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03/11/2014

TUNISIE : BHL viré par le gouvernement tunisien pour “trouble à l’ordre public”.

Voici la vérité sur les objectifs que visaient BHL en se rendant incognito en Tunisie !

Encore la mafia sioniste et leurs réseaux à l'oeuvre de l'organisation de troubles à l'ordre public et organisateurs de guerres, à Tunis et ailleurs ! Ensuite il ira raconter "SA Vérité" au journal  "le POINT".

 

BHL expulsé de Tunisie pour “trouble à l’ordre public”.

Arrivé à Tunis vendredi soir, le philosophe français, Bernard Henri Lévy, devait assister, le dimanche 2 novembre à Hammamet à une conférence sur la situation en Libye, un sujet qui lui tient à coeur depuis qu'il a milité en faveur de l'intervention franco-qatarie sous le rêgne de Nicolas Sarkozy. La réunion a été organisée par le représentant d'Ennhadha aux Etats Unis, Radwan Masmoudi, président de l'association "Islam et Démocratie". Mais hélas pour BHL, sa diplomatie parallèle n'est pas du gout du gouvernement tunisien qui l'a prié de reprendre l'avion vers Paris pour "trouble à l'ordre public". .

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Nous voici au coeur des réseaux entre une partie de l'administration américaine, les Frères Musulmans en Tunisie et en Libye et des hommes d'affaires véreux qui arrosent tout ce petit monde. BHL devait assister, le dimanche 2 novembre, à une conférence sur la Libye organisée à Hammamet, la plus grande ville trouristique de Tunisie,  par un certain Masmoudi, le représentant du mouvement ides islamistes tunisiens, Ennhadha, aux Etats Unis et le président de l'association Islam et Démocratie.  

La réunion était parrainée par un homme d'affaire douteux, Chafik Jarraya, surnommé "la Banane", en raison du monopole d'import-export qu'il a obtenu sur ce fruit. Cet affairiste à multiples bandes est devenu un entrepreneur prospère grce aux contrats qu'il obtint en Libye à l'époque de Kadhafi et avec l'appui du clan Trabelsi, du nom de l'épouse de Ben Ali, qui regroupait les moins recommandables des familles alliées à l'ancien régime. Et voici "la Banane" qui, depuis quatre ans, a lancé à Tunis deux journaux en arabe pour soutenir les islamistes d'Ennhadha et qui est connu pour finnancer les Frères Musulmans et quelques autres candidats aux présidentielles en Tunisie.

En eaux troubles

Lors de la résunion d'Hammamet du 2 novembre, BHL devait notamment rencontrer Adelhakim Belhadj, le chef des Frères Musulmans libyens et l'homme du Qatar, dont le plus fidèle allié à Tunis s'appelle...Chafik Jerraya. Que du beau monde! Le plus surprenant est que Belhadj est interdit de séjour officiellement en Tunisie. Le ministère tunisien de l'Intérieur refuse de lui accorder le moindre visa et s'il rentre tout de même en territoire tunisien, notamment pour se faire soigner, c'est avec l'appui des dirigeants d'Ennahdha...mais illégalement. Comment Belhadj peut-il dans ces circonstances assister à une conférence officielle à Hammamet? Y rencontrer des personnalités tellles que BHL? Et bénéficier du soutien des dirigeants d'Ennahdha organisateurs de cette réunion?

Ce n'est pas la première fois que BHL rencontre monsieur Belhadj. Lors du voyage éclair que le philosophe et "sauveur de la Libye" avait effectué à Tripoli le 22 mai 2014 et dont la presse n'avait pas parlé, le niveau de sécurité autour de sa personne avait été assuré par les milices islamistes qui règnent sur la ville sous le commandement de Belhadj. Les deux hommes s'étaient longuement entretenu.

Du neuf avec de l'ancien 
Sans mandat officiel, sauf le sauf conduit que constitue son amitié avec Laurent Fabius, BHL avait joué, lors de ce discret déplacement, aux faiseurs de roi, en proposant la nomination d'un gouvernement idéal. Le Premier ministre, selon lui, devrait redevenir l'ancien chef de gouvernement Zeidan. Le ministre de l'intérieur qui aurait ses faveurs est Abdelhakim Belhadj, l'homme du Qatar à Tripoli qui règne sur quelques centaines de miliciens islamistes et surveille les principaux lieux de détention de la capitale libyenne. Rien de tout cela n'a évidemment été suivi d'effets. 

Personnalité sans mandat officiel ni rang institutionnel, Belhadj est aujourd'hui l’un des personnages les plus puissants du pays. Autrefois honni et traqué, il est aujourd’hui incontournable. Après avoir été financé et soutenu par le Qatar à la veille de la révolution, il multiplie depuis les déplacements à l’étranger pour consolider sa position de force à l’intérieur du pays et laisse entendre qu'il s'est éloigné de Doha, qui est soupçonné de financer l'Etat islamique.

Très proche du président turc Recep Tayyip Erdogan et des islamistes de Tunisie, notamment de Ghannouchi, le chef d'Ennahdha, l'ami Belhadj a surtout ses entrées à Washington. Mais ce fin politique sait ne pas être prisonnier de ses alliances. Plus récemment, le chef des islamistes libyens a même été reçu par des hauts responsables algériens et par Jacob Zuma, le président d’Afrique du Sud. Alger et Pretoria comptent sur lui pour contrôler, voire réprimer, les jihadistes libyens violents et rétablir un semblant d’ordre dans le chaos. Retournement de situation étonnant quand on connait le curriculum d’Abdelhakim Belhad. A seulement 22 ans, Abdelhakim s’expatriait dans le Peshawar, au nord du Pakistan, où il suivait l’entraînement militaire et spirituel qu’organisent Abdallah Youssef Azzam et Oussama Ben Laden, les deux créateurs d'Al-Qaida. 

BHL dégage!

La présence de BHL en Tunisie aura été d'autant plus surprenante qu'il ne s'est jamais intéressé à ce pays ni dans ses écrits ni dans ses chroniques. Sous Ben Ali, BHL n'a jamais dénoncé les dérives du régime, pas plus qu'il ne s'est penché depuis sur la formidable transition démocratique tunisienne. Autant son soutien aux généraux algériens, à qui il a consacré deux longs articles dans "le Monde" bourrés d'erreurs, est connue, autant son indifférence à la Tunisie est totale. Aussitôt connue son arrivée à Tunis, de nombreux tunisiens se sont massés à l'aéroport avec un seul mot d'ordre: "Dégage". En revanche, ce tigre de papier et va-t-en guerre a pris fait et cause pour la guerre en Libye. IL aura été le propagandiste zélé de l'intervention franco-anglaise, soutenue par le Qatar. Après le départ de Kadhafi, il ne s'est illustré que par une volonté suspecte de rapprocher le CNT libyen de l'époque, qui luttait contre Kadhafi, de la diplomtie israélienne. 

Cet automne, le bide de sa dernière pièce de théatre à "Hôtel d'Europe, l'Atelier" l'avait rendu amer et silencieux. L'expulsion de Tunisie n'est pas exactement le "come back" dont il rêvait. Philosophe enseigné dans aucune université, journaliste mêlant le vrai du faux, cinéaste de raccroc, écrivain sans oeuvre littéraire, guerrier sans aucun fait d'armes, BHL est juste au bout de ses impostures. La Tunisie ne s'y est pas trompée qui sait ce qu'en matière sécuritaire, l'incendie allumé en Libye par BHL, Sarkozy et le Qatar comporte aujourd'hui encore des risques majeurs pour l'ensemble de la région.

VIDEO

Dimanche 2 novembre, dans une interview accordée au Point.fr BHL, s'est expliqué : 

Voici sa "vérité" sur son voyage en Tunisie :

Comment un simple aller-retour de Bernard-Henri Lévy à Tunis devient une véritable affaire d'État... Venu pour rencontrer des personnalités libyennes à l'hôtel La Résidence, le philosophe s'est retrouvé au centre d'un maelström où la rumeur et la malveillance ont pris le pas sur la vérité et la diplomatie. On a dit tout et son contraire sur ce voyage éclair... BHL rétablit la vérité et s'étonne d'une telle désinformation...

Le Point.fr. : Vous rentrez de Tunisie. On a lu des choses folles dans la presse. Que s'est-il vraiment passé ?

BHL : Factuellement, pas grand-chose. Quelques dizaines d'islamistes ou, peut-être d'exilés kadhafistes, qui m'attendaient à l'aéroport et s'indignaient de voir un "sioniste" (sic) poser son sale pied sur le sol du pays. Mais l'événement, s'il y en a un, c'est ce qui a suivi. Et c'est ce vent de haine et de folie qui s'est mis à souffler dans les rédactions, sur la Toile, sur les réseaux sociaux. En quelques heures, j'étais devenu, dans le meilleur des cas, je veux dire dans les journaux convenables, un "intellectuel juif", ou un "agent sioniste", venu semer le désordre et déstabiliser, à moi tout seul, la jeune démocratie tunisienne. Dans le pire des cas, c'est-à-dire sur certains blogs, j'étais un "chien", une "vermine", un "vampire qui se nourrit du sang arabe", un type qu'il fallait "lyncher" si on le rencontrait - j'en passe et des meilleures...

Quel était le but de votre séjour en Tunisie ?

Une chose très simple. Rencontrer, dans un hôtel, au vu et au su de tous, dans la plus parfaite transparence, des amis libyens sortis exprès de Tripoli, Benghazi, les villes du Djebel Nefousa, Misrata, Zaouia, afin de poursuivre en terrain neutre, et avec moi, le dialogue de réconciliation nationale. Mais, d'un seul coup, dans cette opinion devenue folle et biberonnée au conspirationnisme le plus débile, j'avais un agenda secret qui était, pour les uns, de rencontrer les islamistes d'Ennadha ; pour les autres, de participer, en compagnie, si j'ai bien compris, d'un des pires islamistes radicaux de la région, à une conférence dont je n'avais, évidemment, jamais entendu parler ; pour les troisièmes, de comploter contre le régime issu des élections de la semaine dernière et, pourquoi pas, de le renverser. J'étais le complot sioniste à moi tout seul. L'incarnation des noirs desseins de l'étranger. J'étais, non plus un écrivain, mais un agitateur professionnel sur les "agissements" de qui des groupes de crétins se mettaient à réclamer l'ouverture d'une enquête judiciaire. Tout ça est à se tordre de rire. Mais, en même temps, je n'ai pas tellement envie de rire. Car ce qui se passe en Tunisie est, par ailleurs, tellement important - tellement beau et tellement important - qu'on est triste de voir des braillards, ou des gens sérieux, mais devenus dingues, partir dans ce genre de délires et salir ce que les démocrates tunisiens ont tant de peine à construire.

On dit que vous avez fini par être expulsé...

Vous plaisantez ! Vous imaginez un citoyen français expulsé comme ça, sans raison, par un pays ami et, de surcroît, démocratique ? Et où en serions-nous si les autorités tunisiennes, sorties victorieuses de leur bataille électorale contre les obscurantistes et les nostalgiques de la dictature, cédaient à la pression, je ne dis même pas de la rue, mais de quelques poignées de fanatiques drogués à l'antisémitisme le plus enragé ? Non. Tout cela est grotesque. Je suis parti quand ma réunion libyenne s'est terminée. Et les autorités tunisiennes, pour ce que j'en ai vu et su, se sont comportées de façon parfaitement normale.

Dans les réactions hostiles à votre venue, il y avait aussi l'extrême gauche...

Sans doute, oui. Mais l'extrême gauche a le même problème partout. En Tunisie, elle a eu son époque où elle soutenait les islamistes. Puis, celle où la dictature Kadhafi lui semblait un moindre mal. Puis, maintenant, elle a des indulgences pour Bachar el-Assad. Et quant au complotisme antisémite... Allons. On ne va pas mettre de l'huile sur le feu. Je dirai juste qu'il y a, dans cette extrême gauche, un vrai problème de culture politique, juste de culture politique et de niveau. Mais comment faire autrement quand on sort assommé de décennies de tyrannie et de bourrage de crâne?

Comment expliquez-vous qu'une telle polémique soit née ?

On vit une époque folle. Plus personne ne vérifie quoi que ce soit. Les gens écrivent, de plus en plus, n'importe quoi. Y compris en France où un site comme Rue89 a quand même réussi à écrire, sans prendre la peine de checker leur information en téléphonant, par exemple, à l'intéressé, que BHL "serait en Tunisie pour voir le Libyen Abdelhakim Belhadj et l'islamiste tunisien Rached Ghannouchi" - c'est-à-dire, si je peux me permettre, ce qu'il y a de moins fréquentable sur les scènes politiques libyenne d'un côté, tunisienne de l'autre.

Un incident comme celui-ci vous paraît-il infirmer l'idée que la Tunisie est le premier pays des révolutions arabes à avoir réussi sa transition démocratique ?

Bien sûr que non. J'ai été parmi les premiers, en janvier 2011, à saluer l'héroïsme de ce peuple, qui, en solidarité avec un petit marchand de Sidi Bouzid immolé par le feu, s'insurgeait contre un pouvoir que l'on pensait invincible. Et je me souviens avoir relayé, à l'époque, les appels à "hacker" les sites officiels de Ben Ali ! Tout cela, je ne le regrette pas une seconde. Et la Tunisie, encore une fois, va dans le bon sens. Simplement, on constate une fois de plus qu'une démocratie, ce n'est pas seulement des élections. C'est aussi une culture. Une révolution lente des mentalités. Des digues contre la boue qui, elle aussi, profite de la liberté pour remonter à la surface. Et il reste en Tunisie, comme dans le reste du monde arabe, beaucoup à faire de ce point de vue.

 

 

Chuuuut, on a voté dans l’Est de l’Ukraine. Photos, vidéos.

Les séparatistes pro-russes en voté en masse pour avoir leur liberté ! Faut-il le cacher ?

 

Chuuuut, on a voté dans l’Est de l’Ukraine

3 nov 2014

Le processus est simple :

  • on n’a pas envie de connaitre l’opinion d’un peuple

  • on décrète que le vote est illégal (sic.)

  • on n’envoie pas d’observateurs occidentaux

  • ils votent

  • et après on déclare fièrement que le vote n’a aucune valeur, vu qu’il n’y avait aucun observateur occidental

  • CQFD

On l’a vu lors du référendum du 11 mai (lire Le référendum éloquent… Et le mépris occidental…), où les journalistes ont reconnu la vérité le jour du vote, mais où ce fait a été évacué de l’histoire d’une façon totalement orwellienne…

En attendant, HORREUR, les gens votent (attention cependant, il y a de longues queues car il y a peu de bureaux ; mais cela montre bien qu’ils sont motivés…) :

(Purée, on se croirait presque aux élections européennes en France, non ?)

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Vidéos


 


 




La RTS, un peu plus honnête que la moyenne :

Pour les hommes en armes, c’est certes déplorable, mais un peu lié aux “pro-occidentaux” et à leur respect de la démocratie :

Alors peut on avoir une grande confiance dans le résultats du vote ?

Probablement pas, au vu des conditions, de l’état de guerre civile, des difficultés à faire campagne. Mais ce serait aussi prendre les Ukrainiens pour des imbéciles en imaginant qu’ils se sont assez largement mobilisés pour aller voter, dans un scrutin qui aurait été truqué, comme el vomit la “presse” occidentale :

Dans un autre registre, FranceTvInfo :

Dingue, je pensais que c’étaient les millions d’Ukrainiens de l’Est qui votaient moi !

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Ce qui compte, c’est de voir que BEAUCOUP d’Ukrainiens à l’Est ne veulent pas rejoindre tel quel le giron de Kiev.

Et la seule conclusion à laquelle on puisse honnêtement aboutir est que, dès lors, il faut tenir dans de bonnes conditions un référendum sous contrôle international, ce peuple ayant bien le droit de décider de son avenir…

 

 

Retour sur l'affaire de la visite de BHL en Tunisie

Excellent ! Et hop retour à l'envoyeur, la France/Sionista qui utilise son mandataire pour aller comploter en douce en Tunisie avec  ses grands amis Lybiens !

Les mensonges et les confirmations de BHL sur son blog alors qu'il répond au Point. Tout est dit en une phrase ! "afin de poursuivre en terrain neutre, et avec moi, le dialogue de réconciliation nationale." De quoi se mêle-t-il ?

*EXCLUSIF. La vérité sur le voyage de BHL en Tunisie ! Propos recueillis par Jérôme Béglé pour Le Point

Quel était le but de votre séjour en Tunisie ?

Une chose très simple. Rencontrer, dans un hôtel, au vu et au su de tous, dans la plus parfaite transparence, des amis libyens sortis exprès de Tripoli, Benghazi, les villes du Djebel Nefousa, Misrata, Zaouia, afin de poursuivre en terrain neutre, et avec moi, le dialogue de réconciliation nationale.

Retour sur l'affaire de la visite de BHL en Tunisie

2 novembre 2014 à 14:18

BHL-en-Tunisie-Banniere

 

Selon son amie, Liliane Lazar, professeure à Hofstra University à Long Island, Bernard Henri Lévy était, hier, à Tunis pour... déjeuner avec des «amis libyens».

Par Ridha Kéfi

En d'autres termes, et si on a bien compris, c'était une belle opération pour le tourisme tunisien. On aurait donc dû applaudir que M. Lévy ait choisi notre pays pour son déjeuner du samedi 1er novembre 2014 ! Et non pas en faire une affaire d'Etat!

A l'appui de son affirmation, Mme Lazar a publié sur le blog ''BHL'' la photo du fameux déjeuner, à l'hôtel The Residence à Gammarth, où l'on voit, aux côtés de M. Lévy, le Fadil Lamine, président du Conseil de Dialogue national libyen; Gilles Hertzog, compagnon de tous les combats du philosophe français; Waheed Burshan, que ce dernier avait rencontré dans le Djebel Nefousa du temps de la révolution libyenne; et Nouri Cheriou, grande figure des Amazighs libyens.

«De Tunisie, point n'est question», a tenu à souligner Mme Lazar. Traduire : de quoi les Tunisiens se mêlent-ils ?

Bien sûr, la discussion au cours de ce déjeuner – qui ne pouvait se tenir qu'à Tunis ! – était consacrée à «L'art de la philosophie», qui «ne vaut que s'il est l'art de la guerre», comme l'affirme le nom du blog de BHL.

Reste à savoir de quelle guerre il s'agissait au cours du fameux déjeuner. Celle en cours en Libye, n'en déplaise à Mme Lazar, concerne directement la Tunisie, qui fait face aux infiltrations de grandes quantités d'armes et de groupes terroristes en provenance de ce pays, avec pour mission de mener des actions de déstabilisation en Tunisie et en Algérie.

La moindre des politesses (ou des précautions), de la part de M. Lévy, aurait été d'informer les autorités tunisiennes de son arrivée à Tunis, de l'objet de sa visite et de l'identité des personnes qu'il compte rencontrer, car M. Lévy, grand Narcisse devant l'Eternel, sait que son auguste personne – ex-émissaire en Bosnie, en Afghanistan, au Kurdistan irakien, en Libye... excusez du peu! – ne saurait passer inaperçue, dans un pays en transition politique, et qui fait face à des menaces terroristes, surtout que le «philosophe de la guerre» comptait rencontrer des personnes impliquées dans une guerre qui se déroule aux frontières de la Tunisie. Ne pas informer le pays hôte d'une si importante rencontre pouvait susciter des interrogations voire des suspicions... Et c'est déjà fait.

Reste un autre point important: l'ambassadeur de France à Tunis, François Gouillette, était-il informé, lui-même, de cette visite pour le moins impromptue?

Si c'était le cas, pourquoi n'en a-t-il pas informé lui-même le ministère des Affaires étrangères tunisien, comme le recommandent les règles de la diplomatie? A moins de considérer la Tunisie, non comme un pays souverain, mais comme un protectorat...

M. Gouyette est un grand diplomate et il a une haute idée de sa mission, autant dire qu'il a aussi beaucoup d'estime pour le pays qu'il représente et pour celui où il est accrédité. Aussi son silence sur cette affaire est-il assourdissant...

 

Sur le site de BHL :

 Bernard-Henri Lévy et Gilles Hertzog...

Citations de Gilles Hertzog sur Bernard-Henri Lévy

« L’homme de ma vie- s’il en est. »

 

 

02/11/2014

Ukraine : les élections renforcent le pouvoir des pro-russes à Donetsk et Lougansk

Et Hop !!! Encore une belle gifle pour les US/UE/ONU/Kiev/Nazis de la part de la Russie et des deux régions séparatistes de l'est de l'Ukraine, Donetsk et Lougansk !

On rigole parce que le Nazi/Sioniste de KIEV qui s'est installé par la force après le coup d'état fabriqué et financé par les US/UE/NAZIS, alors que 50 % des Ukrainiens n'ont pas voté pour l'élire, lui et ses alliés criminels, a qualifié les élections démocratiques de "FARCE" !

* Elections dans le Donbass: Kiev ouvre une enquête pénale

* Donbass: Kiev doit reconnaître les résultats des élections (député russe)

Moscou reconnaît les élections et comme de bien entendu l'ONU/UE/US/Kiev/Nazis, ne reconnaissent pas les élections, et l'ONU va même jusqu'à dire qu'elle craignait les élections ! Ce n'est pas la Charte des Droits de l'Homme et le Droit international qui reconnaissent le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ou le droit à l'autodétermination ? 

AUTODÉTERMINATION

Le mot « autodétermination » se réfère tant aux acquis de la philosophie qu'à ceux du droit international. En termes philosophiques, il désigne la possibilité pour un individu de choisir librement sa conduite et ses opinions, hors de toute pression extérieure. En droit international, ce terme renvoie par extension au principe du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, c'est-à-dire de choisir librement leur État et leur forme de gouvernement, de ne pas être cédés ou échangés contre leur volonté, et au besoin de faire sécession. Ce principe possède de profondes racines historiques, mais il a longtemps été traité avec circonspection en raison de son ambiguïté, concernant à la fois ses bénéficiaires et son applicabilité.

Pas bon BANANIA pour l'UE/US/ONU/KIEV/NAZIS, car ils perdent deux régions industrielles russophones de l'Est de l'Ukraine, alors bien sûr, les NAZIS craignent soi-disant pour la paix en Ukraine, quand ils sont allés eux-mêmes y installer la guerre !

Prochain acte de la Russie ? S'annexer ces deux régions séparatistes à leur demandes, après les élections et qui de fait, seront des partenaires naturels de la Russie ? Ainsi comme en Crimée, Poutine aura repris une partie de l'Ukraine sans entrer en guerre contre les Nazis de KIEV, financés par l'UE/US/ Nazis !

Voir les deux vidéos dans  l'article en ligne sur le site du Parisien :

Ukraine : les élections renforcent le pouvoir des pro-russes à Donetsk et Lougansk

Publié le 02.11.2014, 21h22 | Mise à jour : 22h11

 

L'Est séparatiste pro-russe de l'Ukraine a légitimé dimanche les dirigeants des républiques autoproclamées dans un vote dénoncé comme «une farce» par Kiev et qui pourrait remettre en cause le fragile processus de paix.

L'Est séparatiste pro-russe de l'Ukraine a légitimé dimanche les dirigeants des républiques autoproclamées dans un vote dénoncé comme «une farce» par Kiev et qui pourrait remettre en cause le fragile processus de paix. | AFP/ALEXANDER KHUDOTEPLY

 

La polémique était annoncée bien avant les résultats. Les régions séparatistes pro-russes de l'est l'Ukraine ont voté dimanche pour élire leurs représentants . Le commandant des unités rebelles Alexander Zakhartchenko a été élu avec plus de 80 % des voix de la région de Donetsk et l'ex-militaire Igor Plotiniski a été confirmé dans ses fonctions dans la région de Lougansk.

Le ukrainien du président pro-occidental Petro Porochenko a d'ores et déjà qualifié ces élections de «farce, sous la menace des chars» alors que Moscou a promis de reconnaître les résultats. Aucune organisation internationale n'avait envoyé d'observateurs pour ces élections.


L'Ukraine risque de perdre définitivement l'Est du pays

Le nouveau président de Donetsk Alexander Zakhartchenko, 38 ans, était Premier ministre depuis le mois d'août. Il avait dirigé dans la région la cellule locale d'un groupe paramilitaire, Oplot, dont le chef avait publiquement appelé à «crever un oeil ou casser une jambe» aux opposants pro-européens. Son parti a, par ailleurs, obtenu plus de 65 % des voix dimanche. A Lougansk, autre place forte des séparatistes, le nouvel homme fort, Igor Plotnitski, 50 ans, est lui très attaché au passé soviétique de Lénine.


Les élections risquent donc de sceller la perte de contrôle par Kiev des territoires séparatistes autoproclamés de Donetsk et Lougansk, à l'issue d'un conflit de six mois qui a fait plus de 4 000 morts après l'annexion en mars de la Crimée par la Russie. Des élections qualifiées de «farce menée sous la menace des chars». C'est un «défi» auquel l'Ukraine répondra «de façon adéquate», a expliqué Porochenko.

L'ONU craignait le scrutin

Les Occidentaux fustigent ce scrutin, qui va, selon eux, compliquer les efforts de la paix dans la crise ukrainienne. L'Union européenne a d'ailleurs qualifié le vote de «nouvel obstacle» à la paix. Mais à Moscou un haut responsable parlementaire a estimé que Kiev était «obligé de reconnaître ces élections. C'est une question de guerre ou de paix». A Donetsk, les électeurs, tous âgés, était en effet nombreux, selon des journalistes sur place, mais il restait difficile de se faire une idée du taux de participation. 

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, à l'instar de l'Union européenne, avait estimé que ce scrutin allait «sérieusement ébranler les accords de Minsk», signés le 5 septembre entre Kiev, les rebelles, Moscou et l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Sur le terrain, le cessez-le-feu qui en découle semble être de plus en plus virtuel, avec une reprise des combats dans plusieurs zones qui ont fait plus de 300 morts au cours des dix derniers jours, selon un bilan établi par l'ONU.

La veille, Kiev a annoncé la perte de sept soldats, un des plus lourds bilans depuis septembre.

VIDEO. A Donetsk, des élections rebelles «indispensables»

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"Les exportations allemandes fléchissaient de 5,8 % le mois dernier, a indiqué l'Office fédéral de la statistique. Il s'agit de la plus forte baisse depuis le début de 2009 dont les experts rendent essentiellement responsable la guerre commerciale avec la Russie. L'économie Allemande montre de plus en plus clairement des signes de faiblesse : L'emploi dans l'industrie et la production s'est effondré en Août."

 

Source : DWN