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15/11/2015

Rappel : qui est "Daesh" ?

Rappel : qui est "Daesh" ?

Publié le : samedi 14 novembre 2015

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Quelques extraits vidéos essentiels pour comprendre la créature « Daesh », ses origines, ses soutiens :


Zapping : "Daesh de A à Z" / 2015


Ou, en résumé :

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http://www.egaliteetreconciliation.fr/local/cache-vignettes/L630xH574/Samer_Alshameri_dessin_isis_daesh_israel_usa-2-9a7ce-d4a89.jpg

 

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"Djihadisme en France, info et intox !"

Une mise au point salutaire pour ne pas mettre tous les musulmans dans le même panier !

Surtout lorsque l'on sait que ce sont les USA/Israël, la CIA-Mossad qui financent et qui forment les mercenaires qui peuvent très bien avoir une autre origine que celle musulmane.

"Djihadisme en France, info et intox !"

Café-débat autour de Pierre Conesa, haut fonctionnaire, historien, enseignant, essayiste et écrivain français sur le thème "Djihadisme en France, info et intox !" (20/05/2015)


Attentats de Paris : une soirée meurtrière dans la capitale

Dans cette vidéo on entend que les kamikazes se sont fait sauter avec des ceintures d'explosifs.

Il faut qu'ils nous expliquent comment peut-on trouver des passeports syrien, égyptien et français, quand l'objectif est celui pour les kamikazes de se faire sauter ?

Quelle était l'utilité de porter des passeports sur eux surtout s'ils savaient qu'ils allaient été pulvérisés par l'explosion ?

Attaques à Paris: 3 terroristes identifiés, un Syrien, un Egyptien et un Français

13:42 14.11.2015

Un passeport syrien. Image d'illustration

Les enquêteurs français travaillant sur place ont déclaré que sur les sept terroristes, au moins trois avaient été identifiés, l'un aurait un passeport syrien, le second un passeport égyptien et le troisième serait Français. Le passeport syrien appartenait à un migrant enregistré en Grèce, selon un ministre grec.

Attentats de Paris : une soirée meurtrière dans la capitale


02/11/2015

La Russie se prépare à une guerre nucléaire !

Chose promise, chose due, après les provocations incessantes des USA et de ses alliés européens criminels, comme encore ici : Les USA invoquent la "menace russe" pour augmenter leur présence navale en Europe, et à ce qui ressemble de plus en plus à un attentat provoqué sur l'avion russe en Egypte, Crash: la partie arrière de l’avion était endommagée, selon la compagnie aérienne, la Russie se prépare à une guerre nucléaire !

 

Le pire c'est que si une guerre nucléaire éclate entre les US/UE et la Russie, avec tous les traîtres et les collabos que nous avons à la tête des gouvernements européens,  et les bases militaires de l'OTAN qui sont implantées sur les territoires européens et aux portes de la Russie, nous aurons les nazis sur nos territoires et sur nos têtes !

Voir aussi :

Poutine révise la stratégie de sécurité nationale
11:37 22.10.2015

Vladimir Poutine

Une nouvelle version de la Stratégie de sécurité nationale de la Fédération de Russie sera soumise à l'examen du président russe avant la fin de l'année 2015.

Poutine convoque le Conseil de sécurité de la Fédération de Russie
20:07 10.10.2015

 Совместная пресс-конференция президента РФ В.Путина и канцлера Германии А.Меркель

Le président russe Vladimir Poutine a discuté l'opération de l'Armée de l'air russe en Syrie avec les membres du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie.

La Russie se prépare à une guerre nucléaire

Publié le par Иван Михайлович Фраков

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A l’issue de la dernière réunion du Conseil de Sécurité de la Fédération de Russie le chef du Conseil a déclaré que Vladimir Poutine a ordonné de préparer le pays à affronter une guerre nucléaire, en connexion avec la menace de la « Première Frappe » des USA, qui apparait clairement dans leur doctrine militaire.

«Нужно проанализировать, насколько они отвечают реалиям сегодняшнего дня и при необходимости провести соответствующие коррективы. Уже в ближайшее время следует провести инвентаризацию индивидуальных средств защиты граждан, определить, какие из них морально и технически устарели, и выработать меры по восполнению запасов таких средств за счет современных образцов, но только на отечественной базе»

Vladimir Poutine a ordonné un inventaire, une remise en état si besoin est, et un réapprovisionnement des matériels de protection individuelles des citoyens contre les menaces NBC.

La remise en état et l’approvisionnement des abris dans les grandes métropoles de Russie est également en cours depuis plusieurs mois. Des centres de commandement décentralisés sont par ailleurs installés en divers endroits « anonymes », en général enfouis profondément.

Par ailleurs des essais de matériel ont été ou seront prochainement effectués:

Tirs de missiles intercontinentaux balistiques Topol depuis le cosmodrome de « Plesetsk »

Tirs de missile depuis le sous-marin Briansk (Flotte du Nord) et Podolsk (Flotte du Pacifique), dans les mers de Barent et Okhotsk.

Tirs de missiles depuis les navires de la Flotte de la Caspienne

Lancement de missiles de croisière depuis les Tupolev TU-160 sur des cibles au sol au Kamchatcka et dans la République des Komis.

Multiples opérations avec les missiles Iskander

La Russie se tient donc prête à une guerre nucléaire suite à une éventuelle « Première Frappe » des USA.

 

Poutine est à prendre au sérieux

Poutine est à prendre au sérieux

Poutine est à prendre au sérieux

« SI LA BAGARRE EST INÉVITABLE, IL FAUT FRAPPER LE PREMIER »

Ce serait une grave erreur pour l’Occident et ses dirigeants de ne pas prendre au sérieux ce que dit Poutine. Il n’est pas du genre à parler pour ne rien dire. Ce qu’il a à dire, il le dit sans élever le ton et sans effet oratoire. Les mots sont pesés, les pensées sont claires et ses intentions sont sans équivoque. On se souviendra de son intervention, l’an dernier, à la rencontre de Valdaï, où il avait précisé les défis à relever de la part des puissances qui conditionnent les destinées de ce monde.

« …le monde s’est engagé dans une époque de changements et de mutations profondes, époque où nous devons tous faire preuve d’un degré élevé de prudence et d’une capacité à éviter les démarches irréfléchies ».

Cette année, à l’occasion de sa rencontre avec les experts internationaux, réunis à Sotchi pour la XIIe édition du club de discussion de Valdaï, il a de nouveau pris la parole dans un contexte où les problèmes semblent s’accentuer plutôt que diminuer. Le conflit en Ukraine n’est toujours pas résolu. En Syrie, le droit international de l’État syrien est toujours bafoué par la coalition occidentale qui ignore la souveraineté et l’indépendance du peuple syrien. Elle recrute, forme, arme et finance une soi-disant armée de libération syrienne (ALS) pour lutter contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar Al-Assad. Pendant ce temps, les terroristes de l’État islamique étendent leur influence et leur domination sur le territoire syrien et, au lieu de disparaître sous les frappes de la coalition occidentale, ils se sont renforcés. Ce fut à tout le moins le cas jusqu’à ce que la Russie intervienne en réponse à l’appel du président Bachar Al-Assad.

« Les États-Unis possèdent un grand potentiel militaire, mais il est toujours difficile de mener un double jeu : lutter contre les terroristes et en même temps en utiliser certains pour poser des pions sur le damier du Moyen-Orient dans leur propre intérêt. Il est impossible de vaincre le terrorisme si l’on utilise une partie des terroristes comme un bélier pour renverser des régimes que l’on n’aime pas. On ne peut pas ensuite se débarrasser de ces terroristes. C’est une illusion de croire qu’on pourra les chasser du pouvoir. Le meilleur exemple nous est donné par la situation en Libye. On espère que le nouveau gouvernement pourra stabiliser la situation, mais ce n’est pas le cas pour l’instant ».

Ce double jeu des États-Unis et de ses alliés agace d’autant plus Vladimir Poutine qu’il rend pratiquement impossible toute action concertée pour se libérer de l’État islamique et du terrorisme, quelle que soit la forme qu’il prend. Il n’y a pas, comme il le dit dans une autre partie de son intervention, un terrorisme modéré et un terrorisme cruel. Dans les deux cas on tue et l’on assassine, faisant fi de tout droit et de toute loi.

« «Il ne faut pas diviser les terroristes entre modérés et non-modérés. On voudrait savoir la différence. Les experts disent que les terroristes «modérés» décapitent les gens de façon modérée ou tendre»

Deux conflits majeurs permettent de cerner avec précision ce qui sépare l’approche de la Russie de celle des États-Unis et de L’Europe.

En Ukraine, la Russie a toujours soutenu que le conflit en est un entre le Donbass et le gouvernement central de Kiev. Il appartient donc au gouvernement de Kiev de reconfigurer la constitution en concertation avec les gouvernements du Donbass (Donetsk et Lougansk) de manière à respecter leurs particularités culturelles et leur autonomie comme peuples. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle en est arrivé Minks2. À ce jour Kiev se résiste à cette concertation assurant un statut particulier pour cette région du sud-est de l’Ukraine.

Les États-Unis, n’ayant pas participé directement à ces négociations de Mink2 n’en continue pas moins à apporter leur soutien au gouvernement central de Kiev en lui fournissant des armes et en formant des soldats pour lutter contre les populations du Donbass.

En Syrie, la Russie reconnaît la légitimité de l’État syrien ainsi que celle de son président, Bachar Al-Assad. C’est d’ailleurs à l’invitation de ce dernier que la qu’elle intervient pour lutter contre les terroristes de l’État islamique qui n’ont rien à voir, comme tel, avec le peuple syrien. Par contre, les groupes armés, d’une soi-disant opposition syrienne, profitent de la présence de l’État islamique pour accentuer leurs actions contre l’armée régulière et le gouvernement de Bachar Al-Assad. À plusieurs reprises, la Russie a demandé aux États-Unis qui l’accusent de bombarder cette armée de l’opposition qu’ils soutiennent en armements, en formation et en argent de leur fournir la liste des positions de l’ALS. Tout ceci pour éviter de les prendre pour cibles. Cette requête est demeurée sans réponse. Pour la Russie, Il appartiendra à l’armée régulière syrienne de les combattre ou aux responsables politiques des deux groupes en litige de résoudre entre eux, leurs différents. Pour Moscou, ce sera toujours le peuple syrien qui devra avoir le dernier mot concernant le choix de ses dirigeants et le régime politique de l’État.

Quant aux États-Unis et ses alliés, ils ne reconnaissent pas la légitimité du gouvernement dirigé par Bachar Al-Assad et n’en tiennent aucunement compte dans leurs interventions en Syrie. Ils recrutent des mercenaires d’un peu partout à travers le monde pour grossir les rangs de l’ASL. Cette opposition armée n’est en rien comparable avec les combattants du Donbass, en Ukraine. Dans ce dernier cas, ce sont les populations locales, soutenues par leurs gouvernements régionaux, qui réclament un statut spécial qui respecte leur particularité culturelle et ethnique.

Il est évident que les approches ne sont pas du tout les mêmes et que les fondements qui les soutiennent ne répondent pas aux mêmes principes.

Pour la Russie, il est prioritaire de respecter le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et de celui des États à jouir pleinement de leur indépendance et souveraineté.

Pour les États-Unis et ses alliés européens, le principe qui sous-tend tous les autres est celui de la subordination des régimes politiques et économiques à leurs intérêts. La gouvernance mondiale recherchée nivelle le principe des nations et, avec ce dernier, celui de leurs droits.

La rencontre de Vienne

Lavrof et Kerry34

Cette rencontre sur trois jours des principaux acteurs concernés dans cette guerre en Syrie n’a malheureusement pas donné les résultats escomptés. Les États-Unis ont décidé d’envoyer des militaires en Syrie pour soutenir l’armée d’opposition syrienne et poursuivre ainsi leurs actions contre le gouvernement syrien. Cette décision prend la forme d’une véritable provocation contre l’intervention russe en Russie. Sous des dehors de promoteur de la paix en Syrie, John Kerry se moque éperdument de la Russie et de son ministre des relations internationales, Serguei Lavrov. Il parle et agit comme si les États-Unis avaient toujours bien en main le leadership de la lutte contre le terrorisme et des voies à suivre pour rétablir la paix en Syrie.

Cette intervention du secrétaire d’État, John Kerry, ne prend aucunement en compte l’approche russe de la lutte contre l’État islamique pas plus d’ailleurs que celle de la reconnaissance légitime du Gouvernement syrien. Plus tôt, le chef de la diplomatie russe s’était prononcé pour un règlement politique du conflit syrien impliquant la participation du président Bachar Al-Assad et la participation de l’ensemble de l’opposition syrienne non armée.

Il faut dire que les provocations des États-Unis contre la Russie ne manquent pas. Tout est mis en œuvre pour discréditer ses interventions en Syrie et minimiser ses succès. Sur la scène européenne, l’étau se resserre autour de la Russie. Sur ce dernier point, la Russie a servi un sérieux avertissement à l’OTAN.

« Il s’agit du rapprochement de l’OTAN et de ses infrastructures militaires vers nos frontières, ce qui constitue un phénomène que nous considérons comme indésirable et dont nous expliquons depuis longtemps les potentielles conséquences dangereuses », a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov à la question de commenter les informations parues dans le WSJ.

Que va conclure Vladimir Poutine de tout cela?

Il est certain qu’il a décodé depuis un bon bout de temps la stratégie et les objectifs des États-Unis. Les comportements de ses « partenaires » occidentaux, comme il les appelle, lui confirment le fait qu’ils ne démordent pas de leur grand projet de s’asservir les nations et les peuples. La confrontation est de plus en plus plausible. Sur ce dernier point, John Kerry qui se dit optimiste quant à la non intervention de la Russie peut très bien se tromper. Il devrait plutôt prendre très au sérieux ces propos tenus par Vladimir Poutine à la tribune de Valdaï.

“Il y a 50 ans, à Saint-Pétersbourg, la rue m’a appris une règle : si la bagarre est inévitable, il faut frapper le premier.”

 L’Occident risque beaucoup à ne pas prendre au sérieux Vladimir Poutine. 

Oscar Fortin

http://humanisme.blogspot.com