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29/09/2015

Poutine : le niveau très bas des relations avec les Etats-Unis n’est pas de l’initiative russe

C'est sûr que si les USA et ses alliés ont dans la tête de détruire la Russie, comme cela semble être le cas, depuis le coup d'état fomenté à Kiev en Ukraine, les relations ne peuvent pas être au beau fixe des deux parties !

Poutine : le niveau très bas des relations avec les Etats-Unis n’est pas de l’initiative russe

29 sept. 2015, 00:59

Vladimir Poutine et Barack Obama

Vladimir Poutine et Barack Obama

Le président russe répond aux questions des journalistes russes après une rencontre avec son homologue américain Barack Obama, en marge de la 70ème session de l’Assemblée générale de l’ONU à New-York.

«Les relations entre les Etats-Unis et la Russie sont à un niveau très bas. Ce n’est pas de notre initiative. Je pense que c’est mal pour les relations bilatérales et la politique mondiale. Nous sommes prêts au rétablissement des relations», a expliqué le président russe aux journalistes.

Cependant le chef d’Etat russe a reconnu que «les négociations d’aujourd’hui étaient très franches» et que les deux pays avaient quand même «des points de vue en commun».

Vladimir Poutine a évoqué la participation américaine dans le règlement  du conflit en Ukraine. «Ils [les Etats-Unis] y participent beaucoup, ils sont derrière les autorités de Kiev ainsi que nos collègues européens. Cela n’est pas couvert très activement comme par exemple la participation des collègues européens au format Normandie. Mais les Etats-Unis sont ouvertement derrière le gouvernement de Kiev et nos collègues européens aussi», a souligné le numéro un russe.

Quant aux sanctions contre la Russie, le président russe les qualifie «d’inefficaces». «La politique des sanctions et d’isolation est ineffective. C’est tout simplement impossible à l’égard d’un tel pays que la Russie», a indiqué le chef d’Etat russe.

Vladimir Poutine a rappelé que la coalition menée par les Etats-Unis a effectué 43 frappes aériennes contre Daesh. «Quel en est le résultat ? Personne ne le sait», a déclaré le président russe. Le dirigeant russe a exprimé son respect vis-à-vis de ses collègues, Barack Obama et François Hollande. Reste qu’il a rappelé que ces derniers «ne sont pas des citoyens syriens, et ce n’est pas à eux de résoudre le destin de la Syrie».

Vladimir Poutine a exclu la possibilité de prendre part à des opérations terrestres en Syrie. Il a souligné qu’il s’agissait de coordination des actions de combat sur le terrain. «Nous pensons à comment nous pouvons aider ceux qui luttent contre le terrorisme. Ce sont l’armée syrienne et les rebelles kurdes», a indiqué le chef d’Etat.

En répondant à la question sur ses contacts avec Barack Obama, Vladimir Poutine a annoncé que ceux-ci ne s’étaient jamais arrêtés, «malgré de nombreuses spéculations sur ce sujet». D’après ses dires, les deux présidents ont eu des conversations par téléphone et des rencontres informelles lors d’événements internationaux hors du champ de vision des caméras.

L’attention des médias a été attirée aujourd’hui par le toast partagé entre Vladimir Poutine et Barack Obama. Le maître du Kremlin a expliqué cet acte en toute simplicité. «Nous avons bu à la santé de Ban Ki-Moon et à l’ONU», a-t-il dit.

 

URGENT - Washington bloque le projet proposé par la Russie à l'ONU pour régler la crise au Moyen-Orient

Suite de l'entrevue avec Obama !

Il fallait s'y attendre !

LA QUESTION EST CELLE DE SAVOIR : où est passé le vote à l'ONU pour que les USA bloquent le projet proposé par la Russie à l'ONU ? Encore une mascarade en cours ?

Depuis qu'ils recherchent un conflit mondial pour relever leurs finances avec leurs Banksters, l'alibi est tout trouvé !

Comme cela nous avons la confirmation que les USA/Israël sont des pays terroristes qui financent les mercenaires de l'EI et autres formations dites terroristes, qu'ils ne souhaitent pas la paix mondiale et qu'ils entendent étendre leur carnage en Syrie et au Moyen Orient pour poursuivre leur projet criminel, de création du Grand Israël et du Grand Moyen Orient, au détriment de la sécurité des populations civiles.

Poutine aura tout essayé y compris de les tester jusqu'au bout et nous ne pourrons rien lui reprocher à l'avenir.

Au moins, il sait à qui il a affaire et comment se comporter avec les nazis !

Source de l'information : mardi 29 septembre 00h45 CET

EN DIRECT : la 70ème session de l’Assemblée générale de l’ONU

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Les Etats-Unis ont bloqué le projet proposé par la Russie à l’ONU pour régler la crise au Moyen-Orient.

Poutine avait toujours dit qu'il n'engagerait pas ses troupes dans un conflit terrestre, mais qu'il fournissait des armes, la technologie et la formation des militaires de l'armée régulière Syrienne.

Néanmoins Poutine a confirmé la création d'un centre de communication en Irak pour lutter contre Daesh.

Il a confirmé que les frappes contre la Syrie étaient illégales car il n'y a pas d'accord de l'ONU.

Il a dit qu'Obama et Hollande n'étaient pas des citoyens Syriens pour décider du futur de la Syrie.

Et qu'il n'y avait rien de surprenant de comparer les terroristes aux nazis.

Que les relations entre les USA et la Russie étaient au plus bas, mais que c'était le choix des USA et pas ceux de la Russie.

Que la Russie et les USA avaient quand même des points de vue communs.

28/09/2015

ONU : Renoncer au droit de veto? Insensé, selon Moscou

La conception du Droit International de la France/US/Israël/Grande-Bretagne qui considèrent avoir le droit d’aller s’attaquer impunément à tous les pays du monde et des pays voisins de la Palestine occupée ! Comme ils ne commettent pas assez de crimes de guerre et contre l’humanité il faudrait aussi les dédouaner de ces poursuites criminelles !

"Les Etats-Unis s'opposent régulièrement aux résolutions condamnant Israël, tandis que Pékin et Moscou ont bloqué plusieurs résolutions sur la Syrie."

Renoncer au droit de veto? Insensé, selon Moscou

10:18 28.09.2015 (mis à jour 10:27 28.09.2015)

L'Assemblée générale de l'Onu

La proposition française visant à renoncer au droit de veto n'a aucune chance d'être approuvée. Il est peu probable que Washington soutienne une telle initiative, estime Moscou.

Selon l'ambassadeur russe auprès des Nations unies, Vitali Tchourkine, aucun membre permanent du Conseil de sécurité de l'Onu ne votera pour une initiative qui viserait à supprimer le droit de veto.

"Peut-être que 60 pays soutiennent cette initiative, mais je suis absolument sûr que les Américains, ainsi que les Chinois, n'y adhéreront pas", a déclaré l'ambassadeur russe auprès de l'Onu, en ajoutant que la proposition française pourrait être soutenue seulement par le Royaume-Uni.

"Je suis convaincu que si les Américains rejoignent cette initiative, le Congrès décréterait l'impeachment (destitution, ndlr) des personnes affichant une attitude aussi irresponsable à l'égard d'un instrument aussi crucial de la politique et de la diplomatie américaine que le droit de veto," a-t-il ajouté.

En outre, selon le représentant permanent de la Russie à l'Onu, l'application de cette initiative impliquerait d'amender de la Charte de l'Onu.

"Pour supprimer le droit de veto il est nécessaire de modifier la Charte des Nations unies. Or, le droit de veto, c'est ce qui nous oblige à rechercher chaque jour un compromis sur les documents élaborés au Conseil de sécurité", a déclaré Vitali Tchourkine aux journalistes.

Intervenant en 2013 devant l'Assemblée générale des Nations unies, le président français François Hollande a invité les cinq membres permanents du Conseil de sécurité à renoncer collectivement à leur droit de veto en cas de crimes de masse.

Lors d'une réunion informelle en marge du débat général de l'Assemblée générale de l'Onu, les pays membres du Conseil de sécurité discuteront de la limitation volontaire de l'utilisation du droit de veto.

La Russie et la Chine sont hostiles à toute suppression ou à limitation de l'utilisation du droit de véto au Conseil de sécurité des Nations unies, alors que les Etats-Unis ne se sont toujours pas exprimés explicitement sur ce point. Le Royaume-Uni est l'unique pays parmi les membres permanents du Conseil de sécurité à avoir ouvertement soutenu l'initiative de Paris.

Le Conseil de sécurité est composé de 15 membres, dont cinq permanents (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni) qui disposent d'un droit de veto. Si Paris et Londres ne bloquent que très rarement le vote de résolutions, Washington, Pékin et Moscou sont plus enclins à recourir au veto.


Les Etats-Unis s'opposent régulièrement aux résolutions condamnant Israël, tandis que Pékin et Moscou ont bloqué plusieurs résolutions sur la Syrie.

Dossier : 70e session de l'Assemblée générale de l'Onu (25)

Lire aussi:

Kiev veut restreindre le droit de veto de la Russie à l'Onu

Onu: la proposition de supprimer le droit de veto fait polémique

La Lituanie veut restreindre le droit de veto à l'Onu

 

L'interview de Vladimir Poutine en sept points clés

L'interview de Vladimir Poutine en sept points clés

28 sept. 2015, 01:35

L'interview de Vladimir Poutine aux chaînes américaines : les meilleurs extraits

Le président russe Vladimir Poutine a accordé une interview au journaliste américain Charlie Rose pour les chaînes CBS et PBS à la veille de la 70ème Assemblée Générale de l'ONU. RT revient sur les meilleurs extraits de cette interview.


Sur son soutien de Bashar al-Assad...

«Vous dites sans cesse, avec une persévérance qui pourrait être mieux utilisée, que l’armée syrienne se bat contre son propre peuple. Mais regardez qui contrôle 60% du territoire syrien ! Où est cette opposition modérée ? 60% du territoire syrien est contrôlé soit par Daesh, soit par d’autres organisations terroristes, telles que le Front al-Nosra ou d’autres encore, reconnues comme organisations terroristes par les États-Unis entre autres États, ainsi que par l’ONU».

Plus de 2 000 combattants de l’ex-URSS se trouvent sur le sol syrien. La menace de les voir revenir en Russie existe. Alors, au lieu d’attendre leur retour, il vaut mieux aider Assad à les combattre sur le territoire de la Syrie. Voilà la motivation principale de notre soutien au président syrien.

Aller plus loin : Moscou : deux terroristes de Daesh arrêtés à l’aéroport international de Chérémétiévo

Daesh en Syrie.

Sur les rapports de la présence des forces armées russes en Syrie...

«La Russie ne participera à aucune opération militaire sur le territoire de la Syrie ou sur celui d’autres États. En tout cas, nous ne l’envisageons pas aujourd’hui».

En savoir plus : Médias occidentaux : la Russie préparerait les frappes aériennes contre Daesh en Syrie

 

Donetsk, l'Est de l'Ukraine.

Source: Reuters

Donetsk, l'Est de l'Ukraine.

Sur la crise ukrainienne...

«Qu’est-ce que je trouve absolument inacceptable pour nous ? Que des questions, y compris des questions controversées, relevant de la politique interne des anciennes républiques de l’URSS soient réglées par des révolutions dites «de couleur», par le renversement des pouvoirs en place par des moyens non-constitutionnels. Ça c’est absolument inacceptable».

Respecter la souveraineté veut dire ne pas admettre de coups d’état, d’actions anticonstitutionnelles et de renversement illégal d’un pouvoir légitime...

«Nous sommes en contact et en relation avec des milliers de personnes en Ukraine. Et nous savons qui, où et quand a rencontré et a travaillé avec ces gens qui ont renversé Ianoukovitch. Nous savons quel soutien leur a été accordé, combien ils ont été payés et comment ils ont été entrainés».

Kiev, février 2014

© Andreï Stenine Source: RIA NOVOSTI

Kiev, février 2014

«Proprement dit, nos partenaires américains ne s’en cachent plus».

Sur l'expansion de l'OTAN...

«N’oublions pas que des armes nucléaires tactiques américaines s’y trouvent. Qu’est-ce que cela signifie ? Que vous auriez occupé l’Allemagne ou bien auriez décidé de ne pas en finir avec l’occupation de l’Allemagne après la Deuxième Guerre mondiale en transformant tout simplement les forces d’occupation en forces armées de l’OTAN ?»

Les Etats-Unis vont installer de nouvelles armes nucléaires en Allemagne

Des militaires amériсains passent devant le village roumain de Malu

Source: Reuters

Des militaires amériсains passent devant le village roumain de Malu

Sur la démocratie occidentale...

«Prenons l’exemple des Etats-Unis. Combien de temps a pris le processus de développement de la démocratie ? Il dure depuis la création des États-Unis. Et à présent, vous croyez que tout a été fait du point de vue de la démocratie ? Si tout avait déjà été fait, le problème de Ferguson n’aurait pas eu lieu, n’est-ce pas ? Il n’y aurait pas d’autre problème de ce genre. Il n’y aurait pas d’arbitraire policier.»

(Kevin Lamarque / Reuters)

Source: Reuters

(Kevin Lamarque / Reuters)

Je suis fier de la Russie. Il y a de quoi être fier. Mais nous ne sommes pas obsédés par l’idée d’imposer un leadership russe sur la scène internationale.

Sur son homologue américain...

«Je ne me considère pas en droit de juger le président des Etats-Unis. C’est l’affaire du peuple américain».

Nous nous écoutons les uns les autres, quand cela ne contredit pas nos propres idées de ce que nous devrions ou ne devrions pas faire.

Sur sa propre image...

«Je suppose que la plupart des gens me font confiance, s’ils votent pour moi lors des élections. Et c’est ce qu’il y a de plus important. Cela représente une énorme responsabilité, une responsabilité colossale. Je suis reconnaissant au peuple pour cette confiance, mais bien sûr, je ressens une énorme responsabilité pour ce que je fais et pour le résultat de mon travail».

 

 

L'interview attendue: Poutine joue cartes sur table

Ben tiens, si jamais la France, l'Allemagne et la Pologne, se sentaient morveux pour avoir préparé le coup d'état en Ukraine, Poutine se charge de les moucher !

Quant aux USA, ils en prennent aussi pour leur grade !

L'interview attendue: Poutine joue cartes sur table

01:35 28.09.2015 (mis à jour 01:38 28.09.2015)

Le président russe Vladimir Poutine

Dans un entretien avec Charlie Rose, le président russe Vladimir Poutine a parlé des raisons de la supposée présence russe en Syrie, de l'impossibilité d'intervenir dans la politique intérieure des pays, en Syrie comme en Ukraine, de la participation américaine dans le coup d'Etat en Ukraine, et a dévoilé le secret de sa popularité en Russie.

C'est au peuple syrien de décider qui doit diriger la Syrie

A la question à priori provocatrice du journaliste américain Charlie Rose de savoir si l'intention de Vladimir Poutine était de garder l'administration de Bachar el-Assad, le président a répondu par un "oui" catégorique. De surcroît, d'après le président, faire le contraire, détruire les structures légitimes du pouvoir, mènerait à une désintégration de toutes les institutions étatiques, comme c'est le cas en Lybie ou en Irak. La bonne démarche consiste à renforcer les structures étatiques légales et à les aider à lutter contre le terrorisme tout en encourageant un dialogue positif avec la partie raisonnable de l'opposition sur des réformes politiques.

Charlie Rose a rappelé au président russe que certains membres de la coalition souhaitaient que Bachar el-Assad quitte le pouvoir et que seulement après, ils soutiendraient le gouvernement.

"Je recommanderais d'adresser ces souhaits au peuple syrien. Il n'y a que le peuple syrien à avoir le droit de décider à l'intérieur du pays qui, comment et selon quels principe, doit diriger le pays", a coupé net M. Poutine.

Le chef de l'Etat a également dénoncé le fait de soutenir l'opposition, et "principalement les organisations terroristes dans le seul but de renverser M. Assad, sans penser à ce qui arrivera au pays après l'anéantissement de ses institutions étatiques".

Le président a répondu à "l'insistance (de M. Rose, ndlr) digne d'une meilleure cause", avançant que l'armée syrienne luttait contre son peuple, que 60% du pays était contrôlé par l'EI et d'autres organisations terroristes.

Il a ajouté que la Russie ne prendrait part à aucune opération militaire sur le territoire syrien ou dans d'autres pays. La Russie s'apprête en revanche à intensifier la collaboration avec le président Assad et d'autres partenaires.

Pour la Russie, il est inacceptable de résoudre les problèmes par un coup d'Etat

Sur la crise ukrainienne, Vladimir Poutine a expliqué qu'il s'agissait du peuple le plus proche des Russes: la langue, la culture, l'histoire et la religion communes unissent ces deux peuples, c'est donc un grand dilemme pour les Russes. Mais ce qui est inacceptable pour la Russie, c'est d'intervenir dans la politique intérieure et d'entreprendre des actions inconstitutionnelles, à l'aide de coups d'Etat, à l'instar des partenaires américains qui ne cachent pas leur rôle dans le renversement de l'ancien président Viktor Ianoukovitch.

Selon Vladimir Poutine, on sait précisément comment a été préparé le coup d'Etat en Ukraine: comment ces gens ont été soutenus, "combien ils ont été payés, comment ils ont été préparés, sur quels territoires, dans quels pays, qui étaient leurs instructeurs". Il est crucial de respecter la souveraineté des autres pays, notamment de l'Ukraine. Et pour cette raison, les coups d'Etat et le renversement d'un pouvoir légitime sont inacceptables.

Charlie Rose a alors rétorqué que beaucoup de monde parlait de la présence milliaire russe en Ukraine.

Les troupes russes à la frontière ukrainienne: et les troupes américaines en Europe?

"L'arme nucléaire tactique des Etats-Unis se trouve en Europe, ne l'oublions pas. Est-ce que ça veut dire que vous occupez l'Allemagne ou que vous avez transformé les troupes d'occupation en troupes de l'Otan ? Et si nos troupes sont présentes sur notre territoire à la frontière d'un autre pays, vous croyez que c'est un crime?", a lancé le président.

Le secret de la popularité de Vladimir Poutine

D'après le journaliste, beaucoup d'Américains parlent de Vladimir Poutine et se l'évoquent galoper torse nu sur un cheval, ils se souviennent du travail du président au KGB quand il était jeune, un portrait très viril qui éveille l'intérêt du public. De plus, "n'importe quel homme politique envierait le taux de popularité" du président russe."  Et de demander quel est le secret de cette popularité.

"Il y a une chose qui m'unit aux autres citoyens russes (…) c'est l'amour de notre Patrie", a répondu Vladimir Poutine.

La démocratie ne se fait pas en un jour

Quant à la démocratie, le président a rappelé qu'elle n'existe pas sans le respect de la loi. Et le processus démocratique est long, il est en développement, notamment aux États-Unis. Sinon, des problèmes comme les tensions à Ferguson ou l'arbitraire de la police n'existeraient pas aux États-Unis. Le plus important est de résoudre les problèmes dûment, le plus tôt possible.