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13/12/2014

La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream

Et on ne rigole plus ! Les européens iront acheter leur gaz  auprès des Nazisionistes ou au point de livraison du gaz, dans la partie européenne de la Turquie ! Et à leurs frais de construction des gazoducs d'acheminement pour chaque pays demandeur !

Ils s'imaginaient s'amuser encore longtemps avec la Russie ?

Et qui en seront les victimes, les contribuables européens !

*- South Stream et le nouveau coup de maître de Poutine en Turquie

*- South Stream: la Russie ne participera pas à la rencontre de Bruxelles

*- Arrêt de South Stream : tous perdants

*- Comment l’Europe s'est privée de gaz russe bon marché

*- L’Union européenne essaie de trouver une alternative au projet South Stream

*- L'UE étudiera une alternative à South Stream

*- Le nouveau gazoduc russe pourrait être dirigé vers la partie européenne de la Turquie

*- Gazprom crée une entreprise pour construire le gazoduc vers la Turquie

11 décembre, 23:58

La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream

Par La Voix de la Russie | La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream. Le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak l'a confirmé, lors d'une conversation téléphonique avec le vice-président de la Commission Maros Sefcovic, a annoncé le service de presse de la Commission.

Moscou et Paris veulent promouvoir leur coopération (officiel)

La blague du jour !

Qu'ils commencent déjà par livrer les Mistrals à la Russie, sous le faux prétexte que ce pays serait impliqué dans la guerre en Ukraine alors que la France a participé au coup d'état en Ukraine grâce au va-en-guerre, BHL avec la complicité du sioniste de service aux affaires étrangères, FABIUS, qui a reconnu lui-même avoir participé au coup d'état en Ukraine avec la complicité de l'Allemagne et de la Pologne, avant d'introduire encore un VRP/US/Nazisioniste auprès de Moscou.

 

*- UKRAINE/RUSSIE : Quand deux sionistes patentés, Fabius et BHL reconnaissent avoir participé au coup monté contre l'Ukraine

UKRAINE Laurent Fabius avoue le coup d'Etat monté
avec l'Allemagne et la Pologne

Paris sous la houlette de, Nicolas de Rivière, l'amerloc qui a bossé à l'ONU à  Washington, veulent promouvoir leur coopération de sape, sans doute !

*-Nicolas de Rivière, un diplomate français qui aime les anglicismes 

*-Nicolas de Rivière, négociateur en chef de la France sur le nucléaire iranien

*-Nicolas de Rivière, directeur des Nations unies Ministère des Affaires étrangères et du Développement international

 

Moscou et Paris veulent promouvoir leur coopération (officiel)

 

François Hollande et Vladimir Poutine à Moscou (Archives)

16:47 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

Moscou et Paris souhaitent développer leur coopération bilatérale dans différents domaines, indique un communiqué de la diplomatie russe publié à l'issue d'une rencontre entre le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexeï Mechkov et le directeur général des affaires politiques et de sécurité du Quai d'Orsay, Nicolas de Rivière.

 

"Lors des consultations, les parties ont souligné leur intention de conserver et de développer l'expérience acquise dans différents domaines de leur coopération mutuellement avantageuse", lit-on dans le communiqué mis en ligne sur le site du ministère russe des Affaires étrangères. Selon le document, une attention particulière a été accordée aux perspectives du règlement de la crise en Ukraine compte tenue de la rencontre entre les présidents russes et français Vladimir Poutine et François Hollande tenue le 6 décembre à Moscou. Les parties ont également évoqué les relations de la Russie avec l'Union européenne et l'Otan.

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Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

Les nazisionistes ne sont plus à un mensonge près !

En revanche, les nazis, ont le droit de survoler avec leurs drones, la Crimée, tel qu'ils l'ont fait hier et au mois de mars 2014.

* - La Russie capture un drone US en Crimée

* - Ukraine: la Russie affirme avoir intercepté un drone américain au-dessus de la Crimée - 14/03


Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

21:26 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

Les Etats-Unis accusent la Russie de violer le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (Traité FNI) sans pour autant fournir de preuves à l'appui de leurs affirmations, a annoncé vendredi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

En juillet dernier, Washington a accusé Moscou de violer ce traité signé en 1987. Les autorités russes ont demandé des preuves. Pour toute réponse, la sous-secrétaire d'Etat américain Rose Gottemoeller a déclaré jeudi que Washington disposait d'une panoplie de mesures militaires pour contraindre la Russie à respecter le traité.

"Il est significatif qu'en lançant ces menaces, les Etats-Unis ne peuvent pas formuler nettement l'essence de leurs réclamations et refusent obstinément de concrétiser leurs accusations. Ce faisant, ils ne donnent pas de réponses satisfaisantes aux réclamations fondées et parfaitement concrètes que nous leur adressons en réponse", lit-on dans le communiqué de la diplomatie russe.

Moscou souligne que ses réclamations portent sur les missiles-cibles utilisés par les Etats-Unis pour tester leur dispositif de défense antimissile et dont les caractéristiques sont similaires à celles des missiles à moyenne et à plus courte portée. Les réclamations russes concernent également les drones militaires américains qui tombent indubitablement sous le coup de la définition des missiles de croisière donnée dans le Traité FNI. Les réclamations de Moscou concernent enfin l'intention des Etats-Unis de déployer en Pologne et en Roumanie la version terrestre du système naval Mk-41 capable de lancer des missiles de croisière à moyenne portée.

"Nous sommes toujours persuadés que les menaces ne sont pas, et de loin, le meilleur moyen de régler les problèmes pouvant surgir lors de l'application de ce Traité. Telle est notre position. Nous invitons la partie américaine à adopter une position similaire", a souligné le ministère russe des Affaires étrangères.

Le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire a été signé par le président Ronald Reagan et le secrétaire général du Comité central du PCUS Mikhaïl Gorbatchev en 1987, à l'époque du réchauffement des relations entre les Etats-Unis et l'URSS.

Conformément à ce document en vigueur depuis 1988, la Russie et les Etats-Unis se sont engagés à ne pas fabriquer, tester ou déployer de missiles balistiques et de croisière terrestres à moyenne (1.000-5.500 km) et plus courte portée (500-1.000 km). Les parties se sont également engagées à éliminer en trois ans tous les vecteurs et missiles terrestres d'une portée comprise entre 500 et 5.500 km.

 

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Nouvelles sanctions US: Moscou ne tolérera aucune ingérence dans ses affaires

La réponse de Moscou au projet de Loi validé par le Sénat/Nazisioniste !

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Dossier: Sanctions contre la Russie

Kremlin de Moscou

21:58 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

La Russie ne tolérera aucune ingérence dans ses affaires intérieures, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch en commentant une loi américaine permettant au président d'adopter de nouvelles sanctions contre Moscou.

"Les membres du Congrès des Etats-Unis feraient mieux d'abandonner leurs illusions concernant l'efficacité des sanctions antirusses qu'ils encouragent. Nous ne cèderons pas au chantage, nous ne renoncerons pas à nos intérêts nationaux et ne permettrons aucune ingérence dans nos affaires intérieures", lit-on dans le communiqué de M.Loukachevitch.

Selon le diplomate, "il semblerait que face aux graves défis à la sécurité internationale, la Russie et les Etats-Unis devraient conjuguer leurs efforts".

"Or, les législateurs américains s'acharnent, après l'administration de Barack Obama, à détruire la carcasse de la coopération bilatérale", a souligné le porte-parole.

Le document approuvé par le Congrès américain et intitulé "Loi de 2014 sur le soutien à la liberté de l'Ukraine" autorise le président américain à décréter de nouvelles sanctions contre les sociétés russes et à octroyer au gouvernement ukrainien une aide de 350 millions de dollars sous forme d'armements et de conseillers militaires.

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Le sénat américain approuve le durcissement des sanctions contre Moscou

Les reptiliens/sionistes, veulent la 3ème guerre mondiale contre la Russie avec la complicité de la France, l'Allemagne, la Pologne et leurs banskters qui siègent à l'Europe !

Il leur faut bien ce prétexte pour nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, non ?

Quand allons-nous nous débarrasser de tous ces vampires assoiffés de sang qui ne rêvent que de nous éliminer et de nous réduire encore plus à l'esclavage ?

Quand allons-nous nous décider à les forcer de nous sortir de l'Europe ?

Le sénat américain approuve le durcissement des sanctions contre Moscou

Dossier: Sanctions contre la Russie

Rossiïskaïa gazeta

15:00 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

Le sénat américain a voté jeudi en faveur d'un projet de loi autorisant le président Barack Obama à fournir au gouvernement ukrainien des armes et du matériel militaire, y compris des armements antichars, perforants et d'infanterie avec des munitions, et à allouer à cet effet jusqu'à 350 millions de dollars en 2015, écrit vendredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

De plus, le texte réaffirme les sanctions contre l'agence russe d'exportation d'armements Rosoboronexport et donne au président américain le droit de décréter des restrictions à l'égard d'autres grandes compagnies russes, dont Gazprom.

Il est également prévu d'octroyer à la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine le statut d'allié majeur des USA hors Otan, d'élargir "considérablement et immédiatement" l'ampleur de la propagande dans les pays de l'ex-URSS en accordant à ces fins jusqu'à 10 millions de dollars l'an prochain. Comme pour confirmer les récents propos du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov disant que les sanctions occidentales visaient à changer le pouvoir en Russie, les sénateurs américains ont inscrit dans le projet de loi la proposition d'allouer 20 millions de dollars pour "renforcer les institutions démocratiques en Russie" ces trois prochaines années. On pense immédiatement aux sommets de la démocratie en Ukraine, dans laquelle Washington a investi plus de 5 milliards de dollars en vingt ans, comme l'a déclaré la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland.

Toutefois, le document pourrait être mal accueilli par la Maison blanche. En particulier, le président Obama avait rejeté à plusieurs reprises l'idée de fournir des armes à Kiev pour se limiter à une assistance non létale – des radars pour détecter des mortiers, des tentes, des gilets pare-balles, des casques, des médicaments et des rations. Et lors de sa visite en septembre à Washington, le président ukrainien Piotr Porochenko s'était vu refuser le statut d'allié majeur hors Otan.

Mais le ton de la Maison blanche a changé récemment. Le conseiller adjoint du président pour la sécurité nationale Tony Blinken a ainsi déclaré que même si la décision de fournir des armes létales n'a pas été prise, cette question "n'a jamais été retirée de l'ordre du jour".

L'administration n'a pas non plus bien accueilli l'idée d'adopter des sanctions par le biais de la loi. Celeste Wallander, directrice senior et assistante spéciale du président des États-Unis pour la Russie et l'Asie centrale au Conseil de Sécurité nationale, a récemment noté: "La Maison blanche n'aime pas quand le sénat lui lie les mains en politique étrangère. Le but n'est pas de maintenir les sanctions mais d'arriver à une situation permettant de parvenir au règlement politique de la crise en Ukraine".

Selon la législation américaine, le président est en droit d'apposer son veto sur un projet de loi approuvé par le parlement. Néanmoins, les congressistes peuvent surmonter le veto présidentiel si plus des deux tiers des voix des deux chambres étaient favorables au projet. Au cours de sa présidence, Obama a utilisé son veto à deux reprises et le congrès n'a jamais appliqué la procédure pour le contourner. Son prédécesseur George W. Bush avait apposé son veto 12 fois, dont quatre avaient été annulés par le congrès.

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© RIA Novosti.