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15/01/2015

Attaque sous faux drapeau, Un Message aux Musulmans Français - Sheikh Imran Hosein

Un initié au Nouvel Ordre Mondial qui sait que l'ONU verrait son siège déplacé à Jérusalem qui deviendrait la capitale mondiale du Nouvel Ordre Mondial après que les sionistes se soient accaparé la ville de Jérusalem !

13 Janvier 2015

 


En Russie, la solidarité avec Charlie Hebdo n'est pas du goût de tous

Une attitude morale plus que normale en Russie qui n'accepte pas le blasphème contre les croyants et qui à l'inverse de la France qui se retranche derrière le fait qu'aucun article du Code pénal n'existe pour réprimer le blasphème ou l'irrespect envers les autres confessions, et qui préfère continuer à soutenir les provocations, en Russie le texte de Loi existe !

S'il existe un texte avec la Loi Gayssot/Fabius qui vise à réprimer l'antisémitisme, nous ne voyons pas ce qui pourrait empêcher la France de légiférer sur le blasphème et le respect de la religion d'autrui, comme le prévoit la Constitution du reste !

Il est vrai que les zélites doivent fabriquer des guerres civiles à l'inverse de la Russie qui prône pour la paix dans son pays entre les différentes cultures.

 

En Russie, la solidarité avec Charlie Hebdo n'est pas du goût de tous

15 Janv. 2015, 19h47 | MAJ : 15 Janv. 2015, 19h47Fleurs et pancartes "Je suis Charlie" devant le consulat de France à Saint-Pétersbourg, le 8 janvier 2015

Fleurs et pancartes "Je suis Charlie" devant le consulat de France à Saint-Pétersbourg, le 8 janvier 2015 Olga Maltseva

"Dieu merci ! La Russie n'est pas la France". A l'instar de la Une du quotidien proche du Kremlin Komsomolskaïa Pravda, de nombreux médias et responsables russes commencent à marquer le pas face à la solidarité mondiale que continue de susciter l'attentat contre Charlie Hebdo.


Après avoir dans un premier temps salué la marche historique organisée dimanche à Paris contre le terrorisme, certains journaux russes multiplient ces derniers jours les articles pour se désolidariser de la ligne éditoriale de cet hebdomadaire satirique français.

"Dieu merci ! La Russie n'a pas été touchée par cette épidémie", s'est exclamé le quotidien populaire Komsomolskaïa Pravda, évoquant les manifestations de soutien à Charlie Hebdo. "Dieu merci ! Nous, nous n'offensons pas les sentiments de nos musulmans et chez nous, l'article 282 du Code pénal existe".

Cet article, dénoncé par de nombreuses ONG comme constituant une atteinte à la liberté d'expression, condamne d'une lourde amende les individus et les médias qui se rendent coupables d'"incitation à la haine" raciale, inter-ethnique ou religieuse.

En vertu de cette disposition du Code pénal, un député russe a demandé à l'autorité de contrôle des médias Roskomnadzor d'inclure Charlie Hebdo parmi les ouvrages extrémistes interdits en Russie.

Et le site internet d'information de Saint-Pétersbourg Agentsvo Business Novosteï indiquait avoir été obligé jeudi de retirer de sa Une la caricature de Mahomet dessinée par l'équipe de Charlie Hebdo, sur ordre de Roskomnadzor.

- "Ennemi de tous les musulmans" -

Le site faisait partie des rares médias russes à avoir suivi l'appel de l'ex-oligarque russe Mikhaïl Khodorkovski, qui avait demandé aux médias russes de publier des caricatures du prophète en signe de soutien à l'hebdomadaire français.

Cet opposant, réfugié en Suisse, a aussitôt été désigné "ennemi de tous les musulmans" par le dirigeant de la république caucasienne russe Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, qui a annoncé vouloir organiser une manifestation de 500.000 personnes dimanche contre la publication des caricatures controversées.

"Nous ne permettrons à personne d'insulter notre Prophète ! Qui tente de le faire devient notre ennemi ! Il n'y a pas de différences à nos yeux entre les wahhabites, les extrémistes et ceux qui reproduisent les caricatures", a-t-il écrit mercredi depuis son compte Instagram.

"En ce moment, se déroule une lutte violente entre la civilisation européenne et celle du monde musulman. La Russie n'appartient à aucune d'entre elles. Et elle le comprend grâce à sa réaction face aux événements en France", affirme le politologue Leonid Radzikhovski dans le quotidien gouvernemental Rossiïskaïa Gazeta.

- Charlie Hebdo, "preuve du déclin" occidental -

Aux yeux de Sergueï Medvedev, politologue à la prestigieuse Haute école d?Économie de Moscou, "si la tragédie de Charlie Hebdo a révélé un vrai fossé de civilisation entre la Russie et les Occidentaux, elle a surtout montré que, sur ce sujet, la Russie est plus proche de Kadyrov, de la Tchétchénie, des pays arabes".

Le caractère blasphématoire des caricatures de Charlie Hebdo "donne l'occasion aux Russes de dire +Voyez, l'Occident est moralement corrompu, voici encore une preuve de son déclin moral+", explique-t-il.

Le Kremlin, qui s'affiche en héraut des valeurs conservatrices contre la "décadence" de l'Occident, a cependant condamné le terrorisme "sous toutes ses formes" dès les premières heures ayant suivi l'attentat, et envoyé le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, participer à la marche républicaine à Paris dimanche.

Mais d'autres hauts responsables ont préféré s'aligner sur la position de l?Église orthodoxe russe,  qui a expliqué que "lutter contre le terrorisme ne signifie pas être solidaire avec des blasphémateurs provocateurs".

"On ne peut pas non plus substituer à la liberté d'expression la liberté d'offenser les sentiments profonds des croyants", a ainsi écrit dimanche sur Twitter le vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine.

Pour l'analyste Sergueï Medvedev, "dans les années 1990, Charlie Hebdo aurait pu exister en Russie. Mais ces derniers temps, des moyens de censure officiels comme l'article 282 et Roskomnadzor ainsi que l'autocensure sont si présents qu'aujourd'hui, les gens ont peur d'écrire".

 

 

La charge d'un ancien de "Charlie Hebdo" contre Charb

La charge d'un ancien de "Charlie Hebdo" contre Charb

Le Point - Publié le 15/01/2015 à 15:12 - Modifié le 15/01/2015 à 17:13

Le journaliste Delfeil de Ton accuse Charb, tué dans l'attaque contre "Charlie Hebdo", d'avoir "entraîné l'équipe dans la surenchère".

Charb tué le 7 janvier 2015. Photo d'illustration. Charb tué le 7 janvier 2015. Photo d'illustration. © FRED DUFOUR / AFP

 

Un ancien de Charlie met les pieds dans le plat. Et ça éclabousse ! Dans sa chronique hebdomadaire, le journaliste Delfeil de Ton, qui a fait partie de la première équipe de Charlie, avant de quitter le journal satirique en 1975, s'interroge : "Il [Charb, NDLR] était le chef. Quel besoin a-t-il eu d'entraîner l'équipe dans cette surenchère ?" En cause, les charges répétées de Charlie contre l'islam et ses caricatures du prophète, notamment un dessin de Charb en 2012, sous le titre "Mahomet : une étoile est née", particulièrement violent.

À l'appui de ses critiques contre le rédacteur en chef de l'hebdomadaire, tué avec onze autres personnes par des terroristes islamistes, Delfeil de Ton reprend des propos tenus, affirme-t-il, par Wolinski, après l'incendie des locaux de Charlie qui avait suivi la publication par le journal des caricatures de Mahomet en 2011. "Je crois que nous sommes des inconscients et des imbéciles qui avons pris un risque inutile. C'est tout. On se croit invulnérables. Pendant des années, des dizaines d'années même, on fait de la provocation, et puis, un jour, la provocation se retourne contre nous. Il ne fallait pas le faire", aurait dit Wolinski, selon DDT.

"Fielleux"

"Il ne fallait pas le faire, et Charb l'a refait", dit Delfeil de Ton.

La chronique de DDT a choqué l'avocat de l'hebdomadaire : "Charb n'est pas encore enterré. Ce n'est pas le temps des polémiques", a déclaré à l'AFP Me Richard Malka. L'Obs "ne trouve rien de mieux à faire que de publier [sur Charb] un papier polémique et fielleux", s'était indigné l'avocat dans un texto à Matthieu Pigasse, l'un des actionnaires de L'Obs, selon Le Monde.

 

 

Refus de faire vacciner des enfants : le Conseil constitutionnel va trancher

Il était temps qu'ils statuent sur cette imposture vaccinale, une arme biologique, lorsque l'on sait quels poisons contiennent les vaccins !

Refus de faire vacciner des enfants : le Conseil constitutionnel va trancher

Un couple de l'Yonne (Bourgogne) était convoqué devant la justice pour avoir refusé de faire vacciner ses enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Leur avocat a demandé au Conseil constitutionnel de trancher sur la «liberté vaccinale». 

14 Janv. 2015, 00h42 | MAJ : 14 Janv. 2015, 14h43

 

L'avocat de deux parents de l'Yonne, jugés pour avoir refusé de faire vacciner leurs enfants, a transmis au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité (QPC).  L'avocat de deux parents de l'Yonne, jugés pour avoir refusé de faire vacciner leurs enfants, a transmis au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité (QPC).  (LP/Olivier Corsan.)

Une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) a été transmise au Conseil constitutionnel ce mardi. Elle demande au gardien de la constitution française de trancher sur la liberté vaccinale. «Il faut crever l'abcès», réclame Maître Emmanuel Ludot, avocat d'un couple de l'Yonne jugé en octobre dernier pour avoir refusé de faire vacciner ses enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).

 

Cette QPC avait été déposée début octobre devant le tribunal correctionnel d'Auxerre après un signalement du conseil général de l'Yonne. Leurs deux enfants, une fillette de trois ans et un nourrisson de dix-huit mois, n'ont pas été vaccinés, notamment avec le DTP, qui est obligatoire. Le refus ou l'entrave à la vaccination sont passibles de six mois d'emprisonnement et 3 750 euros, selon le code de la santé publique.

Le code pénal prévoit également que le fait de se soustraire à ses obligations légales «au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation de son enfant» peuvent valoir à l'auteur de l'infraction jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Les parents affirment se battre pour leur «liberté thérapeutique» au nom du droit à la santé, inscrit au préambule de la Constitution. Ils souhaitent pouvoir administrer à leurs enfants des vaccins «sans adjuvants». «On est très heureux de savoir que notre QPC passe sa deuxième étape. Cela donne du crédit à nos assertions : le litige est quand même existant et mérite d'être examiné par le Conseil constitutionnel», a réagi le père, Marc Larère.

«Il y a un gros problème entre l'obligation vaccinale et la liberté thérapeutique», a-t-il ajouté, précisant que pour ses enfants, qui ne peuvent pas être inscrits à la crèche ou chez une assistante maternelle, c'était le «statu quo».
 

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Nous dérangeons Youtube et Google apparemment ! A qui le tour ensuite ? Attention à vos adresses Gmails !

Après que Youtube/Google ait censuré la vidéo mise en ligne sur notre compte Youtube.

*- Censure Youtube sur la Vidéo : "Charlie HEBDO : Le moment où le policier est censé avoir été tué"

 
A présent c'est "Google Gmail" qui bloque nos adresses mails Gmail y compris personnelles !

 

Du style nous savons qui vous êtes et nous vous avons à l'oeil !

Devons-nous donc nous attendre à des représailles personnelles pour dénoncer les mensonges d'Etat ?

Nous vous rappelons que Youtube appartient à Google et que les comptes Gmail sont traités sur leur interface.

La surveillance est déjà en cours !

*- Surveillance et censure des français sur le net !

De plus pour accéder aux comptes Google bloqués, ils invoquent un motif fallacieux du genre : 

"Nous avons détecté une activité inhabituelle sur votre compte. Pour vous connecter, veuillez suivre les instructions ci-dessous.

Et bien sûr il faut leur donner notre numéro de téléphone portable pour vous adresser le code d'activation pour mieux vous identifier  !

 

Les menaces subliminales ? Et la censure est déjà là !


Mais il est vrai que nous sommes tous des terroristes pour les dénoncer et résister à leurs mensonges !

Attention à vos adresses mails créées sur Gmail car ils fliquent leur contenu !

Ouvrez des adresses mails chez votre fournisseur d'accès Internet ou sous votre nom de domaine !

Ci-dessous l'image de l'espace Gmail demandant d'activer le compte en communiquant notre numéro de téléphone portable.

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