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20/04/2011

Boissons Énergisantes - Risques pour la santé


Une récente analyse publiée dans la revue Pediatrics indique que les boissons énergisantes seraient mauvaises pour la santé des enfants.

Le Dr Steven Lipshultz et ses collègues du département de pédiatrie de l'Université de Floride ont compilé les résultats de plusieurs études concernant les effets des boissons énergisantes sur la santé.

Ils ont découvert que de 30 à 50 % des enfants en consomment et que ces produits peuvent se révéler nocifs sans même améliorer les performances ou le niveau d'énergie de ceux qui en font usage.
Les effets nocifs seraient pires encore pour les jeunes qui souffrent de diabète, de problèmes cardiaques ou de trouble de déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH).

Le Dr Lipshultz souligne que les boissons énergisantes contiennent beaucoup de caféine, ce qui peut être particulièrement dévastateur pour les enfants qui prennent des médicaments pour traiter le TDAH.

Ces médicaments agissent en effet comme des stimulants, ce qui, ajouté à la caféine, «pourrait ne pas produire les effets désirés en terme de concentration», soutient le scientifique. Il met aussi en garde les parents dont l'enfant est diabétique, car ces boissons contiennent beaucoup de sucre, ce qui entraîne un déséquilibre du taux de sucre et d'insuline.

En Allemagne, où l'on surveille les effets de ces boissons depuis 2002, on a déjà recensé des cas de lésions au foie, de problèmes respiratoires, d'accélération du rythme cardiaque et même des décès.


http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2011/04/20110416-112041.html
 

Boissons Énergisantes - Risques pour la santé

 

01:17 Publié dans Alertes, Disparitions, Alimentation, Santé, Médecine | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

19/04/2011

Virus = maladie ?

Ecoutez bien cette vidéo.

Vous comprendrez que le virus a toujours été à l'origine de la vie et de l'évolution de l'homme et qu'il n'est pas forcément pathogène.

Voir la définition du virus sur Wikipédia.

Le virus qui fait débat parmi les virologues

Il y a débat sur la nature des virus.

Les virus possèdent des constituants en commun avec les cellules vivantes, comme un acide nucléique (ADN ou ARN) et des protéines. Cependant, selon la définition du biochimiste Wendell Stanley, les virus sont de « simples » associations de molécules biologiques. Ils sont le fruit d’une auto-organisation de molécules organiques et ne sont donc pas vivants. François Jacob insiste aussi sur cette caractéristique des virus : « placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants »[6]. Les virus ne peuvent se multiplier qu’en utilisant l’équipement enzymatique d’une cellule vivante. De plus, les virus contiennent bien un acide nucléique, de l’ADN ou de l’ARN, mais pas les deux (sauf le mimivirus, évoqué plus haut), à la différence des cellules vivantes.

Au cours des dernières années, des entités intermédiaires sont découvertes : le mimivirus, infectant une amibe, possède dans son génome 1 200 gènes (davantage que certaines bactéries). Certains de ces gènes participeraient à la synthèse protéique et à des mécanismes de réparation de l’ADN [7]. Il existe chez le mimivirus une trentaine de gènes présents habituellement chez les organismes cellulaires mais absents chez les virus. Le virus ATV d’archées présente lui aussi des caractéristiques étonnantes : ce virus en forme de citron présente la particularité de se modifier en dehors du contexte cellulaire par un mécanisme actif. Il est capable de s’allonger à chaque extrémité à une température de 80 °C, température à laquelle vit son hôte Acidianus à proximité des sources hydrothermales[8]. Néanmoins organes et échanges cycliques, donc métabolisme, restent absents.

Les virus ont aussi un rôle dans l’évolution. Patrick Forterre avance même l’hypothèse que les virus seraient les « inventeurs » de l’ADN [9]. À l’origine de la vie, l’ARN dominait (hypothèse du monde à ARN) et assurait à la fois les fonctions de stockage et transmission de l’information génétique et de catalyse des réactions chimiques. L’ADN serait apparu ensuite et sélectionné en raison de sa plus grande stabilité. D’après Patrick Forterre, le premier organisme à ADN serait un virus. L'ADN conférerait au virus le pouvoir de résister à des enzymes dégradant les génomes à ARN, arme de défense probable des protocellules. On retrouve le même principe chez des virus actuels, qui altèrent leur ADN pour résister à des enzymes produites par des bactéries infectées.

Le débat entre le caractère vivant ou inerte des virus reste encore aujourd’hui ouvert. Répondre à cette question exige de répondre au préalable à une autre : qu’est-ce que la vie ? D’après Ali Saïb, « la notion du vivant est une notion dynamique, évoluant en fonction de nos connaissances. En conséquence, la frontière entre la matière inerte et le vivant est tout aussi instable » [10]. L'existence ou non d'un métabolisme, c'est-à-dire de cycles chimiques participant au seul maintien de la structure (et non à sa reproduction) constitue un discriminant possible, et en tout cas commode.

Rôle dans l'évolution

Article principal : Transfert horizontal de gènes.

Les virus ont un rôle naturel important de véhicule pour le transfert de gênes entre des espèces différentes, ce qui accroit la diversité génétique, et permet de disséminer des innovations génétiques au-delà de la descendance de l'individu porteur de cette mutation génétique.[11]On pense que les virus ont joués un rôle central dans les premiers temps de l'évolution, avant la diversification entre bactéries, archaea et eucaryotes et à l'époque du Dernier ancêtre commun universel de la vie sur terre. Les virus sont encore l'un des plus grands réservoirs sur la Terre de diversité génétique inexplorée.[12]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus


Tous les virus sont-ils pathogènes ? Sommes-nous tous égaux face à une infection virale ? Certains virus ne sont-ils pas utiles ? Armé de ses feutres et de son tableau blanc, le virologue Ali Saïb revient sur certaines idées reçues autour de ces microbes finalement méconnus.

Précédent numéro de la série Ali Saïb au tableau ! dans MENU / Vidéos de la série.
Réalisation : Roland Cros
Production : Universcience 2010

Virus = maladie ?

http://www.youtube.com/watch?v=OkQWdLTbr0M&feature=up...




 

 

10/04/2011

Luc Montagnier s’exile en Chine pour échapper à la « terreur intellectuelle »

Et ça vous étonne ?

Publié : le 09/04/2011 par Benji dans Médical et alimentation

 Cela fait longtemps que je n’avais pas parlé de lui, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, « découvreur » du virus du sida qui n’était plus vraiment médiatisé, et pour cause, sa révélation sur le sida n’arrangeait pas les lobbys pharmaceutiques qui gagnent beaucoup d’argent sur cette maladie, mais j’y reviendrai en fin d’article. En attendant, il s’exile en Chine pour lancer un « nouveau mouvement scientifique » dans un institut éponyme.

3 avril 2011 (Nouvelle Solidarité) – Alors que le regain de l’activité solaire, les tremblements de terre ainsi que les tsunamis violents observés tout au long de la Ceinture de feu, renvoient l’homme à son ignorance devant la complexité de l’univers, il est désolant de constater que nos meilleurs chercheurs fuient en Asie où l’on reste plus ouvert à cette vieille idée européenne : le progrès.

Parmi les derniers exemples en date, le professeur Luc Montagnier, qui annonce, dans un entretien accordé en décembre 2010 à la revue scientifique américaine Science, qu’il s’exilait, à l’âge de 78 ans, en Chine pour échapper à « la terreur intellectuelle » qui pénalise la recherche en Europe.

Biologiste, virologue et co-lauréat du Prix Nobel avec Françoise Barré-Sinoussi pour avoir découvert en 1983 le VIH, le virus responsable du SIDA, Montagnier, annonce qu’il prendra la direction d’un institut portant son nom à Shanghaï, pour « travailler sur un nouveau mouvement scientifique à la croisée de la physique, la biologie et la médecine. L’objet principal sera ce phénomène d’ondes électromagnétiques produites par l’ADN dans l’eau. Nous étudierons aussi bien la base théorique que les applications possibles en médecine ».

C’est une excellente nouvelle ! Rappelons ici que dès 1983, face à l’émergence de nouvelles pandémies et conscient des limites de la biologie moléculaire, Lyndon LaRouche lança un appel en faveur d’une « initiative de défense biologique » sommant les gouvernements d’offrir « un chèque en blanc » aux chercheurs capables de faire une révolution en biophysique.

Ce projet fut d’ailleurs présenté à Paris en juin 1986 par Jacques Cheminade, lors d’une conférence sur le thème « Louis Pasteur, source d’une nouvelle renaissance scientifique » et les actes de la conférence, comprenant plusieurs contributions de chercheurs de premier plan, notamment celle de Fritz-Albert Popp sur « Le rôle probable de l’ADN dans la photoémission ultrafaible des systèmes biologiques », furent publié sous la forme d’un livre tiré à plusieurs milliers d’exemplaires.

Dans l’avant-propos de ce recueil, qui retrace comment Pasteur révolutionna la compréhension du vivant grâce aux nouvelles découvertes de Fresnel, Malus, Arago et Biot dans le domaine de l’optique, on lit : « Aujourd’hui, la mise au point des lasers à courte longueur d’onde et les instruments spectroscopiques hypersensibles ouvrent une voie nouvelle de l’optique. Nous pouvons mesurer la lueur d’une bougie distante de vingt kilomètres, et détecter par sa « signature spectrale » la présence d’une seule molécule « étrangère »dans un verre d’eau. »

Contrairement aux idées reçues, l’opposition à la recherche ne se résume pas à une question financière. Car, ce qui semble troubler profondément nos grands prêtres de la science officielle, c’est que la démarche de Montagnier relance la controverse autour des travaux en 1988 du chercheur de l’INSERM, Jacques Benveniste (1935-2004), à l’époque présentée par la presse comme l’affaire de la « mémoire de l’eau ». Montagnier affirme aujourd’hui que Benveniste est un « Galilée des temps modernes ».

Luc Montagnier :
« Benveniste fut rejeté par tout le monde, parce qu’il était trop en avance. Il avait tout perdu, son laboratoire, son argent… Je pense que pour l’essentiel, il était dans le vrai, mais le problème était que ses résultats n’étaient pas reproductibles à 100% ».

Ensuite, lorsque la revue Science lui demande de quelles ondes il s’agit, Montagnier répond : « Ce que nous avons trouvé c’est que l’ADN produit des changements structurels dans l’eau qui persistent lors de dilutions élevées, et qui conduisent à des signaux de résonance électromagnétique détectables. Tout ADN ne produit pas [systématiquement] des signaux détectables avec notre dispositif. Les signaux à haute intensité proviennent d’ADN bactérien et viral ».

Science
:
« Ne pouvez-vous pas poursuivre vos recherches en France ? »

Luc Montagnier :
« Je ne dispose pas de beaucoup de financement ici. A cause des lois françaises sur les retraites, je ne suis plus autorisé à travailler dans une institution publique. J’ai sollicité des financements d’autres sources, mais on me les a refusés. Il existe une espèce de peur sur cette question en Europe. On me dit que certains ont reproduit avec succès les expériences de Benveniste, mais ils ont peur de les publier à cause de la terreur intellectuelle de la part de ceux qui ne les comprennent pas ».


Source de l’article: solidariteetprogres.org

Quantcast

Revenons-en à cette fameuse déclaration sur le SIDA, une interview dans laquelle il explique que cette maladie se soigne en fait très bien et en fait, c’est juste une grosse arnaque destinée à faire gagner beaucoup d’argent à certains…, , découvreur du soit disant virus du retourne sa veste.

Il annonce la fin de la supercherie très lucrative du qui en plus d’avoir conduit à la mort médicamenteuse des millions d’êtres humains à travers le monde, rapporte encore des milliards de dollars !

Il annonce donc publiquement que l’on peut guérir du , une vraie bombe atomique pour la recherche qui est en train de concocter un bon vieux vaccin histoire de continuer a ramasser des milliards d’euros !

URGENT SIDA! LUC MONTAGNIER AVOUE:
"ON PEUT GUERIR DU SIDA!"

http://www.dailymotion.com/video/xbrwl7_urgent-sida-luc-montagnier-avoue-on_news#from=embed



http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/04/09/luc-mon...

23/03/2011

Nucléaire : Protégez-vous de l'essentiel : inhalation par voies aériennes et ingérer des particules radioactives.

Protégez-vous de l'essentiel : le risque c'est l'inhalation par voies aériennes et ingérer des particules radioactives 

 

Nexup Nucléaire.jpg

Toutes les Next-up News / All Next-up News: www.next-up.org/Newsoftheworld/2011.php

Nucléaire, la désinformation continue : ce que les médias ne vous disent pas

Un mail intéressant que nous avons reçu portant sur le nucléaire.
 
 
 
Il y a quelques jours encore, les Autorités de sûreté françaises parlaient, dans leur conférence matinale, de rejets de décompression volontaires à Fukushima.

Pas un seul journaliste n'a posé la question : "comment les Japonais font-ils pour réaliser des rejets volontaires dans une centrale privée de courant électrique (naïveté ou complicité) ?
 
Aujourd'hui, on nous parle d'1 nuage radioactif qui va survoler la France.
Là encore, ça été repris sans aucun esprit critique par les télévisions.
 
La réalité est sans doute plus proche de ceci :
 
Des gaz radioactifs chargés de particules également radioactives s'échappent de façon continue des réacteurs de Fukushima qui sont fissurés.
Comme ces gaz sont chauds, ils montent dans l'atmosphère comme le ferait une colonne de fumée. Lorsque leur densité est voisine de celle de l'atmosphère, ils cessent leur ascension et se mélangent aux gaz qui les entourent (air et vapeur d'eau).  
 
Conséquences :
 
Ce n'est pas d'1 nuage qu'il faut parler, mais de panaches de gaz radioactifs qui sont générés en permanence.
Ces panaches ne sont visibles que lorsqu'ils contiennent de l'eau (vapeur = fumée blanche, idem pour un joint de culasse) ou que des matières hydrocarbonées brûlent (fumées grises, voire noires = manque d'oxygène  ;  il pourrait s'agir de câbles électriques, résines plastiques, hydrocarbures). Les experts officiels le savent aussi bien que moi. Pourquoi ne le disent-ils pas ? Je l'ignore. Peut-être veulent-ils retarder le moment ou le grand public découvrira que plus aucun matériel ne peut être réactivé à Fukushima3.


Lorsqu'ils n'y a que des gaz radioactifs, ceux-ci sont pratiquement invisibles (de près on devrait voir des frisures dues à la chaleur, mais je n'irai pas voir pour vérifier et je suppose que vous non plus).
Ces gaz vont continuer à s'échapper, tant que les Japonais n'auront pas réussi à enfermer ce qui doit ressembler à un corium = coeur en fusion).


Pour réussir cette opération, il faudrait enfermer le corium dans une enceinte étanche et le refroidir pendant très, très longtemps (tant qu'il y aura des matières fissiles à l'intérieur). La difficulté d'étancher le dessous du réacteur est évidente.
 
La température d'un corium non refroidi est de l'ordre de 3000° ; c'est dire qu'il n'y a pas grand chose qui lui résiste.
Si la cuve du réacteur fond, le corium attaque alors le béton et tout ce qu'il rencontre (il est dense et il s'enfonce).
La fission n'étant pas ralentie, les neutrons activent les matières rencontrées et la quantité de chaleur augmente (la masse en fusion aussi).
 
Refroidir est assurément ce qu'il faut faire.


Quand on le fait avec de l'eau, on courre le risque que le corium "craque" l'eau en hydrogène et oxygène.
S'il y a beaucoup d'eau, il a beaucoup d'hydrogène (c'est à 2500° que la production d'hydrogène est maximum).
 
Si le corium atteint la nappe phréatique ou la mer, je ne vous en dis pas plus !
 
Beaucoup d'hydrogène + matières en fusion = très grosse explosion + très gros nuages très radioactifs.
 
Ce risque n'est pas nié (simplement les élites nucléocrates et politiques ont décidé que vous ne méritiez pas qu'elles vous en informent).
 
Les concepteurs de l'EPR (Flamanville) ont prévus des plaques de céramiques (très réfractaires) sous le réacteur, pour retenir le corium.
 
On n'en sait guère plus, parce que l'EPR est classé confidentiel défense (comment les politiques justifient-ils cette décision ?). 
 
Serait-ce pour que les étrangers ne copient pas tout de suite notre fameux EPR, ou que l'on ne dénonce pas que si l'EPR possède des plaques céramiques sous le réacteur, les 58 tranches françaises et toutes les centrales étrangères n'ont que du béton (à l'exception du réacteur russe WER-1200).
 
Et bien, on le dit et on vous demandent de le faire savoir au plus grand nombre. On ajoute qu'il y a d'autres dispositions très importantes pour la sûreté qui sont également présentes dans l'EPR et pas dans les autres centrales françaises (soi-disant bien mieux que les centrales étrangères).
On aura l'occasion d'y revenir une autre fois.
 
Pour l'instant revenons à "notre nuage quotidien".
 
Si Fukushima arrête de produire des rejets atmosphériques, je pense comme tous les experts que les gaz déjà en altitude vont suffisamment se diluer dans les autres gaz et ne constitueront pas une source de danger importante pour les régions éloignées.
 
Il en va différemment pour les particules solides. Comme leur nom l'indique, leurs molécules sont agrégées et aucune dilution n'interviendra.
Elles ne vont pas disparaître par l'opération du St Esprit et vont continuer à tourner autour de la terre en attendant qu'au fil des ans, la pluie, la neige, la grêle, les avions... nous les apportent.
Il y en déjà beaucoup en altitude, provenant notamment des armes atomiques et de Tchernobyl ; mais ce n'est pas une raison pour ne pas se soucier des quelques tonnes que les nucléocrates japonais sont susceptibles d'ajouter.
 
Si vous ingérez ou respirer un jour une de ces particules, vous ne le saurez pas tout de suite, peut-être même jamais.
 
En tout cas ce ne sera pas la faute des nucléocrates (responsables mais pas coupables), peut être celle de la météo, ou alors la faute à pas de chance !
C'est ça la société que les élites nous ont construit , en nous faisant peur avec le retour à la bougie ! Il faut dire qu'on les a laissé faire !
 
Dernière précision : il y a dans ces nuages des particules qui ne sont pas sympa du tout.
 
Les radiocésium sont très présents. Le Cs-137 (demi-vie = 30 ans) engendre principalement des cancers des os et des leucémies.
 
Parmi les plus abondants isotopes du plutonium, on trouve le Pu 239 (demi-vie = 24 000 ans) et le Pu 238 (demi-vie = 87 ans).
 
L'inhalation d'une masse de 1 microgramme est suffisante pour provoquer un cancer du poumon.
 
Il y aurait beaucoup à dire sur les transuraniens. Je me contenterai de signaler que la demi-vie du neptunium est de 2 millions d'années.
 
Pourquoi j'insiste sur le plutonium ?
 
C'est parce qu'au Japon (comme en France) ils "brûlent" du MOX (cadeau empoisonné d'AREVA).
 
Comme le nom l'indique (mixed oxide), ce combustible contient du plutonium.
Le combustible usé qui refroidit dans les piscines en contient également beaucoup.
 
PS : pour répondre à un questionnement de plusieurs d'entre-vous, je vous indique que je n'irai jamais au Japon (ou alors en étant grassement payé et après 90 ans) ; en clair cela veut dire que la situation là-bas est, et restera très grave pour longtemps, y compris pour les mers qui entourent le Japon.