Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/06/2009

L’asperatus : un nouveau nuage !

L’apparition d’un nouveau type de nuage dans le bestiaire météorologique est un fait rarissime. C’est pourtant ce qui est sur le point de se produire, avec l’asperatus, une formation nuageuse impressionnante.

D’étranges formes de nuages ont récemment fait leur apparition au-dessus de la Grande-Bretagne et de la Nouvelle-Zélande, mais aussi en quelques autres endroits du globe. Particulièrement tourmentés et opaques, ils ressemblent à une mer agitée vue par en dessous et assombrissent considérablement le paysage, donnant l’impression d’annoncer une violente tempête. Pourtant, ils finissent toujours par se dissiper sans rien produire de particulièrement fâcheux.

Ces nuages sont apparus sur des photos transmises régulièrement par les membres de la Cloud Appreciation Society. « Nous avons essayé d’identifier et de classer toutes les images de nuages que nous avons, mais il y en avait qui n’allaient dans aucune des catégories, j’ai donc commencé à penser que cela pouvait être un type unique de nuage », raconte Gavin Pretor-Pinney, le fondateur de l’association.

RTEmagicC_Asperatus-030609d.jpg.jpg
Hanmer Springs, Nouvelle-Zélande.
Source : Cloud Appreciation Society / Merrick Davies.
Cliquer pour agrandir.
Asperatus-030609e.jpg
Cedar Rapids, Iowa (Etats-Unis).
Source : Cloud Appreciation Society / Don Sanderson.
Cliquer pour agrandir.
Asperatus-030609b.jpg
Cedar Rapids, Iowa.
Source : Cloud Appreciation Society / Jane Wiggins.
Cliquer pour agrandir.

Asperatus-030609c.jpg
Plaines de Canterbury, Alpes-du-Sud, Nouvelle-Zélande.
Source : Cloud Appreciation Society / Laurie Richards.
Cliquer pour agrandir.

Les scientifiques de la RMS (Royal Meteorological Society) estiment que ce nuage devrait être classé dans sa propre catégorie, et ont décidé de le nommer asperatus, mot signifiant brutal en latin. La proposition a été soumise officiellement à l’organisation météorologique mondiale à Genève. Si elle est acceptée, asperatus prendra définitivement sa place dans l’Atlas international des Nuages, un évènement qui ne s'est plus produit depuis plus d’un demi-siècle.

Source : Futura Sciences

!cid_12FFF3911AC14269AE7B5BA151F3D291@ArtemisiaPaltz.jpg
Photo Jacques Paltz
Ciel de Lourdes le 14 novembre 2007 17 h 30
Séisme Lourdes le 15 novembre 2007 19 h 30

Les glaciers du Groenland fondent plus vite que prévu

arton2762.jpg
Les glaciers du Groenland fondent plus vite que prévu indique une nouvelle étude scientifique réalisée à l’université de Fairbanks en Alaska, publiée par la revue Hydrological Process. Les résultats obtenus montrent que les glaciers pourraient être responsables de près de 25% de l’élévation du niveau des mers au cours des 13 dernières années. Cette étude indique également que le niveau de la mer monte aujourd’hui de plus de 3 millimètres par an, une valeur supérieure de 50% à la moyenne pour le 20ème siècle.

Science Daily, 13 juin 2009

Sebastian H. Mernild et ses collègues des États-Unis, du Royaume-Uni et du Danemark ont découvert que de 1995 à 2007, l’ensemble des précipitations sur la calotte glaciaire avait diminué tandis que l’ablation de surface - la combinaison de l’évaporation, de la fonte et de la réduction de la couverture glaciaire, avait augmenté. Selon de nouvelles données rassemblées par M. Mermild, depuis 1995 les glaciers ont perdu en moyenne 265 kilomètres cubes par an, ce qui a contribué à environ 0,7 millimètres par an à l’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Ces chiffres ne prennent pas en compte la dilatation thermique - l’expansion du volume de la glace induite par la chaleur - de sorte que cette contribution pourrait être du double.

La calotte glaciaire du Groenland a fait l’objet d’un intérêt considérable par les chercheurs au cours des dernières années car c’est l’un des principaux indicateurs du changement climatique. A la fin de l’an 2000, au début 2001 et en 2007, les principaux événements de fragmentation des glaciers ont libéré de grandes surfaces de glace dans la mer. Les chercheurs étudient ces événements spectaculaires, ainsi que la fonte en surface de la calotte glaciaire.

La fonte de la glace provoquée par le réchauffement de l’Arctique a deux effets majeurs sur l’océan. Tout d’abord, l’apport d’eau contribue mondialement à l’élévation du niveau de la mer, ce qui affecte les rivages à travers le monde. Deuxièmement, l’eau douce provenant de la fonte modifie la salinité des océans, ce qui peut affecter les écosystèmes océaniques et le mélange des eaux profondes.

« L’augmentation du niveau de la mer posera un problème à l’avenir pour les personnes vivant dans les régions côtières dans le monde entier », déclare M. Mernild. « Même une augmentation mineure du niveau de la mer peut créer un problème pour ces collectivités. Il faut espérer que cette recherche puisse donner aux populations les informations précises qui sont nécessaires pour la planification de la protection des personnes et des communautés. »

Greenland Ice Sheet surface mass-balance modelling and freshwater flux for 2007, and in a 1995-2007 perspective

Sebastian H. Mernild, Glen E. Liston, Christopher A. Hiemstra, Konrad Steffen, Edward Hanna, Jens H. Christensen.

Source : Contrinfo

14/06/2009

Livres : Rendez-vous 2012

2012, le rendez-vous :
De la crise à l'avènement d'un nouveau monde

 

rdv2012.jpg

 

Présentation de l'éditeur
Nous sommes parvenus au stade où nous devons choisir entre notre évolution et notre destruction, changer notre mode de pensée, nos habitudes et par conséquent notre société. L'homme fait partie du cosmos et doit évoluer avec lui, soit de son plein gré, soit de force, mais alors cette mutation risquerait d'être plus pénible. L'auteur fait ici le point sur l'ensemble des prophéties concernant 2012 et leurs contreparties scientifiques, ainsi que sur les véritables dangers qui nous menacent, et nous montre que la survie de notre civilisation dépend de la possibilité de prendre conscience du rôle que nous jouons dans l'évolution de l'humanité et de la planète. Voici venu le temps du changement et chacun de nous doit participer à cette métamorphose, penser globalement et agir localement. C'est la seule issue pour l'homme qui, poussé par la grande mutation planétaire déjà bien amorcée, pourra basculer vers un changement de niveau de conscience dont dépend sa survie.

Biographie de l'auteur
Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a publié de nombreux ouvrages, romans, essais sur les phénomènes dits "paranormaux ", l'écologie et la santé. A travers de nombreuses conférences, en France et à l'étranger, elle souhaite réveiller la conscience endormie par le matraquage médiatique, et nous invite à réfléchir, à être responsables de nos décisions en parfaite connaissance de cause, et à réviser entièrement nos valeurs et notre système de pensée.

Source : 2012, le rendez-vous


Le code Maya: 2012, la fin d'un monde

 

le code maya.jpg
Présentation de l'éditeur
Barbara Hand Clow fait partie des Sages de la Communauté internationale Maya. Petite-fille d'Indien Cherokee, elle est aussi Conservatrice de la mémoire Cherokee. Elle est connue dans le monde entier pour son enseignement et ses écrits sur les cérémonials. Elle a publié une dizaine d'ouvrages en anglais, dont The Pleiadian Agenda ; Chiron, Alchemy of Nine Dimensions ; et Catastrophobia. Elle enseigne en des lieux sacrés dans le monde entier et gère un site Internet : www.handclow2012.com.



Le Serpent de Lumière - Au-delà de 2012

 

leserpentdelumirere.jpg

 

Présentation de l'éditeur
À la fois aventure et traité spirituel, le nouveau livre de Drunvalo Melchizédeck est le récit de première main d'un processus unique en 13 000 ans au cours duquel la kundalini de la Terre Mère émerge du noyau de la planète et monte tel un serpent vers son nouveau nid. Jadis chez elle dans la Lémurie ancienne, la kundalini de la Terre est passée à l'Atlantide, puis dans l'Himalaya. Chaque fois qu'elle a changé d'emplacement, elle a transformé le sens, pour nous, de la spiritualité. Et de l'identité sexuelle. Et du cœur. Cette fois, avec grande difficulté, le serpent de lumière est passé dans les Andes. Dans Serpent de lumière, Drunvalo raconte des récits de ses trente-cinq ans passés au service de la Terre Mère. Voyagez avec lui autour du monde alors qu'il suit son guide et ses propres connaissances en expansion. Son histoire est une vivante série de cérémonies visant à guérir les cœurs, à aligner les énergies, à corriger les déséquilibres anciens bref, à augmenter notre conscience de l'indivisibilité de la vie dans l'univers.

18/05/2009

Ban Ki-moon et les catastrophes naturelles

Ban Ki-moon appelle à l'action contre les catastrophes naturelles

MANAMA - Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a lancé dimanche à Bahreïn un rapport mondial sur la réduction des risques dus aux catastrophes naturelles, en appelant les gouvernements à faire mieux pour sauver des millions de vies.

Dans ce rapport intitulé "réduction des risques de catastrophe: bilan mondial 2009", l'Onu souligne que le changement climatique, la dégradation de l'environnement et l'urbanisation anarchique risquent d'affecter les populations à travers le monde.

Le document avertit que des millions de vie sont en danger à moins qu'"on ne s'attaque aux facteurs de risques sous-jacents" et qu'on peut dans la plupart des cas prévenir ces risques.

"Chaque pays a la capacité et le devoir de redoubler d'efforts en vue de répondre à cet appel en s'employant à prévenir les catastrophes naturelles, à en atténuer les effets et à s'y préparer", a déclaré M. Ban dans un discours.

"J'invite aujourd'hui les chefs de gouvernements et les dirigeants politiques du monde entier à investir davantage dans la réduction des risques liés aux catastrophes", a ajouté le secrétaire général de l'Onu.

Il a souligné que "l'an dernier seulement, il s'est produit plus de 300 catastrophes qui ont fait 236.000 morts".

"Plus de 200 millions de personnes ont été directement touchées. Le montant total des dégâts se chiffre à plus de 180 milliards de dollars", a-t-il ajouté.

Dans son discours, M. Ban a souligné que "l'Asie a été particulièrement touchée", précisant que "neuf des dix pays où les catastrophes ont causé les plus lourdes pertes en vies humaines se trouvent sur le continent asiatique".

"Nous savons tous que les pauvres et les pays en développement sont ceux qui souffrent le plus des catastrophes", a souligné M. Ban, notant que "les trois quarts de ceux qui périssent à la suite d'inondations se trouvent dans trois pays asiatiques : Bangladesh, Chine et Inde".

"Prenons un autre exemple, celui des cyclones : les victimes des cyclones tropicaux sont 17 fois plus nombreuses aux Philippines qu'au Japon, alors que ces deux pays sont également exposés à ce type de phénomène climatique", a-t-il dit.

Résumant le rapport, M. Ban a indiqué qu'il préconise, notamment, "de réorienter la réflexion sur le développement, qui devrait désormais mettre l'accent sur la capacité d'adaptation et les mesures préventives".

"La réduction des risques liés aux catastrophes peut aider les pays à lutter contre la pauvreté, à préserver leur développement et à s'adapter aux changements climatiques. Ces progrès peuvent à leur tour contribuer à la sécurité, à la stabilité et à la viabilité de notre planète", a-t-il dit.

"En un mot, agir dès aujourd'hui pour atténuer les risques liés aux catastrophes peut être un des meilleurs investissements que puisse faire un pays", a-t-il conclu.

(©AFP / 17 mai 2009 11h20)

Source : http://www.romandie.com/infos/news2/090517092049.gyj25l0q...

17/05/2009

Hausse du niveau des océans

Hausse du niveau des océans : les estimations revues à la baisse

bq.jpg

La hausse du niveau de mer est un sujet inquiétant et de plus en plus d’actualité. Enfin, c’est ce que nous pensions jusqu’à maintenant. Attention, le problème est bien réel, mais, il se peut que nous ayons légèrement dramatisé. Une étude publiée aux Etats-Unis vient en effet de révéler que la fonte de la calotte glaciaire de l'Antarctique ferait monter le niveau des eaux océaniques de manière moins importante que tout ce qui était prévu.

D’après des chercheurs britanniques et néerlandais, si la calotte glaciaire disparaît totalement, l'élévation du niveau des océans serait de 3,2 mètres et non pas de cinq à sept mètres comme le prévoyaient d’autres études. Cependant, les effets seront quand même dramatiques pour de nombreux pays et îles. Une autre étude avait annoncé qu’une augmentation d’un seul mètre suffirait pour « affecter le champ de gravité terrestre dans l'hémisphère sud et modifier la rotation de la planète ».

Un changement de rotation de la Terre impliquerait une accumulation de l'eau océanique dans l'hémisphère nord. Cela aurait pour conséquence des différences importantes dans le niveau des différents océans. Dans ce cas là, la côte Est des Etats-Unis connaîtrait les élévations les plus importantes. « Même si la calotte glaciaire de l'Ouest Antarctique ne contribuait qu'à une élévation d'un mètre du niveau des océans étalée sur de nombreuses années, le niveau des mers le long des côtes nord-américaines connaîtrait une élévation 25% supérieure à la moyenne », a expliqué le principal auteur de la recherche, Jonathan Bamber.

A ne pas rater:
-
Réchauffement climatique : urgence, les océans vont déborder !
- Réchauffement climatique : des millions d’habitants menacés d’exode

Source : http://www.developpementdurable.com/environnement/2009/05/A1722/hausse-du-niveau-des-oceans-les-estimations-revues-a-la-baisse.html