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24/10/2014

Merkel veut que les contribuable de l'UE subventionnent l'Ukraine !

Et le tour est joué, dès que les US/Nazis décident de s'accaparer un pays pour en faire un état Nazi en Europe ou ailleurs, ce sont les contribuables de l'UE qui doivent payer ! Ainsi nous avons la preuve que Merkel est aussi un agent des US/US/Nazisionistes !

Reprenons quelques indices pour comprendre qui a toujours déstabilisé l'ex URSS ou la Russie et qui veut s'accaparer les pays, un à un, ainsi que la Russie, et qui doit payer pour les guerres d'invasions et de colonisation des pays qui sont en ligne de mire des BANKSTERS/NAZIS.

Qui a joué un rôle dans la révolution bolchévique ?

 

Qui a financé les fondations pro-européennes pour s'accaparer les anciennes républiques soviétiques ?

Qui doit financer les états Nazis instaurés par la force par les US/UE/Nazis ? Les peuples européens !

Et maintenant passons à table et sortons le portefeuille pour permettre aux Nazis, d'instaurer des états nazis en Europe !

 MERKEL VEUT QUE LES CONTRIBUABLES DE L'UE SUBVENTIONNENT L'UKRAINE  22/10/2014

Le régime putschiste judeo néo nazi de Kiev a refusé jusqu'à présent de payer plus de 5 milliards de dette de gaz à la Russie et compte sur l'UE pour éponger cette dette. Récemment le German Economic News titrait reprenant les paroles de Merkel :

" Merkel: les contribuables de l'UE devraient financer la dette de l'Ukraine."

L'actuel dirigeant de Kiev le milliardaire juif israélo ukrainien Petro Porochenko demande que l'UE paie la dette de l'Ukraine qui doit des milliards à Gazprom, le fournisseur russe de Gaz à ce pays et à certains pays de l'UE. De plus Kiev a réussi à obtenir de la Slovaquie qu'elle lui renvoie une partie du Gaz russe pour sa propre consommation en chauffage. 15% du Gaz importé dans l'UE vient de Russie via l'Ukraine.

Tout cela alors même que Porochenko a annoncé vouloir augmenter les dépenses militaires de l'Ukraine dans le cadre de son opposition à Moscou.

L'UE vient d'attribuer sous forme de bourses 17 millions d'Euros à Kiev pour la reconstruction dans des zones sous contrôle de la Junte dans les régions de Donesk et Luhansk dans l'Est de l'Ukraine. Autrement dit les contribuables de l'UE doivent financer les dégats causés par la junte judeo néo nazie de Kiev dans sa guerre contre le peuple ukrainien dans l'Est.

Cette junte judéo néo nazie réclame 1.6 milliards d'Euros pour reconstruire ce qu'elle a détruit. A Kiev comme à Tel Aviv (et ce n'est pas un hasard si Porochenko est juif israélo ukrainien) on mène contre des populations et des infrastructures civiles des opérations militaires dont certaines sont de réels crimes de guerre ( charniers dans l'Est, civils bombardés au phosphore blanc, trafic d'organes et torture...) et on exige de l'UE ensuite de payer les terribles dommages causés.

La Russie n'a pas l'intention de se soumettre aux pressions économiques exercées par les US et l'UE. Cette dernière vient de décider de maintenir ses sanctions contre Moscou qui a répliqué en élargissant les siennes d'ordre alimentaire aux farines animales et aux abats. Ce sont les producteurs des pays membres de l'UE qui trinquent car la Russie n'a eu aucun problème à remplacer ses importations de viande lait fruits et légumes venant de l'UE.

Le président russe Vladimir Poutine a dit que l'approvisionnement de l'UE sera réduit si le gouvernement de Kiev siphonne une partie du gaz destiné à des pays membres de l'UE. Les contribuables de l'UE risquent donc de payer de leur poche les magouilles des actuels dirigeants des pays de l'UE pour aliéner l'Ukraine à la Russie et l'incorporer dans un plan d'extension de l'influence US UE OTAN dans l'Est de l'Europe.

Pour les US les sanctions prises à l'encontre de la Russie en lien avec la crise ukrainienne provoquée par la dictature ultra libérale USSIONISTE UE OTAN n'ont aucun effet sur l'économie américaine.

Ce sont donc les contribuables des pays de l'UE qui paient par une politique d'austérité et de restrictions commerciales sans précédent, l'installation de ce régime judéo néo nazi à Kiev dominé par la mafia juive d'Europe de l'Est.
 

 

Ukraine/USA/Europe : "Fuck l'UE !" : quand une diplomate américaine insulte l'Europe... et assume

Petit rappel des insultes faites par Catherine Ashton. à l'encontre des Peuples Européens dès le début du coup d'état fomenté à KIEV, début février 2014, par les Nazis US/UE/Sionistes.

Remarquez 3 choses pour bien comprendre le vice de leurs manoeuvres pour s'accaparer les pays de l'Europe, un par un. Il faut comprendre que ce sont les peuples européens qui doivent payer pour favoriser l'établissement d'états nazis, sans compter que les pays européens sont déjà colonisés par les nazis US/UE/Sionistes.

1 - citation de Catherine Ashton après qu'elle ait reconnu que les US/Nazis finançaient depuis 1991,  des groupes politiques pro-européens en Ukraine par l'intermédiaire d'ONG comme la Fondation Carnegie. à hauteur de plus de 5 milliards de dollars pour s'excuser des insultes proférées à l'encontre des peuples européens. 

"L'UE (les peuples européens) est engagée à aider le peuple ukrainien durant l'actuelle crise politique", a-t-elle ajouté en refusant tout autre commentaire.

2 - que ses insultes intervenaient entre les 6 et 7 février 2014, soit en tout début des manigances orchestrées de longue date, et de l'explosion des crimes qui ont été commis à Kiev contre des innocents, ce,  juste pendant que les jeux olympiques se déroulaient à Sotchi en Russie entre les 7 et 23 février 2014.

3- nous nous rappelons que ce sont :  la France, l'Allemagne et la Pologne qui ont participé au coup d'état fomenté contre l'ancien président de KIEV. Comme nous devons payer pour financer et favoriser l'émergence d'états nazis en Europe, le Plug-Anal considéré comme étant de l'art par Hollande qui a soutenu le dégénéré, considéré comme étant un artiste, américain, de surcroît, prend dès lors tout son sens à l'encontre du Peuple français ! Dieudonné aurait fait une quenelle au système ! Hollande va plus loin en adressant un signe très symbolique et très parlant au Peuple Français !

En effet, comme vous le verrez dans de prochains articles, Merkel a décidé que c'étaient les peuples européens qui devaient payer les milliards de dettes de gaz due à Gazprom par KIEV ainsi que la reconstruction des zones sous contrôle de la Junte dans les régions de Donesk et Luhansk dans l'Est de l'Ukraine.

"Fuck l'UE !" : quand une diplomate américaine insulte l'Europe... et assume

le 07 février 2014 à 11h10 , mis à jour le 07 février 2014 à 13h09.

 

 

 
 
 "Que l'Union Européenne aille se faire foutre !" La phrase est de la secrétaire d'Etat adjointe américaine pour l'Europe, Victoria Nuland, lors d'une conversation téléphonique enregistrée semble-t-il à l'insu des protagonistes. "La qualité audio est très bonne", a-t-elle ironisé lors d'une conférence de presse à Kiev.

 

En public, les mots des diplomates sont toujours courtois et mesurés. Mais en privé, c'est autre chose... Victoria Nuland, la secrétaire d'Etat adjointe américaine pour l'Europe, a dû présenter jeudi ses excuses auprès de l'Union européenne après avoir tenu des propos acerbes envers l'UE sur la crise ukrainienne. Avant de commenter plus légèrement, lors d'une conférence de presse à Kiev, vendredi : "Je ne vais pas commenter une conversation diplomatique privée (mais) c'est un professionnalisme impressionnant. La qualité audio est très bonne". 

Dans une bande-son d'une conversation téléphonique mise en ligne sur YouTube avant d'être très largement relayée sur Twitter, on entend la plus haute diplomate du département d'Etat pour le continent européen lancer à son interlocuteur : "Que l'UE aille se faire foutre". Victoria Nuland, dont la voix est très clairement identifiable, s'entretient avec un homme qui est très certainement l'ambassadeur des Etats-Unis en Ukraine, Geoffrey Pyatt. Les deux diplomates parlent pendant quatre minutes de la manière de régler la situation politique dans ce pays.

L'UE ne veut pas commenter

La conversation, qui semble avoir été enregistrée à l'insu des protagonistes, n'est pas datée et il n'était pas possible de l'authentifier de manière certaine. La porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki n'a pas démenti la réalité de cet appel téléphonique, mais elle a refusé d'en dire plus sur une "conversation diplomatique privée". Elle a mis en cause les autorités russes pour avoir fait de la publicité autour de cette affaire, en relayant la bande-son sur Twitter. Elle a estimé que les méthodes de la Russie étaient "tombées bien bas". Moscou s'oppose à Washington et à Bruxelles dans la crise ukrainienne.

Embarrassée, l'Union européenne a refusé ce vendredi de commenter ces propos très peu diplomatiques à son encontre. "Nous ne commentons pas des fuites de conversations téléphoniques supposées", a indiqué la porte-parole de la chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton. "L'UE est engagée à aider le peuple ukrainien durant l'actuelle crise politique", a-t-elle ajouté en refusant tout autre commentaire.

 

22/10/2014

OTAN et économie : comment s'enrichir grâce à la « menace russe »

Sans commentaires, tout est dit dans l'article !

Aujourd'hui, 17:40

OTAN et économie : comment s'enrichir grâce à la « menace russe »

Par La Voix de la Russie | Les tentatives de l'OTAN pour mettre un signe d'égalité entre les actions de la Russie et le terrorisme international sont préjudiciables et dépassent les limites du raisonnable. Telle est la réaction du ministère russe des Affaires étrangères à de nouvelles invectives antirusses d'Alexander Vershbow.

Les déclarations du secrétaire général adjoint de l'OTAN ont suscité une réaction similaire dans les médias occidentaux dont un article a été intitulé Les fous de Washington.

L'intensification du conditionnement de l'opinion publique dont s'occupent ces derniers temps les fonctionnaires de Washington et de l'OTAN est dictée par des craintes tout à fait justifées, a noté le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de Russie Alexandre Loukachevitch :

« La contribution active de la Russie aux efforts internationaux visant à régler la crise en Ukraine et le fait de proposer un ordre du jour positif dans les relations internationales prises dans leur ensemble sont capables de torpiller le mythe sur la soi-disant « menace russe » à la sécurité des pays membres de l'OTAN. Car ce postulat est utilisé pour justifier la nécessité de la cohérence de l'alliance sur la base d'une discipline rigoureuse dans l'esprit de la guerre froide, ainsi que l'élargissement de l'infrastructure de l'OTAN à l'est et l'accroissement de la présence militaire du bloc près des frontières russes. Pourtant les risques pour la sécurité européenne que recèlent ces projets sont de nouveau passés sous silence ».

Telle est la réponse de Moscou à l'intervention d'Alexander Vershbow. Un de ces jours le secrétaire général adjoint de l'OTAN a comparé les actions des djihadistes du groupe Etat islamique et la politique de la Russie. Selon lui le révisionnisme « néo-soviétique de Vladimir Poutine et le terrorisme de l'EI possèdent des traits distinctifs. Mais ils partagent des méthodes semblables, l'intimidation et la violence, pour atteindre un objectif semblable : rejeter la démocratie, la tolérance et la primauté du droit en tant que standard d'or des relations internationales ». Ce passage a suscité un étonnement particulier des diplomates russes. Le ministère des Affaires étrangères de Russie a objecté qu'il était bien étrange d'entendre les dissertations sur la nécessité pour les autres Etats d'observer les « principes fondamentaux des relations internationales » de la part d'un représentant de l'organisation qui a plusieurs fois foulé aux pieds la Charte de l'ONU. Car c'est sous l'égide de l'OTAN que les opérations militaires ont été entamées en Irak, en Libye et en Afghanistan. En résultat ces pays ont été plongés dans le chaos et l'effusion de sang et « les menaces de terrorisme et le trafic de drogue non seulement n'ont pas diminué, mais au contraire se sont multipliés ».

Le chef du Pentagone Chuck Hagel fait écho à son compatriote. Il a appelé les militaires des Etats-Unis à avoir affaire à l'armée russe qui était « au seuil de l'OTAN ». Ajoutons que ces deux déclarations ont été faites après celle du partisan de la paix numéro un, Prix Nobel de la paix Barack Obama. Dans son discours devant l'Assemblée générale de l'ONU le président des Etats-Unis a qualifié la Russie de deuxième menace de par son importance derrière le virus Ebola. Le directeur de l'Institut international des Etats modernes Alekseï Martynov note à cet égard que la « menace russe » est devenue une tendance en vogue en Occident :

« Tous les médias occidentaux abondent en rhétorique antirusse, en fausses histoires sur les actions militaires de la Russie en Ukraine, sur les dangers pour l'Europe et l'OTAN émanant de l'ours russe déchaîné. Nous comprenons que tout est fait dans un seul but : augmenter le budget militaire de l'OTAN. Sur fond de la crise économique mondiale les structures otanaises connaissent également une certaine pénurie budgéraire et elles tentent de cette façon d'imposer aux parlements et aux gouvernements des pays membres des dépenses supplémentaires ».

Force est cependant de reconnaître qu'il existe des médias occidentaux qui n'évoluent pas dans le sillage antirusse et publient des estimations objectives. Ainsi Czech Free Press écrit : seul un instigateur belliqueux, un imposteur ou un fou (ou trois en un) peut affirmer que la Russie est une menace qui s'est rapprochée des frontières de l'OTAN pour la seule raison d'avoir sur son territoire une armée moderne et apte au combat capable de repousser l'invasion éventuelle de l'Amérique. Malheureusement les gens qui acceptent et partagent cette rhétorique sont dignes du même qualificatif. Selon l'auteur de l'article, tout indique que les Etats-Unis n'ont toujours pas abandonné leur plan fou de déclencher une guerre locale contre la Russie en Ukraine ou dans les pays baltes. Tout comme de baisser un nouveau rideau de fer entre l'Europe et la Russie pour s'emparer sans partage du marché européen et de se débarrasser de la concurrence russe. Pourtant vouloir n'est pas toujours pouvoir.
 
 

Arctique: la Russie déploiera ses troupes dès 2014

Pendant que l'on attire en permanence notre attention sur l'Ukraine, prenons conscience que toutes les tentatives pour isoler la Russie ont été prises par les Nazis US/UE, en la coupant de l'Europe par le biais de l'Ukraine occupée par les nazis, tout en essayant de faire main basse sur le gaz qui transite vers l'Europe par l'Ukraine, de la priver des entreprises qui la fournissait en armement,  en tentant de lui enlever ses bases militaires en Crimée et la priver de sa possibilité d'avoir accès à la Mer Noire pour la laisser enclavée, et depuis quelques temps il faut aussi que la Russie se défende en Arctique où elle a d'énormes intérêts, et région pour laquelle l'Otan a  l'intention de se mêler ! Surtout que l'Otan ne reconnaît pas l'annexion de la Crimée à la Russie et on se demande de quoi se mêle ce lobby à la botte des Illuminati et de l'ONU !

Tout est fait pour faire supporter à la Russie toutes sortes de balivernes comme ces derniers jours avec le fake sur un sous-marin russe qui se serait manifesté dans les eaux de Suède. Ce que la Suède a fini par démentir !

Une carte de la Russie pour voir comme ce pays est enclavé et entouré vers l'Ouest et l'Europe, avec des pays qui ont adhéré à l'Europe et à l'Otan, vers l'Ukraine et la Mer Noire, et au Nord vers les mers du Nord et l'Arctique.

En bas de l'article d'autres articles intéressants à lire.

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Arctique: la Russie déploiera ses troupes dès 2014

Dossier: La Russie explore l'Arctique

Arctique: la Russie déploiera ses troupes dès 2014

19:53 21/10/2014

MOSCOU, 21 octobre - RIA Novosti

La Russie déploiera ses troupes dans la zone arctique - du nord-ouest du pays à l'Extrême-Orient - dès 2014, a déclaré mardi à Moscou le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou lors d'une réunion du collège du ministère.

"Cette année, nous déploierons des unités militaires dans la zone arctique - de Mourmansk à la Tchoukotka", a indiqué le ministre.

Ces derniers temps, la Russie a pris plusieurs mesures pour défendre ses intérêts politiques, militaires, financiers et économiques en Arctique, compte tenu de l'intérêt grandissant porté à cette région par les pays de l'Otan. En avril dernier, le président russe Vladimir Poutine a ordonné de renforcer l'infrastructure frontalière en Arctique, de créer des bases pour les bâtiments de surface et les sous-marins de nouvelle génération et de créer un organe spécial pour la politique russe en Arctique.

La Russie envisage d'élargir son groupement militaire en Arctique d'ici la fin de 2014. Le 99e groupe tactique sera déployé sur l'île Kotelny (archipel de Nouvelle-Sibérie) et la 80e brigade autonome d'infanterie mécanisée dans le village d'Alakourtti (région de Mourmansk). Des radars et installations de guidage au sol seront installés sur l'archipel François-Joseph, en Nouvelle-Zemble, sur l'île Wrangel et sur le cap Schmidt. La Russie compte rétablir l'infrastructure de défense antiaérienne dans cette région d'ici octobre 2015. Le Service fédéral de sécurité (FSB) de Russie entend renforcer les troupes de gardes-frontières en Arctique.

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Pour aller plus loin :

 

 

 

Soros et la CIA tentent d'influencer les élections au Brésil !

Allez, encore les magouilles et complots organisés contre les politiques au Brésil par le sioniste Soros et la CIA.

Le Brésil fait partie des BRICS et en nuisant à sa présidente, les criminels nuiraient à la Russie, l'Inde, la Chine et à l'Afrique du Sud.

Ils ne savent plus quoi inventer, ces malfaisants, pour nuire à autrui et pour conserver le pouvoir par l'argent sur le monde, quitte à faire éliminer les gêneurs dans des accidents d'avions voire de les empoisonner lorsqu'ils s'opposent à leur dictature et à leur impérialisme !

L'article rédigé par Veterans Today est en anglais.
Mettre la traduction : ICI

 

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Soros and the CIA Now Banking on Neves to Defeat Rousseff

 

Rousseff maintains lead in voting intentions.

It is expected that the presidential election in Brazil is defined in a second round, where, according sondeos- Dilma Rousseff would win. (Photo: Reuters)

 

President Rousseff’s policies have created powerful enemies within the walls of the CIA in Langley, Virginia and among the board rooms of Wall Street and the West’s most powerful corporations. She succeeded in proving the polls and pundits wrong on October 5 but October 26 remains yet another hurdle. The people of Brazil will be voting on October 26 as if their lives depend on it. For Brazil’s poor and new middle class, a Neves victory will destroy their livelihoods, as well as their very lives.

 

by Wayne MADSEN

 

Strategic Culture

 

After the corporate media and the CIA and George Soros manipulators tried to engineer Green Party-turned-Brazilian Socialist presidential candidate Marina Silva into the Brazilian presidency after the classic CIA textbook aerial assassination of Socialist Party presidential standard bearer Eduardo Campos, these same forces are at it again on behalf of Social Democratic Party candidate Aecio Neves.

 

anti-Dilma campaign by Soros and CIA

Aécio Neves da Cunha is a Brazilian economist, politician and president of the Brazilian Social Democracy Party in an Anti-Dilma campaign with Soros & CIA

 

Although Neves was polling in second place to Brazilian President Dilma Rousseff before the first-round presidential election on October, the death of Campos and his senior aides in a highly suspicious plane crash on August 13, forced Neves into third place in polls.

 

Silva, a favorite of Soros and his international network of cash-flush non-governmental organizations, was propelled into second place.

 

However, thanks to an aware Brazilian investigative journalism press corps, Silva’s connections to Soros and his team of interventionists and hedge fund tycoons was exposed.

 

With Brazilian voters wise to Silva’s puppet strings to Soros and other global bankers, she managed to only come in third on October 5. Silva subsequently endorsed Neves, Soros’s second selection to take over the reins of presidential power in Brazil from Rousseff.

 

Arminio Fraga Neto Brazilian economist and George Soros.

Arminio Fraga Neto Brazilian economist and George Soros.

 

Neves’s chief economic adviser and the man who would become Finance Minister in a Neves presidency is Arminio Fraga Neto. A former close friend and associate of Soros and his Quantum hedge fund, Fraga is hoping that a Neves presidency will open up Brazil to “market forces,” the very same forces that have declared economic war on Venezuela and are attempting to swindle Argentina through vulture funds run by Soros’s Wall Street friends. Fraga, a habitué of the annual World Economic Forum in Davos, Switzerland, is also a former executive with Salomon Brothers and a former president of the Brazilian Central Bank. Fraga has also been linked to Goldman Sachs through a Manhattan real estate deal involving the purchase of a $7.5 million condominium from a former Goldman Sachs and Lehman Brothers executive.

 

Fraga’s membership of the elitist Council on Foreign Relations and Group of 30 puts Fraga in the same camp as such Wall Street villains as Alan Greenspan, David Rockefeller, former Bank of Israel chairman Jacob Frenkel, and Wall Street apologist/columnist Paul Krugman, and former U.S. Treasury Secretary Larry Summers.

 

Rousseff’s easy first place victory on October 5 sent Wall Street and its owned-and-operated media outlets opposed to Rousseff’s plans to create an alternative development bank among Brazil, Russia, India, China, and South Africa to compete with the World Bank into extreme propaganda mode.

 

Questionable polls suggesting that Rousseff and Neves are running neck-and-neck as the October 26 second round election approaches were featured as credible news stories by the usual Wall Street pathetic “stenographers” masquerading as journalists at The Wall Street Journal, Financial Times, Bloomberg News, and Forbes.

 

Neves’s grandfather, Tancredo Neves, a left-of-center threat to the longtime Brazilian military dictatorship, fell seriously ill just as he was to be sworn in as president on March 15, 1985. Neves’s illness resulted in his lackluster and more conservative vice presidential candidate José Sarney being sworn in as president. Tancredo Neves never recovered from what was said to be diverticulitis and he died on April 21. Later, it was revealed that Neves had a cancerous tumor that was not discovered until it was too late. Rousseff’s sudden illness after her October 16 televised debate with Aecio Neves alarmed a number of Brazilians who remember the fate of Tancredo Neves.

 

In addition to the Central Intelligence Agency arranging for convenient plane crashes such as those that killed Portuguese Prime Minister Francisco Sá Carneiro, Panamanian leader Omar Torrijos, and Ecuadorian President Jaime Roldos all within a six-month period between December 1980 and April 1981 [after the election of Ronald Reagan as U.S. president and the return to power within the CIA of George H W Bush's and William Casey's infamous gunslingers], the agency’s Technical Services Division continued to develop biological weapons, including cancer weapons, to assassinate its political targets.

 

In recent years, a number of Latin American leaders have been felled or have been stricken with cancer or heart attacks. The two most notable victims were Venezuelan President Hugo Chavez and Argentine President Nestor Kirchner. Kirchner’s wife, Argentine President Cristina Fernandez de Kirchner, was reported to have thyroid cancer, later denied by her spokespersons. The sudden onset of varying degrees of cancer also plagued such Latin American leaders as former Paraguayan President Fernando Lugo (later ousted in a CIA-engineered coup), Colombian President Juan Manuel Santos (after he signed a peace agreement with the left-wing FARC guerrilla movement), former Brazilian President Luiz Inácio Lula da Silva, and Bolivia’s recently-reelected President Evo Morales.

 

Guyana’s President Forbes Burnham died from throat cancer and Nauru’s President Bernard Dowiyogo died from a sudden heart attack while being cared for in Washington, DC hospitals. Suspicions surrounded the two deaths at Georgetown University and George Washington Hospitals, respectively.

 

Dr. Sidney Gottlieb, aka "Joseph Schneider."

Dr. Sidney Gottlieb, aka “Joseph Schneider.”

 

The CIA’s macabre Jewish-Hungarian chief scientist Dr. Sidney Gottlieb developed a host of biological weapons for the CIA’s MK-ULTRA program during his over 20 years of service with the agency. One was a biological toxin that was put inside a tube of toothpaste that was to be used by Congolese Prime Minister Patrice Lumumba and another was a botulism-infected handkerchief that was to be handed to Iraqi leader General Abdul Karim Kassem.

 

As for Aecio Neves abandoning the left-of-center credentials of his grandfather, this represents another aspect of CIA influence operations. Aecio Neves represents the interests of Wall Street, which is manifested by the presence of Fraga as his chief economic adviser. Wall Street vultures, including Soros and Fraga’s other associates in New York, want to privatize the Brazilian state-owned Petrobras oil corporation. Therefore, Aecio Neves has been handsomely bought off by the same globalized financial interests who attempted to engineer Marina Silva into office. With her defeat, these same forces have unsurprisingly rallied behind Neves.

 

For the CIA, blood is not thicker than water. It actually doesn’t matter to Aecio that the CIA may have played a part in assassinating his grandfather. Omar Torrijos’s son, Martin Torrijos, became president of Panama only to sign a pro-Wall Street free trade agreement with Washington. Martin Torrijos also gladly followed the global bankers’ orders to increase Panama’s retirement age and reform social security. Martin Torrijos also became a close ally of U.S. President George W. Bush even though Bush’s father, George H W Bush, likely signed off on the CIA’s operation to assassinate Torrijos’s own father.

 

George Soros’s favorite Asian opposition leader, Aung San Suu Kyi, does not seem to mind the fact that it was Soros’s friends at the Office of Strategic Services/CIA who ordered British intelligence to assassinate her father Aung San. Aung San, a founder of the Burmese Communist Party, was slated to become independent Burma’s first post-independence leader. Aung San was killed by terrorists working for pro-British former prime minister U Saw. The weapons for the assassins came directly from British Army Captain David Vivian, who managed, with high-level “assistance” from the Burmese government, to escape from a Burmese prison in 1949.

 

Canada's Liberal Party leader Justin Trudeau

Canada’s Liberal Party leader Justin Trudeau

 

Canada’s Liberal Party leader Justin Trudeau, the son of former Prime Minister Pierre Elliott Trudeau, has, unlike his father, warmed up to the United States, Wall Street, and the cause of globalization.

 

Justin Trudeau and Aecio Neves are prime examples of how the CIA eagle will take under its wings the progeny of leftist icons to achieve its goals.

 

President Rousseff’s policies have created powerful enemies within the walls of the CIA in Langley, Virginia and among the board rooms of Wall Street and the West’s most powerful corporations. She succeeded in proving the polls and pundits wrong on October 5 but October 26 remains yet another hurdle. The people of Brazil will be voting on October 26 as if their lives depend on it. For Brazil’s poor and new middle class, a Neves victory will destroy their livelihoods, as well as their very lives.

 

Wayne MADSEN is Investigative journalist, author and syndicated columnist. Has some twenty years experience in security issues. As a U.S. Naval Officer, he managed one of the first computer security programs for the U.S. Navy. He has been a frequent political and national security commentator on Fox News and has also appeared on ABC, NBC, CBS, PBS, CNN, BBC, Al Jazeera, and MS-NBC. He has been invited to testify as a witness before the US House of Representatives, the UN Criminal Tribunal for Rwanda, and an terrorism investigation panel of the French government. A member of the Society of Professional Journalists (SPJ) and the National Press Club. Lives in Washington, D.C.