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21/12/2014

Le «Light footprint», la nouvelle stratégie de domination américaine

Les criminels n'hésitent devant rien pour s'accaparer le  monde !

 

*- Plus de 230 employés des services de renseignement étrangers découverts en Russie cette année (Poutine)

*- Russie: 8 attentats déjoués par les services de sécurité en 2014 (Poutine)

 

Le «Light footprint», la nouvelle stratégie de domination américaine

Le «Light footprint», la nouvelle stratégie de domination américaine
 

Les Etats-Unis ont mis au point une nouvelle stratégie de domination du monde, appelée «Light footprint». Mais de nombreux pays continuent de résister aux visées hégémoniques américaines.

Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a dénoncé, lors de sa conférence de presse annuelle, jeudi, les visées impérialistes de l’Occident et ses pratiques hégémoniques. «Nos partenaires ont décidé qu’ils étaient les vainqueurs, qu’ils étaient désormais un empire et que les autres étaient des vassaux qu’il faut faire marcher au pas», a-t-il fustigé. Il a accusé les Occidentaux, Etats-Unis en tête, de vouloir «arracher les crocs et les griffes de l’ours russe». 25 ans après la chute du mur de Berlin, ils dressent, selon lui, un nouveau mur entre la Russie et l’Europe. «Il s’agit d’un mur virtuel, mais il commence déjà à être construit», a déclaré le chef de l’État, rappelant l’élargissement de l’Otan jusqu’aux portes de la Russie (pays baltes) et le bouclier antimissile en Europe orientale.


La volonté des Etats-Unis de vouloir dominer le monde n’est pas un secret, mais la nouvelle méthode de Washington pour arriver à ses desseins est moins connue. Il s’agit de la stratégie du «Light footprint» -ou l’empreinte légère-, qui s’articule autour d’une panoplie d’outils militaires, politiques et économiques, qui ont commencé à être mis en œuvre ces derniers mois à l’échelle planétaire. Cette stratégie se base sur le concept de l’intervention dans l’ombre, moins coûteuse en ressources humaines et financières mais non moins pernicieuse.

Le «commandement par l’arrière»

Cette nouvelle stratégie est le résultat de l’échec du concept du président George W. Bush de la «guerre globale contre la terreur» (global war on terror ou GWOT), qui s’est terminée par des échecs militaires en Irak et en Afghanistan, qui ont fait des dizaines de milliers de morts et de blessés dans les rangs de l’armée américaine, un désastre économique avec la crise financière de 2008, et un déclin moral, illustré par la violation des valeurs prétendument défendues par l’Amérique. La décennie de l’an 2000 a en effet été marquée par les mensonges américains, la torture dans les prisons, les détentions extra-judiciaires de milliers de personnes à Guantanamo ou dans des prisons secrètes de la CIA (pratiques toujours en cours aujourd’hui) etc…


Fini donc les «boots on the ground» (forces au sol), les interventions massives et classiques, et place au «Light footprint». Caroline Galactéros, docteur en sciences politiques, explique à merveille les tenants et les aboutissants de cette nouvelle stratégie, orientée vers l’Asie (the shift towards Asia), et dont l’objectif prioritaire est l’endiguement de la Chine, perçue comme le principal rival des Etats-Unis à moyen terme.


Le «Light footprint» repose sur «le commandement depuis l’arrière» (the leadership from behind), c’est-à-dire confier à des auxiliaires les tâches les plus visibles -et souvent les plus ingrates-, en les dirigeant de derrière la scène. Et Washington réussit à trouver des Etats supplétifs qui acceptent de faire à sa place le sale boulot. «Le commandement par l’arrière» est apparu lors de l’intervention de l’Otan en Libye et s’illustre parfaitement dans la crise ukrainienne, où l’Union européenne est aux premières lignes dans la bataille engagée contre la Russie pour l’affaiblir et l’empêcher de constituer, avec la Chine et ses autres alliés, une nouvelle force montante sur la scène internationale.

Ce principe s’illustre également, quoiqu’avec moins de succès, dans la prétendue guerre contre les terroristes du soi-disant «Etat islamique». Bien qu’ayant rassemblé une coalition d’une quarantaine de pays, c’est l’aviation américaine qui fait le gros du travail en Irak et en Syrie.

Forces spéciales, drones, cyberguerre

La «Light footprint» repose sur une mutation de la stratégie militaire américaine, qui s’articule désormais sur l’emploi de forces spéciales, l’usage massif de drones et la cyberguerre. On l’a constaté lors de la cyberattaque contre le programme nucléaire iranien, des opérations spéciales menées en Somalie et au Yémen contre Al-Qaïda, et le déploiement de drones au Yémen et au Pakistan. Il s’agit surtout, comme l’a résumé David Sanger, correspondant en chef du Washington Post à la Maison-Blanche, d’instaurer en silence un «hard power secret», de substituer aux guerres conventionnelles militairement aléatoires, médiatiquement envahissantes et politiquement coûteuses, des guerres de l’ombre, dont seuls quelques faits d’armes spectaculaires seront rendus publics, bon gré, mal gré, explique Caralonie Galactéros.


Selon le sénateur républicain de Caroline du Sud, Lindsay Graham, qui a malencontreusement brisé en 2013 la loi du silence, ce mode d’action aurait fait près de 5000 victimes depuis 2004, souligne-t-elle.


Le «Leadership from behind» fonctionne assez bien en Afrique, où Washington a laissé la France et la Grande-Bretagne diriger les opérations en Libye et soutient aujourd’hui Paris dans son intervention militaire directe au Mali et en République centrafricaine, via sa base du Niger. Mais cela ne signifie aucunement que les Etats-Unis ont laissé le continent noir à leurs allies européens. Africom, le nouveau commandement régional américain mis en place en 2008, compte déjà 5000 soldats américains. Essentiellement dédié à la «lute contre le terrorisme» dans la Corne de l’Afrique et au Sahel, «il sert aussi de tête de pont aux intérêts économiques américains dans la région notamment face à la présence commerciale massive de la Chine», écrit Caroline Galactéros.

Le rôle subalterne de l’Europe

Le fait marquant est que l’Europe a abandonné ses rêves de grandeur et a accepté le rôle subalterne de sous-traitant pour le compte des Etats-Unis. Mais le plus frappant et que ce rôle se fait parfois au dépens de ses intérêts stratégiques, comme on l’a bien vu dans la crise ukrainienne. La France, l’Allemagne et d’autres pays européens ont cédé aux exigences américaines d’isoler la Russie et de l’affaiblir économiquement, tout en sachant que cela aurait de graves répercussions sur leurs propres économies.


Pire encore, les Etats-Unis ont décidé de faire partager le fardeau financier -«burden sharing»-, en faisant payer à ses «alliés» le prix des interventions militaires ici et là dans le monde.


C’est contre cette nouvelle forme d’impérialisme moins visible mais tout aussi nuisible que la Russie, l’Iran et la Syrie luttent depuis des années pour préserver leur droit d’exister en tant que nations libres et indépendantes.

Source : French.alahednews

 

 

Poutine: personne n'arrivera à intimider la Russie

 Enfin, "UN", qui résiste à l'empire NAZI !

Prenons exemple sur lui pour sortir de l'esclavagisme des US/Nazionistes !

Poutine: personne n'arrivera à intimider la Russie

 
Vladimir Poutine

MOSCOU, 20 décembre - RIA Novosti

Personne n'arrivera à intimider, à contenir ou à isoler la Russie, a déclaré samedi le président russe Vladimir Poutine au Kremlin lors d'une soirée solennelle consacrée à la Journée du travailleur des organes de sécurité.

Le chef de l'Etat a attiré l'attention de l'assistance sur les déclarations de plus en plus fréquentes selon lesquelles la Russie "doit payer cher pour sa position indépendante, pour le soutien qu'elle apporte aux Russes vivant à l'étranger, pour la Crimée, Sébastopol et, semble-t-il parfois, pour le simple fait d'exister".

"Il est évident que personne n'arrivera à nous intimider, à contenir et à isoler la Russie", a déclaré le président.

"Néanmoins, nous devons être prêts à affronter certaines difficultés et à donner toujours une réponse adéquate à toute menace pesant sur notre souveraineté, sur la stabilité et l'unité de notre société", a indiqué Vladimir Poutine.

Selon lui, la situation internationale est actuellement loin d'être stable.

"Le nombre de menaces et de risques ne cesse d'augmenter, les normes du droit international sont ignorées, tous les moyens sont mis en œuvre: chantage, provocations, pressions économiques et médiatiques, utilisation d'éléments radicaux et de groupes nationalistes, tentatives de déstabilisation visant à établir un contrôle sur des pays entiers", a constaté le président russe.

 

20/12/2014

Attention, les faux PDG venus d’Israël vont sévir pour les fêtes

Attention, les faux PDG venus d’Israël vont sévir pour les fêtes

Par Thierry Fabre - Publié le 19-12-2014 à 13h48

Le Medef et la police se mobilisent pour contrer un gang de « faux PDG » qui ont déjà extorqué 300 millions d’euros aux entreprises, dont Michelin.

Michelin fait partie des très nombreuses sociétés ayant été escroquées. LIONEL BONAVENTURE/AFP

Michelin fait partie des très nombreuses sociétés ayant été escroquées. LIONEL BONAVENTURE/AFP

KPMG, l’un des meilleurs spécialistes de ces fraudes en entreprise met également des spécialistes à disposition de ses clients. Cela n’a pas empêché le cabinet d’audit et de conseil de tomber dans le pann­eau des fraudeurs de haut vol, qui lui ont extorqué plus de 7 millions d'euros. En se faisant passer pour l'ex-président du groupe en France, Jean-Luc Decornoy, ces derniers ont convaincu un comptable de réaliser plusieurs virements sur un compte au Royaume-Uni, pour financer des études confidentielles. Le comptable a été licencié, mais les fonds n'ont jamais été retrouvés…

Une déferlante. Depuis leur appari­tion, en 2011, ces escroqueries ont coûté plus de 300 millions d'euros aux entreprises, avec plus de 700 cas recensés. Michelin, Vallourec, Baker & McKenzie, Naf Naf ou Porsche ont été abusés. Avec des montants colossaux, parfois supé­rieurs à 20 millions d'euros, et un impact énorme pour de nombreuses PME, dont certaines ont frôlé la fail­lite. « Le phénomène a pris autant d'ampleur, car nous avons affaire à des grands professionnels de l'escroquerie. C'est leur métier, ils font ça toute la journée, avance Jean-Marc Souvira, patron de l'Office cen­tral pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF). Et ils utilisent des techniques très sophistiquées. » Ce policier lance un cri d'alerte aux entreprises pour une vigilance maximale lors des fêtes de fin d'année, période de vulnérabilité lorsque les effectifs sont dégarnis.

De faux PDG

L'escroquerie au président, la plus classique, est celle qui rapporte le plus. Après avoir étudié finement l'organisation de l'entreprise, l'aigre­ fin contacte, en général, le comp­table d'une filiale en se faisant passer pour le PDG. Il lui confie qu'il a be­soin de lui pour une opération « exceptionnelle, confidentielle et extrêmement urgente » et lui demande de réaliser un virement, en raison d'une OPA en préparation ou d'un contrôle fiscal. «Cette technique demande une autorité naturelle, un certain aplomb et un don pour la comédie », souligne le service régional de police judiciaire de Clermont-Ferrand, qui a traité de nombreuses affaires.

Certes, le taux d'échec est impor­tant : « La manufacture Michelin a été attaquée plus de 20 fois, tant à Clermont-Ferrand qu'à l'étranger, mais elle n'a jamais été dupée », écrivaient les policiers en novembre 2013. Depuis, le géant des pneuma­tiques a, lui aussi, été abusé par les escrocs, qui ont changé de tech­nique. Se faisant passer pour un fournisseur, ils ont demandé que les factures soient réglées sur un autre compte. Ont ainsi été subtilisés 1,6 million d'euros. Autre technique efficace, celle des virements SEPA : « Profitant du changement de norme des virements bancaires, les escrocs se sont présentés comme des experts de la plateforme informatique des banques et ont demandé des virements pour tester la nouvelle norme SEPA », déplore Jean-Marc Souvira.

Filière franco-israélienne

Les groupes criminels spécialisés dans ces arnaques sont bien connus de la police : ce sont des Franco­ Israéliens, souvent poursuivis dans d'autres arnaques, à la TVA ou à la taxe carbone, qui opèrent d'Israël en toute impunité. Pas moins de 70 commissions rogatoires internationales ont été adressées par la jus­tice française à l'Etat hébreu, qui n'y a pas donné suite, car aucune infrac­tion n'a été commise sur le sol israé­lien. « Fera-t-on un jour pression sur Israël pour mettre fin à ces attaques? » se désole un magistrat. Ces escrocs francophones seraient en train de former des agents de langue anglaise pour attaquer le marché anglo-saxon. 

 

Moscou réagira à l'adoption de la loi américaine sur l'Ukraine. Poutine a décrit la nature de la doctrine militaire russe

Apparemment Poutine ne rigole pas et il semble avoir mis la Russie et la Crimée sur le pied de guerre ! Toutes les options sont sur la table !

Moscou réagira à l'adoption de la loi américaine sur Ukraine

Par La Voix de la Russie | La Russie réagira à l’adoption par les Etats-Unis de la loi sur l’Ukraine, et Moscou se réserve la possibilité de décider de la réaction à avoir en fonction de la manière dont les Etats-Unis se serviront de cette nouvelle loi, a indiqué dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères.

L’acte « sur le soutien de la liberté en Ukraine », visant à introduire des sanctions envers la Russie et permettant d’apporter une aide humanitaire à l’Ukraine a été signé par Barack Obama jeudi.

Le ministère russe des Affaires étrangères a souligné que le document n'avait rien à avoir avec l’objectif de « soutenir la liberté », en Ukraine ou ailleurs.

Poutine a décrit la nature de la doctrine militaire russe

Par La Voix de la Russie | La doctrine militaire russe a toujours un caractère défensif, malgré l'augmentation de l'activité de l'OTAN en Europe de l'Est. Dans ce cas, la Russie défendra sa sécurité « systématiquement et fermement », a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine lors d'une réunion élargie du collège du ministère de la Défense russe.

M. Poutine a également souligné que la Russie prônait la sécurité égale pour tous les Etats et les peuples, et chercherait à renforcer la stabilité internationale.

 

 

Obama a signé la loi sur les sanctions anti-russes

Le prix Nobel de la Guerre et des crimes, a dit !

Hier, 09:56

Obama a signé la loi sur les sanctions anti-russes

 

Obama a signé la loi sur les sanctions anti-russes

Par La Voix de la Russie | Le président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé jeudi avoir signé la loi autorisant de nouvelles sanctions contre la Russie ayant cependant souligné qu'il n'avait pas l'intention d'en faire usage à ce stade.

Une des idées principales de cette loi est la possibilité d'imposer de nouvelles sanctions aux sociétés énergétiques et de défense russes telles que Rosoboronexport et Gazprom. En outre, elle prévoit des restrictions supplémentaires concernant les ventes à la Russie des équipements pétroliers et les investissements étrangers dans les projets d'exploration des gisements pétroliers en Russie