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18/11/2015

Washington prolonge ses sanctions contre l'Iran

Si vous aviez loupé l’info, voici la dernière d’Obama qui avait sans doute levé les sanctions contre l'Iran pour aller y envahir les marchés et y apporter des fauteurs de troubles dont les banques Rothschild et Cie  !

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Washington prolonge ses sanctions contre l'Iran

10:09 11.11.2015 (mis à jour 17:44 11.11.2015)

Barack Obama, Maison Blanche

Selon le chef de l'Etat américain, "les relations entre l'Iran et les Etats-Unis ne sont pas encore normalisées".

Barack Obama a décidé de prolonger d'un an les sanctions contre l'Iran.

Le président américain a envoyé une lettre d'avis au Congrès (parlement américain, ndlr) stipulant qu'il était nécessaire de reconduire l'état d'urgence contre l'Iran, introduit il y a plus de 30 ans. Dans le document il a indiqué avoir décidé de "laisser en vigueur le décret présidentiel 12170 du 14 novembre 1979 qui introduisait l'état d'urgence lié à la menace pour la sécurité nationale, la politique externe et l'économie des Etats-Unis, et provoqué par la situation en Iran".

L'explication de cette décision est simple. Selon le président, "les relations entre l'Iran et les Etats-Unis ne sont pas encore normalisées", et "le processus de mise en œuvre des accords (bilatéraux, ndlr) du 19 janvier 1981 n'est pas encore terminé". Il s'agit des soi-disant accords d'Alger entre Washington et Téhéran ayant abouti à la libération des diplomates américains pris en otage suite à la révolution islamique de 1979.

A l'époque, le 39ème président Jimmy Carter a signé le décret 12170 en réponse à la prise en otage des diplomates américains à Téhéran. Le ministère américain des Finances a alors bloqué les avoirs iraniens aux Etats-Unis, y compris les comptes dans les banques américaines et leurs filiales à l'étranger. En pratique, cela signifiait l'introduction de la première série des sanctions économiques contre l'Iran. En 1980, le président Carter a rompu les relations diplomatiques avec Téhéran en interdisant les importations de toutes les marchandises américaines en Iran, dont les produits alimentaires et les médicaments. Par la suite, les présidents ultérieurs n'ont fait que durcir les sanctions contre l'Iran.

Ces sanctions ne font pourtant pas partie du paquet de sanctions que les Etats-Unis ont promis de lever suite à la réalisation de tous les dispositifs du Plan d'action global commun adopté à Vienne le 14 juillet entre l'Iran et les six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne).

Le président Obama fait donc une distinction nette entre les soi-disant "sanctions nucléaires" et les autres sanctions qui ne sont pas liées aux accords atteints à Vienne.

 Il est à noter que le 18 octobre dernier, Barack Obama a ordonné le début du processus de retrait des sanctions américaines contre l'Iran conformément aux accords sur le nucléaire iranien.

Dans ce contexte la nouvelle décision du président semble incohérente, voire étrange. Selon certains médias, la prolongation de l'état d'urgence en question octroie au président des Etats-Unis des pouvoirs plus vastes afin de maintenir les sanctions, voire prendre de nouvelles mesures contre la prétendue menace iranienne.

Ainsi, actuellement, un ensemble de nouvelles sanctions fait l'objet d'un examen par les parlementaires américains visant à priver l'Iran de transactions avec un grand nombre de pays du monde.

Il semblerait donc que Washington persiste sur son approche de pressions économiques en dépit de l'accord historique signé le 14 juillet, à Vienne. L'accord en question lève les obstacles pour le commerce extérieur de l'Iran, tout en maintenant l'embargo sur les armes et les missiles à destination de ce pays. L'Iran, pour sa part, ne pourra pas élaborer de combustible nucléaire pendant 15 ans.

 

Sommet du G20 : la conférence de presse de Vladimir Poutine sur le terrorisme

Au sommet du G20, qui s’est tenu du 14 au 16 novembre en Turquie, le président russe a souligné que la Russie avait présenté des exemples de financement des terroristes par des personnes physiques venant de 40 pays, y compris des pays-membres du G20.


Poutine : «Nous trouverons les terroristes, où qu’ils soient sur la planète et les châtierons»

Poutine en Chef de guerre déterminé : calme et déterminé, pas comme certains excités ! 

 

Poutine : «Nous trouverons les terroristes, où qu’ils soient sur la planète et les châtierons»


Hollande se rendra à Moscou et à Washington la semaine prochaine

Sur le site de l'Elysée, nous constatons que le déplacement de Hollande débutera par la visite à Obama à Washington. Il ira donc prendre les ordres auprès de son Maître avant de se rendre à Moscou ! 

Déplacements Washington - Moscou

Rubrique : Défense, International, développement et francophonie

Dans le cadre de l’action de la communauté internationale dans la lutte contre Daech et le règlement de la situation en Syrie, le Président de la République se rendra :

- mardi 24 novembre à Washington pour un entretien avec le Président Barack OBAMA

- jeudi 26 novembre à Moscou pour un entretien avec le Président Vladimir POUTINE

 

Hollande se rendra à Moscou et à Washington la semaine prochaine

François Hollande


Hollande rencontrera Obama à Washington et Poutine à Moscou "la semaine prochaine", a annoncé mardi sur France-Inter le premier ministre Manuel Valls.

François Hollande rencontra "la semaine prochaine" Barack Obama à Washington et Vladimir Poutine à Moscou, dans le but de parvenir à une coalition unique contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie, a indiqué mardi Manuel Valls.

"Cette nuit, il y a eu de nouvelles frappes de notre aviation à Raqqa pour détruire un QG et un camp de combattants de Daech (acronyme de l'EI en arabe) et nous allons poursuivre, le chef de l'Etat l'a annoncé, en mobilisant la communauté internationale. C'est le sens du déplacement du président de la République la semaine prochaine à Washington et à Moscou pour rencontrer Barack Obama et Vladimir Poutine", a déclaré le premier ministre mardi sur France Inter.

Le chef de l'Etat rencontrerait les présidents américain et russe en vue de former une grande coalition visant à détruire l'Etat islamique.

François Hollande reçoit aujourd'hui le chef de la diplomatie américaine, John Kerry.

 

Un million de Syriens sont revenus chez eux depuis le lancement de l’opération russe contre Daesh

Voilà comme on règle les problèmes d'exil et de réfugiés politiques : en éliminant la menace et les groupes de mercenaires fabriqués, formés et financés par la CIA/Mossad/US/UE pour permettre aux populations de rentrer dans leur pays !

Bravo Poutine et merci pour eux !

Voir aussi :

Lattaquié, région syrienne la plus sûre grâce aux forces aériennes russes

Un million de Syriens sont revenus chez eux depuis le lancement de l’opération russe contre Daesh

Près d’un million de Syriens sont revenus dans leur ville natale, libérée par l’armée syrienne soutenue par l’aviation russe, a fait savoir lundi l’ambassadeur syrien à l'ONU.

«C’est exactement ce qui se passe lorsqu’a lieu une action militaire collaborative russo-syrienne contre les terroristes et l’échange de renseignements entre la Syrie, l’Irak, l’Iran et la Russie. Cela a provoqué le retrait de groupes terroristes [de leurs positions] dans plusieurs zones, ce qui a permis à un million de personnes déplacées de revenir en sécurité chez eux», a annoncé Bachar Jaafari.

L’ambassadeur syrien, qui a participé à la rencontre du Conseil de sécurité de l’ONU lundi, a confirmé que le gouvernement syrien était prêt à coopérer «avec tous les pays qui ont une approche sérieuse de la lutte contre le terrorisme», a cité TASS.

D’après lui, la guerre de la Syrie contre le terrorisme «est dans l’intérêt du monde entier» parce que «chaque fois que l’armée syrienne se bat contre un terroriste étranger, elle sauve des dizaines de vies innocentes qui pourraient être menacées si celui-ci rentrait dans son pays». L’ambassadeur a aussi signalé que ceux qui effectuent des attaques terroristes à travers toute la planète tels qu’à Paris, «faisaient partie des milliers d’Européens venus en Syrie pour mener le djihad».

L’Europe fait face en ce moment à un afflux impressionnant de migrants venus du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, des régions déchirées par la violence et les troubles. Vers la fin de l’année prochaine, l’Allemagne à elle seule s’apprêtera à l’arrivée de deux millions de demandeurs d’asile. Le nombre de réfugiés pose un sérieux défi aux gouvernements de l’UE et donne lieu à une campagne massive par les politiciens et les médias, jouant avec les craintes que cet afflux pourrait sérieusement affecter la sécurité de ces pays.