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08/07/2014

La partition de l'Irak et la prise de la Palestine occidentale sont la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80

On comprend mieux le false-flag organisé par les sionistes lors des attentats du 11 septembre 2001 aux USA ? Il fallait aussi un prétexte pour aller attaquer l'Irak et lui enlever toutes ses richesses y compris toutes les traces de la civilisation sumérienne qui aurait pu compromettre l'origine véritable des reptiliens-sionistes, tant il est vrai que les musées et les sites archéologiques ont été détruits durant la période d'occupation.

 

Voir le précédent article ci-dessous :

Uruad : les Américains ont-ils envahi l'Irak pour protéger un secret ? Annunakis l Illuminati-Reptiliens l Irak

Lundi 30 juin 2014

La partition de l'Irak est la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80

Qui a dit que les complots n'existaient pas ? Voici un texte paru en 1982 dans la revue sioniste Kivounim sous le titre " Une stratégie persévérante de dislocation du monde arabe ". Il appelle à une balkanisation totale de cette région du monde. L’Irak, le Liban,  l’Égypte, le Soudan, la Libye et toute la péninsule arabique sont nommément cités.

Son auteur, Oded Yinon travailla au ministère des Affaires étrangères d'Israël. Le texte fut révélé au monde par Israel Shahak qui fut le président de la ligue israélienne des droits de l’homme.
Toute ressemblance avec des événements actuels est donc tout sauf fortuite.
 

Le texte entier par ce lien en Anglais : http://cosmos.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/articles/article0005345.html et ICI http://antiisgood.wordpress.com/tag/syria/

Extrait : "Je me souviens très bien (avant j'étais «en opposition»), la nécessité de la guerre que l'on m'avait expliquée à moi et à d'autres, un an avant la guerre de 1956, et la nécessité de conquérir "le reste de la Palestine occidentale quand nous en aurons l'occasion" cela a été expliqué dans les années 1965-1967."

« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.

La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…

L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.

Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.

En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.

Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.

Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.

« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.

La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…

L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.

Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.

En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.

Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.

Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.

La Péninsule arabique toute entière est vouée à une dissolution du même genre, sous des pressions internes. C’est le cas en particulier de l’Arabie saoudite : l’aggravation des conflits intérieurs et la chute du régime sont dans la logique de ses structures politiques actuelles.

La Jordanie est un objectif stratégique dans l’immédiat. À long terme, elle ne constituera plus une menace pour nous après sa dissolution, la fin du règne de Hussein, et le transfert du pouvoir aux mains de la majorité palestinienne.

C’est à quoi doit tendre la politique israélienne. Ce changement signifiera la solution du problème de la rive occidentale, à forte densité de population arabe.

L’émigration de ces Arabes à l’Est —dans des conditions pacifiques ou à la suite d’une guerre— et le gel de leur croissance économique et démographique, sont les garanties des transformations à venir. Nous devons tout faire pour hâter ce processus. Il faut rejeter le plan d’autonomie, et tout autre qui impliquerait un compromis ou une participation des territoires, et ferait obstacle à la séparation des deux nations : conditions indispensables d’une véritable coexistence pacifique.

Les Arabes israéliens doivent comprendre qu’ils ne pourront avoir de patrie qu’en Jordanie (…) et ne connaîtront de sécurité qu’en reconnaissant la souveraineté juive entre la mer et le Jourdain. (…) Il n’est plus possible, en cette entrée dans l’ère nucléaire, d’accepter que les trois quarts de la population juive se trouve concentrée sur un littoral surpeuplé et naturellement exposé ; la dispersion de cette population est un impératif majeur de notre politique intérieure. La Judée, la Samarie, et la Galilée, sont les seules garanties de notre survie nationale. Si nous ne devenons pas majoritaires dans les régions montagneuses, nous risquons de connaître le sort des Croisés, qui ont perdu ce pays.

Rééquilibrer la région sur le plan démographique, stratégique et économique, doit être notre principale ambition ; ceci comporte le contrôle des ressources en eau de la région qui va de Beer Sheba à la Haute-Galilée et qui est pratiquement vide de juifs aujourd’hui. »


Références  :
 « This essay originally appeared in hebrew in KIVUNIM (Directions), A journal for Judaism and Zionism ; Issue N°14 – Winter, 5742, February 1982. Editor : Yoram Beck. Editorial Committee : Eli Eyal, Yoram Beck, Amnon Hadari, Yohanan Manor, Elieser Schweid. Published by the Department of Publicity/The World Zionist Organization, Jerusalem. »

http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/06/la-pa...

Gaza : le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 soldats réservistes

Et ils vont nous faire quoi ? Que tout ce tremblement de terre organisé avec un contingent supplémentaire de 40 000 réservistes serait simplement rassemblé pour aller donner une leçon de morale aux Palestiniens pour avoir soi-disant enlevé et tué 3 israéliens dans le cadre du false-flag orchestré par le Mossad lui-même ? Ou c'est pour aller s'accaparer les réserves de GAZ à GAZA ?

 

GAZ/A le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 réservistes

AFP 8 juillet 2014 à 15:24

Un soldat israélien dort le visage couvert d'une moustiquaire près de la frontière avec la bande de Gaza, le 8 juillet 2014

Un soldat israélien dort le visage couvert d'une moustiquaire près de la frontière avec la bande de Gaza, le 8 juillet 2014 (Photo Jack Guez. AFP)-(on voit comment ce militaire est persécuté par les Palestiniens près de la frontière de la bande de Gaza ! ) 

Israël a autorisé le rappel de 40.000 réservistes en prévision d’une possible offensive terrestre contre la bande de Gaza, ont rapporté mardi des médias israéliens.

Cette décision a été prise par le cabinet de sécurité dirigé par Benjamin Netanyahu quelques heures après que l’armée a lancé une vaste attaque aérienne contre le Hamas palestinien à Gaza pour faire cesser les tirs de roquettes visant le territoire israélien.

Un haut responsable israélien a indiqué mardi à l’AFP que l’armée était prête à toutes les options, y compris une offensive terrestre pour stopper ces tirs.

«L’armée prépare une série d’options, y compris une invasion ou une offensive terrestre», contre l’enclave palestinienne contrôlée sur le plan sécuritaire par le mouvement islamiste Hamas, a-t-il ajouté sous le couvert de l’anonymat.

Un autre responsable a déclaré que l’armée avait reçu des instructions «pour préparer les différentes alternatives militaires pour être prête le cas échéant».

«Les attaques aériennes que nous avons menées ne constituent qu’une étape. L’opération n’a pas de limite de temps», a prévenu un porte-parole de l’armée, Peter Lerner.

L’armée israélienne a lancé depuis 2006 plusieurs offensives dans la bande de Gaza. La dernière a duré du 14 au 21 novembre 2012 et fait 177 morts Palestiniens, en majorité des civils.

AFP

http://www.liberation.fr/monde/2014/07/08/gaza-le-gouvern...

 

VIDEO. Jeune Palestinien brûlé vif: six suspects arrêtés

On nous dit que le traumatisme de la Shoah serait inscrit dans l'ADN des Juifs, mais est-ce que la haine et les pratiques barbares dirigées à l'encontre des autres peuples du monde et notamment contre les peuples musulmans est inscrit dans les gènes des Juifs à la naissance ?

On ne naît pas extrémistes ou barbares ou sanguinaires, on le devient à cause de la propagande perfusée depuis l'enfance par  les parents, les médias-menteurs et par l'éducation nationale ! Il serait temps que ce lavage de cerveau cesse pour le bien de tous !

 

VIDEO. Jeune Palestinien brûlé vif: six suspects arrêté

Par LEXPRESS.fr, publié le 06/07/2014 à 13:26, mis à jour le 07/07/2014 à 14:50

Selon un quotidien israélien, six suspects ont été arrêtés dans le cadre de l'enquête du jeune Palestinien enlevé puis brûlé à Jérusalem-Est. Il s'agit de six "juifs extrémistes". 

VIDEO. Jeune Palestinien brûlé vif: six suspects arrêtés

Mohammed Abou Khdeir, 16 ans, a été kidnappé mardi à Jérusalem-Est.

 afp.com/Thomas Coex

La police israélienne a arrêté six suspects dans le cadre de l'enquête sur le meurtre du jeune Palestinien enlevé mardi soir à Jérusalem-Est et retrouvé brûlé vif, a rapporté ce dimanche le quotidien Haaretz. Selon des sources officielles citées par l'AFP, il s'agit de "juifs extrémistes". 

Aucune autre information n'a été divulguée, l'enquête étant soumise à la censure médiatique, mais la police a laissé entendre ce dimanche, pour la première fois, que ce crime pourrait avoir eu des motifs politiques. "En ce qui concerne le meurtre de l'adolescent de Chouafat, la piste privilégiée dans l'enquête est celle d'un crime à motif nationaliste", a déclaré Louba Samri, porte-parole de la police. 

Mohammad Abou Khdeir, 16 ans, avait été enlevé dans la nuit de mardi à mercredi dans le quartier de Chouafat, à Jérusalem-Est occupée et annexée. Son cadavre - entièrement brûlé selon l'avocat de la famille- a été retrouvé quelques heures plus tard près d'une forêt dans la partie ouest de la ville. 

De la fumée dans les poumons du jeune Palestinien

Des responsables et des médias palestiniens ont accusé des juifs extrémistes de l'avoir enlevé et tué en représailles au meurtre de trois étudiants israéliens dans le sud de la Cisjordanie, attribué par Israël au mouvement islamiste Hamas. 

"Pourquoi ça leur a pris quatre jours? Nous leur avons donné les photos et les vidéos (de surveillance NDLR), pourquoi ont-ils attendu?", s'est insurgé ce dimanche le père de Mohammad Abou Khdeir, selon des propos rapportés par le site d'information Walla. 

Selon les rapports préliminaires d'autopsie palestiniens, cités par l'agence palestinienne Maan, il y avait de la fumée dans les poumons du jeune Palestinien, ce qui signifie qu'il était encore en vie quand son corps a été brûlé.

Voir la vidéo dans l'article.

Le garçon a également été blessé à la tête, mais ce n'est pas la cause de la mort, a précisé le procureur général Mohammad Al-Ouweiwi. "Les brûlures qui couvraient 90% du corps et leurs complications sont la cause directe de son décès". "C'est la première fois que j'entends parler d'une telle manière de tuer, le garçon ayant été brûlé de l'intérieur et de l'extérieur, car il a probablement été forcé à boire du carburant", a déclaré le ministre palestinien chargé de Jérusalem, Adnane al-Husseini, en accusant des colons israéliens. 
 
 
 

03/07/2014

Ukraine/Russie/Gaz : Rothschild et Israël derrière le conflit gazier et pétrolier ?

Le projet est-il celui pour Rothschild et son état privé sioniste d'Israël d'éliminer la Russie pour pouvoir exporter le gaz en Europe, dès l'année 2014, voire d'aller coloniser les réserves de gaz russes ?

Ainsi pendant que l'on nous occupe l'esprit avec l'Ukraine et la Russie, Rothschild et l'état sioniste avancent sur leurs affaires fructueuses. Voir ci-dessous :

Ukraine/Russie : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

La Méditerranée orientale aiguise les appétits

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Pour comprendre que les évènements en Irak, en Syrie, en Libye, en Ukraine, à Gaz/A au Liban, en Cisjordanie, en Afrique, etc... sont liés, toujours dans l'objectif de permettre à l'Oligarchie financière des banskters de virer les dirigeants mondiaux qui s'opposent à l'empire US/UE/Sioniste/Dollar afin de leur permettre d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial contrôlé par les élites Illuminati/sionistes/reptiliens/jésuites/satanistes et de s'accaparer toutes les richesses de la Terre.

Leurs motifs ne sont donc pas que financiers mais idéologiques, ceux d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial unipolaire soit, leur Nouvel Ordre Mondial.

Lire ci-dessous quelques articles portant sur les projets pétroliers et gaziers d'Israël au détriment de Gaza et d'autres pays limitrophes à Israël :


Extraits : "Sous le mandat britannique, l'Etat juif de Palestine déployait déjà des efforts considérables pour aller chercher ce précieux carburant, le pétrole. Les résultats ne furent pas à la hauteur des espérances. C'est au début des années 1950, après la proclamation de l'Etat, qu'Israël décide de se lancer dans la production d'énergie en reprenant en main ce secteur. Une Loi sur le pétrole est ainsi promulguée en 1952."

"UN PROBLEME GEOPOLITIQUE.
Une fois résolu la définition de son périmètre d'extraction, Israël va faire face à un autre défi géopolitique : le choix des pays de destination et des lieux de transit des surplus gaziers. Deux marchés s'ouvrent désormais au gaz israélien : l'Europe et l'Extrême-Orient. Grâce à des gazoducs sous-marins la voie vers l'Europe transiterait soit par la Turquie, soit par la Grèce."

 

AU LARGE DE LA BANDE DE GAZA.
"Les palestiniens pourraient importer du fuel et du pétrole à des prix plus bas de leurs voisins et supposés alliés riches en pétrole, ou puiser dans les réserves de gaz au large de Gaza découvertes il y a 13 ans par British Gas Group. Les gisements sont estimés à 39 milliards de m3, et suffiraient à couvrir les besoins des palestiniens pendant 15 ans. Pour British Gas, les gisements sont financièrement viables, un accord a été signé entre British Gas, le Palestine Investment Fund et une entreprise appelée Consolidated Contractors Company, pour développer et commercialiser les champs. Pourtant, 13 ans après pas un seul gallon n'a été extrait.
Le développement des champs gaziers de Gaza briserait un monopole important de l'offre israélienne qui ne veut pas que les Palestiniens accèdent à l'autosuffisance énergétique. Israël n'autoriserait l'accès des Palestiniens à leurs propres gisements gaziers que s'ils promettaient de le vendre à Israël à un prix nettement inférieur aux prix mondiaux. Israël a dit aux hommes d'affaire palestiniens, Nous voulons que vous fassiez des affaires, mais pas sans nous. Monopoliser la possibilité de faire des affaires est un autre moyen de domination qui ne coûte rien à Israël." La suite: ICI

Petit préambule sur l'attaque dirigée contre la Russie par le biais de l'Ukraine en 2008/2009 :

Publié le 06/01/2009 à 17:15, Mis à jour le 06/01/2009 à 22:47

 


Voyons ce qui s'est passé par le passé concernant les énormes réserves de gaz maritimes qui appartiennent à la Gaz/A (GAZ/A, GAZA a d'énormes réserves de Gaz qui sont convoitées par Israël depuis des années).

 

Tel Aviv affirme pouvoir alimenter l'Europe en gaz pendant ses guerres d'extension avec l'aide la compagnie Mehriv (mossad), qui a obtenu un contrat gazier au Turkmenistan. Lire ici (en anglais).Source : Islamic Intelligence.

Voici comment Israël voit les choses dans l'article ci-dessous, mais la question est celle de savoir: a qui appartiennent les réserves de gaz dites israéliennes, syriennes, libanaises et gazaouis, et si elles ne sont pas les réelles raisons d'orchestrer les guerres et les évènements que nous connaissons ?

 

 

 

 

 

Et si en même temps on peut aller coloniser l'Afrique par le biais des lobbies sionistes, c'est encore mieux !

 


L'expansion d'Israël et de la colonisation par le biais de l'argent et des banksters.


La question est : quand vont-ils cesser de nous prendre pour des imbéciles ?

 

Israël/Gaza/Ukraine/Russie : Gaza se prépare à la guerre pour protéger ses réserves de Gaz ?

Cet article est important dans la mesure où il va sans doute nous permettre d'instaurer les liens entre ce qui se passe en Ukraine ces dernières années et notamment ces derniers mois pour déstabiliser la Russie, l'isoler, l'encercler par des Pays qui signent des accords avec l'UE, tout comme cela a été le cas dernièrement avec l'Ukraine, ainsi que pour enlever à la Russie le marché européen du gaz en faveur d'Israël qui se dit prêt à livrer le gaz en Europe.

Derrière la guerre qui se prépare à Gaz/A et à celle qui se déroule en Ukraine, il se pourrait bien qu'avec la complicité des US/UE/sionistes, Israël vise les énormes réserves de gaz qui se trouvent au large de GAZ/A ainsi que le marché du gaz en Europe pour le souffler à la Russie.

 

 

Gaza se prépare à la guerre

Gaza se prépare à la guerre

Plusieurs bombes israéliennes sont tombées ces jours-ci sur Gaza. Cette nuit-même la dernière a creusé un cratère de plusieurs mètres de diamètre en plein centre-. Pour beaucoup, comme le Dr Sobhi Eskaik chef du service de chirurgie générale à l’hôpital Shifa, Israël va attaquer : « C’est comme ça qu’ils préparent le terrain. Nous avons malheureusement l’habitude ».

Depuis ce matin la plupart des interventions programmées ont été annulées, et le Dr Marwan Abu Saada, directeur médical, fait le tour des salles d’opération. Les urgentistes de Gaza ont tiré les leçons (1) du tri des blessés lors de l’attaque de l’hiver 2008-2009, et de nouveaux protocoles ont été appliqués avec succès lors de celle de 2012.

L’ambiance n’est pas à l’optimisme. Pour les Gazaouis, les conditions sont réunies pour qu’Israël lance une nouvelle attaque.

Après sept années de gestion dans des conditions de plus en plus difficiles, le pouvoir politique à Gaza est en grand faiblesse. L’, tirée par la construction, est maintenant asphyxiée par la fermeture des tunnels en provenance d’ associée à l’embargo total sur le ciment édicté par Israël. Les fonctionnaires ne touchent plus que la moitié de leur salaire depuis plusieurs mois. A la suite de l’accord passé entre le et le Fatah, les ministres de Gaza se sont tous retirés, mais on ne voit rien venir : aucun ministre ne peut se déplacer entre Gaza et la Cisjordanie (2). La longue interview (3) donnée par le président venu féliciter chaleureusement le général Sissi pour son élection a fait l’effet d’une douche froide, « Le 13 juillet n’a pas été un coup d’état. Les tunnels sont illégaux… Par le passé nous (dixit) avons construit un mur souterrain et tenté sans succès d’inonder les tunnels, etc. » Hier encore : « Nous devons nous coordonner avec Israël pour éviter une troisième intifada ». Pas un mot sur les arrestations d’élus en Cisjordanie. Nul ne doute que le président ne protestera pas en cas « d’éliminations ciblées » à Gaza. L’affaire des trois Israéliens disparus en Cisjordanie n’arrange rien.

Une situation nettement plus défavorable qu’en 2012 : la fermeture de la frontière égyptienne ne permettra à aucun leader étranger de venir apporter son soutien à la population, pas davantage que le passage de journalistes indépendants. L’accord de « réconciliation » fera passer au second plan les «  ciblés ». L’élimination ou l’emprisonnement – cette fois ci dans des prisons palestiniennes- des leaders du Hamas ne soulèvera pas de protestations de la part du « monde libre » anesthésié par la coupe du monde de football.

En attendant les postes de , premières cibles potentielles, ont été évacués et la plupart des responsables du Hamas sont injoignables.

Christophe Oberlin
Gaza, le 19 juin 2014

Notes :
(*) Christope Oberlin était présent à Gaza du 14 au 23 juin 2014
(1) Deux articles publiés dans la prestigieuse revue médicale « Lancet »
(2) Le nouveau ministre de la santé, attendu à Gaza cette semaine avec le directeur des hôpitaux, n’a pas reçu l’autorisation d’Israël
(3) Le 7 juin à la chaîne de télévision égyptienne « El Balad »


Christophe Oberlin, né en 1952, est Chirurgien des hôpitaux et professeur de médecine à la faculté Denis Diderot à . Il participe depuis trente ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement au Maghreb, en sub-saharienne et au Moyen Orient. Depuis 2001, il dirige régulièrement des missions chirurgicales en Palestine, particulièrement dans la bande de Gaza. Il témoigne aussi de ce qu’il observe sur le terrain, à travers interviews, articles de presse et activités associatives. Dernier ouvrage paru : La Vallée des Fleurs – Marj El Zouhour (Erick Bonnier 2013)