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17/04/2010

Goldman Sachs accusée de fraude, Wall Street en chute

Les valeurs américaines ont fini en net repli après la plainte déposée par l'autorité boursière américaine contre la banque qui aurait trompé les investisseurs.

 (AFP)
(AFP)

Les valeurs américaines ont fini en net repli vendredi 16 avril, après l'accusation de fraude portée par l'autorité boursière américaine contre la banque Goldman Sachs ayant incité les investisseurs à prendre leurs bénéfices après six séances de hausse.

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L'indice Dow Jones a perdu 1,13% ou 125,91 points, à 11.018,66 points, le Standard & Poor's 500 1,61% ou 19,54 points, à 1.192,13 points et le Nasdaq Composite 1,37% ou 34,43 points à 2.481,26 points. Sur la semaine, le Dow reste en hausse de 0,2%, de même que le Nasdaq (+1,1%) mais le S&P perd 0,2%.

Goldman Sachs a été accusée de fraude vendredi par l'autorité des marchés financiers américains, qui lui reproche d'avoir trompé les investisseurs lors de la conception et la commercialisation d'un produit financier complexe lié à des prêts immobiliers "subprime".

L'action Goldman Sachs a dégringolé de près de 13%, à 160,70 dollars.

L'information a fait dévisser l'ensemble des financières. L'indice KBW des bancaires a fini en repli de 3,46%. Morgan Stanley a perdu 5,6% à 29,16 dollars. De même, Bank of America a chuté de 5,5% à 18,41 dollars malgré un résultat supérieur aux attentes.


Une opération qui aurait coûté plus d'un milliard de dollars

Selon la plainte du gendarme de la Bourse américaine, la Securities and Exchange Commission (SEC), le gestionnaire de "hedge funds" Paulson & Co (fonds spéculatifs) dirigé par le milliardaire John Paulson, a collaboré avec Goldman Sachs pour créer un CDO ("collateralized debt obligations"), dénommé Abacus tout en misant sur la baisse de la valeur de cet instrument. Cette opération aurait coûté plus d'un milliard de dollars (741 millions d'euros) aux investisseurs.

L'autorité des marchés financiers américains ajoute que Fabrice Tourre, vice-président de Goldman Sachs, est le principal responsable de la création d'Abacus. Elle l'accuse personnellement de fraude.

Paulson n'est en revanche pas accusé. "Goldman a fait des présentations aux investisseurs, pas Paulson", a déclaré lors d'une conférence téléphonique Robert Khuzami, responsable de l'application des règles de la SEC. La SEC a bénéficié de la coopération d'un ex-gérant de Paulson & Co, Paolo Pellegrini, a-t-on appris auprès d'une source proche du dossier.

Goldman Sachs, désireuse de défendre sa réputation, a en revanche fait savoir qu'elle contesterait avec vigueur les accusations de la SEC, qu'elle juge totalement infondées.

Cette plainte, déposée devant le tribunal fédéral de Manhattan, marque un développement spectaculaire des efforts des autorités de régulation visant à déterminer les responsabilités des personnes et des entreprises ayant joué un rôle dans la crise financière. Elle survient également au moment où les législateurs américains débattent de la réforme de la régulation financière au Congrès.

"La fraude est une accusation énorme"

"La fraude est une accusation énorme. Cela pourrait véritablement paralyser Goldman", a déclaré Rob Stein, chez Astor Asset Management à Chicago. "Cela prouve que les financières ne sont pas le compartiment où il faut être pour la prochaine étape de la reprise."

La nouvelle concernant Goldman Sachs est venue s'ajouter à la déception suscitée par les résultats trimestriels, pourtant supérieurs aux attentes, de Google ainsi qu'à la baisse inattendue du moral des ménages.

Google a perdu 7,6% à 550,145 dollars. Le moteur de recherche sur internet a annoncé jeudi une hausse de 23%, supérieure aux attentes, de son chiffre d'affaires au premier trimestre, certains investisseurs habitués à des performances bien meilleures encore, apparaissant déçus.

Autre grande valeur, General Electric a abandonné 2,7% à 18,97 dollars. Le conglomérat a pourtant publié un bénéfice supérieur aux attentes pour le premier trimestre et a jugé possible de revoir à la hausse sa prévision d'un résultat annuel inchangé en 2010.

Autre sujet incitant aux prises de bénéfices, le moral des ménages américains a subi en avril une dégradation inattendue pouvant s'expliquer par les perspectives toujours sombres en matière de revenus et d'emploi.

Dans ce contexte, les investisseurs n'ont pas réagi aux hausses des mises en chantier et des permis de construire le mois dernier qui ont respectivement atteint leur plus haut niveau depuis novembre et octobre 2008.

http://tempsreel.nouvelobs.com//actualite/economie/201004...

15/04/2010

JPMorgan annonce un bénéfice en hausse, meilleur que prévu AFP Au premier trimestre 2010, le bénéfice net de l’établissement américain ressort à 3,3 milliards de dollars, en hausse de 55% sur une année; les attentes ont été dépassées

Pendant que les citoyens croulent sous les dettes les banques s'enrichissent !

Au premier trimestre 2010, le bénéfice net de l’établissement américain ressort à 3,3 milliards de dollars, en hausse de 55% sur une année; les attentes ont été dépassées

La banque américaine JPMorgan Chase a publié mercredi des résultats meilleurs que prévu, tirés par la banque d’investissement, avec un bénéfice net en forte hausse au premier trimestre.


Le temps


14/04/2010

Météo Chemtrails, un présentateur balance.

Enfin un journaliste météo courageux ! A quand le tour des journalistes français ?

 

Météo Chemtrails, un présentateur balance.

http://www.dailymotion.com/video/xcxlhc_meteo-chemtrails-...

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Etats-Unis : Aujourd'hui la crise touche aussi les plus fortunés et leurs pharaoniques demeures.

Courrier International - 09/04/10 - Craig Karmin, James R. Hagerty | The Wall Street Journal

De nombreux Américains modestes ont perdu leurs logements en raison de la crise. Aujourd'hui, celle-ci touche aussi les plus fortunés et leurs sompteuses demeures.

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L'acteur américain Nicolas Cage

Célébrités et nantis ont désormais un point commun avec des centaines de milliers d’Américains des classes moyennes et inférieures : la banque s’apprête à saisir leur domicile. Le nombre de saisies de maisons sur lesquelles pèsent des hypothèques de 5 millions de dollars ou plus devrait être en nette augmentation cette année, selon une étude RealtyTrac pour The Wall Street Journal.

La première semaine du mois d’avril, un manoir de style Tudor du quartier de Bel Air, à Los Angeles, appartenant à l’acteur Nicolas Cage, a été mis aux enchères après saisie et finalement attribué à l’organisme prêteur. Mercredi 7 avril, Richard Fuscone, un ancien dirigeant de Wall Street, s’est déclaré en faillite personnelle, ce qui lui a permis d’éviter la vente aux enchères de sa propriété de 6 hectares à Westchester, dans l’Etat de New York. Le mois dernier, un immeuble d’habitation de Manhattan appartenant au producteur de cinéma italien Vittorio Cecchi Gori a été vendu aux enchères 33,2 millions de dollars. Durant le seul mois de février, pour l’ensemble des Etats-Unis, 352 logements de luxe devaient être mis aux enchères, dernière étape avant le rachat par la banque. C’est le plus fort taux mensuel d’avis de ventes aux enchères pour des biens de ce type depuis le début de la crise financière. Pour comparaison, il n’y en avait eu que 1 312 sur toute l’année 2009.

Selon les économistes, si les superriches sont généralement les derniers à perdre leur logement, c’est parce qu’ils possèdent beaucoup d’épargne et ont un meilleur accès aux prêts et à d’autres moyens leur permettant d’éloigner le spectre de la saisie. Cependant, ils sont aussi nombreux à travailler dans les services financiers et d’autres secteurs particulièrement touchés par la crise et à avoir vu leur fortune s’effondrer lors du krach boursier. Richard Fuscone, ancien directeur du secteur Amérique latine chez Merrill Lynch, avait mis sa demeure en vente en novembre dernier à 13,9 millions de dollars.

Mais elle n’a pas trouvé acquéreur. Un tribunal avait donc prévu de mettre aux enchères de cette propriété de 1 716 m2 possédant deux piscines, deux ascenseurs, six cheminées, 11 salles de bains et un garage pour sept véhicules. La mise en faillite personnelle de Fuscone est venue suspendre temporairement la procédure de saisie. Nicolas Cage avait lui aussi mis en vente sa maison de 1 100 m2 à Bel Air pour 35 millions de dollars, sans recevoir la moindre offre, raconte James Chalke, un agent immobilier. Lors d’une vente aux enchères organisée le 7 avril, la propriété n’a pas davantage trouvé preneur et a donc été acquise par le créancier ayant demandé la saisie. Ce phénomène ne se limite pas à New York ou à Los Angeles. Les banques ont remis la main sur des propriétés de plus de 5 millions de dollars en Géorgie, en Caroline du Nord et dans le Colorado. En Floride, les trois plus grandes saisies immobilières des dix derniers mois ont concerné une maison de 432 m2 à Sunset Islands, une autre de 784 m2 à Coral Gables et un appartement sur Miami Beach. Les emprunts contractés étaient compris entre 3,5 millions et 4 millions de dollars.

Les cessations de paiement ont commencé à se multiplier fin 2006, surtout chez les propriétaires devant rembourser des prêts à haut risque, ces prêts accordés aux acheteurs sans réelle assise financière, voire déjà endettés. Puis les difficultés de remboursement ont gagné les classes plus aisées, notamment les personnes qui avaient obtenu des prêts sans déclaration de revenu préalable. Fin 2009, près de 8 millions de foyers, soit 15 % de ceux ayant contracté un prêt immobilier, avaient du mal à rembourser leur prêt ou étaient sous le coup d’une procédure de saisie immobilière. Les gens les plus fortunés peuvent se permettre de retarder le plus possible la procédure, parfois pendant des années.

“Il leur est extrêmement difficile d’admettre leurs revers de fortune”, explique Maggie Navarro, agent immobilier à Pasadena, en Californie. Marc Carpenter, spécialiste des saisies immobilières à San Diego, souligne que s’il est beaucoup plus difficile aujourd’hui pour les acheteurs potentiels d’emprunter de l’argent, il y a encore moins d’acheteurs capables de s’offrir des propriétés aussi luxueuses.

Dans sa déclaration de faillite, M. Fuscone a fourni une liste des dettes contractées notamment auprès d’American Express, de Mercedes-Benz, d’une quincaillerie, d’une animalerie et d’une boutique de vêtements de luxe. “Je viens du monde de la finance et j’ai été personnellement ruiné par la crise financière qui a éclaté en mars 2008”, a écrit M. Fuscone dans sa déclaration de faillite. “J’ai été poursuivi en justice par la Patriot National Bank dans le cadre d’une procédure de saisie. Je n’ai actuellement aucun revenu pour les trente jours à venir.”

C.W. Kelsey, propriétaire de la quincaillerie Greenwich Hardware, fait partie des commerçants qui ont fait crédit à M. Fuscone. “Jusqu’à présent, la majorité de nos problèmes d’argent venaient de nos prestataires, observe-t-il. A présent, nous avons maille à partir avec des clients à qui on faisait crédit les yeux fermés il y a encore deux ou trois ans, des gens qui vivent dans des propriétés qui valent des millions.”


http://inventerre.canalblog.com/archives/2010/04/14/17567715.html

15:43 Publié dans Crise Financière & Mondiale, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

09/04/2010

USA : Données radar et Ovnis : La FAA fait marche arrière

Il faut à tout prix que nous demeurions ignorants !

avril 9th, 2010 Posted in Avril 2010

loga FAA

 

Un article de Billy Cox expose le récent revirement de la FAA (Federal Aviation Administration), contraire à la Directive présidentielle sur la transparence.

"Robert Powell, le co-auteur méconnu du rapport du MUFON sur Stephenville, a subi sa dernière déconvenue la semaine dernière concernant ses requêtes FOIA. La FAA lui a fait savoir qu'elle ne donnerait aucune suite à ses demandes de données radar, s'agissant de plusieurs incidents d'Ovnis en 2009.

Rien d'étonnant à cela, les données ne sont-elles pas protégées en toutes circonstances ? A cela près que les refus vont exactement dans le sens opposé des directives prescrites par l'Executive Order du Président Obama en Janvier 2009, imposant aux agences fédérales de jouer le jeu de la transparence.



Selon le récent bilan des requêtes FOIA effectué par le Département des Transports, la FAA avait l'année dernière rejeté 105 des 6.294 demandes au motif d'exemptions légales, au lieu de 73 sur 7.202 en 2008.

C'est d'autant plus contradictoire, selon Powell, que la FAA n'a même pas pris la peine de justifier ses décisions au cas par cas : "Ils se sont contentés de dire que l'information ne pouvait être diffusée parce que ça pourrait compromettre la sécurité nationale".

Stephenville Radar Report

En outre, la décision de la FAA est totalement contradictoire avec sa réponse à la sollicitation du MUFON, en 2008, qui voulait obtenir les données concernant Stephenville.

A l'époque, la FAA avait fourni aux chercheurs 2,5 millions de données radarqui ne révélaient pas seulement la trajectoire de l'Ovni en direction du ranch du Président Bush à Crawford.

Elles détaillaient également les itinéraires des avions de combat qui suivaient l'objet, alors qu'il approchait d'une zone interdite de survol sans transpondeur actif.



Deux des nouvelles requêtes FOIA de Powell concernaient des observations de pilotes à Houston et Memphis. La troisième, et peut-être la plus intéressante, impliquait une bande d'adolescents et un policier dans une banlieue à l'ouest de Kansas City, le 21 août 2009. Au moment de l'incident, les ados et le flic étaient à 8 kms de distance mais ils avaient photographié le même objet sur leurs portables.

Les témoins avaient noté qu'il produisait un bourdonnement. Ils avaient écarté les bras d'un mètre vingt pour représenter l'envergure de l'Ovni, ce qui laissait supposer qu'il était énorme, ou proche, ou les deux. Ca voulait dire également que s'il était descendu en-dessous de 300 mètres, l'objet n'avait probablement pu échapper au radar. En supposant qu'il n'avait pas utilisé de contre-mesures pour se rendre invisible. Powell écarte la possibilité qu'il pu s'agir d'un prototype secret, en raison de sa trajectoire à basse altitude au-dessus d'une zone fortement peuplée.

De toutes manières, le directeur des recherches du MUFON a fait savoir qu'il ne pouvait pas se permettre de verser les 30 à 40.000 dollars d'honoraires qui seraient nécessaires pour assigner l'administration devant les tribunaux. Il envisage cependant de sortir son chéquier pour payer les 500 ou 1.000 dollars d'inscription, et de poursuivre sans avocat.

Robert Powell conclut : "Ce n'est pas seulement à propos des Ovnis. Ca me parait indécent que le gouvernement se comporte de manière aussi désinvolte." - Source

Source : Ovnis USA

Robert Powell