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18/11/2015

La CIA veut coopérer avec Moscou dans la lutte contre Daech

Vous avez bien lu, vous ne rêvez pas !

Après avoir créé, formé, armé et financé les mercenaires de DASH et Cie, à présent, la CIA voudrait coopérer avec Moscou dans la lutte contre DAESH !

 

La CIA veut coopérer avec Moscou dans la lutte contre Daech

Le directeur de la CIA John Brennan

 

La Centrale Intelligence Agency (CIA) veut intensifier les échanges d'informations avec les services de renseignement russes.

Le directeur de la CIA, John Brennan, s'est prononcé pour une coopération plus étroite avec ses collègues russes dans la lutte contre le groupe djihadiste Etat islamique.
 
"Malgré les divergences politiques sur la Syrie, j'ai la ferme intention de coopérer avec les services secrets d'autres Etats pour prévenir les attentats terroristes", a-t-il déclaré lundi lors d'une intervention au Center for Strategic and International Studies (CSIS) de Washington.

Selon le directeur de la CIA, la coopération avec la Russie est en cours. John Brennan a notamment affirmé avoir "contacté à plusieurs reprises cette dernière année" ses partenaires russes, y compris après le début des frappes aériennes menées par Moscou en Syrie.

"Comme vous le voyez, nous procédons à un échange d'informations. Je pense qu'il faut intensifier ce processus", a conclu le chef du renseignement américain.

 

17/11/2015

L’USS Harry S. Truman en route vers le golfe Persique

Ce qu'en pense Assad !

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L’USS Harry S. Truman en route vers le golfe Persique

Nov 17, 2015 12:21 UTC

 

IRIB- La marine américaine a fait part de la précipitation du porte-avion USS Harry S. Truman au Moyen-Orient.

Un groupe aéronaval américain emmené par le porte-avions USS Harry S. Truman a appareillé hier de Norfolk pour mettre le cap sur la Méditerranée. Le bâtiment doit ensuite gagner la mer Rouge, l’océan Indien et le golfe Persique, où il remplacera l’USS Theodore Roosevelt, sur zone jusqu’au mois dernier et qui vient de rallier la base de Pearl Harbor.
 
La flotte américaine rejoindra le porte-avions Charles de Gaulle et contribuera ainsi à l’anéantissement et l’éradication du groupe terroriste de Daech en Irak et en Syrie. Le groupe aéronaval américain emmené par le porte-avions USS Harry S. Truman a été précipité dans la région un jour après les attentats terroristes commis par Daech à Paris. Mais cet envoi a été planifié depuis. On dirait que l’installation de deux porte-avions dans la région permettrait à la coalition internationale parrainée par les Etats-Unis d’Amérique d’intensifier leurs frappes aériennes contre le groupe terroriste de Daech.

Le porte-avion « Theodore Roosevelt » a aussi quitté le golfe Persique le mois dernier. La France a également émis la semaine dernière l’ordre de la précipitation du porte-avion Charles de Gaulle qui sera installé depuis demain mercredi dans le golfe Persique.
 
 

La coopération militaire Russie-Chine, facteur de stabilisation dans le monde

Sûrement en réponse aux provocations US en mer de Chine pour soi-disant "assurer la sécurité" !

On sait ce que cela veut dire à présent car de partout où ils passent ils sèment la mort, la désolation et les désastres humanitaires.

La coopération militaire Russie-Chine, facteur de stabilisation dans le monde

16:12 17.11.2015

Le président russe Vladimir Poutine et le vice-président de la Commission militaire centrale (CMC) de Chine, Xu Qiliang

Moscou et Pékin entendent promouvoir leur coopération, y compris dans le domaine militaire, a indiqué le chef de l'Etat russe.

La coopération russo-chinoise dans différents domaines, y compris dans la sphère militaire, constitue un important facteur de stabilisation de la situation dans le monde, a relevé le président russe Vladimir Poutine, en recevant à Moscou le vice-président de la Commission militaire centrale (CMC) de Chine, Xu Qiliang. 
 
"Nous ne cessons de constater que le monde ne devient malheureusement pas plus calme. Et la coopération entre la Russie et la Chine, notamment dans le domaine militaire, est un sérieux facteur de stabilisation de la situation dans le monde", a déclaré le chef de l'Etat.

Et d'ajouter que toutes les ententes enregistrées auparavant entre Moscou et Pékin, y compris en matière de coopération militaire, se réalisaient.
 
"Je me félicite du fait que tout ce dont nous convenons avec le président (chinois Xi Jinping, ndlr) se réalise et que nous avançons, y compris dans le domaine militaire", a dit Vladimir Poutine.
 
Il a rappelé avoir rencontré la veille, en marge du G20 en Turquie, une délégation représentative de la Chine, conduite par le président Xi Jinping.
 
"Nous avons eu un entretien circonstancié sur l'ensemble des relations entre nos deux pays", a dit le président russe.

 

Un Patriot Act à la française ? Retour sur le précédent américain

Comment Hollande a provoqué un coup d'état en déclarant l'état d'urgence dans le pays en écartant d'emblée le Pouvoir Judiciaire tout en s'octroyant tous les pouvoirs ainsi qu'à l'exécutif (les politiques) !

Ainsi il va pouvoir à sa guise, modifier la Constitution, si tant est que l'on puisse la considérer comme étant valide, et imposer des lois liberticides à l'encontre du peuple Français !

De plus et si le peuple demandait sa destitution, il serait bloqué pour le faire tant que la situation d'état d'urgence, perdure.

Ainsi, il se protège lui-même d'éventuelles poursuites judiciaires pour crimes contre l'humanité et pour haute trahison à la Nation Française. Il a donc tout intérêt à ce que cet état d'urgence perdure dans le temps, le temps qu'il nous ponde de nouvelles lois liberticides et qu'il modifie la Constitution à son avantage.

Ainsi avec l'aide de Fabius, ils auront reconnu avoir financé et armé la soi-disant armée modérée syrienne, et c'est la France qui est prise en otage !

Signez ci-dessous la pétition destinée au Conseil Constitutionnel demandant un référendum pour toute modification de la Constitution.

 

Référendum pour toute modification de la constitution

Un Patriot Act à la française ? Retour sur le précédent américain

Des militaires patrouillant sur les Champs Elysées © Charles Platiau Source: Reuters
Des militaires patrouillant sur les Champs Elysées
 

François Hollande l'a martelé : «C'est la guerre». Et si les pleins pouvoirs ne lui ont pas été octroyés, les mesures annoncées devant le Parlement ont comme quelque chose d'un Patriot Act hexagonal, sur le modèle américain pourtant controversé.

Interrogé sur la Matinale de France Inter, Manuel Valls a été clair : «Je crois que les Français attendent de nous, que pour assurer la sécurité des Français, parfois on doit restreindre un certain nombre de nos libertés». 

Il revenait ainsi sur les différentes mesures annoncées par François Hollande lors de son discours devant le Parlement réuni en Congrès. Parmi ces mesures, celles concernant une prolongation de l’état d’urgence mais aussi l’éventuelle déchéance de nationalité pour les binationaux, la mise en place de contrôles coordonnés aux frontières de l’Union européenne, la formation d’une garde nationale constituée de réservistes et une réforme constitutionnelle.

En savoir plus : Devant le Congrès, François Hollande détaille un véritable plan de bataille

Un Patriot Act à la française déjà contesté 

Si l'annonce de ces mesures a été accueilli de façon plutôt favorable par l'ensemble des députés, certains demandent même que les mesures aillent plus loin. Ainsi Valérie Pécresse, tête de liste Les Républicains pour les élections régionales en Ile-de-France, estime qu'il faut «repenser complètement notre système de sécurité». Laurent Wauquiez, du parti Les Républicains, estime que «ceux qui sont de nationalité française doivent être massés dans des camps d'internement».

Mais des voix critiques des mesures envisagées se sont faites entendre, surtout à l'extrême gauche de l'échiquier politique.

Le porte-voix du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon a très vite critiqué la «sidérante contribution à l’imaginaire sécuritaire sur la nationalité, les migrants et la délinquance antichambre du terrorisme». Autre voix discordante, celle Noël Mamère, député ex-EELV qui a fustigé «ce Patriot Act à la française qui ne dit pas son nom», tout en annonçant qu'il «ne votera pas en l'état» les textes.
 
De son côté, le secrétaire national du Parti de gauche, Eric Coquerel, a estimé que proposer de déchoir de leur nationalité les binationaux menaçant la sécurité de la France «renvoie à l’idée nauséabonde qu’il y deux sortes de citoyens». Il a précisé : «la dérive sécuritaire de la Vème République a franchi un nouveau cap», estimant que «plus globalement Hollande constitutionnalise un Patriot Act».
 
Le syndicat de la Magistrature a quant à lui dans un communiqué que «le discours martial repris par l’exécutif et sa déclinaison juridique dans l’état d’urgence, décrété sur la base de la loi du 3 avril 1955, ne peuvent qu’inquiéter». Le syndicat ajoute : «La France a tout à perdre à cette suspension – même temporaire – de l’Etat de droit. Lutter contre le terrorisme, c’est d’abord protéger nos libertés et nos institutions démocratiques en refusant de céder à la peur et à la spirale guerrière. Et rappeler que l’Etat de droit n’est pas l’Etat impuissant». 
 

Le précédent américain

Cela fait à peu près un an que l’on évoque un Patriot Act à la française, depuis la préparation du projet de loi sur le renseignement, mais surtout depuis les événements de janvier à Paris. Si une loi calquée sur le Patriot Act américain venait à être adoptée en France, les conséquences sur les libertés individuelles seraient importantes.

Concrètement cette loi, mise en place au lendemain des attaques du 11 Septembre, a compris un élargissement des pouvoirs du FBI, CIA, NSA dans la lutte contre le terrorisme, au détriment de libertés fondamentales. Véritable loi d'exception, le Patriot Act a été vivement dénoncé par les défenseurs des libertés civiles qui pointaient à quel point le texte, jugé liberticide, contrevenait à des principes aussi fondamentaux que la présomption d'innocence, les Conventions de Genève sur le statut de prisonnier de guerre, le droit à la vie privée, aux opinions libres ou encore au droit de propriété.

Ainsi cette loi a permis la surveillance de masse des communications sur Internet et a autorisé les écoutes téléphoniques. Les perquisitions, saisies de documents ou de biens ont été possibles, sans que le propriétaire en ait été informé. Plus encore, ces agences gouvernementales étaient autorisées aussi à accéder aux données informatiques sans autorisation. Même la justification d'un lien avec une enquête terroriste n'était plus un préalable requis. Enfin le Patriot Act a créé une catégorie juridique bancale, celle du «combattant ennemi» qui a permis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste. Cette mesure a permis Guantanamo notamment. C'est sur cette base militaire qu'étaient détenus ceux qualifiés de «combattants illégaux», 750 au total, en dehors de toute légalité internationale.

En savoir plus : Jean-Yves Le Drian en appelle officiellement à la solidarité européenne face au terrorisme

Depuis le scandale de Guantanamo et les révélations d'Edward Snowden sur le programme d'écoutes massives ont posé aux Etats-Unis de vastes remises en question de cette loi. De plus, les détracteurs de la loi ont fait remarquer que l'ampleur du système de surveillance n'avait pas empêché l'attentat de Boston, en avril 2013, au cours duquel deux bombes avaient explosées, tuant trois personnes et en blessant 264 autres. 

Le Patriot Act, malgré tout, n'a jamais été abrogé alors qu'il ne devait être appliqué que durant 4 ans. Prolongé en 2005, puis pérennisé en 2006, il est toujours en place. Barack Obama avait appelé à le «réformer» en 2013, à la suite de l'affaire Snowden. Mais la loi a été reconduite deux fois, en 2006 et en 2011. Les Républicains ont toujours appelé quant à eux à une reconduction permanente des mesures.

Russie: test réussi du missile balistique RS-12M (Défense)

 

IRIB- Le ministère russe de la Défense a fait état du test réussi du missile balistique intercontinental RS-12M de ce pays.

Les troupes balistiques stratégiques russes, (RVSN), ont effectué, aujourd'hui, le tir d'essai réussi d'un missile balistique intercontinental RS-12M, a annoncé le ministère russe de la Défense, dans un communiqué.

Ce missile a une portée de plus de 10.000 kilomètres. Il peut être équipé d'une ogive nucléaire de 550 kilotonnes.