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16/11/2010

NASA : Le soi-disant scoop révélé à la presse hier !

Encore une nouvelle manipulation de la Nasa pour faire dériver notre esprit vers la Voie lactée ou vers de soi-disant nouvelles découvertes astronomiques pour détourner notre attention de Nibiru et de son cortège d'astéroïdes qui sont encore plus proches de notre environnement cosmique que les découvertes que l'on nous propose de découvrir actuellement ! 

Un scoop qui n'en est pas un, puisqu'il s'agit de nous révéler la soi-disant découverte d'un jeune trou noir qui se serait formé dans notre voisinage cosmique, il y a 30 ans !

Le gag ! Ce trou noir a été découvert en 1979 par un astronome amateur. Voir l'article original sur le site de la NASA :

On se demande à quoi servent les instruments aussi sophistiqués de la NASA !
Nous n'accordons plus aucun crédit à la NASA !

Et  ils ont mis 31 ans avant de nous en parler ! Vous voyez où, la fraîcheur de cette découverte?

Ce qui prouve que ce trou noir n'est pas dangereux puisque ça fait au moins 31 ans qu'il existe, s
i l'on doit en croire, en prime, leur système de datation, dont on se demande sur quelles bases et données, ce système de datation de l'univers, pourrait reposer ?

L'Univers étant Eternel, en perpétuel mouvement et en perpétuelle mutation, de surcroît !

Aussi, permettez-vous de rigoler, quand le CERN annonce vouloir recréer les soi-disant conditions du Big Bang, lors de la création de l'Univers !

Nous ne sommes pas d'accord du reste avec cette théorie du Big Bang, car elle ne se limiterait pour nous qu'à la naissance de notre Galaxie et non pas de l'Univers.

Ils ont pris l'habitude de nous parler de la Terre et de notre système solaire, comme étant l'Univers. Or, l'Univers est constitué de milliards de Galaxies et bien sûr la nôtre serait née du néant ou serait un accident cosmique !

Idem pour l'église catholique qui prétend être une religion non pas terrestre mais Universelle, rien que ça ! "Catholique" venant du grec "katholikos", qui veut dire universel.

Vous voyez la Pape aller officier sur d'autres planètes ou galaxies, et prêcher dans le vide, puisqu'ils nous assurent tous que la vie extraterrestre n'existe pas !

Pourquoi faire l'église Universelle, dans ces conditions d'inexistence de vie ailleurs que sur notre planète ?

Et toujours rien, bien sûr, sur Nibiru et son cortège d'astéroïdes, pourtant découverte par l'astronome RS HARRINGTON, de l'US Naval Observatory, Washington DC 20392.

Sa découverte a été confirmée en  1988 dans The Astronomical Journal, Volume 96, Number 4. d'octobre 1988.

Les références par ce lien :
Nibiru ou la planète X, n'existe pas ?
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/11/13/nibiru...

La localisation de Nibiru en 1988 par l'astronome RS HARRINGTON, de l'US Naval Observatory - Washington DC 20392.
Parution dans " 
The Astronomical Journal, Volume 96, Number 4. d'octobre 1988."
http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/00/842499384.pdf

Voici, le grand scoop dévoilé hier à la presse par la NASA !

Chandra X l'Observatoire de la NASA
Découverte d’un trou noir en train de naître

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La galaxie M 100 abrite la supernova SN 1979C, où réside un trou noir âgé de seulement 30 ans. Crédit : NASA/CXC/SAO/ESO/VLT/JPL-Caltech

Des chercheurs ont découvert un trou noir âgé de seulement 30 ans. Une occasion unique d'observer un monstre cosmique en train de se former.

Ce trou noir est le produit de la supernova SN1979C, dont l'explosion a été observée en 1979 dans la galaxie proche M100, à 50 millions d'années-lumière de la Terre.

Un trou noir trahi par les rayons X

Il a été mis en évidence grâce aux télescopes spatiaux Chandra, Swift, XMM-Newton et Rosat. Ces satellites ont repéré une émission constante de rayons X en provenance de SN1979C entre 1995 et 2007.

D'ordinaire, les nouveaux trous noirs sont trahis par un flash de rayons gamma (dit "sursaut gamma"). Un tel événement n'a pas été enregistré pour SN1979C. Pourtant, dès 2005, certains astronomes ont suggéré qu'un trou noir s'y cachait, mais que la lumière de ses jets ne parvenait pas à franchir les nuages d'hydrogène alentour, et donc à produire un sursaut gamma.

Trou noir ou étoile à neutrons ?

Les observations en X semblent confirmer cette théorie. Toutefois, elles pourraient également s'accorder avec une autre explication : une jeune étoile à neutrons (ou pulsar) émettant un puissant vent de particules à haute énergie réside au cœur de SN 1979C. Il s'agirait alors de la plus jeune étoile à neutrons connue, devant le pulsar du Crabe, âgé de 950 ans.

Ci-dessous, voir l'animation d'un trou noir en train de naître après une supernova:


Animation of Supernova Producing a Black Hole


Les résultats apparaîtront dans la revue nouvelle astronomie dans un document préparé par Patnaude, Loeb et Christine Jones du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Centre de vol spatial de la NASA Marshall à Huntsville, en Alabama. qui gère le programme de Chandra de l'Agence Science Mission à Washington. L'Observatoire fédéral de radioastrophysique Smithsonian contrôle les opérations de science et de vol de Chandra de Cambridge.

Pour plus d'informations sur Chandra, y compris les images et autre multimédia, visitez :

http://Chandra.Harvard.edu

 
Trent Perrotto. 202-358-0321
Siège social, Washington
Trent.j.perrotto@NASA.gov

Janet Anderson, 256-544-6162
La NASA Marshall Space Flight Center, en Alabama.
Janet.L.Anderson@NASA.gov

Megan Watzke 617-496-7998
Chandra X Center, Cambridge, Mass.
m.Watzke@CFA.Harvard.edu

 

NASA : Un trou noir âgé d'une trentaine d'années. Un scoop qui date de 31 ans !

Ils se moquent de qui ? Et  31 ans pour accoucher de cette découverte ?


Un trou noir âgé d'une trentaine d'années
 
Créé le 16.11.10 à 12h49 -- Mis à jour le 16.11.10 à 12h49
Cliché du trou noir âgé d'une trentaine d'années diffusé par la Nasa le 15 novembre 2010.

Cliché du trou noir âgé d'une trentaine d'années diffusé par la Nasa le 15 novembre 2010. AFP PHOTO - NASA

ESPACE : Cette découverte est une occasion unique d'assister au développement précoce de ce type d'objet...

Un bébé trou noir. C'est ce qu'ont découvert les instruments de l'observatoire spatial Chandra, a annoncé la Nasa lundi. Ce trou noir, situé dans la galaxie M100, c'est-à-dire à 50 millions d'années-lumière de la Terre, ne serait pas âgé de plus d'une trentaine d'années.

Selon les scientifiques, qui publient les résultats de ce cette découverte dans dans the New Astronomy journal, il s'agit d'une occasion unique d'assister au développement précoce de ce type d'objet. L'étude du nouveau trou noir permettra peut-être également, de mieux comprendre la fin et l'explosion des étoiles massives, un phénomène appelé supernova qui peut mener à la création de trous noirs ou d'étoiles à neutrons.

C. F.
 

14/11/2010

Des perles de gaz dans une nébuleuse planétaire

Le 12 novembre 2010 à 08h12

Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences

C'est dans la constellation de la Flèche que se trouve l'étonnante nébuleuse du Collier © Romano Corradi/IAC/IPHAS
C'est dans la constellation de la Flèche que se trouve l'étonnante nébuleuse du Collier © Romano Corradi/IAC/IPHAS

Curiosité céleste découverte récemment, la nébuleuse du Collier offre un nouvel exemple de l'extrême diversité des nébuleuses planétaires.

Leur nom est trompeur : les nébuleuses planétaires n'ont rien de commun avec les planètes. Leur nom remonte au XVIIIe siècle, quand on découvrit leur aspect lumineux et vaguement circulaire dans des télescopes de piètre qualité. On sait maintenant qu'elles sont les restes d'étoiles agonisantes. Quand des étoiles de masse assez semblable à celle du Soleil ont brûlé leur hydrogène et leur hélium, leur cœur devient une naine blanche et les couches externes sont expulsées sous forme d'une bulle gazeuse qui se dilate dans l'espace. C'est cette bulle illuminée par le rayonnement de la naine blanche que nous observons.

Plus on étudie les nébuleuses planétaires et plus on est frappé par leur diversité. Dumbbell, vingt-septième objet du catalogue Messier, est souvent comparée à un trognon de pomme entouré de filaments. Pour M 97, c'est une tête de hibou qui attend l'observateur : deux jets de gaz ont creusé de sombres cavités dans la coquille de la nébuleuse. Chez NGC 2818 le télescope Hubble a révélé des extensions qui évoquent les pinces d'un lucane cerf-volant. Quant à Iras 23166+1655, elle n'a rien trouvé d'autre pour se distinguer que de ressembler à une spirale. On croyait avoir tout vu chez ces nébuleuses. Erreur...

Un collier de perles célestes

Le projet Iphas est dédié à l'étude du plan de notre galaxie en H alpha, une raie caractéristique de l'hydrogène ionisé, qui est centrée sur 656,3 nanomètres. C'est le télescope anglais Isaac Newton (INT) qui est chargé de la collecte des images depuis l'île de la Palma, aux Canaries, sur un site qui abrite également l'observatoire du Gran Tecan. C'est en sondant la constellation de la Flèche que ce télescope a découvert une étonnante nébuleuse planétaire distante de 15.000 années-lumière. Numérotée IPHASXJ194359.5+170901, elle porte le nom évocateur de nébuleuse du Collier. Dans son brillant anneau de gaz qui mesure la moitié d'une année-lumière, on observe en effet des bulles de gaz lumineuses qui évoquent des perles.

L'explosion stellaire à l'origine de cette parure céleste remonte à 5.000 ans. Dans l'image ci-dessous en fausses couleurs, le résultat se traduit par un anneau de gaz bleu (hydrogène ionisé) et vert (oxygène), ainsi que par deux jets gazeux symétriques dont on observe l'extrémité rouge (azote) à égale distance de la nébuleuse (à 11 heures et 5 heures si on imagine que la nébuleuse est le centre d'une grande horloge). Outre ses perles claires, sortes de grumeaux de gaz qui ne se mélangent pas avec le reste de la coquille gazeuse, la nébuleuse du Collier offre une autre particularité : l'objet central qui en est le géniteur est en fait une étoile binaire dont les astronomes ont calculé que les deux membres tournent autour d'un centre de gravité commun en 1,16 jour.

FUTURA SCIENCES

 

13/11/2010

Agitation dans la bande équatoriale sud de Jupiter

Décidemment ça bouge beaucoup dans notre système solaire !

 

Le 12 novembre 2010 à 17h37

Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences 

Quelques mois après sa disparition, la bande équatoriale sud de Jupiter, la plus grosse planète du Système solaire, montre des signes annonciateurs de sa prochaine réapparition.

Si vous admirez Jupiter dans un télescope d'amateur, vous observez en temps normal deux bandes ocre qui ceinturent la planète parallèlement à l'équateur. Ces bandes équatoriales nord (NEB) et sud (SEB) sont des formations nuageuses assez stables dont la couleur serait produite par des composés complexes de phosphore et de soufre. Mais cette vision a changé il y a quelques mois. Comme nous l'annoncions en mai dernier, Jupiter, la gigantesque planète gazeuse dont la circulation nuageuse intrigue les scientifiques depuis 4 siècles, a perdu sa bande équatoriale sud.

Pour être précis, il semblerait que cette bande soit devenue invisible en raison de la formation de nuages blancs de glace d'ammoniac qui recouvrent la SEB. Ce phénomène n'est pas exceptionnel et a déjà été observé dans le passé selon un cycle très irrégulier qui peut varier de 3 à 15 ans. Si les planétologues ont du mal à l'expliquer, ils ont remarqué que cette disparition correspond généralement à un renforcement de la coloration de la Grande Tache Rouge. Cette immense formation cyclonique observée depuis le XVIIe siècle serait peut-être de temps en temps à l'origine d'une interruption de la circulation habituelle des vents d'est en ouest, favorisant la condensation de l'ammoniac gazeux en cirrus au-dessus de la SEB.

Du changement à venir ?

Lors des précédents épisodes de disparition de la SEB, des signes annonciateurs ont précédé son retour. La zone commence par connaître une agitation atmosphérique importante sous forme de tourbillons qui se rejoignent et finissent par former une grande tempête. Cette dernière nettoie en quelques jours la SEB en faisant le tour de la planète, poussée par les vents qui ont retrouvé leur régime habituel d'est en ouest. L'astronome Christopher Go vient de signaler sur son site l'apparition d'un panache blanc et brillant sur la SEB, sans doute l'un de ces tourbillons à l'origine de la tempête qui va raviver les couleurs de cette bande. Cet amateur philippin n'en est pas à son coup d'essai : passionné par l'observation planétaire, c'est déjà lui qui avait repéré un nouvel impact sur Jupiter au début du mois de juin.

D'autres observateurs ont confirmé la brillance de cette zone dans toutes les longueurs d'onde qui vont de l'infrarouge à l'ultraviolet. Pour John Rogers, président de la section Jupiter de la BAA, il faut s'attendre à d'impressionnantes perturbations dans la SEB au cours des 3 prochains mois. Les astronomes du monde entier ont déjà pointé leurs télescopes en direction de la géante gazeuse, en espérant pouvoir suivre en direct la réapparition de la bande équatoriale sud.

Premier signe de la prochaine réapparition de la bande équatoriale sud de Jupiter, un spot brillant est apparu sur la SEB le 9 novembre. © Christopher Go
Premier signe de la prochaine réapparition de la bande équatoriale sud de Jupiter, un spot brillant est apparu sur la SEB le 9 novembre. © Christopher Go

FUTURA SCIENCES

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La presse officielle commence à en parler ! Il était temps !

Quant
a
ux   astrophysiciens ,  ils vont commencer à comprendre que contre les merveilles de l'Univers ils ne peuvent rien comprendre. Il va falloir que dans quelques temps, ils revoient leurs copies !

Quant à l'humanité, il serait temps qu'elle se réveille. Au lieu de regarder le sol, elle ferait mieux de regarder ce qui se passe dans le Cosmos en ce moment, car ce n'est pas fini, cela ne fait que commencer les découvertes !

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

AFP - La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

Cette structure s'étend sur 50.000 années-lumières (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km) et daterait de plusieurs millions d'années.

"Ce que nous voyons, ce sont deux bulles émettant des rayons gamma s'étendant sur 25.000 années-lumière respectivement au sud et au nord du centre de la Voie Lactée et nous ne comprenons pas totalement leur nature ou leur origine", explique Doug Finkbeiner, un astronome du centre d'astrophysique de l'Université Harvard à Cambridge (Massachusetts).

Il a été le premier à détecter cette structure, qui s'étend sur plus de la moitié du ciel visible, de la constellation de la Vierge à celle de la Grue.

Outre Doug Finkbeiner, Meng Su et Tracy Slatyer de l'Université Harvard ont également contribué à cette découverte réalisée en analysant des données accessibles au public provenant du télescope Fermi à champ large (LAT) lancé en juin 2008 par la Nasa, l'agence spatiale américaine.

Ce télescope spatial, fruit d'une collaboration internationale, est le plus sensible aux émissions de rayons gamma grâce à un détecteur à très haute définition et balaie le ciel entièrement toutes les trois heures.

Les rayons gamma sont les rayonnements lumineux ou électromagnétiques dotés de la plus haute énergie.

D'autres astrophysiciens qui étudient ces rayonnements n'avaient pas détecté ces bulles, en partie à cause de l'abondance de ces émissions qui se produisent partout dans le ciel et créent une sorte de brume interstellaire.

Ce phénomène se produit quand les particules, se déplaçant à une vitesse proche de celle de la lumière, inter-agissent avec la lumière et les gaz interstellaires dans la Voie Lactée.

L'équipe de chercheurs auteurs de la découverte a fini par détecter les deux bulles en affinant constamment leurs modèles, un processus qui a permis d'éliminer les autres émissions diffuses de rayonnements gamma.

Les astrophysiciens continuent à analyser ce phénomène pour tenter de mieux comprendre comment cette structure jamais vue auparavant s'est formée.

Les bulles émettent des rayonnements gamma beaucoup plus puissants que ceux détectés ailleurs dans la Voie Lactée, précisent les chercheurs.

Ils notent aussi que ces deux bulles ont des bords bien définis.

Parmi les hypothèses avancées, les astrophysiciens citent des jets de particules provenant du trou noir très massif au coeur de la galaxie.

Dans un grand nombre d'autres galaxies, de tels jets sont formés par de la matière tombant vers le centre du trou noir, objet massif dont le champ gravitationnel est si intense que rien, même pas la lumière, ne peut s'en échapper.

Bien que rien n'indique que le trou noir au centre de la Voie Lactée soit la source de tels jets de particules, ils auraient pu exister il y a plusieurs millions d'années.

Ces bulles pourraient aussi s'être formées avec des gaz provenant d'explosions ayant résulté de la naissance d'étoiles, ou de groupes stellaires au centre de notre galaxie, avance l'astrophysicien David Spergel de l'Université Princeton (New Jersey, est).

"Dans d'autres galaxies, nous observons que la formation d'étoiles peut créer d'énormes flux de gaz", note-t-il.

Mais "quelle que soit la source d'énergie derrière ces gigantesque bulles, ce phénomène est lié à un grand nombre de questions fondamentales en astrophysique", selon lui.

http://www.france24.com/fr/20101110-deux-bulles-geantes-c...