique :
 
- la mise en place de nouvelles institutions transatlantiques - comme le Conseil Economique Transatlantique - qui agissent de façon non démocratique (pas de débat parlementaire, représentants non élus) pour influencer un nombre croissant de décisions politiques,
 
- l’harmonisation de nombreuses législations européennes et américaines aussi bien sur le plan commercial que sécuritaire,
 
- une diplomatie européenne de plus en plus alignée sur celle des USA,
 
- la mise en place d’une gouvernance mondiale basée sur les normes marchandes.

Concrètement, le marché transatlantique s’'instaure à travers des dizaines d'accords politiques signés entre les Etats-Unis et l'’Union européenne (et, pour certains d'’entre eux, les parlements nationaux), lesquels concernent tous les domaines de la vie : travail, santé, alimentation… Ainsi :

 1. Le marché transatlantique uniformise tout ce qui est nécessaire à la libre circulation marchande (biens, services, investissements…) d’'un côté à l’'autre de l’'Atlantique, en choisissant de renforcer prioritairement la « libre-concurrence » et la compétitivité. Cela signifie que les marchés financiers et les firmes multinationales peuvent agir de plus en plus librement sur un espace géographique de plus en plus étendu.

 2. Par cette extension géographique de la compétition économique, le marché transatlantique favorise les fusions/acquisitions d’'entreprises, donnant aux firmes multinationales un contrôle de plus en plus grand de l’'économie et de la finance (en 2005, les 500 plus grandes entreprises contrôlaient déjà la moitié du commerce mondial !) au détriment de nombreuses PME et d’indépendants.

 3. Le marché transatlantique menace l'’autonomie politique des élus locaux. D’'une part, il renforce le pouvoir financier des multinationales alors que certaines d'’entre elles sont déjà aussi puissantes que des Etats (ainsi, Toyota est plus riche qu’'Israël, Walt-Mart plus riche que la Grèce, Exxon plus riche que l’'Autriche...). D'’autre part, les accords transatlantiques font le choix de ne pas harmoniser les normes sociales, fiscales ou environnementales, instaurant ainsi une concurrence entre systèmes législatifs qui favorise les pratiques de dumping... au détriment des finances publiques, des conditions de travail, des salaires, de la santé et du bien-être général des populations.

 4. Renforçant le pouvoir des marchés financiers et des multinationales sur les pouvoirs politiques locaux, le marché transatlantique menace d’'intensifier la privatisation des services publics et de la Sécurité sociale. L'’accès universel à des services essentiels (enseignement, transports, culture…), le droit à des pensions dignes, des soins de santé accessibles, des allocations de chômage et des aides sociales minimum et inconditionnelles… Toutes ces conquêtes sociales solidaires, pour lesquelles des générations se sont battues, sont mises en péril. Le marché transatlantique appauvrira donc considérablement une large partie de la population, et accentuera d'’autant plus la pression à la baisse sur les salaires et les conditions de travail.

 5. Le marché transatlantique ne répond pas par hasard aux exigences des firmes multinationales. En effet, les décisions politiques qui président à la création de ce marché sont le fruit direct du lobbying de puissantes firmes privées, qui agissent tantôt de façon officieuse, tantôt à titre d'’experts officiels. La soumission d'’une partie du monde politique aux intérêts privés est ici en cause (à titre d’'exemple, près de 8% des parlementaires européens sont membres d’'un lobby défendant les intérêts des multinationales : le Transatlantic Policy Network).

 6. Loin d'’être un espace de liberté pour tous, le marché transatlantique prévoit d'’importantes mesures sécuritaires : pour défendre le droit à la propriété intellectuelle, mais aussi pour surveiller plus étroitement les populations. Au nom de la lutte anti-terroriste, les Etats-Unis et l’'Union européenne mettent en place des ententes judiciaires, pénales et policières qui contreviennent gravement aux principes même de la démocratie (droit à la vie privée, procès équitable, séparation des pouvoirs…). En définissant l’'acte terroriste comme la volonté de déstabiliser un Etat ou de l'’influencer dans ses décisions, les législations sécuritaires transatlantiques peuvent être utilisées à des fins répressives contre les syndicats, ONG et mouvements sociaux. Avec, à la clé, des méthodes d’'enquêtes spéciales, un fichage généralisé des populations et une remise en cause de certains droits élémentaires de la défense (comme l'’interdiction d'’accès à des pièces classées « secret défense »).

 7. Enfin, le marché transatlantique a également pour but d’'étendre les logiques de marché compétitif à l’'ensemble de la planète, accordant ainsi aux firmes multinationales un droit d’'exploiter les populations et les ressources naturelles sans limites. Le marché transatlantique contribuera donc à l'’aggravation de la pauvreté et des inégalités « Nord/Sud », tout en détériorant de plus en plus gravement les écosystèmes, la biodiversité, le climat. Se faisant, il multipliera les réfugiés climatiques, renchérira le prix des denrées de base et hypothèquera l’'avenir et le bien-être des générations futures.

 8. La dynamique transatlantique poursuit en élargissant le processus européen de marché unique, soutenu par les gouvernements nationaux qui occultent trop souvent leurs responsabilités en se cachant derrière les autorités européennes. Pourtant, les pouvoirs nationaux ne sont pas sans pouvoir, ainsi que le prouve leur veto à la décision de la Commission européenne d'’autoriser l'’importation en Europe de poulets américains traités à l’'aide d’'agents chimiques (poulets chlorés). Un projet que les Etats sont parvenus à arrêter, même si le bras de fer se poursuit au sein de l’'Organisation Mondiale du Commerce. Plus que jamais, le danger est grand de voir les rapports sociaux soumis à une logique de plus en plus marchande.

Notre dénonciation des accords marchands entre les Etats-Unis et l’'Europe ne doit surtout pas être confondue avec un anti-américanisme primaire. Elle vise par contre une remise en cause des traités qui, de l’'Acte Unique européen (1986) au traité de Lisbonne (2009), façonnent l'Europe des marchés au détriment de l’'Europe des peuples. Dans cette logique, le marché transatlantique permettra de passer à la vitesse supérieure. Alors qu’'il est urgent de faire marche arrière !

En tant que citoyens, nous exprimons notre désaccord fondamental avec ce projet :

 Qui dépouille le monde politique de ses pouvoirs souverains au profit du marché.

Qui privilégie les intérêts privés du monde des affaires, au détriment des préoccupations démocratiques, sociales, environnementales, sanitaires et humanistes qui sont pour nous des valeurs fondamentales.

Condamnant le marché transatlantique (ainsi que les projets européens ou américains similaires menés avec d'’autres pays), nous voulons que nos responsables politiques se positionnent clairement contre ce projet et y mettent un terme en exigeant des institutions européennes (Conseil, Commission, Parlement) :
 
- une remise en cause des accords internationaux accordant des pouvoirs accrus aux firmes privées et aux marchés financiers (via l’'extension géographique des « libertés économiques »),

- une séparation stricte entre les représentants politiques et les lobbys d’affaires, la soumission de responsables politiques à des intérêts purement privés étant en soi inacceptable,

- des garanties démocratiques de légitimité électorale et de transparence pour les débats et les décisions lorsque des institutions (européennes, transatlantiques, mondiales) existent ou sont mises en place,

- l’'adoption de législations accordant à l'’humain, au social et à l’'écologie une priorité politique sur les normes marchandes et les exigences commerciales, ce qui implique notamment une régulation et un contrôle public des activités des multinationales et des marchés financiers,
 
- la suppression des législations sécuritaires qui contreviennent aux libertés fondamentales et démocratiques.
 
Source : No-Transat
 

Banksters : Les 50 plus gros détenteurs de la dette française qui s'enrichissent sur le dos du Peuple !

Vous remarquerez que Guillaume SARKÖZY, le frère de l'imposteur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOSCA est l'un des détenteurs de la dette française avec son Groupe, Malakoff Médéric France.

Cherchez derrière quelles autres sociétés se planquent les autres frères de l'imposteur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOSCA et le Group Rothschild qui n'est bien sûr pas noté dans la liste des détenteurs de la dette Française.


Ils ont donc tout intérêt à cumuler la dette Française et à nous laisser dans l'Europe pour s'enrichir et nous ruiner.


Les 50 plus gros détenteurs de dette française
 

Voici une liste des 50 plus gros détenteurs de dette souveraine française ( 2011 ) , selon les données Thomson Reuters eMAXX.

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Cette liste ne comprend pas les institutions comme les banques centrales, qui n'’ont pas à signaler leur portefeuille aux régulateurs.

Société Pays
1 AXA Investment Managers Paris France
2 Allianz Global Investors France SA France
3 MMA Finance France
4 CM-CIC Asset Management France
5 BNP Paribas Asset Management SAS France
6 CNP Assurances France
7 Amundi France
8 Covéa Finance SAS France
9 Matmut France
10 AEGON Investment Management B.V. Pays-Bas
11 Fideuram Asset Management Irlande
12 Pioneer Investment Management Irlande
13 Groupama Asset Management France
14 Pacific Investment Management Co. Etats-Unis
15 Suravenir France
16 Natixis Assurances France
17 Swiss Life (France) France
18 MAAF France
19 Natixis Asset Management France
20 Eurizon Capital SA Luxembourg
21 UBS Global Asset Management Suisse
22 Standard Life Investments Ltd Royaume-Uni
23 MACSF France
24 Lyxor Asset Management France
25 Crédit Suisse Asset Management Suisse
26 State Street Global Advisors UK Ltd Royaume-Uni
27 Monceau Assurances France
28 BNP Paribas Investment Partners Royaume-Uni
29 Union Investment Privatfonds GmbH Allemagne
30 BlackRock Global Investors Royaume-Uni
31 Malakoff Médéric France ( frère de Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa )
32 Dexia Asset Management Belgium SA Belgique
33 Scottish Widows Investment Royaume-Uni

Partnership
34 La Banque Postale Asset Management France
35 ING Investment Management B.V. Pays-Bas
36 ING Investment Management Belgium Belgique
37 Kokusai Asset Management Co Ltd Japon
38 Pioneer Investments Austria GmbH Autriche
39 MACIF Gestion France
40 ERSTE-SPARINVEST Autriche
41 Deka Investment GmbH Allemagne
42 Vanguard Group Inc, The Etats-Unis
43 DWS Investment GmbH Allemagne
44 La Française des Placements France

Investissements
45 Legal & General Asset Management France
46 Insight Investment Management Royaume-Uni

47 Halbis Capital Management (France) France
48 KBC Asset Management SA (Luxembourg) Luxembourg
49 JPMorgan Asset Management (UK) Ltd Royaume-Uni
50 BNP Paribas Luxembourg SA Luxembourg

(Leigh Thomas, Jean-Baptiste Vey pour le service français)

Source : Reuters

http://actuwiki.fr/speculation/17236

Documentaire : « L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism"). Sortie en France le 22 mai 201 3.

Le monde se réveillerait-il enfin à l'escroquerie du Nouvel Odre Mondial et de ceux appelés "sionistes-reptiliens" qui n'ont rien à voir avec les Juifs et le Judaïsme ?

 

29 mars 2013 par clap36 et http://www.clap36.net/
 

« L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism").

(Version internationale : sous-titres français ou anglais à activer dans la vidéo) (International version : english or french subtitles applyable in the video)
 
 Le « Nouvel Ordre Mondial » est-il un projet récent comme nous le relatent les médias mainstreams, ou s'’inspire-t-il de visées beaucoup plus anciennes ?

Quels sont notamment ses liens avec le sionisme et les restaurationistes chrétiens dès le XVIIème siècle, qui expliquent pour beaucoup l’'osmose actuelle entre Israël et les Etats-Unis ?

Trailer « L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism")

Réalisation/direction : Béatrice Pignède

Participants : Gilad Atzmon, Thierry Meyssan, Alain Soral, Jacob Cohen, Javad Shamagdari, Manuel Galliana, Samba Diagne, Rabbi Weiss, Rabbi Cohen, Dany Schechter, Claudio Moffa, Yahya Barakat, Webster Tarpley, Rachid Ben Aissa, Bernard Henri Lévy, Shlomo Sand, Miko Peled, Jacques Attali, Wesley Clark, Jonathan Shapira, Emmanuel Valls, Eric Raoult, Barack Obama, Zbigniew Brzezinski.

Production : Clap36, 2013 Distribution : Documentary & Experimental Film Center

Trailer «L'oligarchie et le sionisme» ("Oligarchy and Zionism")
1- La supercherie tribale
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

 

Un film de Béatrice Pignède
Genre(s) : Documentaire
Année de production : 2013
Durée : 95 minutes
Sortie en France : 22 mai 2013
Production : Clap36, 2013
Distribution : Documentary & Experimental Film Center (DEFC)
Contact :
contact@clap36.net

Site :www.clap36.net

 


Alerte - La Troïka veut ponctionner vos dépôts pour renflouer les banques!

Une alerte de Solidarité et réconciliation qui vient confirmer notre information précédente : ICI

 

Le braquage arrive en Europe sur les comptes des épargnants !

Voir l'article entier sous la vidéo.

A Chypre, la Troïka a sacrifié les dépôts et le crédit pour sauver le système spéculatif : c'est l'anti Glass-Steagall ! La proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de généraliser ce remède à l'ensemble de l'Europe...

Nos explications en vidéo :

Troïka : « Epargnons les contribuables... Volons les épargnants ! »

Après la ponction sans limite des dépôts non-garantis à Chypre, la proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de s’en prendre aux dépôts bancaires pour renflouer le système spéculatif : c’est le diabolique mécanisme de "résolution" bancaire...

http://www.dailymotion.com/video/xyopj0_troika-epargnons-les-contribuables-volons-les-epargnants_news


Troika: "Epargnons les contribuables..... par Solidarite_et_Progres

 

Comment la Troïka va mettre la main sur vos dépôts bancaires

lundi 1er avril 2013


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Suite au sauvetage de Chypre, le président de l’eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a été fortement critiqué pour avoir dit ouvertement que l’UE compte s’arroger le droit de confisquer certains dépôts bancaires.

En vérité, la norme sur la résolution des crises bancaires en Europe, en discussion entre la Commission et le Parlement européen depuis le 6 juin 2012, comprend la proposition que les déposants qui ont plus de 100 000 euros (dites des dépôts non-garantis) soient impliqués dans les plans de sauvetage des banques et assument une partie des pertes.

Soulignons tout de même que comme on l’a vu dans le cas de Chypre, les ministres des Finances de toute la zone euro n’ont pas résisté à l’idée de mettre à profit tous les dépôts, y compris ceux en-dessous de la barre des 100 000 euros, bien que se rendant à l’évidence qu’il allait précipiter un bankrun dans toute la zone euro, ils ont dû faire marche arrière sur ce point.

Du bail-out au bail-in

La nouvelle politique de l’UE part de l’idée louable qu’il faut cesser de renflouer les banques en difficultés par l’argent du contribuable. A la place d’un « bail-out » (renflouement des banques en défaut grâce à un apport extérieur), l’UE passerait à une politique de « bail-in » (renflouement avec les ressources propres venant de l’intérieur de la banque).

En bref, un liquidateur nommé par l’Etat, une fois vendus les biens et les actions de la banque, renflouera celle-ci si besoin avec une partie ou tout l’argent des déposants. S’il était prévu que la norme entre en application en 2018, la crise bancaire à Chypre a permis d’avancer le calendrier.

Rappelons d’abord quelques déclarations publiques au niveau international :

  1. EUROGROUPE. Le 25 mars 2013, le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, accordait au Financial Times et à l’agence de presse Reuters un entretien dans lequel il estimait que reporter les risques que prend le secteur financier sur les épaules du public n’était pas la bonne approche. « Si une banque à risque ne peut pas se recapitaliser elle-même, alors nous discuterons avec les actionnaires et les créanciers obligataires, nous leur demanderons de contribuer en recapitalisant la banque et, si nécessaire, nous ferons de même avec les détenteurs de dépôts non garantis », expliquait le président de I’Eurogroupe.
  2. BANQUE CENTRALE EUROPEENNE. Un membre du Conseil de la BCE, Klaas Knot a reconnu dans le quotidien néerlandais Het Financieele Dagblad que cette politique est « sur la table depuis un certain temps ».
  3. COMMISSION EUROPEENNE. La Commission européenne, pour qui Chypre est « un cas unique », a également admis que cette option est à l’ordre du jour. Chantal Hughes, la porte-parole du Commissaire européen Michel Barnier en charge du Marché intérieur pour les services financiers, a déclaré le 26 mars : « Nous voulons retrouver une situation où le contribuable arrête de payer pour les banques. » Ainsi, il n’est « pas exclu que les dépôts supérieurs à 100 000 euros soient des instruments éligibles à emporter. Il n’est pas exclu, c’est une possibilité », a-t-elle précisé.
  4. DEPUTES EUROPEENS. Les propos de M. Dijsselbloem « ne sont pas incongrus. Ce concept fait partie des idées de législation sur la restructuration des banques », a aussi réagi sur Twitter la présidente de la Commission des affaires économiques du Parlement européen, la libérale britannique Sharon Bowles. Un eurodéputé suédois membre du Parti populaire européen (conservateur), Gunnar Hökmarkva, va proposer au Parlement européen un texte faisant participer les dépôts à tout sauvetage bancaire. « Les dépôts inférieurs à 100 000 euros sont protégés. Les dépôts au-dessus de 100 000 euros ne sont pas protégés et doivent être traités comme une partie du capital qui peut être sollicité », a-t-il détaillé.
  5. CANADA. Au Canada, le gouvernement vient de présenter son Plan d’action économique 2013. Ce plan (pp.144-145) annonce lui aussi que le gouvernement va étudier comment « réduire l’exposition aux risques » pour les contribuables, par la mise en place d’une politique de « bail-in ».
  6. ETATS-UNIS ET ROYAUME UNI. Le 10 décembre 2012, le Fonds de garantie des dépôts américain (FDIC) et la Banque d’Angleterre (BoE) ont publié ensemble une note de 18 pages, intitulée « La résolution active et globale d’institutions financières d’importance systémique (G-SIFI) », où la même stratégie de spoliation des dépôts est proposée. Les pertes doivent être assumées par les actionnaires et ceux que la note appelle les « créanciers non-sécurisés », ce qui laisse une bonne marge d’interprétation pour savoir de qui l’on parle.

Ce que propose le Commissaire européen Michel Barnier

Présenté le 6 juin 2012 par Michel Barnier comme la pièce maîtresse pour créer une Union bancaire en Europe, son plan de résolution des crises bancaires se prétend capable d’éviter des sauvetages dans l’urgence et coûteux pour les contribuables. Le plan permettrait à une autorité nationale ad hoc d’obliger l’établissement à céder des activités sans l’accord des actionnaires, de créer une « bad bank » ou, solution extrême, de procéder à un « bail-in ». « L’objectif est de protéger les contribuables. Les banques doivent payer pour les banques », indiquait alors Michel Barnier.

Ainsi, la « Directive du Parlement européen et du Conseil établissant un cadre pour le redressement et la résolution des défaillances d’établissements de crédit et d’entreprises d’investissement » du 6 juin 2012 annonce d’emblée qu’il fait créer un « régime particulier pour la résolution », puisque « l’expérience acquise lors de différentes crises bancaires montre que les législations en matière d’insolvabilité ne sont pas toujours adéquates pour gérer efficacement la défaillance d’établissements financiers, dans la mesure où elles ne tiennent pas dûment compte de la nécessité d’éviter de compromettre la stabilité financière ».

Un régime de « résolution bancaire » permettrait de résoudre le problème et de « limiter l’exposition du contribuable ». « Dans ce processus, il faut aussi veiller à garantir la sécurité juridique, la transparence et la prévisibilité en ce qui concerne le traitement des actionnaires et des créanciers de la banque, et préserver la valeur qui, en cas de faillite, pourrait être détruite. De plus, en mettant fin à la certitude implicite d’un renflouement externe des établissements au moyen de fonds publics, l’option de la résolution devrait encourager les créanciers non assurés à mieux évaluer les risques liés à leurs investissements. »

La proposition précise que « Si les conditions de déclenchement de la résolution sont réunies, les autorités de résolution pourront employer les instruments de résolution suivants : (a) cession des activités ; (b) établissement-relais ; (c) séparation des actifs ; (d) renflouement interne (bail-in) ».

Parmi les outils du « bail-in », il est clairement noté que « les autorités de résolution devraient avoir le pouvoir de procéder au renflouement interne pour tous les engagements de l’établissement. Il existe toutefois certains engagements qui seraient exclus ex-ante (tels que les engagements garantis, les dépôts couverts et les engagements d’une durée résiduelle inférieure à un mois) ».

Par soustraction, cela veut clairement dire que les dépôts « non-garantis » (au-dessus de 100 000 euros) ne seront pas exclus.

Encore plus grave : le fait que dans chaque pays les Fonds de garantie des dépôts, qui sont supposés garantir tous les dépôts des citoyens à hauteur de 100 000 euros comme le préconise la Directive 94/19/EC de l’Union européenne, seront eux aussi mis à contribution pour participer financièrement aux plans de résolution bancaire, puisque grâce au mécanisme de résolution, tel est l’argument, l’on peut éviter la contagion et donc les dépenses du Fonds de garantie !

Ce que proposent Karine Berger et Pierre Moscovici

En France, le gouvernement, tout en évoquant le fait qu’il faut attendre une loi européenne dans ce domaine pour pouvoir aller plus loin, précise dans la loi de réforme bancaire certaines conditions d’un « bail-in » en cas de défaillance bancaire. Seront mis à contribution, d’abord les actionnaires, puis les SICAV, les FCP puis les créanciers obligataires.

En ce qui concerne les dépôts, rien dans la loi ne permet de soupçonner que les dépôts en-dessous de 100 000 euros ne soient pas protégés. Faut-il conclure qu’en l’absence de spécifications les autres le seront ?

De toute façon, il y a quelques petits détails à traiter pour que cette garantie puisse réellement être effective le jour où elle sera nécessaire. D’abord, l’on constate que chez nous, le Fonds de garantie des dépôts ne dispose que de 2 milliards d’euros : un peu léger pour couvrir les 1776 milliards d’euros éligibles à être couverts par le Fonds. Évidemment, en France, nos banques « universelles » sont si solides, que le cas ne se présentera pas...

Ensuite, en accord avec cette cuisine bruxelloise, la loi de réforme bancaire élaborée par Karine Berger et Pierre Moscovici (article 6) prévoit de fusionner l’argent de ce Fonds avec le Fonds de résolution bancaire géré par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) !

Comme le regrette Olivier Berruyer sur son site, lors des discussions sur la réforme bancaire au Parlement, « l’amendement visant à séparer l’argent du Fonds de garantie des dépôts de celui du Fonds de résolution (visant à recapitaliser des banques mourantes) a été rejeté une 4e fois : j’ai peu de doutes, l’argent du fonds sera utilisé en priorité pour les banques et pas pour les déposants, cela a été dit clairement dans les débats. RIP votre épargne… »

http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/comment-la-troika-va-mettre-la-main-sur-vos.html

Après le braquage de Chypre les pays européens en point de mire d'après ce qui est prévu dans le rapport du budget Canadien de 2013 !

RETIREZ VOTRE ARGENT DES BANQUES !

Chypre un autre délit d'initiés ?

Chypre : les proches du président accusés de malversation
21 millions d’euros ont été transférés à Londres par une société, contrôlée par les proches de M. Anastasiades, à la veille du gel des comptes en banques chypriotes. Selon la presse locale, le transfert de l’argent a été effectué en deux tranches le 12 et le 13 mars. Trois jours après, les autorités de Chypre et de l’UE ont annoncé la tenue de pourparlers sur l’octroi de l’aide à l’Etat insulaire et décrété le gel des opérations bancaires.

http://french.ruvr.ru/2013_04_02/Les-proches-du-president-de-Chypre-sont-accuses-de-transferts-d-argent-de-l-ile-avant-la-crise/

Chypre : les gros dépôts pourraient être ponctionnés jusqu'à 60 %
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/03/30/chypre-...

La manoeuvre ne viserait pas maintenant que la Russie depuis le 21 mars 2013 une fois le braquage réalisé et contrairement à ce qu'affirme Wolfang Schäuble.

Chypre est et restera une exception, dit Wolfang Schäuble
http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE92T00L2...

Le braquage devrait s'étendre à tous les pays d'europe ce qui est prévu dans le Bugdet du Gouvernement Canadien pour 2013 aux pages 144 and 145 of "Economic Action Plan 2013" qui date du 21 mars 2013. Donc une fois le braquage contre la Russie, réalisé.

Ici en PDF à télécharger :

"Economic Action Plan 2013" qui date du 21 mars 2013.

http://www.budget.gc.ca/2013/doc/plan/budget2013-eng.pdf...

Source : Cyprus-Style Bank Account Confiscation Is In The New 2013 Canadian Government Budget!

Et voilà comment le FMI endettera les Chypriotes, d'abord on les ponctionne et ensuite en les endette !

Le FMI va prêter un milliard d'euros à Chypre

http://www.leparisien.fr/economie/chypre-le-fmi-va-lui-preter-un-milliard-d-euros-03-04-2013-2693547.php