29/10/2015
La police turque a lancé un raid dans les locaux d'une chaîne de télévision d'opposition à Istanbul
La démocratie selon Erdogan : éliminer l’opposition !
Après les attentas à Ankara qu’il aurait utilisés pour faire reporter les législatives, maintenant on fait inscrire un opposant sur la liste des terroristesen employant les grands moyens.
La police turque a lancé un raid dans les locaux d’une chaîne de télévision d'opposition à Istanbul
28 oct. 2015, 09:43
© Capture d'écran d'une vidéo de Haber3com Videoları
Les employés de la chaîne de télévision d’opposition Bugun TV ont subi une descente des forces antiémeutes quelques jours avant les législatives. Son propriétaire, qui s’oppose aux idées présidentielles a été inscrit sur la liste des terroristes.
L’assaut de la police a été filmé et diffusé en direct par la chaîne de télévision Bugun TV.
«Chers téléspectateurs et téléspectatrices, ne vous étonnez pas si vous voyez la police dans quelques minutes», a précisé le présentateur de Bugun TV en direct à l'antenne.
#Turkish police dragging out handcuffed #journalist https://t.co/S7Sh4XOxf2 pic.twitter.com/YEBNz377jP
— BGN News (@bgnnewsturkey) 28 Octobre 2015
NEW VIDEO: Turkish police raid TV station ahead of election - https://t.co/aB2KIwwo5I pic.twitter.com/OAf1i3BPye
— Grasswire Now (@GrasswireNow) 28 Octobre 2015
Selon les témoignages, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule et se frayer un passage afin d'accéder au bâtiment Koza Ipek Holding, où se trouvent les locaux de la chaîne de télévision Bugun TV.
Shocking images: Turkish police arrest journalists during seizure of Ipek Media Group. Unbelievable... #susmayiz pic.twitter.com/p1nOx0vzWq
— Suat KINIKLIOGLU (@kinikli88_ENG) 28 Octobre 2015
Des centaines de personnes, en particulier des journalistes liés au groupe média dont fait partie la chaîne, s'étaient rassemblées devant le bâtiment pour manifester contre le raid policier.
Selon les témoignages, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule et se frayer un passage afin d'accéder au bâtiment Koza Ipek Holding, où se trouvent les locaux de la chaîne de télévision Bugun TV.
Koza Ipek Holding est lié au prédicateur islamique Fethullah Gulen, un adversaire politique du président actuel Recep Tayyip Erdogan. Hier, les autorités turques avaient déjà pris le contrôle de 22 sociétés apparentées à Koza Ipek Holding.
Fethullah Gulen a d’abord été l'allié d’Erdogan jusqu’à ce que la police instruise contre lui une affaire dans laquelle il était accusé de corruption en 2013. En raison des faits qui lui sont reprochés, il encourt jusqu'à 34 ans de prison mais il s'est réfugié aux Etats-Unis où il se cache.
Après une journée de manifestations devant le bâtiment de Koza Ipek Holding, le ministre de l’Intérieur turc Selami Altinok a déclaré inscrit le nom de Fethullah Gulen sur une liste de terroristes mise à jour.
#BREAKING Interior Ministry revised its list of "terrorists" and included the fugitive imam Fethullah Gulen
— Mehmet Solmaz (@MhmtSlmz) 28 Octobre 2015
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Turquie : des officiels affirment que Daesh aurait orchestré l'attentat pour retarder les élections
On se demande quel est l'intérêt pour Daesh de retarder les élections ?
Turquie : des officiels affirment que Daesh aurait orchestré l'attentat pour retarder les élections
28 oct. 2015, 12:36
© Umit Bektas Source: Reuters
Les funérailles des victimes au lendemain de l'attentat à Ankara, le 11 octobre 2015.
Selon les procureurs turcs, c'est l'Etat islamique qui a ordonné les attentats suicides qui ont fait plus de 100 morts à Ankara, la capitale, le 10 octobre dernier.
Selon un communiqué du bureau du procureur général d'Ankara, cité par Hurriyet Daily News, l'attentat «visait à perturber la stabilité politique en sabotant les prochaines élections et perturbant la formation d'un gouvernement, le tout pour nuire à l'image politique du pays».
«Il a été déterminé que ce groupe [à l'origine de l'attaque] a planifié des attentats en Turquie après avoir reçu des instructions directes de l'organisation terroriste Daesh en Syrie», a en outre indiqué le bureau du procureur d'Ankara dans une déclaration publiée sur son site internet.
Turkey: Ankara bombings were ordered by ISIS: At least 102 people were killed in the massive twin bomb attack https://t.co/9Q0hX2RHNE
— tweetondubai (@tweetondubai) 28 Octobre 2015
«Les données disponibles sur les matériaux numériques» auraient indiqué que l'attaque a été organisée par une cellule basée à Gazantiep (Sud-Est) et visait à retarder les élections prévues le 1er novembre.
Ankara bombings were ordered by #ISIS: Turkish prosecutors pic.twitter.com/pkJnDSayii
— Osman Kaytazoglu (@kaytazoff) 28 Octobre 2015
Le 10 octobre dernier à Ankara, deux kamikazes se sont fait exploser lors d'un rassemblement pour la paix, faisant 102 morts et plus de 500 blessés. Il s'agit de l'attaque terroriste la plus meurtrière jamais commise en Turquie.
#Ankaradayız Emek, Barış ve Demokrasi Mitingindeki patlama anı videosu #dokuz8 / @meliketmbk pic.twitter.com/it3dodESKz
— dokuz8 (@dokuz8haber) 10 Octobre 2015
Les politiciens avaient d'abord évoqué une alliance entre l'Etat islamique et les rebelles kurdes, après qu'il fut déterminé qu'un des assaillants était en lien avec Daesh et le président turc, Recep Tayyip Erdogan, affirmant que le groupe terroriste et les rebelles «travaillaient ensemble».
Le Premier ministre islamo-conservateur Ahmet Davutoglu avait lui, présenté Daesh comme le «suspect numéro 1» de l'attaque d'Ankara, sans toutefois exclure formellement la responsabilité des rebelles kurdes ou de l'extrême gauche.
Par ailleurs, quatre suspects liés à une cellule djihadiste turque ont été inculpés et écroués la semaine dernière. Selon le procureur d'Ankara, l'un des deux kamikazes a été formellement identifié comme Yunus Emre Alagöz, frère de l'auteur présumé d'un précédent attentat attribué aux djihadistes qui avait fait 34 morts en juillet à Suruç (sud).
Attentats d’#Ankara : le PM turc confirme l’identification de l’un des kamikazes https://t.co/eyznRXM3YR pic.twitter.com/7OSEmciVVW
— RT France (@RTenfrancais) 19 Octobre 2015
#Turkish prosecutors said confirmed 1 of 2 suspects of #AnkaraBombing - Şeyh Abdurrahman https://t.co/GgDF2JlX0H pic.twitter.com/60rklvX40r
— Raven*H⚓️U*Wolf (@RavenHUWolf) 19 Octobre 2015
Depuis l'attentat du 10 octobre, l'opposition turque accuse le gouvernement d'avoir fermé les yeux sur les activités des militants djihadistes dans le pays.
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La France soutient les groupes terroristes en Syrie, estime Bachar El-Assad
Les vérités de Bachar Al-Assad.
La France soutient les groupes terroristes en Syrie, estime Bachar el-Assad
28 oct. 2015, 14:48
© Sana Source: Reuters - Le président syrien lors d'un discours à Damas
Alors qu’une délégation parlementaire française était ce mercredi à Damas pour discuter, en dépit de la réprobation de l’Elysée, avec le président syrien, ce dernier a dénoncé le rôle joué par les autorités françaises dans le conflit.
«De nombreux pays de la région ou occidentaux, dont la France, continuent jusqu'à présent de soutenir le terrorisme en donnant une couverture politique aux groupes terroristes en Syrie et dans la région», a-t-il affirmé à l’agence de presse officielle Sana. Il a par ailleurs estimé que «le terrorisme est la raison principale de la souffrance du peuple syrien [...], ainsi que l'embargo imposé à la Syrie».
Le 27 octobre, une délégation de trois députés français s'est rendue à Damas afin d’y rencontrer Bachar el-Assad. Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate breton, qui était du voyage, a déclaré que la solution au conflit passerait par un dialogue avec le président syrien, «qui est en place et qui est élu par le peuple syrien».
Première image de la rencontre entre B. al #Assad et la délégation parlementaire française (via @HoseinMortada). pic.twitter.com/z3yN8wCIAH
— Ashkan (@Zarathoustra96) 28 Octobre 2015
Le président du #PCD @jfpoisson78 est de nouveau en #Syrie, retrouvez sa précédente interview sur BFMTV. https://t.co/DX9YBFTSYY
— PCD Bretagne Breizh (@PCD_Bretagne) 26 Octobre 2015
Cette position est à l’opposé de celle défendue par le gouvernement français. En 2012, le chef de la diplomatie, Laurent Fabius, avait affirmé que «le régime syrien doit être abattu et rapidement» et que «Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur la terre». La même année, le même Fabius avait déclaré à propos du groupe djihadiste, le Front al-Nosra, combattant aux côtés des rebelles contre le président de la Syrie, que «sur le terrain, ils font un bon boulot», comme l’avait alors rapporté le journal français Le Monde. A la tribune des Nations unies, François Hollande a souligné, concernant le chef de l’Etat syrien qu’«étant le problème, il ne pouvait pas faire partie de la solution».
#Syrie Ns ns sommes concertés sur les modalités d’une transition politique garantissant le départ de Bashar al-Assad https://t.co/rqTemgF29t
— France Diplomatie (@francediplo) 28 Octobre 2015
Ce n’est pas la première fois que la France et ses alliés dans le dossier syrien, se voient accusés de soutenir des groupes terroristes contre Bachar el-Assad. Plus tôt, en octobre, un archevêque syrien avait demandé au Royaume-Uni de stopper son soutien aux islamistes.
Lire aussi : Le président syrien Bachar el-Assad se déclare prêt à des élections anticipées
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28/10/2015
La racaille d’Obama perd son sang froid et devient arrogant face à la sérénité de V. Poutine
Qui est Poutine ?
Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial
G.20 de saint Petersbourg.. Obama insulte Vladimir Poutine face à son inflexibilité et se met à proférer des insultes…. Qui n’a aucune conséquence que celle de lui rétorquer le jugement qu’il a de ce pseudo marionnettiste des Illuminatis.
La racaille d’Obama perd son sang froid et devient arrogant face à la sérénité de V. Poutine
04:25 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Obama, Trump, Poutine, Moscou, Russie, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, USA, Israël | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial
Qui est Poutine ?
Conférence de Philippe Ploncard d'Assac, du samedi 14 mars 2015 à Paris
Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial
04:13 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Poutine, Moscou, Russie, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |