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29/10/2015

Moscou : des opérations US au sol en Syrie seraient illégales et auraient des effets imprévisibles

A bon entendeurs salut !

Depuis, la Maison Blanche et de la CIA se sont rétractés :

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Moscou: l'allusion du Pentagone sur des actions au sol en Syrie ne signifie pas qu'ils vont le faire

La Maison Blanche a dit ne pas vouloir lancer de vaste opération de terrain en Irak et en Syrie

Directeur de la CIA : les solutions militaires désormais «impossibles» au Moyen-Orient

 

Moscou : des opérations US au sol en Syrie seraient illégales et auraient des effets imprévisibles

© Saad Shalash Source: Reuters

 

Le président de la Commission des Affaires étrangères de la chambre haute du parlement russe, Konstantin Kosatchev a en outre confié à RT que les allégations de frappes russes touchant des civils faisaient partie de la guerre de l’information.

«S’il y a des preuves, elles doivent être présentées et la Russie est définitivement prête mener des enquêtes plus détaillées», a déclaré à RT le président de la Commission des Affaires étrangères de la chambre haute du Parlement russe, Konstantin Kosachev, lors de sa visite à Washington. «Mais aucune preuve n’a été fournie par les experts militaires américains aux experts militaires russes», a poursuivi le parlementaire russe.

Les commentaires de Konstantin Kosachev interviennent après que le ministère russe de la Défense a convoqué les attachés militaires des Etats-membres de l’OTAN et de l’Arabie saoudite en leur demandant de clarifier leurs allégations sur des frappes aériennes russes qui auraient touché des civils en Syrie.

En savoir plus : Moscou convoque les envoyés américains et de l’Otan sur les accusations de morts civiles en Syrie

Le président de la Commission a accusé les médias de «propager délibérément des rumeurs» sur des frappes aériennes russes qui tuent la population civile en Syrie. Les mêmes «rumeurs» étant aussi propagées sur les réseaux sociaux.

«C’est juste une guerre de l’information contre la Russie et rien de plus», a-t-il confié à RT.

Konstantin Kosachev a appelé toutes les nations à rejoindre la coalition contre Daesh en Syrie que dirige la Russie «dans le respect du droit international».

«Nous n’avons aucune intention de rejoindre aucune autre coalition pour la simple raison qu’elles ne conforment pas au droit international», a-t-il indiqué.

«Toutes les opérations, soit aériennes, soit au sol, en Syrie par les forces américaines seront illégales», a encore confié à RT Konstantin Kosachev à propos de l’engagement potentiel des troupes américaines au sol en Irak et en Syrie. Le parlementaire russe a justifié sa position en ajoutant que Damas n’avait pas invité Washington à prendre part à une opération militaire sur son territoire.

En savoir plus : La Maison Blanche a dit ne pas vouloir lancer de vaste opération de terrain en Irak et en Syrie

«Ils seront piégés ils seront impliqués dans une guerre et les conséquences seront absolument imprévisibles», a mis en garde l’homme politique russe en ajoutant que l’envoi de militaires américains en Syrie serait «une faute grave».

En même temps, Konstantin Kosachev a souligné que la Russie n’enverrait pas de troupes au sol en Syrie. «Aucune opération au sol n’est possible, parce que cela impliquera la Russie dans une guerre ouverte», a reconnu Konstantin Kosachev. Au lieu de cela, Moscou essaie de trouver une solution politique en Syrie. «Nous essayons de ne pas intervenir mais de promouvoir un dialogue politique à l’intérieur du pays», a-t-il conclu.

 

EXCLUSIF : en plein désert, une équipe de RT s'est approchée de Palmyre contrôlée par Daesh ( Vidéo)

EXCLUSIF : en plein désert, une équipe de RT s’est approchée de Palmyre contrôlée par Daesh

28 oct. 2015, 17:08

Lizzie Phelan à Palmyre

La correspondante de RT, Lizzie Phelan, est le premier correspondant international à s’être rendue à Palmyre toujours sous le contrôle des terroristes de Daesh depuis mai dernier. Sous les obus, la journaliste fait le point de la situation.


 

EXCLUSIF : Les «chars volants» russes Mi-24 protègent le ciel syrien

EXCLUSIF : Les «chars volants» russes Mi-24 protègent le ciel syrien

28 oct. 2015, 19:19

https://cdn.rt.com/french/images/2015.10/article/56311152c46188962c8b45bb.jpg

Le correspondant de RT Mourad Gazdiev a regardé de près les hélicoptères russes «crocodiles» Mi-24. Ils sont équipés de dizaines de missiles pour patrouiller efficacement autour de la base russe à Lattaquié.

 

 

Liberté d'expression et Internet, la France a reculé depuis les attentats contre Charlie Hebdo

Pour être plus exacts, la liberté d'expression a reculé en France depuis que les Français se sont mobilisés contre les crimes et le boycott de l'état sioniste lors du grand carnage opéré par l'état criminel contres les Palestiniens.

Il fallait bien faire plaisir au CRIF et à la LICRA et trouver le prétexte de l'attentat pratiqué sous fausse bannière en France contre Charlie Hebdo, pour faire avancer la censure en France !

 

Liberté d'expression et Internet, la France a reculé depuis les attentats contre Charlie Hebdo

28 oct. 2015, 17:02

 La France recule en matière de liberté sur le net

C'est un rapport du Think Tank Freedom House qui dresse ce constat. En matière de libertés sur le net, la France a reculé. Dans un rapport détaillé, l'organisation pointe les décisions politiques prises après les attentats de janvier.

Pour établir l'état des libertés publiques sur Internet, la Freedom House, organisation basée à Washington et qui étudie l'étendue de la démocratie dans le monde, s'est basée sur plusieurs critères.

  • La possibilité d'accéder librement à Internet et a contrario les restrictions imposées.
  • L'implication des autorités publiques dans les questions d'anonymat ou les outils d'encodage.
  • La surveillance opérée sur le net.
  • Les arrestations des utilisateurs mais également toutes les mesures d'intimidation.

En tenant compte de tous ces facteurs, la France est passée du 20ème rang mondial en 2014 au 24ème en 2015, 0 désignant le plus haut degré de liberté et 100 le pire. 


Où est Charlie?

Selon les conclusions de l'organisation, la position de la France a baissé principalement en raison des politiques adoptées après les attaques terroristes de janvier 2015, contre Charlie Hebdo, notamment. Freedom House a qualifié ces politiques de «problématiques».

La loi controversée sur le renseignement adoptée par le Parlement français en juin dernier est ainsi mentionnée dans le rapport. Les «boîtes noires», ces outils d'analyse automatique de données installés sur les réseaux depuis l'adoption de cette loi, y sont mentionnées expressément.  

Autre mesure perçue comme problématique, les restrictions imposées sur le visionnage de contenus perçus comme «faisant l'apologie du terrorisme» et les poursuites qu'il est désormais possible d'engager sur cette base contre les internautes.

Lot de consolation, malgré ce recul, la France figure toujours à la neuvième place des 18 pays classés «libres». 

Ailleurs dans le monde

Le rapport établit également que la liberté d'expression sur Internet a reculé dans 32 des 65 pays étudiés par l'ONG depuis juin 2014. Parmi les plus mauvais élèves, la Libye et l'Ukraine. La Libye, qui figure dans les 28 pays «partiellement libres», a vu son score baisser en raison de «la violence inquiétante visant les blogueurs».

Les bons élèves en matière de liberté sur le Net sont l'Islande (6 points), suivie de l'Estonie, du Canada, de l'Allemagne, de l'Australie, des Etats-Unis, du Japon et de l'Italie.

Observation inquiétante, le rapport note qu'après les révoltes arabes de 2011 et le rôle que les réseaux sociaux ont eu alors, beaucoup des gouvernements du Maghreb et du Proche-Orient ont augmenté leur contrôle de la Toile.

L'autre tendance générale mise en relief par Freedom House en 2015, c'est la pratique de certains gouvernements qui font pression sur les géants du Net tels que Google, Facebook ou Twitter, pour que ceux-ci retirent des contenus, au lieu de les censurer.

 

 

 

Directeur de la CIA : les solutions militaires désormais «impossibles» au Moyen-Orient

Après avoir financé les élections d'OBAMA et avoir tenu compte des avertissements de Moscou, le Directeur de la CIA se rétracte lui aussi !

C'est sûr que si la Russie détruit tous les camps de formation, les fortifications, les munitions et coupe tous moyens d'alimenter en armement les mercenaires de la CIA/Mossad en Syrie, il n'est plus possible pour la CIA de continuer ses actions militaires contre l'armée Syrienne et contre Bachar Al-Assad.

Voir aussi :

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Moscou: l'allusion du Pentagone sur des actions au sol en Syrie ne signifie pas qu'ils vont le faire

La Maison Blanche a dit ne pas vouloir lancer de vaste opération de terrain en Irak et en Syrie

 

Directeur de la CIA : les solutions militaires désormais «impossibles» au Moyen-Orient

Alors que des pays comme la Libye, la Syrie ou l’Irak sont en proie à la violence et l’instabilité, le chef du renseignement américain extérieur, appuyé par son homologue français, a soutenu que la région était arrivée à un point de non-retour.

Bernard Bajolet, patron de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) française et John Brennan, directeur de la CIA, se sont croisés dans une conférence académique donnée à Washington ce mardi, où ils ont défendu une position similaire.

«Le Moyen-Orient que nous avons connu est fini et je doute qu'il revienne», a déclaré le Français. «La Syrie est déjà morcelée, le régime ne contrôle qu'une petite partie, environ un tiers du pays établi après la Seconde guerre mondiale, […] le Nord est contrôlé par les Kurdes et nous avons cette région centrale contrôlée par [le groupe] Etat islamique», a-t-il expliqué, ajoutant que la situation était pareille en Irak.

 

En savoir plus : Diplomatie syrienne : Daesh n’a fait que s’étendre malgré l’intervention de la coalition américaine

John Brennan, patron de la CIA, a lui affirmé : «lorsque je regarde la dévastation en Syrie, en Libye, en Irak, au Yémen, c'est difficile pour moi d'envisager un gouvernement central dans ces pays qui soit capable d'exercer un contrôle ou une autorité sur ces territoires bâtis après la Seconde guerre mondiale». Il a ensuite estimé qu’il était désormais «impossible» d’appliquer une «solution militaire dans chacun de ces pays».

Aller plus loin : «On ne pourra mettre un terme à la guerre en Irak qu’en mettant un terme au militarisme [américain]»