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27/11/2015

France en Hollandie : 42.000 chômeurs de plus en un mois, du jamais vu depuis 2013. 5,74 millions de chômeurs en France entière.

Des attentats, un état d'urgence de 3 mois et un renoncement à la Convention européenne des droits de l’homme qui tombent à pic pour empêcher les citoyens de se révolter contre les crimes de l'état dictatorial et pour masquer la gestion calamiteuse de la France par le gouvernementeur de la Hollandie, notamment à quelques jours des élections régionales pour faire remonter sa popularité !

Il est vrai qu'il était plus urgent en tant que caniche des USA/Sionistes, de vendre des armes, d'instrumentaliser les sanctions contre la Russie, les guerres génocidaires des US/Israël tous azimuts, Syrie, Irak, Mali, etc..., d'armer et de financer les mercenaires de l'EI/Daesch, au profit des promoteurs criminels du Nouvel Ordre Mondial, et d'insister pour le départ d'Assad que de s'occuper essentiellement du bien-être des français !

Le plus important aujourd'hui c'est de s'armer d'un drapeau maçonnique pour rendre un hommage aux victimes des attentats dont les dirigeants sont les seuls responsables, coupables !

France : Forte hausse du chômage en octobre: 42 000 demandeurs d'emploi de catégorie A

Publié le 26-11-2015 à 18h05Mis à jour le 27-11-2015 à 07h40

Après un net repli en septembre, le nombre de demandeurs d'emploi a connu en octobre sa plus forte hausse depuis 2013.

Le chômage a connu une hausse sensible au mois d'octobre. AFP

Une douche froide pour le gouvernement à dix jours des élections régionales: après un net repli en septembre, le chômage a connu en octobre sa plus forte hausse depuis 2013, avec 42.000 demandeurs d'emploi supplémentaires sans aucune activité, pour atteindre le niveau record de 3,59 millions. Le nombre d'inscrits à Pôle emploi, sans aucune activité (catégorie A), a bondi le mois dernier en France métropolitaine (+ 42.000, soit +1,2%). Il faut remonter à avril 2013 pour retrouver une telle montée du nombre de chômeurs dans cette catégorie.

Sur un an, le nombre d'inscrits à Pôle emploi sans activité a augmenté de 3,7%. En incluant l'outre-mer, il s'élève à 3,85 millions. La hausse est plus modérée si on prend en compte les demandeurs d'emploi exerçant une activité réduite (+13.100). Au total, 5,43 millions de personnes (sans aucune activité ou avec une activité réduite) sont inscrites en métropole, et 5,74 millions en France entière. 

"Ces chiffres ne sont pas satisfaisants", a commenté la ministre du Travail, Myriam El Khomri, qui nuance cependant : "ils doivent être interprétés avec prudence car les résultats de ces derniers mois connaissent de fortes variations". A dix jours du premier tour des régionales, qui s'annoncent difficiles pour la majorité, la pilule est en effet d'autant plus amère pour le gouvernement qu'en septembre, le nombre de chômeurs avait connu un net recul (-23.800)... soit la plus forte baisse depuis la crise financière, fin 2007. "On a des chiffres mensuels d'autant plus volatils qu'on est en période de reprise", commente Bruno Ducoudré, de l'OFCE.

Beaucoup de contrats courts

Il y a donc des créations d'emplois, mais qui sont surtout des contrats courts (CDD, intérim) au terme desquels "on voit un basculement des gens inscrits en catégorie B et C (activité réduite) qui retournent en catégorie A (aucune activité)", explique-t-il. L'économiste souligne que sur l'ensemble de 2015, on assiste à un "ralentissement de la hausse du chômage", avec rythme mensuel du nombre de demandeurs d'emplois supplémentaires de l'ordre de 9.000, contre "15.000 en 2013-2014, et 24.000 en 2012".

Au ministère, on "espère que la baisse s'enclenchera en 2016". "Je ne peux pas vous dire quand nous aurons une baisse durable, mais ce que je peux dire, c'est que pour faire baisser le chômage, il faut deux préalables : la croissance et que l'économie crée de l'emploi. Et les deux préalables, ils sont là", a commenté Myriam El Khomri lors d'un point presse.

Selon Philippe Waechter, de Natixis, l'activité va effectivement "continuer de s'accélérer, l'emploi va continuer de croître et progressivement la courbe des inscrits à Pôle emploi va s'infléchir, en 2016 très probablement". Mais pour l'heure, la reprise de la croissance n'est "pas suffisamment forte pour absorber les gains de productivité et la hausse de la population active et donc, faire baisser le chômage", observe l'OFCE.

Chiffres "encourageants" pour les jeunes 

La ministre a jugé "encourageants" les chiffres concernant les jeunes, dont le nombre d'inscrits en catégorie A est resté stable en octobre. Sur un an, il baisse de 2,9%. En revanche, celui des seniors bondit de 1,5% sur un mois, 9,2% sur un an. En un mois, le nombre de chômeurs de longue durée (plus d'un an), y compris ceux déclarant une activité réduite, a également progressé de 0,4%.

Pour Pierre Gattaz, président du Medef, "c'est une très mauvaise nouvelle, alors que notre pays traverse de graves événements", et "il est plus que jamais nécessaire de redresser notre économie pour faire face aux défis du terrorisme". La CGT réclame de son côté "une autre politique industrielle pour vraiment lutter contre le chômage".

Chez les Républicains, Eric Woerth, délégué général au projet du parti, a fustigé le "grand manque d'efficacité des actions". "La France ne pourra jamais vaincre le chômage de masse à coup d'emplois aidés financés sur de l'argent public", a réagi le député de l'Oise.

Le Front national juge enfin que "cette montée en flèche du chômage confirme l'arnaque des discours fabriqués par le gouvernement sur la prétendue reprise".

(Avec AFP)

 

26/11/2015

Irak: L’aviation française bombarde une école primaire, 28 écoliers tués

La énième bavure de l'armée française en Irak !
 
Irak: L’aviation française bombarde une école primaire, 28 écoliers tués
Irak

Le gouvernement irakien est perplexe au sujet des frappes aériennes menées par des avions français dans le cadre de la coalition contre Daech: Il vient d’annoncer qu’un Rafale a ciblé une école primaire sise en zone sous contrôle civil, y causant la mort de 28 enfants.


Des officiels irakiens ne cachent pas leur exaspération en évoquant la coalition menée par Washington supposée combattre Daech en Irak: « s’ils ne larguent pas par inadvertance des munitions ou des vivres à Daech, ils tuent des écoliers innocents » dénonce un militaire irakien.


Des informations affirment que l’unique Porte-Avions français et ses 26 appareils ne disposent pas d’une base de données fiable sur les cibles à bombarder en Irak et en Syrie. En cause, la précipitation de l’Elysée à vouloir utiliser l’outil militaire à des fins politiques en prévisions des prochaines échéances électorales.

Startegika51

Député Français : Claude GOASGUEN la France soutient Al-Quaïda et le Front Al-Nostra en Syrie !

La vérité est là toute nue et ce sont les français qui en pâtissent à présent !

Claude GOASGUEN la France soutient Al-Quaïda et le Front Al-Nostra en Syrie !
30 JUIN 2015

L'Arabie saoudite envisage de poursuivre tous ceux qui la compareront à Daesh

Voir aussi ce rédacteur turc qui est poursuivi pour avoir révélé des livraisons d'armes aux combattants syriens !

Même combat en France ou la censure bat son plein sur les journalistes qui dénoncent des escroqueries et les fautes lourdes de l'Etat, et les abus sur les assignations à résidence et les incursions des forces de l'ordre aux domiciles des français !

L'Arabie saoudite envisage de poursuivre tous ceux qui la compareront à Daesh

L'Arabie saoudite est de plus en plus agacée par les accusations qui se font plus fortes depuis les attentats de Paris selon lesquelles le Royaume aurait aidé à la création et au financement de Daesh. Le pays a décidé de réagir devant la justice.

Dernièrement c'est ainsi l'écrivain algérien et prix Goncourt Kamel Daoud a expliqué à la Une du New York Times que «l'Arabie saoudite est une Daesh qui a réussi».

 

Mais le royaume wahhabite oppose à cela le fait que si quelques-unes des lois pénales en vigueur dans le pays peuvent effectivement ressembler aux punitions dans l'organisation terroriste, il n'en demeure pas moins que le royaume saoudien est un État souverain qui respecte la primauté du droit et utilise ces peines avec légalité.

En savoir plus: La France doit «changer ses alliances» : le FN et les Verts se rejoignent contre l'Arabie saoudite

Ces protestations ne semblent pas pourtant suffire puisque la presse saoudienne affirme que les autorités du pays ont décidé d'une nouvelle tactique contre ceux qui le comparer à Daesh : les poursuivre devant la justice.

En effet, selon un rapport publié dans le journal pro-gouvernemental Al Riyadh, le ministère de la justice saoudien envisage de poursuivre par exemple un utilisateur de Twitter qui a suggéré que la peine de mort récente d'un artiste palestinien pour apostasie était de la même veine que ce que pratique Daesh.

 

 

Le ministère a précisé qu'il n'hésiterait pas à poursuivre tous les médias qui «calomnieraient la magistrature religieuse du royaume».

Tout en ajoutant que l'utilisation de la peine capitale telle la décapitation fait partie d'un système juridique basé sur la charia, ce qui garantirait, selon le ministère saoudien, l'équité. Ministère qui ajoute dans son communiqué: «Daesh n'a pas de légitimité à décider de tuer des gens».

Lire aussi : Décapité, puis crucifié, un jeune manifestant saoudien condamné à mort après un procès sans avocat

 

7 vérités choquantes sur l'Arabie Saoudite 'moderne' de feu le roi Abdallah

Voilà avec qui la France est alliée !

Finalement avec l'instauration de l'état d'urgence pour 3 mois qui ne se justifiait pas et le renoncement de la France à la Convention européenne des droits de l'homme, nous sommes aussi sous la Loi martiale qui ne porte pas son nom et sous le même régime totalitaire !

7 vérités choquantes sur l’Arabie Saoudite 'moderne' de feu le roi Abdallah

Similitudes évidentes avec l’Etat islamique : 7 vérités choquantes sur l’Arabie Saoudite

© - FAYEZ NURELDINE / AFP

Plusieurs dirigeants mondiaux ont présenté leurs hommages au roi saoudien Abdallah, décédé la semaine dernière. Le Premier ministre britannique David Cameron a déclaré qu’il avait renforcé le dialogue entre les religions; Christine Lagarde, directrice générale du FMI, a souligné le féminisme « discret » du roi, tandis que Tony Blair voit dans le personnage, un « modernisateur habile qui a dirigé son pays vers l’avenir ».

Cependant, RT a dressé une liste de 7 points critiques sur le régime du roi Abdallah.

1. Pas d’élections, pas de partis, aucun parlement et aucune dissidence

L’Arabie Saoudite est apparue en 2014 dans le bas du classement annuel établi par Freedom House en ce qui concerne les libertés civiles et politiques à l'instar de pays tels que la Corée du nord, le Turkménistan ou encore certaines des plus violentes dictatures africaines. En Arabie Saoudite, il n’existe aucune élection nationale, les partis politiques sont absents, et il n’y a pas non plus de parlement. Seule fonctionne une chambre consultative symbolique, connue sou le nom de Majlis al-Shura. Toute critique du régime est strictement interdite. L’année dernière, le militant d’opposition Abd al-Karim al-Khoder est devenu prisonnier politique après avoir réclamé le passage à un gouvernement constitutionnel. Peu de temps avant la mort du monarque saoudien, le blogueur Raif Badawi a reçu 50 des 1000 coups de fouets auxquels il a été condamné pour prôner la liberté d’expression sur son site.

2. L’égalité saoudienne : des emplois pour les 7.000 princes de la Maison des Saoud

Plus de 7.000 princes portant le nom de famille al-Saoud résident en Arabie Saoudite, mais selon plusieurs experts, le nombre réel serait plus proche de 30.000. Chacun a le droit à un emploi qui correspond à sa lignée, ce qui crée des centaines de sinécures tandis que tous les talents d’Arabie Saoudite sont exclus des fonctions importantes s’ils n’ont pas la chance de porter ce nom.

3. Archaïsme de la succession du pouvoir

Outre l'existence d'une kyrielle de descendants susceptibles de prétendre accéder au pouvoir, la Maison des Saoud est paralysée par des lois de succession obsolètes. Ce n'est pas la primogéniture (selon laquelle le titre est hérité par le fils ainé du monarque) qui prévaut en Arabie saoudite, mais l’ancienneté patrilinéaire, qui privilégie la fratrie d’un individu. Cela signifie que Salmane ben Abdelaziz al-Saoud, âgé de 79 ans est devenu roi d'Arabie Saoudite à la suite du décès de son demi-frère Abdallah mort à 90 ans d’une pneumonie.

4. La loi en Arabie Saoudite : cimeterre et coups de fouets

Le parallélisme entre les systèmes juridiques de l’Arabie Saoudite et de l’Etat islamique est évident. Tous deux se basent sur le hanbalisme, l’école la plus conservatrice de l’islam sunnite. Beaucoup de juges de l’EI sont saoudiens car ils sont familiarisés avec ce type de jurisprudence. Parmi les sentences de ces tribunaux, on trouve entre autres des châtiments corporels tels que l’amputation des pieds et des mains pour vol, les coups de fouets pour l’adultère, la décapitation pour les accusations de sédition, de car-jacking, de sorcellerie ou de trafic de drogue. L’année dernière, 87 personnes ont été décapitées, ce qui correspond à la moyenne annuelle des 5 dernières années.

5. Absence des droits de l’homme

Il n’existe pas de code juridique en Arabie Saoudite. Les juges sont libres de dicter la sentence comme bon leur semble conformément à leur interprétation des écritures islamiques. Leur pouvoir est illimité, ce qui a pour conséquence de créer probablement l’un des systèmes juridiques les plus contradictoires au monde au sein duquel les condamnés n’ont aucun moyen de faire appel. Par ailleurs, une grande partie de la procédure judiciaire repose sur les aveux de l’accusé, ce qui encourage la torture. En pratique, la véracité des informations obtenues de cette manière est plus faible qu'à Guantanamo. Le roi Abdallah a tenté de rationnaliser ce système en créant davantage de cours d’appel et en sélectionnant de manière plus stricte les juges. Il n’a cependant pas remis en question l’ensemble du système et il a approuvé toutes les nominations des juges au cours des deux dernières décennies.

6. Absence de droits pour les femmes

Au cours de la dernière décennie, la lutte pour l’émancipation des femmes en Arabie Saoudite s’est principalement focalisée autour de leur revendication du droit à conduire un véhicule dans ce pays. Cette monarchie est le dernier pays du monde où les femmes n’y ont pas droit. Toutefois, la privation de ce droit est certainement le dernier des soucis des femmes saoudiennes. En effet, beaucoup d’entre-elles aimeraient pouvoir sortir de leur domicile, faire des courses, signer des documents juridiques, bref toute une série d’actes officiels sans pour autant avoir recours à l’autorisation d’un tuteur, mari ou père. En outre, devant un tribunal, leur témoignage n’équivaut qu’à la moitié de celui d’un homme. Le roi Abdallah a encouragé l’éducation des femmes et leur a attribué un cinquième des sièges au conseil de la Choura tout en leur permettant de voter et de se présenter aux élections 2015. Mais il s’agit de gestes purement symboliques qui n’ont pas eu de véritables conséquences sur l’existence de la plupart des femmes saoudiennes qui restent parmi les plus défavorisées du monde.

7. Ambiguïté de la lutte contre le terrorisme

L’année dernière, l’Arabie Saoudite a fait un don de 100 millions de dollars à l’ONU dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Toutefois, selon des câbles diplomatiques publiés par WikiLeaks en 2010, les Etats-Unis considèrent l’Arabie saoudite comme la plus grande source de financement du terrorisme dans le monde. Le pays est en quelque sorte la « tirelire » d’Al-Qaïda et d’autres groupes radicaux. Même si une majorité de ces financements est issue de particuliers, il est fort peu probable que cela ait été un secret pour le roi Abdallah.