Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/10/2015

Les militaires américains se rappellent qu'il faut agir en Irak

Bien sûr, il faut s'assurer après avoir fait  un tour par Israël pour y prendre les ordres et négocier encore des aides militaires, que l'Irak restera dans leur giron pour continuer à les racketter, alors que la coalition au pouvoir en Irak et les milices chiites demandent l'aide de la Russie contre Daesh

Voir aussi :

Le chef d'état-major américain, attendu à Tel-Aviv
Oct 14, 2015 09:25 UTC - IRIB- L’armée du régime sioniste a annoncé qu’un haut responsable de l’armée des Etats-Unis se rendrait, la semaine prochaine, en Palestine occupée, en vue de reprendre les négociations sur les aides militaires US à Tel-Aviv.

"Menace russe": les Américains en désaccord avec leurs généraux

19:17 05.08.2015

Joseph Dunford

(WP), se référant au récent sondage de Pew Research.  C'est le général Joseph Dunford, nommé récemment au poste de chef d'état-major inter-armées, le plus haut poste militaire américain

Les militaires américains se rappellent qu'il faut agir en Irak

12:39 21.10.2015 (mis à jour 13:02 21.10.2015)

 

Joseph Dunford

Les efforts principaux de Washington se concentrent désormais sur l'Irak, où Joseph Dunford, chef d'état-major des armées des États-Unis, s'est rendu hier pour une visite imprévue. Objectif? Élaborer une stratégie offensive contre les positions des djihadistes, qui serait menée par les forces irakiennes et kurdes avec le soutien de l'aviation américaine. Ces initiatives des militaires américains se doublent de manœuvres pour empêcher le rapprochement entre Moscou et Bagdad. Washington rappelle notamment aux autorités irakiennes leurs obligations en tant qu'allié des États-Unis.

Cette visite du général Joseph Dunford est son premier déplacement à l'étranger en qualité de chef d'état-major des armées des États-Unis, poste auquel il a remplacé Martin Dempsey le 1er octobre. Cette visite-surprise a commencé par un déplacement à Erbil et des négociations avec le leader du Kurdistan irakien Massoud Barzani.

Joseph Dunford s'est ensuite entretenu avec les dirigeants de Bagdad et pris connaissance des combats pour la ville stratégique de Ramadi, capitale de la province d'Al-Anbar, occupée par les islamistes depuis mai dernier, et pour la raffinerie de pétrole la plus importante du pays à Baïji (la province de Salah ad-Din, au nord de Bagdad).

Il est encore prématuré d'affirmer que les forces irakiennes se sont rétablies après des défaites écrasantes subies l'année dernière pendant l'offensive de grande envergure de l'État islamique. Malgré plusieurs revers ces derniers temps, les djihadistes contrôlent toujours une partie considérable du territoire irakien.

C'est dans ce contexte que le général Dunford et ses collègues irakiens devront planifier leur offensive contre les positions de l'EI. Les Kurdes irakiens participent activement aux combats du côté de l'armée irakienne et reçoivent le soutien de forces aériennes américaines. Washington ne cache pas qu'il mise sur les Kurdes, prêts à coopérer avec les États-Unis, et ne semble pas encore soutenir l'idée d'une éventuelle opération russe en Irak.

L'intensification des initiatives américaines en Irak s'accompagne de démarches diplomatiques visant à empêcher le rapprochement entamé entre Moscou et Bagdad. Les États-Unis rappellent aux autorités irakiennes leurs engagements en tant qu'allié de l'Amérique. Le jour de la visite de Joseph Dunford, les principaux médias arabes ont publié des fuites évoquant des actions de Washington destinées à neutraliser l'influence russe en Irak.

Selon la presse arabe, le général américain John Allen, le coordinateur de la coalition internationale anti-Daech s'est rendu à Bagdad huit jours avant le général Dunford afin de transmettre au leader irakien les préoccupations de Barack Obama concernant la coopération entre Moscou et Bagdad.

 

21/10/2015

La coalition au pouvoir en Irak et les milices chiites demandent l'aide de la Russie contre Daesh

Les Irakiens qui en ont marre de se faire trucider et racketter par les nazis depuis des années qui risquent de demander avant la fin du mois d'octobre l'aide de la Russie par voie parlementaire !

 

La coalition au pouvoir en Irak et les milices chiites demandent l'aide de la Russie contre Daesh

Le Premier ministre irakien est pressé par les milices chiites de demander l'aide de la Russie en Irak

Le Premier ministre irakien est pressé par les milices chiites de demander l'aide de la Russie en Irak

Très présentes dans la lutte contre Daesh, les milices chiites irakiennes font pression sur le Premier ministre pour qu'il obtienne l'aide de la Russie en Irak. Pas forcément simple alors que les liens du pays avec les Etats-Unis sont très forts.

La coalition au pouvoir en Irak et les milices chiites, très puissantes dans le pays, ont demandé au Premier ministre Haider al-Abadi d'appeler la Russie à l'aide. Moscou pourrait en effet procéder à des bombardements en Irak, mais attend pour cela une demande officielle des autorités irakiennes. Selon l'agence de presse russe Sputnik, qui a interrogé un membre de la coalition au pouvoir, le parlement irakien pourrait se saisir de cette question avant la fin du mois d'octobre.

Le Premier ministre irakien est donc sous pression. D’un côté, les milices chiites, qui contrôlent une bonne partie du pays et semblent le principal rempart à l’expansion de Daesh, veulent bénéficier de l’aide de la Russie ; mais de l’autre côté, les Etats-Unis, allié important de l’Irak, ne veulent pas d'un soutien de la Russie en Irak.

Pour les milices chiites, proches de l’Iran et de la Russie, l’aide du Kremlin est indispensable, d’autant que leurs combattants déplorent souvent la faiblesse de la campagne de bombardements américaine contre l’Etat islamique. Mais pour Haider al-Abadi, inclure les Russes «dans la lutte contre Daesh ne ferait que compliquer la relation avec les Américains et pourrait avoir des conséquences indésirables sur les relations à venir, même à long terme, avec l'Amérique», a expliqué un proche du Premier ministre à l'agence Reuters.

Lire aussi : Des combattants chiites ont déjoué une attaque chimique de Daesh en Irak

Lors d'une visite à Bagdad, mardi, le général Joseph Dunford, chef d'état-major de l'armée américaine, a d’ailleurs affirmé que les Etats-Unis avaient obtenu du gouvernement irakien qu'il ne ferait pas appel à l'aide la Russie.

Reste que pour les milices chiites, les Russes se sont montrés plus décisifs que les Américains en Syrie, et leur aide en Irak serait la bienvenue.

Présence accrue d'aéronefs non autorisés dans le ciel syrien, ministère russe de la Défense

Pour éviter un conflit mondial, dans peu de temps, les Russes vont demander aux occidentaux qui violent le droit International et la souveraineté Syrienne, de dégager le terrain. Faute de quoi, tout avion violant l'espace aérien Syrien, qui n'y aura pas été convié ou autorisé, sera alors abattu sur le champ et sans sommation.

Et bien entendu, cela ne plait pas du tout à nos cinglés de Washington qui se croient tout permis...(Voir vidéo en fin d'article).

Présence accrue d'aéronefs non autorisés dans le ciel syrien

11:12 21.10.2015 (mis à jour 11:19 21.10.2015)

Présence accrue d'aéronefs non autorisés dans le ciel syrien

Le ministère russe de la Défense s'inquiète du taux accru de types différents d'aéronefs dans l'espace aérien syrien, déclare la direction du service de presse et d'information du ministère.

 "Ce sont des avions de transport militaire, des chasseurs, des drones de tailles différentes, il y a même des missiles d'assaut… Ainsi, plus de 30 aéronefs se trouvent simultanément dans les airs, souvent dans le même secteur. Tout cela, bien entendu, crée des risques pour la circulation aérienne dans le ciel syrien", lit-on sur le site du ministère russe de la Défense.

Le service de presse du ministère a souligné que le groupe aérien russe coordonnait chaque vol d'aéronef avec le service syrien du contrôle de la circulation aérienne. Tout autre engin, piloté ou non, se trouve dans l'espace aérien syrien sans accords et ses transpondeurs sont éteints.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Au total, l'aviation russe a réalisé près de 700 vols en Syrie en effectuant plus de 500 frappes contre les positions de l'EI en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier. Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr.

Classic Hillary Clinton: Russia and China will pay a price for "holding up progress in Syria"

 

Syrie, violents affrontements entre l'armée Syrienne et les mercenaires financés par les USA & Cie ! (Vidéos)

D'excellentes images de drones russes qui montrent les violents affrontements qui ont lieu en Syrie, entre l'armée syrienne et les mercenaires de la CIA/MOSSAD/USA/UE et Cie !

Et la méthode US pour prendre le contrôle de nos vies. (2 vidéos).


 

La méthode US pour prendre le contrôle de nos vies.
Ca change, non ?


Derniers développements syriens, dératisation en cours !

 

La pression ne cessera de monter contre les mercenaires de la CIA/MOSSAD et la coalition criminelle illégale, en Syrie   !

Grande dératisation à prévoir dans les jours qui arrivent !

Derniers développements syriens

19 Octobre 2015

Les bombardements russes continuent, qui mettent à mal les terroristes modérés ou immodérés si chers à l'OTAN. Ceux-ci voient leurs centres de commandement et dépôts d'armes réduits en cendres, leurs lignes d'approvisionnement et de communication bombardées sans relâche, et en viennent à se battre entre eux pour mettre la main sur des armes devenues de plus en plus rares.

Profitant de cet état de fait, l'armée syrienne et ses associés hezbollahi et iraniens viennent de lancer une offensive surprise au sud et à l'est d'Alep, qui était certes dans les tuyaux mais que l'on attendait plus tard. Résultat : nos amis les terroristes modérés semblent en bien mauvaise posture autour de la seconde ville du pays. Fait intéressant, les Russes paraissent avoir réussi à imposer à une armée syrienne trop prévisible leur doctrine opérationnelle, recourant à l'effet de surprise et au saucissonnage puis à l'encerclement des forces ennemis (on en a vu un bon exemple dans le Donbass...)

Si nos pauvres djihadistes sont déjà mal en point avec une cinquantaine de bombardements par jour, qu'est-ce que ça sera quand Moscou va multiplier leur nombre par six... Papa Poutine siffle la fin de la récré et prévoit d'atteindre le nombre de 300 sorties par jour. Aïe.

Cette fermeté, cette absence de compromissions, rendent le chef du Kremlin extrêmement populaire au Moyen-Orient, tout particulièrement en Irak. A mille lieux de la diabolisation d'une presse occidentale qui semble un peu avoir perdu le nord ces temps-ci.