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28/08/2011

Libye : Une base militaire israélienne en Libye près des frontières avec l'Algérie

Nous comprenons mieux pourquoi Sarkozy ami indéfectible du CRIF et d'Israël a reconnu le CNT comme étant l'organe légitime, seul représentant du peuple libyen.


Ah bon ?

Et quand jamais le Peuple Libyen a-t-il voté démocratiquement pour ce Conseil ? Puisque l'on nous serine les oreilles avec la démocratie et le projet dit humanitaire d'aller soi-disant sauver les civiles.

SARKOZY permet ainsi les coups d'états militaires orchestrés par l'état Sioniste pour lui donner les moyens d'installer une base militaire en Libye près des frontières de l'Algérie pour aller ensuite créer l'hégémonie en Algérie et leur pomper le pétrole.


Alain Juppé avait signé 
il y a 18 ans u
ne reconnaissance officielle par la France de l'opposition libyenne et son soutien au CNT.

On comprend mieux qui est derrière tout cela et pour quelles raisons Alain Jupé a déclaré vendredi que 
l'intervention française en Libye, était un "investissement sur l'avenir".

Voilà comment les criminels que nous avons au Gouvernement illégitime qualifient "des crimes commis contre l'humanité" comme étant "un investissement sur l'avenir".

L'avenir de qui ?

D'Israël, de la France et des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial dont ils sont les Agents actifs ?
 
Nous avons compris qui est en train de coloniser la Libye sous couvert que ce sont les rebelles qui veulent renverser KADHAFI : La CIA et MOSSAD avec la complicité de l'ONU, de l'OTAN et de la France.
 
Et combien ce conflit coûte par jour, aux contribuables français ?


1 million d'euros par jour pour que nous les autorisions à aller massacrer des innocents !
 

Publié le 24/04/2011 à 20:19 par djamazz

Sarkozy reconnaît les insurgés libyens en contrepartie du pétrole 24/04/2011

Sarkozy reconnaît les insurgés libyens en contrepartie du pétrole

Un document classé secret révèle l'existence il y a 18 ans de contact secret entre des opposants libyens et des officiels français, notamment le ministre actuel des affaires étrangères, Alain Juppé, qui occupait le même poste en 1993

Selon le document, dont Ennahar détient une copie, daté du 28 juillet 1993, Alain Juppé, alors ministre des affaires étrangères sous Mitterrand, s'adressait au chef de l'opposition libyenne en personne et en sa qualité de président du front national libyen, par le biais d'une correspondance officielle de la république française. Une reconnaissance officielle par la France de l'opposition libyenne et son soutien.

 
Juppé, qui est revenu il y a quelques semaine pour diriger la diplomatie française, suite au scandale du soutien de Paris au régime de Benali en Tunisie, répondant par une correspondance officielle au chef de l'opposition libyenne Mohamed El Makrif, secrétaire général du front national libyen, en réponse à une correspondance de ce dernier le félicitant pour sa désignation au poste de ministre des affaires étrangères en été 1993.

Selon le même document, Juppé remercie l'opposant libyen pour des informations secrètes fournies par ce dernier sur le régime de Kadhafi, mais refuse sa demande dont la teneur n'a pas été mentionnée, lui expliquant que la France refuse de s'ingérer dans les affaires internes de la Libye.

Un deuxième document révèle le secret de la reconnaissance par la France du Conseil National de Transition (CNT) libyen, comme seul représentant du peuple libyen. Le document révèle aussi qu'il y avait un accord préalable entre le CNT par la France selon lequel la France aurait 35% du pétrole libyen en contrepartie de sa reconnaissance et de son soutien et de son aide par tous les moyens pour le reversement du régime de Kadhafi.

Le document daté du 3 avril dernier, adressé aux chefs politiques du Qatar et des Emirates Arabes, ainsi que du SG de la Ligue Arabe, Amr Moussa, stipule que le CNT avait chargé un de ses membres pour signer des accords avec le gouvernement français portant sur l'octroi de 35% du pétrole libyen à la France en contrepartie de l'aide et du soutien de celle-ci à l'opposition libyenne.

L'opposition libyenne demande aussi au Qatar de lui fournir les armes, aux termes d'un accord conclu entre les deux parties auparavant.

Ennahar/ Ismaïl Fellah

Le président français Nicolas Sarkozy a donné au Conseil national de transition (CNT) libyen son "accord de principe" pour une visite à Benghazi, et est favorable au dégel de fonds libyens en faveur du CNT, a-t-on appris vendredi à l'Elysée

Benghazi, dans l'est de la Libye, est le bastion de l'insurrection contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi.

La présidence française a fait ces annonces deux jours après la visite à Paris de Moustapha Abdeljalil, président du CNT, l'instance représentant la rébellion.

"Nous avons invité le président français à venir en visite à Benghazi, je pense que ce serait très important pour le moral de la révolution", avait alors déclaré M. Abdeljalil. "Il a accepté (...), mais aucune date n'a été définie", avait-il ajouté.

La présidence française avait alors confirmé l'invitation, mais pas la réponse favorable de Nicolas Sarkozy.

Les dates et les modalités de ce déplacement n'ont pas été arrêtées, a-t-on précisé vendredi à l'Elysée.

Le chef de l'Etat français est en outre favorable au dégel de fonds libyens en faveur du CNT, a-t-on ajouté de même source.

La France a été le premier pays à reconnaître le CNT comme interlocuteur libyen légitime, lorsque Nicolas Sarkozy avait reçu le 10 mars à l'Elysée trois émissaires de la rébellion libyenne.

S'agissant de la fourniture d'armes à la rébellion, Paris exclut totalement de le faire. En revanche, Paris considère qu'il n'est pas illégal que d'autres pays donnent des armes à la rébellion qui "protège la population civile".

Pour Paris, cela est conforme au paragraphe 4 de la résolution 1973 de l'ONU qui permet à la population libyenne de se défendre contre les forces du colonel Kadhafi.

Ennaharonline

http://ennaharonline.com/fr/international/7221.html http://ennaharonline.com/fr/international/7221.html

http://djamazz.centerblog.net/6585086-sarkozy-reconnait-le-cnt-libyens-en-contrepartie-du-petrole


L'intervention française en Libye, un "investissement sur l'avenir", assure Juppé

Par Aziz Zemouri

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L'intervention française en Libye, un "investissement sur l'avenir", assure Juppé

L'intervention de la France en Libye est un "investissement sur l'avenir", a estimé vendredi le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, dans un entretien au quotidien Aujourd'hui en France/Le Parisien.

"Quand on m'interroge sur le coût de l'opération - le ministère de la Défense parle de 1 million d'euros par jour - je fais remarquer que c'est aussi un investissement sur l'avenir", a-t-il déclaré.

Selon lui, "les ressources du pays ont été confisquées par Kadhafi qui a accumulé les stocks d'or". "Cet argent doit servir au développement de la Libye. Une Libye prospère sera un facteur d'équilibre pour la région", a affirmé Alain Juppé.

Interrogé sur les origines de l'intervention de la France dans le conflit, le ministre des Affaires étrangères a reconnu qu'"on nous a reproché du retard à l'allumage lorsque que se sont déclarées les manifestations du Printemps arabe". -------------(Qui leur a reproché du retard à l'allumage lorsque se sont déclarées les manifestations du Printemps Arabe ? Le Peuple Français ?)

"Il est vrai que, pendant longtemps, nous nous sommes un peu laissé intoxiquer par ceux qui disaient que les régimes autoritaires sont le meilleur rempart contre l'extrémisme", a-t-il avoué.

"C'est fini", a-t-il ajouté. "Notre ligne, qui a déjà prévalu en Côte d'Ivoire, c'est de privilégier les aspirations des peuples et la protection des populations civiles", a rappelé Alain Juppé. -----------Bien sûr, on va le croire !

A la question "pourquoi cette nouvelle doctrine ne s'applique-elle pas à la Syrie", le ministre a répondu : "Mais elle s'applique intégralement à la Syrie !"------(Nous avons compris ! Il leur manque les pays arabes, les pays africains et asiatiques pour nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial !)

"La France a dit la première que Bachar al-Assad devait quitter le pouvoir", a-t-il souligné. Pour lui, "elle est à la pointe de la mobilisation internationale pour faire pression sur le régime par des sanctions politiques et financières".

Alain Juppé a cependant concédé que "l'intervention militaire n'est évidemment pas envisageable aujourd'hui, car il faut tenir compte de la situation régionale et internationale du dossier syrien".

"La première différence, c'est qu'il n'y a pas de mandat international", a-t-il expliqué. "Nous n'allons pas, sous notre propre responsabilité, nous lancer dans une opération militaire !" s'est-il exclamé.

"La Russie, mais aussi la Chine, le Brésil ou l'Inde s'y opposent", a également confirmé le ministre français des Affaires étrangères.

http://www.lepoint.fr/politique/l-intervention-francaise-...


Une base militaire israélienne en Libye près des frontières avec l'Algérie

image

Selon un document écrit en hébreu, un accord a été signé entre Israël et le Conseil National de Transition (CNT) libyen à Benghazi, concernant leinstallation d'une base militaire sioniste dans la région de Djebel Akhdar, pour une durée de trente années dans le cas où ces derniers arrivent au pouvoir

  • Le document qui comporte la mention « Forces de défense israéliennes », reçu par un officier ukrainien, révèle le contenu de l'accord signé entre Israël et le Conseil national de transition libyen à Benghazi, qui consiste en l'installation d'une base militaire sur les frontières libyenne, alors qu'Israël soutien l'opposition libyenne en lui fournissant des armes, en faisant des pressions sur les pays européens pour reconnaitre le CNT et entraînant les membres de l'opposition dans le but de préparer une armée forte.
  • L'intensification des frappes aériennes de l'Otan contre les forces pro-Kadhafi pour l'obliger à quitter le pouvoir fait parti de la stratégie.
  • Le document en question a soulevé beaucoup de doute, selon des observateurs, étant écrit de gauche à droite. Aucune réaction de la part de l'opposition libyenne à Benghazi pour confirmer ou infirmer ces informations.
  • Les pro-Kadhadi distribuaient le document dans le but de convaincre et de monter l'opinion générale dans les pays voisins contre l'opposition.
  • Dans le cas ou l'information est confirmée, l'Algérie serait le plus concerné par la présence des sionistes sur les frontières avec la Libye et permettra à l'organisation du groupe salafiste pour la prédication et le combat, qui se fait appelé el Qaïda au Maghreb Islamiste (AQMI) d'avoir beaucoup plus d'arme pour mener ses opérations criminelles dans la région, après que ses activités ses sont étendues au trafic que drogue et des armes. L'organisation terroriste trouvera un environnement propice à ses activités à l'ombre de la présence sioniste, surtout que l'Algérie est le pays le plus hostile à l'entité sioniste.
 
Ennahar/ Dalila B.
 

Une base militaire israélienne en Libye près des frontières avec l'Algérie - Vidéo
http://www.dailymotion.com/video/xisssm_une-base-militair...

 

 Une base militaire israélienne bientôt aux frontières de l'Algérie ! - Document ultra-confidentiel....


Les services secrets ukrainiens ont obtenu un document ultra-confidentiel, avant même sa diffusion sur la chaîne de télévision officielle libyenne Al Jamahiriya et sa publication par le journal israélien Yediot Aharonot. Ce document révèle la signature d’un accord conclu entre le Conseil National de Transition libyen (CNT) et Israël, pour l’installation d’une base militaire israélienne aux Monts Verts en Libye, au cas où les insurgés arriveraient au pouvoir. Le document en question, portant l’entête « Israel Defense Forces », note qu’en contrepartie Israël s’engage à obtenir la multiplication des frappes aériennes de l’OTAN contre les forces gouvernementales libyennes, et l’adhésion de pays arabes à la cause du CNT libyen.

 

18/08/2011

Un archéologue israélien : les juifs n'ont aucun lien historique avec al-Qods. Les Religions et Le Nouvel Ordre Mondial

Tous les mensonges sont en train d'être dévoilés.

C'est l'époque de la "Grande Révélation" ce que les ignorants appellent l'Apocalypse ou la fin du monde.

C'est effectivement la fin de ce monde matérialiste et criminel pour ceux qui nous mentent et qui nous manipulent depuis des millénaires.

Entre les mensonges de la Bible et maintenant ceux de la Torah, nous sommes servis.

Comme la Bible dans son ancien testament reprend les écrits hébraïques qui reprennent les écrits de la création Sumérienne, nous pouvons être convaincus que l'église catholique est non seulement la gardienne des écrits hébraïques, mais aussi des écrits Sumériens, d'où ce que l'on appelle soi-disant, l'origine judéo-chrétienne de notre civilisation. Moïse comme Abraham sont nés tous deux à UR à SUMER et il n'existe aucune preuve historique que Moïse soit né en Egypte.


La religion Sumérienne

http://home.nordnet.fr/caparisot/html/sumerreligion.html

Comparaison entre les écrits sumériens de la création et la Genèse de la Bible
http://home.nordnet.fr/caparisot/html/sumerreligion.html#comparaison

La Bible : Des siècles de mensonges au nom du christianisme par le professeur Bart Ehrman
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/08/15/la-bib...

Voir le site de Ehrmanproject
http://www.ehrmanproject.com/

En préambule et pour couronner le tout, la conférence de Jordan Maxwell de 2009 à Los Angeles, à voir absolument.

Les Religions et Le Nouvel Ordre Mondial ( Vidéo de 47 mn)

Jordan Maxwell à la conférence "Awake & Aware" - Los Angeles le 20 septembre 2009.
Le monde est mené par les religions, les sectes et les gangs internationaux.

On nous manipule avec les croyances, les mots et les images.

Le Vatican et tous ses dogmes religieux sont basés sur l'adoration du Soleil, l'astrologie et les planètes.

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/06/17/religi...

http://www.dailymotion.com/video/xjcppf_religions-et-nouv...




Un grand archéologue israélien a affirmé l'inexistence de liens juifs avec la ville d'al-Qods occupée, démentant ainsi les allégations israéliennes quant à leur présence historique dans la ville.

Mercredi 10 Août 2011
Un archéologue israélien : les juifs n’ont aucun lien historique avec al-Qods
 
L'archéologue Israël Finkelstein a déclaré au journal israélien, "Jerusalem Post", que "les archéologues juifs n'ont pas trouvé des preuves historiques ou archéologiques, corroborant les récits rapportés par la Torah".

S'agissant du prétendu temple de Salomon, Finkelstein a indiqué qu'il n'y a aucune trace archéologique prouvant qu'il a effectivement existé.

Pour sa part, l'universitaire israélien Rafi Greenberg a indiqué au même journal, qu'il était prévu qu'Israël fasse des découvertes, du moment où il a mené des fouilles pendant des semaines. "Les Israéliens de la ville de David a la cité Selwan poursuivent sans discontinuer les fouilles depuis deux ans, mais ils n'ont rien trouvé".

Par ailleurs, Youni Mazrahi, un archéologue indépendant ayant travaillé précédemment pour l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a été du même avis que Finkelstein.

"L'association de droite al-Aad n'a même pas trouvé un écriteau où il est mentionné : Bienvenue au palais de David, bien que cette affaire soit tranchée pour elle, comme si elle s'appuyait sur des textes sacrés pour la guider dans ses travaux," souligne-t-il.

Israël a commencé secrètement et avec force depuis la mi-2008, le renforcement de la présence et du contrôle des colons israéliens sur la cité Selwan et les environs de la vieille ville historique qu'il a occupée lors de la guerre de juin 1967, et l'a annexée par la suite, chose qui n'a pas été reconnue par les Nations-Unies.

Le but principal des fouilles archéologiques vise, selon les experts israéliens, à inciter les Palestiniens à quitter la ville sainte et y étendre les implantations.

felesteen.ps

http://www.alterinfo.net/Un-archeologue-israelien-les-jui...


Sur la falsification de la Bible, l'inexistence du Temple de Salomon et le canular sur la pierre gravée de Salomon.

La bible, entre mythe et réalité

L'Ancien Testament est-il basé sur des faits historiques ou n'est-il qu'une suite de fables ?

Au cours des six épisodes de cette série, John McCarty tente de savoir quels sont les véritables fondements du royaume d'Israël et dans quelles conditions ces livres ont été écrits.

Pour cela, le présentateur se rend au Moyen-Orient, où il visite des sites archéologiques et rencontre des spécialistes éminents.

Entre mythe et réalité Partie 1- 1/3
http://www.dailymotion.com/video/x6wejs_entre-mythe-et-re...



Entre mythe et réalité Partie 1- 2/3


Entre mythe et réalité Partie 1- 3/3
http://www.dailymotion.com/video/x6wi72_entre-mythe-et-re...



La playlist des vidéos par ce lien :

http://www.dailymotion.com/related/x6wewk/1?videoid=11590...

Et sur la fausse pierre gravée de Salomon

En juillet 2001, un mystérieux détective privé montre une tablette de pierre, gravée d'une inscription en hébreux ancien, à deux scientifiques israéliens.

Celle-ci semble apporter la preuve de l'existence du temple de Salomon.

La mystérieuse tablette est étudiée par des chimistes, des linguistes et des archéologues, qui prouvent son authenticité.

Mais le détective disparaît, emportant la tablette avec lui.

C'est le début d'une nouvelle enquête.
Certains essaient, par tous les moyens, de retrouver le détective.

D'autres se penchent sur les résultats des analyses.

Ils s'interrogent.

La pierre est-elle vraiment authentique ou n'est-ce qu'un canular ?
 
 

Les mensonges de la Bible

Histoire et chronologie de la chrétienté Avant JC
http://www.bible.chez-alice.fr/h01.htm

Histoire et chronologie de la chrétienté Après JC

http://www.bible.chez-alice.fr/h02.htm

09/05/2011

La Knesset prive les Arabes israéliens de Nakba

Pendant que l'on nous occupe l'esprit avec BEN LADEN, Israël vote des lois discriminatoires contre les arabes israéliens.

Ils n'ont plus le droit de fêter la Nakba
. Ils en sont au 63e anniversaire de la colonisation de la Palestine par les sionistes.
 
Le 14 mai 1948 est le jour de la création de l'État israélien, mais cette date est commémorée par les Palestiniens comme la Nakba, la catastrophe.

C'est-à-dire que l'Etat Sioniste a le droit de fêter tous les ans, la création de l'état Sioniste, occupant de la Palestine.

 
TRIBUNE

La Knesset prive les Arabes israéliens de Nakba

C'était un serpent de mer du débat public en Israël, resurgissant périodiquement, et l'un des chevaux de bataille d'Avigdor Lieberman au cours de la dernière campagne électorale : la Knesset, le Parlement israélien, a finalement adopté la semaine dernière une loi controversée portant sur la commémoration de la Nakba (renvoyant à la création d'Israël en 1948 et le début de l'exode des Palestiniens) par les citoyens arabes du pays.

La possibilité d'une telle loi avait été régulièrement évoquée ces dernières années, mais les propositions avaient toujours fini par retomber dans un silence embarrassé. Le vote de la semaine dernière, comme les débats et les atermoiements qui l'ont précédé, illustrent les difficultés entourant l'élaboration d'une citoyenneté israélienne partagée surmontant les clivages profonds de la société.

Le projet de loi faisait partie d'un train de réformes voulues par le parti nationaliste d'Avigdor Lieberman, Israel Beytenou. La proposition a été pour le moins froidement accueillie par la presse et les états-majors des partis, à telle enseigne que ses partisans l'ont mise au vote en pleine nuit, à 2h45, alors que la Knesset s'était déjà largement vidée de ses membres.

Sa formulation s'est d'ailleurs vue passablement édulcorée. Le projet initial, qui prévoyait une peine de trois ans d'emprisonnement pour quiconque se prêterait publiquement à des cérémonies commémorant la Nakba, a été retoqué.

La cible : la communauté arabe d'Israël

La formule définitive préfère parler d'amendes infligées aux autorités publiques qui financeraient l'organisation d'événements publics commémorant la Nakba en lieu et place du jour de l'Indépendance. Plus exactement, afin de contourner une probable censure de la Cour suprême pour « discrimination » à l'encontre d'une communauté particulière, le terme de « commémoration de la Nakba » a été habilement remplacé dans le texte final par celui d'« organisation d'une journée de deuil ».

Il n'en reste pas moins que la cible est claire, et que c'est bien la communauté arabe du pays, et sa mémoire particulière, que la loi vise. Il ne semble pas, en effet, que quiconque songe à mettre en place une loi semblable à l'encontre de certaines communautés juives ultra-orthodoxes, qui pourtant se détournent également des festivités du jour de l'Indépendance.

Il n'est pas rare, à Jérusalem, de voir des haredim (juifs ultra-orthodoxes) poursuivre ostensiblement, et parfois bruyamment, leurs activités quotidiennes lorsque le reste du pays se fige pour les minutes de silence du Jour de la Shoah et du Jour du souvenir (qui honore les soldats tombés pour le pays, et plus récemment les victimes d'attentats). Si elle n'est certes pas bien vue par la majorité, cette forme de contestation religieuse des commémorations nationales est toutefois tolérée.

Un certain aménagement des diverses mémoires "juive sioniste, juive religieuse et arabe" et de leur commémoration avait en effet jusqu'ici prévalu. Ainsi, par exemple, les Arabes ne s'émeuvaient pas outre mesure du caractère férié, dans tout le pays, d'un jour comme Tisha BeAv, en souvenir de la destruction du temple, bien que cette journée appartienne au récit national juif, et non au leur.

La tolérance en vigueur jusqu'à présent sur la question s'accommodait bien de manifestations pacifiques, sur lesquelles la majorité fermait les yeux avec le présupposé implicite que les ressorts de la mémoire collective sont trop complexes pour être traités avec la légèreté et l'opportunisme dont ont fait preuve les députés à l'origine de la nouvelle loi.

Le député arabe Talab El-Sana a d'ailleurs un trait d'esprit qui résume finement cette attitude :

« Ce que les Israéliens nous interdisent désormais, les Romains en leur temps ne l'interdisaient pas aux Juifs [en référence à Tisha Be-Av, ndlr], alors qu'ils n'étaient pas réputés être de grands démocrates. »

« La Knesset dresse la population contre les minorités »

La droite nationaliste semble ainsi avoir monté en épingle un problème largement secondaire, qui tient désormais le devant de la scène dans un contexte de grande apathie politique. Pour la députée Meretz (gauche sociale-démocrate) Zehava Gal-On, avec cette loi, « la Knesset dresse la population contre les minorités ».

Le contexte de son adoption d'ailleurs est révélateur de la façon dont une minorité active a pu imposer ses vues. Le vote, dans une Knesset fantôme, a été obtenu à une courte majorité de 37 voix contre 25. De nombreux députés se sont faits porter pâles lors des débats. Seulement trois députés de Kadima (premier parti en nombre de sièges) étaient présents, et les dirigeants des principaux partis avaient opportunément pris la tangente.

Ces éléments tendent à discréditer l'argument d'Alex Miller selon lequel le projet récoltait un large consensus. Mais aucune opposition parlementaire ferme et résolue ne s'est pour autant exprimée, ce qui a permis finalement au texte de passer. Il semble bien plutôt qu'instruction ait été donnée de ne pas contrarier un partenaire de la coalition gouvernementale.

Un risque de fragilisation de l'équilibre communautaire

Ce vote ne semble ainsi pas tant refléter une volonté politique forte exprimant l'état de l'opinion qu'un mélange de lâcheté, d'apathie et d'embarras quant aux relations inter-communautaires.

A terme, il risque cependant de remettre en cause les fragiles équilibres internes du pays, de porter gravement atteinte à sa stature internationale, et d'enfermer une partie des citoyens, la minorité arabe, dans un statut instable, qui n'est finalement défini que dans les marges de la majorité juive.

Les Arabes israéliens semblent ainsi condamnés à accepter le statut que l'on veut bien leur accorder au gré des majorités politiques en place, sans aucune perspective à long terme : ni autonomie communautaire, ni égalité républicaine, mais des arrangements approximatifs sur lesquels ils n'ont guère de prise, perdant jusqu'à la libre maîtrise de leur mémoire après avoir déjà perdue celle du territoire, très inégalement réparti entre les communautés.

 

Gaza: commémoration de la "Nakba"

AP
15/05/2010 | Mise à jour : 13:08

Des milliers de Palestiniens ont manifesté aujourd'hui dans la bande de Gaza pour marquer le 62e anniversaire de la "Nakba", un terme arabe signifiant catastrophe et désignant le début de l'exode des Palestiniens lors de la création d'Israël en 1948.

Les Palestiniens ont manifestés unis samedi, tentant provisoirement de dépasser leurs divergences internes qui opposent les principales factions, le Hamas et le Fatah. Ils ont brandi des drapeaux palestiniens ainsi qu'une clé géante, symbole de leur espoir de retour.

Israël refuse le droit au retour aux Palestiniens, de crainte de voir l'Etat hébreu disparaître. Des centaines de milliers de Palestiniens avaient fui ou avaient été massacrés, chassés de leurs maisons à la suite de la guerre de 1948. On estime à environ 5 millions le nombre de réfugiés palestiniens et leurs descendants au Moyen-Orient.
 
 

Palestine : La nakba : la catastrophe de mai 1948

Pour que nous ne mourions pas idiots sur l'histoire de la colonisation de la Palestine par les sionistes. Que nous sachions ce que représente la Nakba pour les Palestiniens.

Histoire et colonisation de la Palestine >

La nakba : la catastrophe de mai 1948

le 7/5/2007 8:50:00 (5641 lectures)

 Camp réfugié palestinienTract et analyse du CAP de mai 2007.

Le 14 mai 1948 est le jour de la création de l'État israélien , mais cette date est commémorée par les Palestiniens comme la Nakba , la catastrophe.

L'idée initiale selon laquelle la Palestine était une « terre sans peuple pour un peuple sans terre » a constitué l'un des plus grands mensonges de l'histoire et a servi de justification à la politique sioniste de colonisation.

photo : Camp de réfugié palestinien




Cette catastrophe prend d'abord les formes de la légitimité internationale lorsque l'O.N.U. adopte, le 29 novembre 1947, la Résolution 181, instituant la partition de la Palestine, partition refusée par les Palestiniens parce qu'injuste : 56 % du territoire palestinien est attribué aux Juifs, qui constituaient moins du tiers de la population et possédaient jusque-là à peine 7 % des terres.

Cette catastrophe, c'est aussi la destruction, entre 1947 et 1949, de plus de 500 villages palestiniens, dont le plus connu est Deir Yassine, avec ses 250 habitants massacrés par les forces militaires juives.

Cette catastrophe, enfin, c'est 800 000 Palestiniens expulsés de leurs terres sans que leur droit au retour soit encore reconnu dans les faits. Chassés de leurs terres et niés de tous, les réfugiés (environ 5 millions) attendent toujours de retourner chez eux.

La Nakba, comme politique d'anéantissement du peuple palestinien n'a en fait jamais cessé : en témoignent les massacres de Qibia en 1953, l'annexion pure et simple de Jérusalem Est, de Gaza et de la Cisjordanie en 1967, les crimes contre l'humanité dans les camps palestiniens au Liban en 1982, à Jenine en 2002, à Rafah en 2004, à Beit Hanoun en 2006. Depuis septembre 2000, 4700 Palestiniens ont été tués, dont 956 enfants.

La catastrophe continue aujourd'hui . Le vol de la terre se poursuit, notamment en Cisjordanie et au Naqab. L'épuration ethnique est partout une réalité, principalement à Jérusalem, dans le Naqab et dans la Vallée du Jourdain. La répression est quotidienne. Chaque jour, plusieurs dizaines de Palestiniens sont kidnappés et torturés. Il y a déjà 10000 prisonniers palestiniens dans les geôles israéliennes. Outre l'apartheid qu'ils subissent quotidiennement, la pression s'accentue aussi sur les Palestiniens de 48 (ceux qui sont restés chez eux à la création de l'Etat sioniste en 1948). Plusieurs villages ont été détruits et des responsables politiques sont menacés d'expulsion. Et pour gagner du temps et mettre les Palestiniens devant le fait accompli, la politique sioniste se drape d'un discours pacifiste et d'une prétendue volonté de négociation.

Bien sûr, cette stratégie est mise en oeuvre avec la bénédiction et le soutien des Etats-Unis, de l'Europe, de la France et des régimes arabes. Elle s'accompagne d'un chantage à l'antisémitisme afin de bâillonner tout soutien au peuple palestinien.

Depuis la victoire du Hamas aux élections législatives de janvier 2006, cette politique se fait encore plus odieuse : il s'agit d'obtenir la reddition du peuple palestinien en le soumettant à un blocus économique qui le prive de ses ressources financières et des biens de première nécessité. Pourtant, les nouveaux dirigeants politiques et l'ensemble de la résistance ne se sont pas pliés à l'odieux chantage de la dictature coloniale israélienne et des puissances occidentales qui exigeaient la cessation de la résistance armée et la reconnaissance de l'Etat d' Israël, c'est-à-dire de la force occupante qui, elle, n'a jamais reconnu la Palestine.

Bien au contraire, et en dépit des conditions de vie de plus en plus difficiles, le peuple palestinien soutient toujours ses dirigeants qui, dans le cadre du gouvernement d'union nationale, comptent poursuivre la résistance jusqu'à la libération de leur pays. En lançant cette semaine, une centaine de roquettes, le Hamas a voulu signifier à l'occupant sa capacité à mettre l'oeuvre sa stratégie. Israël ne connaît que le langage de la force. Il n'a jamais respecté la trêve conclue en novembre 2006 et a effectué, depuis, près de 596 incursions meurtrières dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, a tué 62 Palestiniens et en a kidnappé 1164. Face à cette politique, les Palestiniens n'ont d'autres choix que celui de la résistance.

Dans cette voie nous faisons confiance au peuple palestinien et à sa capacité de résistance. L'Histoire est de son côté comme elle est du côté de tous les peuples qui résistent.

La défaite américaine au Vietnam n'a pas été obtenue par une résolution de l'ONU mais grâce à la résistance héroïque du peuple vietnamien. Cuba résiste toujours malgré près de 40 ans d'embargo ; Le peuple vénézuélien et le peuple bolivien sont entrés en résistance face à la domination américaine. C'est toute l'Amérique latine, celle des classes populaires, qui peu à peu tient tête aux visées impérialistes des Etats-Unis.

Au Moyen Orient, Israël a été vaincu et éjecté hors du Liban Sud en 2000 par la résistance libanaise. En 2005, l'Etat colonial israélien a été forcé de retirer ses troupes de Gaza. Après avoir subi une seconde défaite cuisante en août 2006, il a été de nouveau contraint à faire machine arrière au Liban. En Irak comme en Afghanistan la résistance ne faiblit pas, bien au contraire, elle inflige des pertes toujours plus grandes à l'ennemi américain et à ses alliés. Une nouvelle déconvenue attend les armées sionistes et impérialistes : c'est la guerre qui se prépare contre le peuple iranien au nom de la lutte contre la prolifération nucléaire alors que l'Etat colonial d'Israël possède plus de 200 têtes nucléaires. Mais cette justification (utilisée pour envahir l'Irak) de la nouvelle guerre qui s'annonce ne doit tromper personne, car s'il devait y avoir désarmement nucléaire il devrait commencer d'abord par les Etats-Unis, Israël et leurs alliés occidentaux.

Aujourd'hui il y a deux voies possibles : il y a celle de la résignation et de la soumission à un ordre mondial injuste et meurtrier et il y a celle de la résistance et de la solidarité entre les peuples. En Palestine occupée, le peuple Palestinien est toujours debout, uni depuis près de soixante ans contre l'infernale machine de guerre coloniale israélienne. Il nous indique la voie à suivre.

Nous, membres du CAP, nous sommes à ses côtés sur ce chemin.

http://www.comiteactionpalestine.org/modules/news/article...

25/04/2011

Jésus-Christ en singe, crucifié et traité de nazi à la TV israélienne

Sans commentaires, n'est-ce pas ?

Publié : le 25/04/2011 par Benji dans Religion

Tout de suite le piss Christ qui a fait polémique en France passe pour un joli conte d’enfant ! Le manque de respect même au nom de l’humour a certaines limites, elles ont été largement dépassées en Israël…


N’imaginons pas faire 1/100ème de ça en France avec les juifs.


La présentatrice télé au singe représentant Jésus sur la croix : « Tu es un nazi, Yeshu (Jésus), tu es un nazi.»


Article trouvé sur fr.sott.net

http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/04/25/jesus-c...



Mocking Jesus on Israeli TV - צליבת ישו
The Crucifixion of "Yeshu"

http://www.youtube.com/watch?v=JA6vRC1xW_c&feature=pl...