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28/03/2014

Boeing malaisien : Une réplique de l'avion est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...?

Parce que tout est possible et que tout peut arriver !

Boeing malaisien : Une réplique de l'avion est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...?

L'info provient du milieu des photographes amateurs d'aviation, Israël détient un Boeing 777-200 identique au Boeing disparu de Malaysia Airlines. L'avion est garé à l'aéroport de Tel-Aviv depuis le mois de Novembre 2013. Il ne s'agit pas seulement de 2 modèles semblables, ils sont visuellement identiques et seuls leurs numéros de série permettent de les différencier.

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Cet ancien Boeing 777 de la Malaysia Airlines porte le numéro de série constructeur 28416 et était enregistré sous la référence 9M- IRM. Le 21 Octobre 2013, il a été vendu à GA Telesis , une firme basée à Fort Lauderdale en Floride. L'avion a été garé à l'aeroport de Tarbes-Lourdes dans les Pyrénées à partir du 4 Octobre puis le 4 Novembre, il a été ré- enregistré sous le N° N105GT et mis en parking à Tel-Aviv (chaos-controle.com).

En fait, il n'y a que le numéro de série qui change, sinon c'est le même avion. Il a été mis en circulation en 1998 et utilisé pendant 15 ans par la Malaysian Airlines puis mis au placard le 08 Avril 2013. GA Telesis a été mandaté pour procéder au démantèlement de cet appareil. Le 10 Juillet 2013, la compagnie indique sur son site qu'elle a commencé à démanteler l'appareil. Pourtant, on peut constater d'après les registres que cet avion a été entreposé le 4 Octobre 2013 à l'aéroport de Lourdes-Tarbes puis envoyé un mois plus tard à Tel Aviv ou il serait stocké depuis. D'ailleurs, il semblerait tout compte fait que l'avion ne soit pas si démantelé que cela puisque il a pu être envoyé à Tel Aviv le tout avec un autre numéro de registre, la compagnie en ayant apparemment fait l'acquisition.

Pourquoi une société américaine ayant des liens étroits avec George Soros ferait l'acquisition d'un Boeing identique à celui disparu le tout à peine quelques mois avant puis serait envoyé à Tel Aviv pour une mission indéterminée? Pourquoi n'a t-il jamais été démantelé comme prévu?

Pourquoi dans le même temps Israël affirme qu'elle craint que le vol détourné soit utilisé ultérieurement comme une arme et a renforcé son espace aérien en conséquence? Pourquoi est-ce l'un des seuls pays à se sentir visé? (fawkes-news.blogspot.fr)

Le PDG de GA Telesis s'appelle Abdol Moabery. Auparavant, il fut le vice-président exécutif d' "Aviation Systems International " et directeur du marketing et des ventes chez "CS Aviation Services" . Ces 2 compagnies étaient détenues par George Soros . Selon toute probabilité, Soros devrait également détienne une bonne part de GA Telesis.

Cette information est très importante car elle s'inscrit parfaitement dans le scénario de terreur présenté par un expert en sécurité aérienne l'israélien El Al Issac Yeffet. Peu de temps après la disparition du vol MH 370. Yeffet a suggéré que l'avion disparu avait été détourné par l'Iran et était préparé en vue d'une attaque terroriste.

" Qu'est-il arrivé à cet avion , personne ne sait . Mon avis est fondé sur les passeports volés. Je crois que l'Iran était impliqué. Ils ont détourné l'avion et ils ont atterri dans un endroit où personne ne peut le voir ni le trouver".

Issac Yeffet , ancien expert de sécurité d'El Al Times d'Israël , le 17 Mars , 2014


Pour les israéliens, le fait de détenir un avion identique dans un hangar à Tel Aviv révèle la raison pour laquelle Yeffet a présenté un tel scénario. Au cas où une d'une opération sous faux drapeau comparable au 11 septembre survenait sur le territoire Israélien, tous les éléments de preuve seraient entre les mains de leurs services secrets leur donnant le contrôle complet de l'interprétation et de la narration de l'événement.

Par ailleurs, il est intéressant de constater que cet expert israélien partage le même point de vue que Rupert Murdoch quand au sort du Boeing disparu :

"Le monde à l'air captivé par la disparition du Boeing 777. Peut-être qu'il ne s'est pas crashé, mais qu'il a été volé et efficacement caché, peut-être dans le nord du Pakistan, comme Ben Laden.".

Rupert Murdoch sur Twitter 15 Mars 2014

"Obama devrait appeler le président chinois à la suite de l'incident d'aujourd'hui et lui dire " nous avons tous les deux un problème avec le terrorisme islamique . Pouvons-nous travailler ensemble ? "

03h50 - 2 mars 2014

" Le crash du Boeing777 confirme que les djihadistes vont créer des ennuis à la Chine. Voilà une chance pour les Etats-Unis de faire cause commune, de s'allier à la Chine alors que la Russie intimide[l'Ukraine]".

16h15 - 9 mars 2014

Boeing 777. La Chine et les USA devraient travailler plus étroitement contre la menace représentée par l'extrémisme musulman.

02:26 - 15 mars 2014


D'autres experts ont fait aux médias des déclarations évoquant un nouveau 11 septembre :

"Tous les signes pointent pour le moment vers "un acte réfléchi et délibéré"

Scott Hamilton, directeur du cabinet de consultants Leeham Co.

"Si tout cela est vraiment délibéré, alors on est peut-être face à quelque chose qui va au-delà de la préparation des attentats du 11 septembre".

Gerry Soejatman, analyste indépendant basé à Jakarta.


Autre fait intéressant, au moins 20 des passagers travaillaient dans le domaine de la défense et de l'armement électronique hight tech. Ce domaine comprend les contre-mesures électroniques et le camouflage radar. En d'autres termes, ces passagers pouvaient avoir les connaissances requises pour occulter électroniquement un avion. Cette information est cruciale pour expliquer au public comment l'avion aurait pu d'une part, disparaître des écrans radars et comment d'autre part, il aurait ultérieurement pu leurrer des systèmes de défense aérienne dans le cadre d'un nouveau 11 Septembre.

Le champ d'activité de ces passagers rend également plausible un scénario où le Boeing détourné par des pirates de l'air est transformé en bombe volante furtive pour s'abattre sur un site stratégique. 2 options sont possibles. La première est celle d'une déflagration nucléaire, cette possibilité avait été évoquée publiquement par Lindsay Graham, sénateur de la Caroline du Sud et faisait suite aux révélations selon lesquelles des missiles à tête nucléaire avaient étés transférés sur la côte est sans autorisation officielle.

C'est le scénario évoqué il y a quelques jours par le président Obama quand il a déclaré devant un parterre de journalistes " être plus préoccupé par une attaque nucléaire sur Manhattan que par les tensions avec la Russie".

Seconde option possible, l'avion détourné servirait à engendrer une explosion électromagnétique de type EMP grillant tous les systèmes électriques d'une zone donnée. C'est l'idée qui a été lancée il y a quelques semaines par Dick Cheney. Elle requiert la détonation d'un engin à haute altitude pour être efficace à grande échelle. Néanmoins, placée dans un avion, une détonation de ce type a le pouvoir de mettre hors service toute l'infrastructure électrique et électronique d'une grande ville. Dans ce scénario, les terroristes privilégieraient une zone sensible telle que Wall Street.

Une telle explosion au dessus d'une zone de ce type créerait une crise mondiale sans précédent tout en ayant le mérite de supprimer les preuves compromettantes que certains mastodontes bancaires chercheraient à occulter. L'épidémie de suicide qui affecte le monde de la finance ces 2 derniers mois pourrait d'une maniére ou d'une autre, être liée à cette future crise.
Boeing malaisien : Une réplique de l'avion est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...?
À l'aune des indices dont nous disposons actuellement, l'affaire du Boeing disparu peut être analysée dans le cadre plus large des préparatifs d'une troisième guerre mondiale auquel se conjugue la désintégration finale du système financier.

Il est encore difficile de démêler les éléments de l'intrigue et d'obtenir une vue exacte des évènements à venir. Et cela l'est d'autant plus qu'il faut séparer les informations authentiques de celles qui ont étés diffusées pour rendre crédible la fiction que représenterait une nouvelle opération sous faux drapeau de l'envergure du 11 Septembre.

Cependant, on peut d'ores et déjà juger peu crédible le fait que le pilote de ligne ait pu diriger son avion en direction du continent antarctique dans la mesure où c'est la seule direction où il était sûr de ne rencontrer aucune piste d'atterrissage. Selon toute probabilité, si l'avion a été envoyé dans cette région du monde, c'est afin que ses débris ne puissent être retrouvés. Tout cela dans le but d'accréditer la thèse du détournement de l'appareil.
Boeing malaisien : Une réplique de l'avion est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...?
Et c'est également dans le but d'accréditer cette thèse que l'on aurait fait en sorte que certains téléphones portables continuent de sonner et que l'on aurait diffusé les témoignages d'un avion similaire survolant les îles maldives à basse altitude.

Las, la découverte de possibles débris flottant dans l'océan austral à des milliers de km des zones de recherche initiales compromet le succès de ce nouveau false flag. Mais tant qu'ils n'ont pas étés récupérés et authentifiés, nous devons être conscients qu'il existe une possibilité très réelle que l'avion disparu puisse refaire surface et être utilisé dans le cadre d'une prétendue opération de terrorisme international.

Si tel est le cas, cette opération serait probablement conçue afin d'incriminer un ennemi ciblé, très probablement la République islamique d'Iran ce qui incidemment aurait pour effet d'entraîner la Russie dans le conflit.

De ce point de vue, on comprend mieux le sens de certaines déclarations invitant la Chine à s'engager au côté de l'Amérique dans la lutte contre le terrorisme islamiste. N'ayant pas les moyens de combattre la Chine en même temps que la Russie, l'Amérique cherche à s'en faire un allié.

Le 11 Septembre 2001, les américano-sionistes ont convaincu le monde que 19 pirates armés de simples cutters étaient parvenus à l'ébranler l'Amérique dans ses fondations. 13 ans plus tard, la donne a changé. Grâce aux efforts de recherche conjugués d'une douzaine de pays, la prochaine opération sous faux drapeau a toutes les chances de se transformer en flop retentissant.

Sources :

http://www.bollyn.com/home/ # article_11686
http://www.planespotters.net/Production_List/Boeing/777/28416,N105GT-GA-Telesis-php
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/03/17/oracle-ruppert-murdoch-lui-sait-ce-qui-est-arrive-a-lavion-disparu/
http://fawkes-news.blogspot.fr

http://www.chaos-controle.com/archives/2014/03/27/29535374.html

Boeing malaisien : Une réplique de l'avion est garé à l'aéroport de Tel Aviv, la piste du false flag se précise...?
 

27/03/2014

VERROU – Obama accusé par un journaliste d’être pire que Bush pour la liberté de la presse

VERROU – Obama accusé par un journaliste d’être pire que Bush pour la liberté de la presse

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/03/25/verrou-obama-accuse-par-un-journaliste-detre-pire-que-bush-pour-la-liberte-de-la-presse/

Symbole de l'Agence de sécurité nationale américaine (AP/Patrick Semansky).

L'administration Obama est « le plus grand ennemi de la liberté de la presse que l’Amérique ait connu depuis au moins une génération ». A l’occasion d’une conférence organisée à New York sur le thème de la protection des sources et de la sécurité nationale, le journaliste du New York Times James Risen, qui a couvert la Maison Blanche pendant le mandat du président démocrate, a fait le procès de ceux qui dirigent les Etats-Unis depuis 2008.

Pour M. Risen, l’actuelle administration veut « limiter le champ d’investigation sur la sécurité nationale » afin de « créer un chemin balisé pour la couverture de ces sujets », relate le site Poynter dans un compte-rendu de la conférence. N’importe quel journaliste qui se risque à outrepasser les limites posées par le gouvernement « sera puni », a ajouté James Risen. Le journaliste spécialisé dans les activités du gouvernement américain considère que l’administration Obama a créé « de facto un Official Secrets Act », soit un état législatif qui protégerait les secrets d'Etat.

En 2013, la révélation des écoutes des communications téléphoniques et e-mails de journalistes de l’agence Associated Press et de Fox News, interceptés pour des motifs prétendument liés à la sécurité nationale – les journalistes espionnés étaient soupçonnés d'avoir relayé des fuites –, avait scandalisé les défenseurs du premier amendement de la Constitution, qui protège la liberté de la presse aux Etats-Unis. Entre 2009 et 2013, l'administration Obama a poursuivi six personnes pour avoir livré des informations confidentielles à la presse. Soit deux fois plus que tous ses prédécesseurs combinés.

PROTÉGER SES SOURCES

James Risen est l’un des journalistes qui a contribué à dévoiler le programme de surveillance de l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA). Ce travail lui a valu de recevoir, avec Eric Lichtblau, le prix Pulitzer en 2006. Il lui a aussi valu d’être accusé par le gouvernement américain d’entrave à la sécurité nationale. Depuis, M. Risen a saisi la Cour suprême pour tenter de protéger l'une de ses sources.

Les révélations d’Edward Snowden sur la surveillance pratiquée par les agences américaines de renseignement ont ravivé les tensions entre pouvoir politique et médias. Après près d'un an de révélations, plusieurs journalistes, dont Glenn Greenwald, ont rejoint le magazine en ligne The Intercept.

Accusé d'espionnage, de vol et utilisation illégale de biens gouvernementaux par les Etats-Unis, Edward Snowden s’est réfugié en Russie en août dernier, où il a obtenu l’asile temporaire, après être resté bloqué pendant trente-neuf jours dans la zone de transit de l’aéroport de Moscou. L’informaticien et ancien consultant de la NSA s’est exprimé par vidéoconférence le 10 mars dernier à l’occasion du festival South by Southwest – rendez-vous annuel consacré aux nouvelles technologies à Austin (Texas). « La NSA met le feu à Internet, vous êtes les pompiers qui peuvent le sauver », a-t-il lancé à ceux qu’ils considèrent comme « la communauté qui construit Internet ».

 

 

26/03/2014

La vérité sur Maidan Kiev, les faits passés sous silence des médias!!!

Est-ce que c'est Poutine et la Russie qui ont financé les nazis et qui leur ont donné l'ordre d'attaquer les forces de police et de sécurité ?

La vérité sur Maidan Kiev, les faits passés sous silence des médias!!!

https://www.youtube.com/watch?v=z2qvf6lugWI&feature=youtu.be

Michel Collon : Ukraine et médiamensonges,
comment ne pas se faire manipuler ?

https://www.youtube.com/watch?v=uTp6CIHh4qs

 

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Une question ?

Comment les autorités nazies de l’UEUS/Sionistes peuvent-elles faire signer des accords avec l’UE à un « gouvernement illégitime et nazi installé en Ukraine par les USA » ?

Quand est-ce que les élections démocratiques ont eu lieu en Ukraine depuis le coup d’état organisé en Ukraine contre l’ancien président Ukrainien ?


Ces documents qui vont emprisonner le Peuple Ukrainien, sont tout simplement INVALIDES !

Tout comme le mythe de l’UNION EUROPENNE est INVALIDE dans la mesure où aucun peuple européen n’a jamais voté pour élire ces représentants fantoches, quand les peuples n’ont pas été privés purement et simplement de référendums pour voter la Constitution Européenne !

Et nous allons encore payer pour l’Ukraine ?

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Le Monde.fr | 21.03.2014 à 10h20 • Mis à jour le 21.03.2014 à 12h46

Le premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, a signé, vendredi 21 mars, lors du sommet des chefs d'Etat de l'Union européenne (UE), le premier volet de l'accord d'association entre son pays et l'UE. C'est le refus d'entériner ce document par les précédentes autorités ukrainiennes qui avait déclenché la révolution de Maïdan, à la fin de novembre, et la chute de Viktor Ianoukovitch.

  • Que contient cet accord ?

Négocié entre 2007 à 2012, l'accord d'association entre l'UE et l'Ukraine doit remplacer l'accord de partenariat et de coopération (APC), qui régit leurs relations depuis 1998. Qualifié « d'ambitieux et de novateur » par la Commission européenne, il doit permettre à Kiev de se rapprocher fortement de Bruxelles, mais il n'inclut pas de perspective d'adhésion à l'UE pour l'Ukraine.

L'accord prévoit une coopération avancée dans différents secteurs, dont la politique extérieure, la politique énergétique et nucléaire, et les domaines légal et judiciaire. Un chapitre entier est aussi consacré à la création d'une zone de libre-échange, comprenant la mise en place de normes communes. Ces différents dispositifs doivent, de plus, être renforcés par des négociations sur la libéralisation du régime des visas.

L'accord d'association aurait dû être signé à Vilnius, les 28 et 29 décembre 2013, lors d'un sommet où étaient aussi conviés l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Géorgie, la Moldavie et la Biélorussie. Mais, une semaine avant ce sommet, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch avait annoncé son refus de signer. C'est suite à cette volte-face que les manifestants investirent la place de l'Indépendance, à Kiev.

Lire : Partenariat oriental de l'UE : ce qui se joue au sommet de Vilnius

  •  Qu'est-ce qui a été signé le 21 mars ?

Le volet « politique » de l'accord. Concrètement, il s'agit du préambule, et des chapitres 1, 2 et 7. Ce sont les parties les plus symboliques : le chapitre 1 énonce les grands principes de l'accord, le deuxième aborde le dialogue politique, et le septième les dispositions générales.

« Le volet politique de l'accord réaffirme les valeurs européennes et la nécessité d'une coopération institutionnelle, expliquait au Monde en début de semaine le ministre français chargé des affaires européennes, Thierry Repentin. Il comporte aussi plusieurs points pratiques, et notamment un volet sur la mobilité, avec une levée des visas pour les Ukrainiens circulant dans l'Union européenne.

Les points importants de l'accord, comme les mesures de coopération et la zone de libre-échange, se trouvent dans d'autres chapitres. Ils ne rentreront donc pas en vigueur suite à la signature.

La Commission compte tout de même offrir une aide économique à court terme à l'Ukraine, à travers deux actions. Premièrement, un prêt d'un milliard d'euros, proposé le 19 mars. Deuxièmement, une baisse des droits de douane pour les importations en provenance d'Ukraine. Cette dernière mesure, qui devrait permettre à l'Ukraine d'économiser un demi-milliard d'euros sur un an, a été approuvée par la Commission le 15 mars. Elle devrait entrer en vigueur dans les prochaines semaines, après approbation du Conseil et du Parlement.

  • Pourquoi signe-t-on le volet politique maintenant ?

A la Commission, on explique que cette signature constitue un signal fort, alors que la Russie vient d'annexer la Crimée. « C'est un signe de solidarité, pour montrer notre soutien », résume Maja Kocijanci, porte-parole de Catherine Ashton, haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères. « On veut montrer à la Russie qu'on soutient toujours l'Ukraine », complète Peter Stano, porte-parole de Stefan Füle, le commissaire européen chargé de l'élargissement et de la politique de voisinage.

« Il faut accompagner l'Ukraine vers un autre avenir, renchérissait Thierry Repentin. Cet accord établit les bases pour une future négociation politique et fait rentrer l'Ukraine dans un grand forum démocratique. »

Lire : Poutine : 1, Merkel et Obama : 0

  • Quand sera signée la seconde partie ?

Pas avant l'élection présidentielle du 25 mai et la formation d'un nouveau gouvernement. « Nous voulons un gouvernement démocratiquement élu, avec un fort soutien des électeurs », explique Peter Stano. Selon lui, les réformes à mener seront de grande ampleur, et nécessiteront donc un fort engagement du gouvernement et de la population.

Pour autant, la date n'est pas fixée. Le Conseil européen, à l'issue de sa réunion du 6 mars, déclarait que cela devait se faire d'ici à la fin août 2014. La Commission, elle, vise le 1er novembre comme date butoir. Pour ne pas retarder l'application du dispositif de libre-échange, la Commission et le gouvernement ukrainien ont convenu de l'appliquer dès qu'il sera signé, avant même sa ratification par le Parlement.

L'Ukraine espère obtenir 15 milliards de dollars (10,8 milliards d'euros) du FMI, avec lequel elle est actuellement en négociation. L'organisme international imposera, en échange, un plan d'austérité. Une hausse du prix du gaz, l'augmentation de l'âge de la retraite et la privatisation des mines publiques sont d'ores et déjà anoncées.

Jean Comte

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/21/l-ukraine-a-signe-un-accord-d-association-avec-l-ue_4386643_3214.html

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Et voilà qui sont les amis de Fabius, de BHL, de Hollande, du CRIF et CIE ! Ensuite les nazis qui nous gouvernent à partir de l’UESA/Sioniste feront porter la faute sur Poutine et la Russie qu’ils accusent d’avoir provoqué les troubles en Ukraine et de violer le droit international !


Et le pire c’est que ce sont les Européens, c’est-à-dire nous tous qui allons payer pour entretenir la corruption, les crimes  et tous ces nazis en Ukraine que l’UESA s’est engagée à aider financièrement pour les sortir de leurs dettes colossales engendrées par la corruption !

 

Alors que les Peuples européens veulent sortir de la prison de l’UESA/Sioniste, et bien non, il faut continuer à jouer de l’expansionnisme vers les pays européens pour encercler et isoler la Russie avec l’OTAN.

Si ce n’est pas de la provocation pour déclencher la 3ème guerre mondiale contre la Russie et la Chine, on peut se demander ce que c’est ?  

N’est-ce pas SARKOZY et Hollande qui veulent faire rentrer la Turquie qui s’attaque à la Syrie dans l’Union Européenne ?

Jusqu’à quand allons-nous les laisser faire, commettre des crimes en notre nom, avec notre argent et nous ruiner ?

Comme vous l’aurez aussi compris, ils sont en train d’organiser l’épuration ethnique des Russes et des Juifs qui vivent en Ukraine, car ces néonazis sont en prime racistes et antisémites !

Et là, personne ne s’offusque du geste nazi fait par les nazis d’Ukraine, c’est le geste de la Quenelle de Dieudonné qui était un geste antisémite, bien que la caste sioniste qui dirige la France ait pris le soin de préciser qu’il s’agissait du "geste nazi inversé" ! C’est donc le monde inversé et les accusations inversées contre Poutine et la Russie !

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Mondialisation.ca, 25 mars 2014


Selon le New York Times, « Les États-Unis et l’Union européenne ont épousé la révolution ici comme un autre essor de la démocratie, un coup contre l’autoritarisme et la cleptocratie dans l’ancien espace soviétique ». (After Initial Triumph, Ukraine’s Leaders Face Battle for Credibility, NYTimes.com, 1er mars 2014. C’est l’auteur qui souligne.)

« Essor de la démocratie »? « Révolution »? La dure réalité est tout autre. Il s’agit d’un coup d’État appuyé par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN en violation flagrante du droit international.

La vérité interdite est que l’Occident, grâce à une opération clandestine soigneusement mise en scène, a conçu un régime par procuration intégré par des néonazis.

Les principales organisations en Ukraine, y compris le parti néonazi Svoboda, ont été généreusement soutenues par Washington, ce qu’a confirmé la secrétaire d’État adjoint, Mme Victoria Nuland : « Nous avons investi plus de 5 milliards de dollars pour aider l’Ukraine à atteindre, entre autres, ces objectifs [...] Nous allons continuer à faire avancer l’Ukraine vers l’avenir qu’elle mérite. »

Les médias occidentaux ont tout simplement évité d’analyser la composition et les fondements idéologiques de la coalition gouvernementale. Le terme « néonazi » est tabou. Il a été exclu du vocabulaire des chroniqueurs des médias de masse. Il n’apparaîtra pas dans les pages du New York Times, du Washington Post ou de l’Independent. Les journalistes ont reçu comme consigne de ne pas utiliser le terme « néonazi » pour désigner les partis Svoboda (Liberté) et Pravy Sektor (Secteur de droite).

Composition du gouvernement de coalition

Il n’est pas question d’un gouvernement de transition au sein duquel des éléments néonazis ont intégré la frange de la coalition, officiellement dirigée par le parti Batkivschina (la Patrie).

Le Cabinet est non seulement intégré par les deux principales entités néonazies, Svoboda et Pravy Sektor (sans compter les anciens membres de la défunte organisation fasciste UNA-UNSO), on leur a également confié des postes clés qui leur donnent de facto le contrôle sur les forces armées, la police, la justice et la sécurité nationale.

Bien que le parti Batkivschina de Yatsenuyk contrôle la majorité des portefeuilles et que le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok n’ait pas obtenu de poste ministériel important (apparemment à la demande de la secrétaire d’État adjoint Victoria Nuland), les membres de Svoboda et de Pravy Sektor occupent des postes clés dans les domaines de la défense, de l’application de la loi, de l’éducation et des affaires économiques.

Le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok

La secrétaire d’État étasunienne Victoria Nuland avec le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok (à gauche)

Andriy Parubiy [à droite], co-fondateur du Parti national-socialiste de l’Ukraine (parti néonazi rebaptisé Svoboda), a été nommé secrétaire de la Commission de la sécurité et de la défense nationale (RNBOU) (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé chargé de superviser le ministère de la Défense, les Forces armées, l’application de la loi, la Sécurité nationale et le renseignement. Le RNBOU est l’organe de décision central. Bien qu’il soit formellement dirigé par le président, il est géré par le secrétariat avec un personnel de 180 membres, incluant la défense, le renseignement et des experts de la sécurité nationale.

Parubiy a été l’un des principaux dirigeants de la révolution orange en 2004. Son organisation a été financée par l’Occident. Les médias occidentaux le surnomment le « kommandant » du mouvement EuroMaidan. Andriy Parubiy, tout conmme le chef du parti Oleh Tyahnybok, est un adepte du nazi ukrainien Stepan Bandera, qui a collaboré au massacre des juifs et des Polonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Marche en l’honneur du néonazi Stepan Bandera

Pour sa part, Dmytro Yarosh, chef de la délégation de Pravy Sektor au parlement, a été nommé secrétaire adjoint de Parubiy à la RNBOU.

Yarosh était le chef du groupe paramilitaire des chemises brunes néonazies durant les « manifestations » du mouvement EuroMaidan. Il a appelé à dissocier le parti des régions et du parti communiste.

Discours de Dmytro Yarosh à Euromaidan (Centre)

Le parti néonazi contrôle également le processus judiciaire avec la nomination d’Oleh Makhnitsky du parti Svoboda au poste de procureur général de l’Ukraine. Quelle sorte de justice prévaudra avec un néonazi renommé en charge du Bureau du Procureur de l’Ukraine?

Des postes au Cabinet ont également été attribués à d’anciens membres de l’Assemblée nationale ukrainienne – Autodéfense  nationale ukrainienne (UNA-UNSO), une organisation néonazie marginale:

« Tetyana Chernovol, que la presse occidentale dépeint comme une journaliste d’enquête militante sans faire référence à son implication passée dans l’organisation antisémite UNA-UNSO, a été nommée présidente du comité gouvernemental anticorruption. Dmytro Bulatov, connu pour son enlèvement présumé par la police, mais aussi pour ses liens avec UNA-UNSO, a été nommé ministre de la jeunesse et des sports.

Yegor Sobolev, chef d’un groupe de citoyens de la place de l’Indépendance et politiquement proche Iatseniouk, a été nommé président de la Commission d’épuration, chargée de purger du gouvernement et de la vie publique les adeptes du président Ianoukovitch. (Voir Ukraine Transition Government: Neo-Nazis in Control of Armed Forces, National Security, Economy, Justice and Education, Global Research, 2 mars 2014)

Le Comité d’épuration organisera la chasse aux sorcières contre tous les adversaires du nouveau régime néonazi. Les cibles de la campagne de purges sont des personnes en position d’autorité au sein de la fonction publique, des gouvernements régionaux et municipaux, de l’éducation, de la recherche, etc. Le terme « épuration » fait référence à la « disqualification massive » des personnes associées à l’ancien gouvernement. Il a également des connotations raciales. Selon toute probabilité, l’épuration sera dirigée contre les communistes, les Russes et les membres de la communauté juive.

Il est important de réfléchir sur le fait que l’Occident, officiellement dévoué aux valeurs démocratiques, a non seulement orchestré la chute d’un président élu, mais il a également instauré un régime politique intégré par les néonazis.

C’est un gouvernement par procuration permettant aux États-Unis, à l’OTAN et à l’UE d’interférer dans les affaires intérieures de l’Ukraine et de démanteler ses relations bilatérales avec la Fédération de Russie. Il faut cependant comprendre que ce ne sont pas les néonazis qui mènent le bal. La composition du Cabinet coïncide largement avec les « recommandations » qu’avait faites la secrétaire d’État adjoint des États-Unis, Victoria Nuland, à l’ambassadeur américain en Ukraine lors d’un appel ayant fait l’objet d’une fuite.

Washington a choisi de mettre les néonazis dans des positions d’autorité. En vertu d’un « régime de gouvernance indirecte », ces derniers prennent toutefois leurs ordres du département d’État étasunien, du Pentagone et de l’OTAN en ce qui concerne les décisions cruciales en matière de politique étrangère et militaire, dont le déploiement de troupes contre la Fédération de Russie.

Le monde est à un carrefour dangereux: Les structures et la composition de ce gouvernement par procuration installé par l’Occident ne favorisent pas le dialogue avec le gouvernement et l’armée russes.

 

Un scénario d’escalade militaire menant à la confrontation entre la Russie et l’OTAN est tout à fait possible. Le RNBOU, contrôlé par les néonazis, joue un rôle central dans les affaires militaires. Dans la confrontation avec Moscou, le RNBOU, dirigé par le néonazi Parubiy et son adjoint chemise brune Dmytro Yarosh, pourrait prendre des décisions, en consultation avec Washington et Bruxelles, pouvant avoir des conséquences dévastatrices.

Cependant, il va sans dire que l’« appui » des États-Unis à la formation d’un gouvernement néonazi n’implique aucunement le développement de « tendances fascistes » au sein de la Maison Blanche, du département d’État et du Congrès.

« L’essor de la démocratie » en Ukraine, pour reprendre les termes du New York Times, est approuvé par les républicains et les démocrates. Il s’agit d’un projet bipartisan. Rappelons-nous que le sénateur John McCain est un fervent partisan et ami du chef néonazi de Svoboda, Oleh Tyahnybok (image à droite).

Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


Guerre et mondialisation


Mondialisation de la pauvreté.

 

Article original : The U.S. has Installed a Neo-Nazi Government in Ukraine

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca