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04/02/2010

Obama abandonne la Lune

Pour laisser la place à des sociétés privées !
Lesquelles ?

Par Rémy Decourt, Futura-Sciences 

Le programme Constellation, qui devait être celui du « retour sur la Lune » en 2020, est annulé. Barack Obama vient de confirmer officiellement les rumeurs. Trop coûteux et même si neuf milliards de dollars ont déjà été dépensés, le projet lancé par George W. Bush n'ira pas plus loin. La Nasa devra plancher sur des missions habitées vers des satellites de Mars. Quant à l'accès à l'espace après la mise à la retraite des navettes, il sera confié à des entreprises privées.

Confronté à une crise économique et financière sans précédent depuis celle de 1929, les Etats-Unis s'apprêtent à un changement de paradigme dans la façon qu’a l'Amérique d’explorer et d’utiliser l'espace. Depuis que le Comité Augustine a remis son rapport sur le programme Constellation et les plans de la Nasa pour l’exploration, on se doutait que les objectifs spatiaux des Etats-Unis allaient être revisités.

Concrètement, Obama propose d’abandonner dans sa totalité le programme Constellation mis en place en 2004 par George W. Bush qui prévoyait le retour sur la Lune et les premières missions habitées vers Mars. Il préfère donner la priorité à des missions habitées vers des astéroïdes et les lunes de Mars qui pourraient être utilisées pour préparer l’envoi d’un équipage internationale sur la Planète rouge.

Le président américain souhaite également privilégier le développement de nouvelles technologies nécessaires à l'envoi de missions sur Mars et voir émerger des missions robotiques ambitieuses et innovantes qui pourraient préparer les étapes suivantes de l’exploration humaine du Système solaire. Des démonstrateurs de nouvelles technologies, préfigurant certaines fonctionnalités techniques, seraient ainsi développés pour préparer ces étapes futures.

altair_constellation_lune_nasa.jpg





Les partisans des missions habitées vers Mars ont peut-être une carte à jouer maintenant que l’on abandonne l’objectif de retourner sur la Lune. Ils n’ont jamais compris pourquoi il fallait retourner sur la Lune avant d’envisager d’envoyer des hommes sur Mars. Crédit Nasa

La balle est aujourd'hui dans le camp du Sénat

Enfin, l’administration Obama souhaite élargir et intensifier la coopération internationale avec l’Europe et d’autres pays comme le Japon, l’Inde et la Russie sous certaines conditions. On pense évidemment à la mission de retour d’échantillons martiens qui pourrait être réalisée à court terme.

En remplacement des lanceurs et du véhicule spatial Orion du programme Constellation, Obama veut privatiser en très grande partie l'accès à l'espace pour le transport de matériel et celui des hommes. Afin de ne pas trop dépendre des capacités russes pour rejoindre la Station dès que la navette sera retirée du service, le gouvernement va soutenir financièrement et techniquement le développement d'un secteur commercial capable d'assurer le transport orbital de personnes et de fret vers la Station dans le cadre du partenariat public-privé Cots.

Cette décision s’accompagne de l’annonce de la poursuite de l’utilisation de l'ISS au moins jusqu’en 2020 de façon à maintenir un certain leadership dans l'espace et offrir une destination pour les véhicules commerciaux du programme Cots que développent actuellement SpaceX (Falcon 9 / Dragon) et Orbital Sciences avec Thales Alenia Space (Taurus / Cygnus). En effet, la seule raison d'être de ces projets est de ravitailler la Station spatiale, tant il est peu probable que ces industriels arrivent à créer un marché économiquement viable de remplacement de la Station.

mars_missionhabitee_echantillons_rover_nasa.jpg





En l’état, le budget de la Nasa ne permet pas de développer de nouveaux systèmes et de poursuivre ceux qui existent déjà (à l’image de l’atterrisseur lunaire Altair). Crédit Nasa

Sur la question de la desserte de la Station, il faut savoir que le cas de la navette n’a pas encore été complètement tranché. Il existe une possibilité de prolonger de quelques années son utilisation. Actuellement, les plans de la Nasa prévoient cinq vols en 2010 avant son retrait définitif. Or, Sally Ride, ancienne astronaute américaine et membre du Comité Augustine avait suggéré de continuer à l’utiliser après 2010 à raison de deux vols par an, le temps que les systèmes de transport spatial développés dans Cots soient opérationnels.

Cependant, la décision finale sur tous ces sujets appartient au Congrès américain et nombreux sont les sénateurs qui voient d’un très mauvais œil l’abandon des pans entier du programme spatial. Le sénateur de Floride, un des états qui bénéficient le plus des retombées économiques des programmes de la Nasa et dont dépendent de nombreux emplois a clairement dit que les propositions d’Obama « décimaient le programme spatial des Etats-Unis ».

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/obama-abandonne-la-lune_22439/

02:12 Publié dans NASA, NSA, Obama, Trump, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

02/02/2010

En hommage à Howard Zinn

Un des plus grands penseurs progressistes des Etats-Unis vient de nous quitter, à l'âge de 88 ans. Howard Zinn était l'auteur d'une magistrale "Histoire populaire des Etats-Unis de 1492 à nos jours", mais aussi d'articles lucides et pénétrants. Nous vous en rappelons quelques-uns ici avec l'hommage rendu par son éditeur français.

Agone - Howard Zinn n'est plus

Howard Zinn - Mythes de l'« exceptionnalisme » américain

Howard Zinn - Les Etats-Unis ont besoin d'un esprit révolutionnaire

Howard Zinn - 27 mois d'occupation américaine - Que faisons-nous en Irak ?

Howard Zinn - La légalisation de l'injustice



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Vente d'armes à Taïwan : Pékin menace Washington

ARMEMENT DE TAÏWAN

Vente d'armes à Taïwan : Pékin menace Washington

NOUVELOBS.COM | 02.02.2010 | 09:16

L'administration Obama a scellé un contrat de plus de 6,4 milliards de dollars avec Taïwan.

L'administration Obama a scellé un contrat de plus de 6,4 milliards de dollars avec Taïwan.

(Reuters)

 






























Les Etats-Unis seront "entièrement responsables" des répercussions des ventes d'armes américaines à Taiwan sur la coopération bilatérale concernant les "grandes questions internationales et régionales", a averti mardi 2 février un porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois. "Les relations sino-américaines, en ce qui concerne les grandes questions internationales et régionales, seront inévitablement influencées et les Etats-Unis sont entièrement responsables", a déclaré à la presse le porte-parole Ma Zhaoxu.

"Nous appelons fermement les companies concernées à se retirer et à ne pas prendre part aux ventes d'armes à Taïwan", a-t-il également dit. Le Pentagone a scellé un contrat d'armement de plus de 6,4 milliards de dollars avec Taiwan et doit vendre à l'île, considérée comme rebelle par Pékin, notamment des missiles antimissile Patriot, des navires chasseurs de mines sous-marines et des hélicoptères Black Hawk.


(Nouvelobs.com)
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/asiepacifique/20100202.OBS5572/vente_darmes_a_taiwan__pekin_menace_washington.html

12:33 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Iran : Etats-Unis et France prônent la fermeté

Et bien sûr Sarkozy n'hésitera pas à nous faire entrer dans la 3ème mondiale !

Il n'est pas à un intérêt près pour suivre les USA et poursuivre l'instauration du Nouvel Ordre Mondial à leurs côtés !


Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine à l'Elysée, le 29 janvier 2010.

Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine à l'Elysée, le 29 janvier 2010.

France 2
Etats-Unis et France ont de nouveau prôné vendredi la fermeté pour que l'Iran renonce au nucléaire militaire

Les discussions en cours sur une nouvelle résolution au Conseil de sécurité de l'Onu et un renforcement des sanctions ont été évoqués par la secrétaire d'Etat Hillary Clinton avec Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner.

La sécurité de l'Europe "est une pierre angulaire de la politique étrangère américaine", a réaffirmé Hillary Clinton.

Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy et Hillary Clinton se sont accordés vendredi sur la nécessité d'une "résolution ferme". Bernard Kouchner a pour sa part fait état d'un "accord extrêmement précis" avec la secrétaire d'Etat sur la conduite à tenir dans deux directions : le dialogue avec les Iraniens mais également l'élaboration de sanctions."Nous avons déjà eu trois résolutions du Conseil de sécurité avec des sanctions", a-t-il ajouté. "Donc nous ne désespérons pas d'en obtenir, plus ferme encore, une quatrième." Américains et Français sont "extrêmement satisfaits" de la position des Russes et s'efforcent de convaincre les Chinois, a souligné le chef de la diplomatie française.

"Nous ferons tout notre possible pour obtenir la résolution la plus forte possible au Conseil de sécurité", a renchéri la secrétaire d'Etat américaine. "Ensuite, les pays qui ont des opinions très claires, comme la France et les Etats-Unis, pourront peut-être faire davantage s'ils le souhaitent."

Lors d'une intervention à l'Ecole militaire de Paris, elle avait déclaré que Washington mettait la pression sur la Chine pour que Pékin accepte de nouvelles sanctions contre l'Iran.

Afghanistan
"Nous disons aux Chinois que nous comprenons qu'il leur semble aujourd'hui contreproductif de sanctionner un pays dont ils tirent tant de ressources naturelles, dont leur économie en expansion a besoin", avait-elle expliqué. "Mais pensez aux implications à plus long terme."

Lors d'un entretien de près d'une heure et demie, Hillary Clinton et Nicolas Sarkozy ont également parlé de la situation en Afghanistan. Selon l'Elysée, le président français a plaidé pour un transfert aussi rapide que possible des responsabilités en matière de sécurité aux autorités afghanes.

Bernard Kouchner a réaffirmé pour sa part qu'il n'était pas question pour la France, qui a déjà près de 4.000 soldats en Afghanistan, d'y envoyer de nouvelles forces combattantes. Il a cependant admis qu'il pourrait y avoir des "ajustements".

Clinton : "Une Europe qui inclut la Russie"
La diplomate en chef des Etats-Unis a réitéré l'opposition de l'Amérique à l'indépendance des deux provinces séparatistes de Géorgie, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, au nom de "la souveraineté et l'intégrité territoriale de chaque Etat", érigée en premier "principe".

Mais Washington "ne cherche pas a créer des divisions entre voisins et partenaires", a-t-elle ajouté à l'intention de Moscou. "Il n'y a qu'une Europe", a-t-elle lancé à son auditoire composé d'experts et de diplomates à l'Ecole militaire de Paris: "Une Europe partenaire des Etats-Unis, et une Europe qui inclut la Russie".

Assurant que la controversée défense antimissile "rendra le continent plus sûr", Mme Clinton a estimé que "cette sécurité pourrait s'étendre à la Russie, si la Russie décide de coopérer avec nous".

Mais plutôt que d'entériner l'offre russe d'un nouveau traité sur la sécurité européenne, qui lancerait "un processus long et compliqué", elle a jugé que l'objectif d'une "sécurité indivisible" du continent pouvait être atteint "dans le contexte des institutions existantes, l'OSCE et l'Otan".

La révision stratégique de l'Otan
Cette dernière doit évoluer pour affronter les menaces du XXIe siécle, a plaidé la secrétaire d'Etat, énumérant "le terrorisme nucléaire, le cyber-terrorisme, le changement du climat", ainsi que "les réseaux mafieux  trafiquant les armes, la drogue et les êtres humains". (On rigole ! Les plus gros trafiquants et mafieux sont au sein des organisations internationales !)


L'Otan a engagé une révision stratégique devant aboutir a la fin de l'année.


L'Amérique maintiendra quoi qu'il arrive, a-t-elle insisté, "un engagement inébranlable" envers l'article 5 du traité de l'Otan, au nom duquel une attaque visant un membre de l'Otan est considérée comme une attaque contre tous. (C'est ça ! Qu'il parle pour lui ! )

http://info.france2.fr/europe/Etats-Unis-et-France-pr%C3%...

 

La vente de missiles à Taïwan exacerbe les relations entre les deux puissances

Par Moumene Belghoul

Le face-à-face entre les deux puissances internationales Etats-Unis et Chine est empreint d’une brusque tension. La raison possède un nom : Taïwan.


En décidant de vendre des armes à Taipei, les Américains ont pris le risque de provoquer la colère de la Chine. Jusqu’à présent du moins, Pékin a évité de chercher une traduction politique trop voyante de sa prépondérance économique.


Les moyens militaires mis par Washington à la disposition de Taïwan ne pouvaient donc que susciter le courroux d’une Chine qui monte en puissance. Washington ne semblait pas s’attendre néanmoins à la fermeté de la réplique chinoise.

Pékin a dénoncé une atteinte à la «sécurité nationale de la Chine et à ses efforts de réunification pacifique». L’ancienne Formose a de tout temps suscité la controverse entre Pékin et Washington. La question des ventes d’armes à Taïwan reste un point de friction récurrent entre les deux puissances. Aux Etats-Unis, ces ventes sont autorisées par une loi : le Taïwan Relations Act. Ce dernier  encadre la politique américaine à l’égard de l’île depuis 1979. La Chine ne l’a jamais reconnu mais semblait jusque-là le tolérer.

Pour les Chinois, les choses sont claires : les Etats-Unis se sont engagés en 1982 à ne pas poursuivre leur politique de vente d’armes à destination de l’île. La réaction de Pékin ne s’est pas contentée d’une prise de position publique. La coopération dans le domaine militaire avec les Etats-Unis est suspendue. Des sanctions contre les entreprises américaines impliquées dans les ventes d’armes à Taïwan sont annoncées. Mastodonte économique, la Chine entend bien se faire entendre par les Occidentaux. Alors que ces derniers subissaient les effets graves d’une crise économique dévastatrice, l’empire du Milieu traversait sans grandes secousses l’année 2009. L’économie mondiale ne s’est pas effondrée l’an dernier grâce en partie à la Chine. Avec une croissance de 8,7%, des réserves de changes, une capacité à mobiliser un financement quasi illimité pour soutenir la croissance, la Chine a influé de manière décisive sur l’économie mondiale. Ce pays a été d’un important secours afin de maintenir à flot une économie américaine qui menaçait d’être emportée par ses déficits. Récemment, son produit intérieur brut a dépassé celui du Japon. La Chine devient de fait la deuxième puissance économique du monde. C’est forte de cette «forme» que la Chine a modérément accepté la transaction militaire entre Les Etats-Unis et Taïwan. A l’image des Russes qui refusent les tentatives de déploiement de systèmes antimissiles à leurs frontières, les Chinois voient d’un mauvais œil les mouvements américains envers Taïwan. Pour Pékin, la finalité est de mettre en joue sa puissance régionale. Pour les Chinois, la fourniture d’armements à Taïwan ne se déroule pas à la périphérie de la Chine. Cela se passe carrément sur leur propre territoire. Un geste d’hostilité qui s’accompagne d’un manquement à des engagements antérieurs. «Taïwan fait partie intégrante de la Chine», rappellent inlassablement les Chinois. Et l’avertissement est à peine voilé : «l’administration américaine est allée à l’encontre de ses engagements et a pris une décision erronée en donnant un signe grave aux forces séparatistes de «l’indépendance de Taïwan», compromettant la paix et la stabilité au détroit de Taïwan, voir dans la zone Asie-Pacifique».

Implications
Le contentieux entre les deux puissances aura incontestablement des répercussions sur la gestion de certains dossiers géopolitiques. Les cas de l’Iran, de la Corée du Nord ou de l’Afghanistan reviennent avec acuité. Selon les analystes, la crise provoquera une «obstruction» de la Chine aux visées américaines.


La coopération chinoise dans des dossiers lourds pourrait être fortement compromise. Dans un éditorial du China Daily, le ton est donné : «Le message doit être clair, et fort : si les Etats-Unis ne respectent pas les intérêts essentiels de la Chine, ils ne peuvent s’attendre à ce que celle-ci coopère sur une vaste gamme de problèmes internationaux et régionaux essentiels.» La rencontre annoncée entre Barack Obama et le dalaï-lama vient déjà comme un cheveu sur la soupe dans ce climat dégradé. Le chef spirituel tibétain est considéré à Pékin comme un dangereux élément séparatiste. Cependant, c’est sur le plan géopolitique que l’administration américaine va devoir assumer une orientation lourde d’implications. Le dossier du nucléaire iranien sera incontestablement influencé par la nouvelle donne. Pékin pourrait changer sa position sur la volonté occidentale d’imposer des sanctions de plus en plus contraignantes contre Téhéran. En ce qui concerne la Corée du Nord, Pékin pourrait également se permettre de refuser le tempo imposé par Washington. Le rôle de la Chine comme courroie de transmission entre Pyongyang et les Occidentaux est tel que Pékin pourrait peser de tout son poids pour annihiler les pressions visant la Corée du Nord. Autre dossier pouvant pâtir de la discorde entre les Etats-Unis et la Chine : l’Afghanistan. Pour les spécialistes, la Chine s’est véritablement engagée de façon indirecte au rétablissement de la sécurité en Afghanistan. Pékin pousserait même, à travers des aides, le Pakistan à renforcer ses efforts à la frontière afghane. La Chine est devenue le premier investisseur en Afghanistan. Son apport dans ce pays égale celui du reste du monde depuis 2001. Récemment, la China Metallurgical Group Corporation a entamé un projet de 4,39 milliards de dollars pour développer une mine de cuivre. C’est considéré comme le plus gros investissement de l’histoire de l’Afghanistan. Les Américains engagés en Afghanistan dans une guerre de stabilisation compliquée seraient particulièrement
gênés par un éventuel gel des investissements chinois. La dotation de Taïwan en armement alimentera la discorde entre les deux puissances. Seulement, la Chine est loin d’avoir le profil caractéristique des cibles militaires américaines. C’est une grande puissance aux capacités avérées. Les Chinois ont montré leur ferme intransigeance quant il s’agit de l’île taïwanaise. La controverse pourrait-elle ouvrir un processus d’affrontement d’un type nouveau ?

http://www.latribune-online.com/suplements/international/...

 

 

10:16 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |