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09/12/2008

Santé : Rappel du reportage de ce soir sur France 5 à 21 h 45 : Silence on vaccine ! Du mercure et de l'aluminium dans les vaccins !

Silence on vaccine
le 9 décembre à 21 h 45 sur France 5
Site WEB et DVD :
Un site web vient d'ouvrir pour le film de Lina B. Moreco « SILENCE ON VACCINE ».
Il est possible de recevoir de l'information concernant la sortie DVD et aussi la sortie au Canada en vous inscrivant au site web suivant :
http://www3.onf.ca/webextension/silence-on-vaccine/

TÉLÉDIFFUSION :
Le 9 décembre à 21h45 sur France 5 va être diffusée la version de 52 minutes de : « SILENCE ON VACCINE ». C'est une version écourtée dans laquelle nous avons dû retirer le témoignage du Dr Andrew J. Wakefield.
Une version longue du documentaire  (84 minutes) sera diffusée via le réseau PLANÈTE plus tard dans l'année. Je ne connais pas encore la date de télédiffusion sur PLANÈTE.
 
 


SILENCE, ON VACCINE

Mardi 9 décembre 2008 à 21.45 (Exclusivité soirée)

Les associations ont du mal à faire reconnaître et indemniser les victimes, car le lien de causalité entre pathologies et vaccin est difficile à prouver.
 © ProdLa polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.

Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires (lire l'encadré). Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.


La suite ici :  
http://www.france5.fr/programmes/articles/sante/1876-silence-on-vaccine.php
 

Synopsis de la chaine TV FRANCE-5 :
SILENCE, ON VACCINE
FRANCE 5 - Mardi 9 décembre 2008 à 21.45 (Exclusivité soirée)

La polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.
Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires (lire l'encadré). Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.

Bien que le nombre de victimes augmente, notamment parmi les enfants, les associations ont du mal à les faire reconnaître et indemniser, car le lien de causalité entre les pathologies et le vaccin est difficile à prouver. Aux Etats-Unis, Dan Burton, un membre du Congrès, a ouvert une enquête parlementaire sur la nature des produits contenus dans les vaccins et leurs effets sur la population. L'élu républicain regrette la négligence des autorités américaines, qui ont avalisé la mise sur le marché de vaccins dont la toxicité n'a jamais véritablement été évaluée. Il explique en outre que l'industrie pharmaceutique constitue « le groupe de pression le plus puissant de Washington », ce qui rend toute évolution législative en la matière impossible.
S'ajoutent à l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme des politiques les réticences du monde médical à remettre en cause les bénéfices des vaccins. Des réactions alarmistes pourraient en effet mettre en péril l'enjeu de santé publique que constitue la vaccination. Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur la vaccination aux Etats-Unis, s'interroge sur le caractère « utilitariste » de ces politiques de santé publique : « Combien de personnes peut-on sacrifier pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations qui les défendent revendiquent le droit d'être informées des produits contenus dans les vaccins et des risques encourus à la suite de leur injection. Ils émettent des réserves concernant les contraintes légales de vaccination et réclament des indemnisations en cas d'effets indésirables invalidants. Rompre l'omerta qui règne sur la possible toxicité de certains vaccins permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce qui profiterait, d'une part, à la santé publique et limiterait, d'autre part, les drames d'individus qui développent une maladie en ayant voulu en prévenir une autre. Gaëlle Gonthier

Le thimérosal est un agent conservateur à base de mercure présent en quantité infime dans les vaccins antitétanique, antigrippaux, antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vaccins antihépatites qui permet de stimuler la réaction de l'organisme contre la particule virale injectée lors de la vaccination. Il favorise donc l'immunisation de l'organisme vacciné. Au demeurant, ce composant additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies neuromusculaires.

Documentaire - Durée 52' - Réalisation Lina B. Moreco
Production France 5 / office national du film du Canada / Play Film
Année 2008
http://www.france5.fr/programmes/articles/sante/1876-silence-on-vaccine.php

Crise financière : L'économie US devrait encore se dégrader à court terme ! Attention danger sur la Sant é !

http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/02/657245710.jpeg

L'économie US devrait encore se dégrader à court terme

 

Cause de cette probable dégradation: "des incertitudes entourant la solvabilité des banques et l'offre de crédit", selon l'Organisation pour la coopération et le développement économiques.

Bruxelles (L'Echo) - L'économie américaine "traverse une période particulièrement difficile" et l'activité devrait "se dégrader davantage à court terme", estime l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) dans un rapport mardi.

"Un retournement brutal du marché du logement, une crise financière et une hausse temporaire des prix des produits de base ont provoqué un ralentissement considérable de l'activité en 2008", rappelle l'OCDE.

Le gouvernement américain a "pris des mesures pour soutenir la croissance et stabiliser le système financier", notamment de "fortes réductions des taux d'intérêt, d'amples allègements fiscaux et des injections de liquidités dans des marchés de capitaux", poursuit le rapport.
Pour autant, il est "probable que l'activité se dégradera davantage à court terme" avant de rebondir, notamment à cause "des incertitudes entourant la solvabilité des banques et l'offre de crédit".

La relance monétaire "reste nécessaire" dans l'immédiat mais il faudra "relever rapidement les taux d'intérêt dès que l'économie se redressera", pour éviter les tensions inflationnistes, poursuit le rapport.

"Le règlement de la crise financière entraînera l'accumulation de dettes budgétaires supplémentaires", mais "de nouvelles mesures de relance seront peut-être souhaitables" si la situation économique ne s'améliore pas rapidement, recommande l'OCDE.

Elle appelle enfin le gouvernement américain à s'attaquer d'urgence au problème de "l'accès incomplet aux soins de santé".
 
 
NDLR : Que vient faire cette phrase ici qui fait relation à "l'accès incomplets aux soins de santé" alors qu'il est question de finances ?
Un message codé ? Nous sommes trop sur la planète d'après eux ! Attention aux risques de la grippe aviaire dont le virus sera sorti directement de leurs laboratoires

Source : http://www.lecho.be/actualite/economie-finances/L%27econo...

01/12/2008

Émission " Silence, on vaccine" le mardi 09 décembre 2008 à 21h45 sur France 5

Le film à sortir : Silence on vaccine !

Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, Télévision.htm
 
 
UNE EMISSION A NE PAS MANQUER........pour voir où on en est avec la vaccination !

Une émission intitulée « Silence, on vaccine » sera diffusée le mardi 09 décembre 2008 à 21h45 sur France 5.

Documentaire de 52' de Linda B. Moreco et coproduit par France 5 / Play Film / l'Office du film du Canada. 
Production : Johanne Bergeron et Hind Saïh.  2008. 

Les vaccins occupent une grande place dans la politique de santé publique. Leurs bienfaits sont incontestables. Ils font néanmoins des victimes, dont on ne parle guère, souvent atteintes de maladies immunitaires ou neurologiques. Le film enquête en France, aux Etats-Unis et au Canada, et cherche à savoir s'il existe un lien de causalité entre vaccin et maladie. Il cherche aussi à déterminer le sort des victimes et à comprendre, dans la logique ' bénéfice-risque ', si le bénéfice collectif n'occulte pas le risque des individus. Au-delà, il s'interroge sur la liberté individuelle face à la vaccination, alors même que cet acte médical se multiplie, notamment pour les enfants. 
(Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)
 
La polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.

Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires (lire l'encadré). Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.

Lobbies pharmaceutiques

Lobbies pharmaceutiques
Rompre l'omerta sur la possible toxicité de certains vaccins…
© Prod
Bien que le nombre de victimes augmente, notamment parmi les enfants, les associations ont du mal à les faire reconnaître et indemniser, car le lien de causalité entre les pathologies et le vaccin est difficile à prouver. Aux Etats-Unis, Dan Burton, un membre du Congrès, a ouvert une enquête parlementaire sur la nature des produits contenus dans les vaccins et leurs effets sur la population. L'élu républicain regrette la négligence des autorités américaines, qui ont avalisé la mise sur le marché de vaccins dont la toxicité n'a jamais véritablement été évaluée. Il explique en outre que l'industrie pharmaceutique constitue « le groupe de pression le plus puissant de Washington », ce qui rend toute évolution législative en la matière impossible.
S'ajoutent à l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme des politiques les réticences du monde médical à remettre en cause les bénéfices des vaccins. Des réactions alarmistes pourraient en effet mettre en péril l'enjeu de santé publique que constitue la vaccination. Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur la vaccination aux Etats-Unis, s'interroge sur le caractère « utilitariste » de ces politiques de santé publique : « Combien de personnes peut-on sacrifier pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations qui les défendent revendiquent le droit d'être informées des produits contenus dans les vaccins et des risques encourus à la suite de leur injection. Ils émettent des réserves concernant les contraintes légales de vaccination et réclament des indemnisations en cas d'effets indésirables invalidants. Rompre l'omerta qui règne sur la possible toxicité de certains vaccins permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce qui profiterait, d'une part, à la santé publique et limiterait, d'autre part, les drames d'individus qui développent une maladie en ayant voulu en prévenir une autre.

Gaëlle Gonthier

Lourds soupçons sur certains composants

Le thimérosal est un agent conservateur à base de mercure présent en quantité infime dans les vaccins antitétanique, antigrippaux, antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vaccins antihépatites qui permet de stimuler la réaction de l'organisme contre la particule virale injectée lors de la vaccination. Il favorise donc l'immunisation de l'organisme vacciné. Au demeurant, ce composant additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies neuromusculaires.
 

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29/09/2008

Illuminati : La puce redfield dans les vaccins !

 L'ordre et le chaos - La puce redfield dans les vaccins !


Armes silencieuses pour guerres tranquilles (Vidéo)


Santé : Vaccination contre l'hépatite B, des risques de sclérose en plaques

Vaccination contre l'hépatite B : des risques chez l'enfant ?
 
L'un des vaccins employés contre l'hépatite B, Engerix B produit par Glaxosmithkline, augmenterait chez les enfants le risque de développer une sclérose en plaques.
L'information est publiée par Le Monde qui s'est procuré les résultats d'une étude, à paraître en octobre, réalisée par l'équipe du professeur Marc Tardieu (service de neuropédiatrie, hôpital Bicêtre au Kremlin-Bicêtre). Les résultats démontreraient que le vaccin Engerix B multiplierait par 1,74 le risque de contracter une sclérose en plaques trois ans après que l'enfant a reçu le vaccin.

Les détails de l'étude n'ont pour l'instant pas été révélés et le Pr Tardieu ne souhaite pas commenter ces résultats avant la publication officielle prévue pour le 8 octobre. Même son de cloche du côté de la REVAHB, une association soutenant les malades victimes d'effets secondaires consécutifs à la vaccination. Dominique Le Houezec, pédiatre et médecin conseil de l'association, souligne tout de même le fait que « la REVAHB alerte depuis dix ans le public sur les risques inhérents à la vaccination contre l'hépatite B. » Ils ne se cantonnent d'ailleurs pas seulement à la sclérose en plaques mais aussi « à d'autres affections démyélinisantes comme la maladie de Guillain-Barret ou à des spondylarthrites ankylosantes, des polyarthrites rhumatoïdes et même à des hépatites auto-immunes. » Un avis qui n'est pas partagé par le fabricant, le laboratoire Glaxosmithkline (GSK), qui souligne que « l'ensemble des études réalisées, disponibles dans la littérature, n'ont pas permis de démontrer de lien de causalité entre la vaccination contre le virus de l'hépatite B et la survenue d'affections neurologiques démyélinisantes. » 

Officiellement, les autorités sanitaires continuent à recommander la vaccination chez les nourrissons et les enfants entre 2 mois et 13 ans ainsi que chez les adultes à risques (professionnels de santé, toxicomanes, partenaires multiples). Une procédure d'analyse de l'étude a néanmoins été déclenchée par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Par ailleurs, l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) a d'ores et déjà reconnu et indemnisé près de 120 victimes d'effets secondaires graves imputés à la vaccination contre l'hépatite B. A suivre...

 

J.I.
Sciences et Avenir.com
26/09/2008
 

08:51 Publié dans Santé, Médecine, Science, Vaccins | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |