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14/10/2015

L'armée syrienne lance une offensive d'envergure

 

L'armée syrienne lance une offensive d'envergure
14:35 14.10.2015 (mis à jour 14:36 14.10.2015)

Armée syrienne dans la banlieue de Damas

 

L'armée syrienne a lancé mercredi une vaste offensive, reprenant le contrôle de plusieurs édifices dans la banlieue de Damas.

Les troupes gouvernementales ont lancé une opération antiterroriste à Harasta et à Jobar, dans la banlieue est de Damas, a annoncé à l'agence Sputnik une source au sein de l'armée syrienne.

 "L’armée a engagé une opération dans les villes de Jobar et de Harasta. A Jobar, les troupes syriennes ont repris le contrôle de plusieurs bâtiments", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

La ville de Jobar figure parmi les principaux bastions des terroristes dans la banlieue de Damas. La plupart des bandes armées déployées dans la région sont aux ordres du groupe salafiste Ahrar al-Sham dirigé par Zahran Alloush. Ce groupe procède régulièrement à des bombardements de Damas, qui ont déjà fait des centaines de morts civils.

 

 

 

Les avions russes ont réalisé 41 missions contre Daech en Syrie

Et pendant que l'armée russe tente de libérer les opprimés, la coalition criminelle des USA tue 52 civils et détruit une centrale électrique et un transformateur à Alep  !

Frappes US: pourquoi bombarder une centrale électrique?

La coalition internationale menée par les Etats-Unis continue ses frappes aériennes à Alep, en Syrie, ayant tué récemment 52 civils et aucun terroriste de l'EI, a indiqué un groupe de défense des droits de l’homme. Le président russe s'interroge sur les objectifs de ces frappes et sur les cibles visées.

"Dimanche, l'aviation américaine a bombardé une centrale électrique et un transformateur à Alep. Pourquoi ont-ils fait cela? Qui ont-ils puni? Qu'est-ce que cela signifie? Personne ne comprend", a remarqué le président russe Vladimir Poutine lors d'une réunion avec les membres du gouvernement.

 

Les avions russes ont réalisé 41 missions contre Daech en Syrie

13:48 14.10.2015 (mis à jour 15:08 14.10.2015)

avions russes à la base aérienne Hmeymim en Syrie

Les forces aériennes russes ont réalisé 41 missions contre 40 sites d'infrastructure du groupe terroriste Daech en Syrie dans les provinces d'Alep, Idlib, Lattaquié et Hama, a annoncé le ministère russe de la Défense.

"Les bombardiers Su-24M ont effectué des frappes ciblées près de la ville d'Alep visant des sites d'infrastructure utilisés par les combattants (de l'EI, ndlr) qui y fabriquaient des engins explosifs afin de les installer sur des voitures et commettre des attentats–suicides", a annoncé mercredi Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.

Selon lui, les terroristes planifiaient d'utiliser ces véhicules afin de réaliser des attentats en Syrie et d'attaquer les positions de l'armée nationale.


Le 30 septembre l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

 


 

Il y a deux manière de conquérir une nation ....

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Le dernier coup anti-OTAN de Russie/Iran?!

 

Voir aussi : Poutine interdit l'accès des USA et de l'OTAN dans le Mer Caspienne !

Le dernier coup anti-OTAN de Russie/Iran?!

vendredi, 03 octobre 2014 07:56

 Le dernier coup anti-OTAN de Russie/Iran?!

 

IRIB- Une revue électronique russe, Eurasia.net, se penche sur la déclaration du récent Sommet d'Astrakhan, en y voyant une grande victoire, pour l'axe Iran/Russie : "Le Sommet des pays du pourtour de la Caspienne a empêché, en réalité, la présence militaire des Etats Unis, dans cette grande mer.

Via des accords de coopérations militaires, les deux grandes puissances du littoral ont, ainsi, bloqué toute présence des Etats Unis et de l'OTAN" .

"La déclaration finale a été, en réalité, un message très clair, à l'adresse de l'Etat le plus proche de l'OTAN du littoral de la Caspienne, à savoir, l'Azerbaïdjan. Les coopérations de Bakou avec l'OTAN a, en quelque sorte, réduit, de façon très sensible, les liens azéris avec le dossier de la sécurité, en mer Caspienne. Moscou et Téhéran n'entendent, nullement, laisser les Azéris jouer le rôle du cheval de Troie, dans cette mer".

Poutine a souligné, le 29 septembre, à Astrakhan, "le principe de garantir la stabilité et la sécurité de la Caspienne, auquel ne peuvent participer que, seuls, les cinq pays riverains. En ce sens, seuls, ces Etats ont le droit de détenir des forces militaires, dans cette mer".

De son côté, Rohani a affirmé : "Tous les pays du bassin de la Caspienne sont unanimes à affirmer qu'ils sont, parfaitement, à mêmes d'assurer, eux-mêmes, la sécurité de la Caspienne, et qu'aucune force étrangère ne devra s'engager, dans ces eaux".

La revue souligne que cette prise de position conjointe intervient, dans un contexte de haute tension entre l'Iran et la Russie, d'une part, et les Etats Unis et l'Occident, de l'autre.

Les deux Etats se sentiront, directement, menacés, en cas d'une présence militaire "extrarégionale", en Caspienne".

"La Russie connaît une période de très grande turbulence avec l'Occident, autour du dossier ukrainien, période qui remémore l'époque de la guerre froide. Quant à l'Iran, le pays, engagé dans des négociations nucléaires, n'a aucun doute sur l'intention des pays occidentaux d'utiliser les alliances avec les pays de la Caspienne, dans le sens de davantage de pressions sur Téhéran.

Aussi bien l'Iran que la Russie ont les yeux rivés, sur les moindres gestes et actes de l'Azerbaïdjan. Cet ex-république soviétique, détentrice de vastes gisements de pétrole et de gaz, entretient des relations stratégiques, depuis 91, avec l'OTAN et l'Occident.

L'oléoduc Bakou-Tblissi-Jeyhan et celui de Bakou-Tblissi-Erzeroum sont deux constructions, placées, géographiquement, dans une zone hors de la portée stratégique de Moscou. Le président azéri n'a, d'ailleurs, pas hésité à rappeler, au cours du dernier Sommet de l'OTAN, que son pays est un " partenaire fiable", pour l'Alliance.

Depuis 2002, Bakou a fourni, d'ailleurs, une partie des forces de l'Issaf, en Afghanistan, et, en ce moment, il fait tout, pour renforcer le soutien logistique à l'OTAN.

Il en va de même, pour le Kazakhstan, qui devra mener des discussions, pour installer une base militaire US et de l'OTAN, dans le port de Aktao.

Les Etats Unis soudoient, aussi, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, et le Kirghizistan, en leur accordant des aides destinées à étendre leur puissance défensive, et, surtout, leur force navale. 

L'accord du Sommet d'Astrakhan prend, ainsi, tout son sens. Le fait que les cinq pays du pourtour aient décidé, sous la pression russo-iranienne, d'interdire une présence militaire occidentale, dans la Caspienne, signifie, de facto, l'impossibilité de la formation d'une base de l'OTAN, aux portes de l'Iran et de la Russie.

C'est une décision, qui pourrait avoir, aussi, des répercussions énergétiques. La Russie s'oppose à ce qu'un gazoduc reliant le Turkménistan à l'Azerbaïdjan traverse la Caspienne, et elle compte faire des pressions sur ces deux Etats.

Si l'OTAN avait trouvé l'occasion d'avoir une présence militaire, en Caspienne, elle aurait pu imposer ce "gazoduc", via un déploiement de force militaire. Une base navale otanienne, en Caspienne, aurait été une menace, pour la Russie. Sans l'OTAN, la Russie pourra négocier le projet de la construction de ce gazoduc et tout pourra être réglé à l'amiable.

La Russie et l'Iran ont réussi, ensemble, à empêcher la Caspienne de devenir un nouveau golfe Persique.

 

Des forces spéciales US au sud de la Syrie ?

Une raison qui expliquerait pourquoi ils sont tous excités et désireux que Poutine cesse ses frappes en Syrie !

Il semblerait que l’armée Syrienne ait des doutes sur le fait de savoir si des forces spéciales US ne seraient pas présentes dans le Sud de la Syrie, comme le suggère les drones américains abattus.

Les USA ont reconnu avoir des drones en Syrie. La question est donc celle de savoir si ce sont les forces spéciales US en mission dans le Sud de la Syrie qui les utilisent ou si ce sont les mercenaires US qui le font, comme c’était le cas pour les forces spéciales du SAS britannique déguisées en « rebelles de l’EI ?

Ce qui représenterait une invasion et une grave violation du territoire devant la loi et que Poutine chercherait à leur faire avouer ou à dénoncer.

Les forces spéciales du SAS britannique déguisés en “rebelles de l’EIIL” combattent Assad en Syrie

Pour le Pentagone, les avions russes ne sont pas une menace pour les drones américains en Syrie

 

Les articles sont en anglais avec la traduction ci-dessous

U.S. special forces in south Syria? Downed drone suggests just that

There Are U.S. Special Forces In South Syria

Traduction  Google de l’article : ICI
Moon of Alabama
Mon, 12 Oct 2015 09:39 UTC

http://www.sott.net/image/s13/273816/large/12106871_475805955959290_26984.jpg

Hassan Ridha @sayed_ridha
Drone downed by #SAA over Izraa #Daraa countryside
http://pic.twitter.com/sHPTthL1Yv

 

 More pictures of the debris can be found here.


The various munition experts on Twitter agree that this is debris of an Aerovironment
Switchblade (Datasheet-pdf) loitering munition "for use against beyond-line-of-sight (BLOS) targets":

This miniature intelligence, surveillance, and reconnaissance (ISR) and lethal platform can be operated manually or autonomously. Switchblade provides the operator with real-time video and GPS coordinates for information gathering, targeting or feature/object recognition.

The switchblade has the size of a remote piloted hobby plane but features a visual and infrared camera and an explosive charge. It can be "suicided" on a target. According to the datasheet the battery powered killer drone has a "10 km radius of operation".

Izraa, where the debris was found,
lies (map) at the crossing of the M5 highway from Amman in Jordan north to Damascus and road 109 which runs west to east through south Syria. Izraa is about 40 km north of the Syrian Jordan border and 40 km east of the Golan demarcation line. Anyone who used this armed drone must have been on Syrian ground.

The U.S. Army and the U.S. Marine Corp are the only
known users. Since 2012 the weapons has been used in Afghanistan. The system surely requires significant training. Controlling a remote plane 10 km away over unknown terrain is not easy. This excludes the use of the system by some more or less untrained Syrian mercenaries.

My conclusion is that U.S. soldiers, likely some special forces, are in south Syria on Syrian ground on either reconnaissance or targeted killing missions. This is an invasion in violation of international law.

Russia
plans to more than triple the airstrike sorties it flies per day in Syria. This to support the several thousand new fighters coming in now from Afghanistan, Iran, Iraq and Lebanon to help the Syrian government and its people.

There should then be enough available flights and men to expulse the intruders from south Syria.


Comment: If true, this is flagrantly criminal and the U.S. will do whatever it can to avoid the truth coming to light. Think about it this way: there are U.S. special forces and intelligence operatives on the ground in Syria, but the U.S. cannot admit this. Russia is conducting hundreds of airstrikes, which the U.S. claims are "not targeting ISIS". Put that together and what do you get? Perhaps Russia is targeting U.S. operatives who have been engaging in acts of terrorism (that's what cover operatives tend to do, after all)? If so, there isn't a thing the U.S. can say or do to stop it.

See also:
Undercover British SAS operatives dressed up as ISIS terrorist fighting Assad in Syria


Delta Force | SEAL Team 6 – Special Mission Unit

http://tacticalclips.com/special-forces/delta-force-seal-team-6-special-mission-unit/