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23/11/2010

Des scientifiques sondent sous la Mer Morte en quête du patrimoine terrestre

Les reptiliens cherchent-ils leurs ancêtres ? Ont-ils  perdu les os de grand papa AN ? Ou le grand vaisseau de secours ? Ou le vortex qui les fera s'échapper ?


Voir l'article précédent :

Qumrân, le secret des manuscrits de la mer Morte
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/11/23/qumran-le-secret-des-manuscrits-de-la-mer-morte.html

Allez Brain storming général pour trouver avant eux ...la cause de cette réconciliation subite.


Tiens pas l'ombre de Benoit par là. Il a l'oeil dans la lunette astronomique c'est vrai !...
 
AFP - 17/11/2010 à 19:11



Des scientifiques sondent sous la Mer Morte en quête du patrimoine terrestre

Une équipe internationale de scientifiques a commencé à forer sous la Mer Morte dans le but d'extraire des matériaux susceptibles d'éclairer l'histoire de la Terre ces 500.000 dernières années.  

Photographe : Khalil Mazraawi :: Rivages de la Mer Morte côté jordanien, le 9 novembre 2009
photo : Khalil Mazraawi, AFP 

Les couches de sédiments déposés durant des millions d'années dans le sous-sol de cette région, qui est la plus basse sur Terre, pourraient fournir des informations sur l'activité sismique et les changements climatiques, selon les chercheurs.

"Les sédiments constituent des +archives+ sur les conditions environnementales qui existaient dans le patrimoine géologique de la région", a expliqué mercredi l'Académie israélienne des Sciences et des Lettres, partenaire du projet.

Une fine tranche du sol doit être extraite lors d'un forage de 1.200 mètres grâce à une plateforme spéciale installée dans le bassin septentrionale de la Mer Morte.

Une fois extraite, cette carotte sera analysée par des spécialistes du climat ou des chimistes afin d'étudier les changements survenus tout au long de l'Histoire.

Des détails sur des conditions climatiques extrêmes ou une activité sismique intense pourraient ainsi permettre de comprendre les flux migratoires des population de la région.

"Nous pensons que les résultats de ces recherches auront d'importantes conséquences dans de nombreux domaines de la science et de l'environnement, et apportera des éclaircissements sur de nouvelles ressources (fossiles: ndlr) naturelles", ont déclaré Zvi Ben-Avraham, professeur à l'université de Tel-Aviv, et Moti Stein, u Bureau d'études géologiques d'Israël, dans un communiqué commun.

"En outre, une étude historique des données hydrologiques et environnementales de la Mer Morte participera à une meilleure compréhension du mystère de l'évolution culturelle de l'Homme dans cette contrée", ont-ils ajouté.

Ce projet est soutenu financièrement par le Programme international de forage scientifique continental, un organisme qui a mené des études similaires dans la croûte terrestre en différents points du globe.

Rare exemple de coopération régionale, les gouvernements d'Israël et de la Jordanie (qui borde elle aussi la Mer Morte) ainsi que l'Autorité palestinienne, ( pincez-vous !!) participent tous au projet, qui doit durer jusqu'à la fin de l'année.  Ouhh ça urge on dirait ....

http://actu.orange.fr/sciences/des-scientifiques-sondent-sous-la-mer-morte-en-quete-du-patrimoine-terrestre_76531.html



Qui a écrit la Bible et pourquoi?

L’Histoire Secrète du Monde – Chapitre 10

 

I. L’Arche d’Alliance et le Temple de Salomon

 

Lorsque nous pensons à un dieu qui “danse toute la nuit” dans le temple rond des Hyperboréens, nous nous tournons tout naturellement vers l’événement le plus remarquable décrit dans la Bible , où l’on voit rien moins que le roi David danser en sous-vêtement devant l’Arche d’Alliance… Remarquons que dans le portail nord de la cathédrale de Chartres se trouve une statue représentant Melchisédech, “prêtre-roi de Salem” et la reine de Saba. A égale distance ente eux deux se trouve l’Arche d’Alliance sur un chariot. Melchisédech tient une coupe supposée être le Saint Graal. Dans la coupe se trouve un objet cylindrique, en pierre.

 L’arche d’Alliance, cet objet des plus mystérieux et puissant était, pensons-nous, la raison de la présence des Templiers à Jérusalem. Que savons-nous réellement de l’Arche?

Lorsque j’ai commencé à étudier les questions qui me préoccupaient, à propos de la religion, de la philosophie, etc., je ne me doutais absolument pas que j’allais découvrir quelque chose d’aussi terrifiant et aux conséquences aussi incalculables en ce qui concerne les religions en général et le monothéisme en particulier!

Et je vous demande de bien me comprendre et de ne pas penser que je préconise le paganisme ou d’autres formes de cultes à des divinités ou images de divinités. Je suis entièrement convaincue que la source de toute existence est la conscience, et que cette conscience est fondamentalement ce que nous pourrions appeler Dieu ou Esprit Divin. Ce qui me dérange c’est l’imposition d’un monothéisme par tous ces groupes qui prétendent que leur version de ce qu’est ou n’est pas Dieu est la seule correcte. Et un des résultats de ce type de diktat est que le monothéisme judéo-chrétien a répandu le concept du temps linéaire.

Les gens lisent la Bible depuis deux mille ans. Elle a obtenu, dans notre culture, un statut qu’aucun autre écrit n’a obtenu. Il y a plus d’exemplaires de la Bible sur la surface de la Terre que d’aucun autre livre. Elle est citée (et souvent mal cité) plus souvent que n’importe quel autre texte. Elle a été traduite en plus de langues que n’importe quel autre ouvrage. Depuis ses premières parutions, un nombre incalculable de gens l’ont lue, étudiée, enseignée, admirée, discutée, aimée, ont vécu pour elle et sont morts pour elle. C’est le document unique qui se trouve au cœur du judaïsme et du christianisme, et cependant, le commun des mortels ne se pose jamais la question de savoir qui l’a écrite. Les gens pensent qu’ils savent: elle a été divinement dictée, révélée, ou inspirée.

 Nonobstant ce qu’en pense le commun des mortels, de nombreux chercheurs (le plus souvent des théologiens) se penchent sur ces questions depuis environ mille ans, quand ils ne sont pas brûlés sur le bûcher pour avoir osé poser la question. Et, comme nous l’avons vu, la plupart de ces gens n’avaient recherché qu’une communion plus étroite avec Dieu, en essayant de suivre le plus fidèlement le texte original reçu “de la main de Dieu”.

Lire la suite

16/11/2010

Catholicisme : Pierre n'a jamais été le 1er Pape, mais l'évêque de Rome

Très instructif !

Et avant les religions monothéistes, il y avait quoi ?

Nous sommes chrétiens, mais pas prêts à avaler toutes les couleuvres que l'église nous présente comme étant la parole de Dieu !

Nous sommes capables de réfléchir par nous-mêmes, sans maîtres à penser pour nous.

C'est bien ce que nous disions.

Tous des imposteurs !
Pas étonnant que l'Unique Religion Mondiale soit la base même du Nouvel Ordre Mondial sans laquelle il ne pourrait pas exister !

L'église catholique qui a été soi-disant créée par Pierre, l'apôtre du Christ, sur le simple fait que le Christ aurait dit à Pierre : "Pierre, tu es Pierre et sur cette pierre je construirai mon église", est une belle escroquerie.

Pierre n'a jamais été le 1er Pape, mais l'évêque de Rome. Confirmé par le nouveau catéchisme imprimé en 1992.

Le titre de Pape n'existait pas du temps de l'occupation de la Judée par les Romains, pour la simple et bonne raison que le christianisme n'est devenu la religion officielle de Rome qu'en l'an 392 après le Christ.

Il s'est passé quoi entre la naissance et la mort du Christ et l'année 392 ?

Que des intrigues bien occultées et des guerres intestines pour s'accaparer le pouvoir et détruire les autres croyances dont celles des païens après la fermeture de leurs temples le 13 février 356.

La preuve en image que le christianisme n'est devenu la religion officielle de Rome, que le 8 novembre 392 après Jésus-Christ.

 
Sur le site d'Histoire que nous vous recommandons :
http://www.herodote.net                          


Le temps des prophètes (VIème siècle avant JC à 622)
:

http://www.herodote.net/frises/chrono.php?periode=8


   Cliquez sur l'image

Création de l'église catholique le 8 novembre 392 après Jesus-Christ.JPG

 D'autres surprises nous attendent avec la véritable existence du Christ à laquelle les manuscrits de la mer morte ne font jamais relation ou référence.


Est-ce la raison pour laquelle les détenteurs de ces rouleaux de la Mer Morte ou de Qumran, ont été persécutés par l'église catholique et la raison pour laquelle après leur découverte, ils tardent encore à nous en communiquer le contenu ? Même histoire que le Secret de Fatima ! Que de secrets dans cette église !


On voit que les Reptiliens sont passés par là !

 


Comprendre le catholicisme romain
http://cms.unpoissondansle.net/wp-content/uploads/ccr.pdf

 

© 1995 par Rick Jones traduit avec permission par Un poisson dans le net,  http://unpoissondansle.net

Une information cruciale que TOUT catholique devrait connaître

Le catholicisme romain est-il chrétien ?

Malgré un débat animé, il semble qu'une réponse puisse être esquissée en comparant les doctrines du Catéchisme de l'Église Catholique ( JEAN-PAUL II. Catéchisme de l'Église Catholique. Vatican : MAME/PLON, 1992. 800 p.) de 1992 avec la Sainte Bible.

Avez-vous lu le catéchisme ? Savez-vous ce que l'église catholique enseigne ? Cette religion vous mènera-t-elle au paradis ?

Né et élevé dans la foi catholique romaine, la curiosité a amené l'auteur à étudier en détails le nouveau catéchisme et à comparer ses enseignements avec la Parole écrite de Dieu. Les résultats furent surprenants !

Si vous n'avez pas le temps ou le désir de vous plonger dans les 800 pages (édition de poche) du nouveau catéchisme, vous devez lire ce livre révélateur.

Trente-sept doctrines catholiques romaines sont extraites du catéchisme … expliquées … et comparées avec la Parole écrite de Dieu.

Si votre destinée éternelle est entre les mains de l'église catholique, il est vital que vous appreniez comment les doctrines catholiques officielles «s'arrangent » avec les Écritures. Sont-elles en accord les unes avec les autres ? Vous pourriez être étonné.

Qui a l’autorité suprême ?

 

Avant de commencer notre examen des doctrines catholiques romaines, il nous faut savoir qui a l’autorité suprême.

Nous rencontrons ici la première difficulté. La Bible soutient qu’elle est la seule et l’unique autorité, tandis que le catholicisme enseigne qu’il existe trois autorités suprêmes :

« Il est donc clair que la Sainte Tradition, la Sainte Écriture et le Magistère de l’Église, par une très sage disposition de Dieu, sont tellement reliés et solidaires entre eux qu’aucune de ces réalités ne subsiste sans les autres, et que toutes ensemble, chacune à sa façon, sous l’action du seul Esprit Saint, contribuent efficacement au salut des âmes. » Article #95, p.41

Selon ce passage, les Écritures, la tradition de l’église (enseignements dispensés au cours des âges), et le Magistère (la tâche de donner l’interprétation authentique de la Parole de Dieu) sont toutes équivalentes en importance (voir aussi l’Article #82, p.38)

Selon la doctrine catholique, la tradition de l’église et le Magistère sont tout autant Parole de Dieu que le sont les Écritures :

« La Sainte Écriture est la parole de Dieu en tant que, sous l’inspiration de l’Esprit divin, elle est consignée par écrit. Quant à la Sainte Tradition, elle porte la parole de Dieu, confiée par le Christ Seigneur et par l’Esprit Saint aux apôtres… » Article #81, p.38

La question évidente est : « Qu’arrive-t-il quand ces trois ‘autorités suprêmes’ sont en désaccord entre elles ? Le catéchisme donne la solution :

« ‘La charge d’interpréter de façon authentique la Parole de Dieu, écrite ou transmise, a été confiée au seul Magistère vivant de l’Église dont l’autorité s’exerce au nom de Jésus-Christ’, c’est-à-dire aux évêques en communion avec le successeur de Pierre, l’évêque de Rome. » Article #85, p.39

Notons que lorsque le catéchisme explique que la charge d’interpréter la Parole de Dieu a été confiée à l’Église, il se réfère uniquement à l’église catholique romaine. C’est le cas tout au long du catéchisme : « L’Église » se réfère toujours à l’église catholique romaine.

Le catéchisme répète la même doctrine en utilisant des mots différents :

« Car tout ce qui concerne la manière d’interpréter l’Écriture est finalement soumis au jugement de l’Église, qui exerce le ministère et le mandat divinement reçus de garder la parole de Dieu et de l’interpréter » Article #119, p.45

En définitive, le catéchisme conclut que l’autorité finale n’est pas la Bible, mais l’enseignement actuel de l’église catholique, étant donné qu’elle est la seule qualifiée pour délivrer une interprétation authentique de la Parole de Dieu.

La Bible est-elle d’accord ?

Si la Bible, la tradition et les enseignements de l’église catholique sont tous trois Parole de Dieu, alors la Bible concordera avec ces enseignements. Malheureusement pour le catholicisme, ce n’est pas le cas. En fait, c’est le contraire qui est plutôt la norme. Dieu déclare dans la Bible que Sa Parole écrite a toujours été, et sera toujours parfaite :

« Le fondement de ta parole est la vérité, Et toutes les lois de ta justice sont éternelles. » Psaume 119.160

« Les paroles de l'Éternel sont des paroles pures, Un argent éprouvé sur terre au creuset, et sept fois épuré. Toi, Éternel ! Tu les garderas, Tu les préserveras de cette race à jamais. » Psaume 12.6-7

La Bible déclare fermement qu’elle est la seule autorité suprême :

[Jésus priant son Père] « Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité. » Jean 17.17

Livre à télécharger en PDF : ICI

http://cms.unpoissondansle.net/wp-content/uploads/ccr.pdf

Une information cruciale que TOUT catholique devrait connaître

10/08/2010

Le Vatican, Les OVNIS, les ET et Nibiru

Confessions d’un agent secret du Vatican

L’homme est jésuite, il se présente à Barbato comme étant un familier du Vatican travaillant pour le Saint Siège. D'abord sceptique et méfiant à l'égard de ce contact soit disant « initié », Barbato analyse et vérifie ses références (en se gardant, comme le veut son éthique de journaliste, d'indiquer sa source) : il s'agit bien d'un prêtre jésuite, oeuvrant à la Cité du Vatican. Après quelques échanges par mails, le journaliste italien demande que leur dialogue se poursuive de vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette rencontre est préférable vu l'énormité des révélations qu'il s'apprête à faire, l'homme du Vatican accepte. Deux rencontres ont donc lieu à Rome, en 2001 (voir interview page 58). Barbato apprend que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. À partir de là, il est clair pour Barbato que la démarche du jésuite ne procède pas d'une simple trahison; mais d'une révélation dont l'enjeu est de taille : la survie de notre civilisation.

La « vidéo jésuite »
Avant même leur rencontre à Rome, le contact du Vatican avait fait parvenir à Barbato, en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite » - destinée à alerter le public. D'une durée d'environ deux minutes, elle évoque l'observation d'un planétoïde couvert d'une atmosphère épaisse (la présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu'encore en dehors de l'orbite de Neptune. La bande, que j'ai eu plusieurs fois l'occasion de visionner, est assortie de diverses classifications, dont la « Secretum Oméga », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret Cosmique » (CTS) de l'Otan. Il paraîtrait que l'image a été prise par une caméra embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe. Le contact de Barbato lui explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est équipée d'une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d'un système de propulsion à impulsion électromagnétique. L'engin a été assemblé à l'aire 51, dans le Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type Aurora, dans les années 1903. Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de pétrole désaffectée en Alaska. Il précise que le radiotélescope a été construit en 1990 dans le but d'observer les corps célestes inhabituels s'approchant du système solaire. Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite indique qu'il s'agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens ; voir NEXUS n" 50, p. 10).

Une très grosse planète

Cette planète massive encore ignorée de l'astronomie moderne produit des perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell, dans les mouvements d'Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. En 1978, James Christie, astronome à l'observatoire de la Marine américaine, découvre Charon, le satellite de Pluton et calcule la masse du couple Pluton- Charon. Au passage, les calculs indiquent la présence probable d'une très grosse planète encore invisible*...

De son côté, Barbato attendra le 30 avril 2005 pour se décider à révéler cette incroyable nouvelle et à montrer la vidéo au public. La projection a lieu au Palazzo délia Provincia, à Pescara, sur la côte adriatique italienne, au cours d'une conférence organisée par la Ufobserver Cultural Association et intitulée : « Ovnis ? La vérité est top secrète : de l'Aire 51 à la Planète X ».

Toutes ces années, Barbato s'est efforcé de rassembler des indices confirmant l'existence de la planète X/Nibiru et du SIV. Concernant ce dernier, il a trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre i). J'ai moi-même trouvé une référence indirecte dans un livre du lieutenant-colonel italien Umberto Rapetto et du journaliste Roberto di Nunzio {L'atlante délie spie, BUR, Milan, 2002). Dans le chapitre V {Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3 (Le nunziature) il est question d'un certain Robert A. Graham, un jésuite qui fit jadis allusion à l'existence d'un Service Secret du Vatican. S'agit-il de désinformation ou bien de la divulgation progressive d'une information secrète ?

Étranges anomalies dans le système solaire

Parmi tout ce que le jésuite du SIV a raconté à Barbato, deux choses sont, de mon point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004 (voir mon interview de Barbato dans UFO Notiziario n°62, avril-mai 2006, p. 40), ce qu'un certain nombre d'indices tend à prouver. D'autre part, le soleil et certaines planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes anormaux.

Prenons d'abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu'interféromètre spécialisé pour l'observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star du 21 mars 2003, http://www.detailshere.com/solar activity.htm


Dans l'article intitulé « The truth about global warming : it's the Sun that's to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci : « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu'il ne l'a jamais fait depuis le dernier millénaire. Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents... Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l'accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu'il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ».

Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :
Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l'éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », sur http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/....

Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare : «... depuis 1989, Tri¬ton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ». (http://www.scienceagogo.com/news/19980526052143data_trunc...).
Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir que la caméra de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars, des changements qui témoignaient d'un changement de climat sur cette planète, (http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/images/C02_Science_ rel/index.html).
Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ... le télescope Hubble photographie le développement d'une nouvelle tache rouge... Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge Junior], elle s'est formée après l'apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l'une dans l'autre entre 1998 et 2000. (http://www.space.com/scienceas-tronomy/060504_red_jr.html).
Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète, (http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/6135450.stm).

Alerter l'humanité

Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter le public sur l'arrivée de la planète X et sur les problèmes d'exopolitique, à savoir l'implication des gouvernements dans la question des ovnis et la manière dont, jusqu'à présent, les affaires extraterrestres ont été confisquées par les États-Unis, ou un certain gouvernement de l'ombre (sans contrôle de la part du président, du Congrès ou du Conseil national de sécurité). Je pense que la seule façon de savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système solaire, c'est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Greer, le professeur Michael Salla (http://www.exopolitics.org), l'historien Richard Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato (http://www.secretumomega.com) et bien d'autres qui, tous, comprennent l'importance d'élargir les horizons de l'humanité dans toutes les dimensions, tant matérielles que spirituelles. Ce n'est que comme cela que nous aurons une chance d'éviter les luttes fratricides et les horreurs du conflit nucléaire qui nous menace.

En 2001, Cristoforo Barbato rencontre donc le père jésuite qui lui révèle alors la genèse des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec une certaine race d'aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer l'information à l'humanité tout entière.

Barbato : Comment êtes-vous devenu membre du SIV ?
Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l'Église et constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un peu plus d'une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation, mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre ou une religieuse susceptibles d'apporter des informations précises. Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante-six institutions reliées à l'Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques » et d'autres. Je viens moi-même d'un de ces milieux.


En résumé, les membres sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue de certaines fonctions.

B : Pourriez-vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été créé et depuis quand est-il opérationnel ?
J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu'elle est organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n'y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican.
Du point de vue chronologique, l'événement qui a déclenché la création du SIV s'est produit aux États-Unis en février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d'une délégation d'aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre. La rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de film en sept bobines de trente mètres chacune. À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu'il avait vu et entendu. Ne me demandez pas où sont les films, je crois que vous connaissez la réponse... Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s'être engagé dans le secret, Mclntyre partit d'urgence avec l'intention de rencontrer le Pape Pie XII et de l'informer de cet événement incroyable.

Mais pour atteindre l'Italie, il fallait qu'il vole d'abord jusqu'à New York, puis de là à Rome, toujours en avion privé. Environ une demi-heure après le décollage de Los Angeles, l'appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint d'atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit. Pendant la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s'entretenir avec l'évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours desquelles il tenta de dissuader l'évêque de révéler tous les détails de la rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres relevaient exclusivement par la USAF. Le militaire précisa que tout ce que désirait le président Eisenhower, c'était un avis sur l'aspect spirituel de la question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret. On craignait à l'époque l'infiltration éventuelle du Vatican par des espions soviétiques. L'évêque répondit qu'il avait précisément l'intention d'informer le Pape de cet événement incroyable.


Nous pensons aujourd'hui que la panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires pour provoquer cette rencontre, et cela à l'insu du président Eisenhower. Avant de prendre congé, le colonel rappela à l'évêque les risques d'une divulgation à Rome.


Deux jours plus tard, Mgr Mclntyre fut reçu par Pie XII. Après une profonde méditation sur les implications possibles d'une relation exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un service secret d'information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l'on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà recueillies par les Américains. Il était très important d'assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.


Le SIV fut donc conçu pour acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d'autres pays, toute information secrète concernant les aliénigènes et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.

B : Qu'est-ce qui permettait au Pape de croire que les militaires américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican ? Que penser de l'officier que fit son apparition à l'aéroport de Las Vegas ?
J : Le fait qu'un président ait cherché une aide et un soutien spirituel dans une telle situation, unique dans l'histoire de l'humanité, constitue un témoignage de confiance et d'estime. D'ailleurs Mclntyre et l'archevêque de Détroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de la transmission d'informations vers le Vatican. Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d'autres membres du SIV furent directement contactés, à l'insu des militaires, par des aliénigènes de type « nordique »4, manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois dans les jardins du Vatican, au voisinage de l'Académie pontificale des Sciences, en présence du Pape PieXII…

B :Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l'existence d'autres êtres dans d'autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d'évolution parce qu'ils étaient sans péché... est-ce exact ?
J: Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d'autre part, les aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s'ils sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu'au plan technologique.
Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l'Église catholique, ou plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont proposé leur co-opération pour le bien de l'humanité. C'est ce qui a convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de véritables convertis à la foi chrétienne. Le pontife considérait probablement que l'Église universelle devait transmettre son message même à des êtres issus d'autres mondes. Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans, l'Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale et en politique internationale*.

Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu'à des « interventions angéliques ».
Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d'Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV ses réserves quant à la confiance qu'il fallait accorder à ces êtres. C'est pourquoi nous pensons aujourd'hui qu'une des principales motivations de la convocation du Concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l'Eglise en vue d'un éventuel et imminent contact.

B: Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste », et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski et le Pape ?
J : J'allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu'il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux.
En outre, Jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d'obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l'objet de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j'assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j'ai fait et de la manière dont je l'ai fait. » En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d'énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les « frères de l'espace » se comportaient avec bienfaisance envers l'humanité, il convenait qu'ils agissent de façon autonome, séparément de l'Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit. La tentative d'Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu'il ne fallait pas que l’Église etretienne ces contacts. Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l'évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter l'Église vis-à-vis des êtres bienfaisants venus d'autres mondes. Marc 9 : 38-412 : « Jean lui dit : "Maître, nous avons vu quelqu'un qui chassait les démons en votre nom et nous l'en avons empêché, parce qu'il ne nous suit pas." Mais Jésus lui répartit : "Ne l'en empêchez pas. Car il n'est personne qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi. Celui qui n'est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à boire un verre d'eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous l'assure, il ne perdra pas sa récompense" ». Cela signifie que les activités supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles à l'Eglise. Ces êtres doivent être comparés à l'étranger qui porte secours au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.

B : Parlons de votre mission dans le SIV...
J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.

B: Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.
J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l'avant-garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l'abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en Arizona.

B : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d'installations astronomiques dans le monde ?
J : Je peux vous dire qu'il a été construit dans les années 90 dans le but d'observer tous les objets célestes inhabituels s'approchant de la Terre. C'est ce que fait la CIA avec l'un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole-12 [aussi nommé KeyHole-12 ou KH-12 ; pour plus de détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12]. Il se trouve qu'au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l'approche d'un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux. Bref, je savais que ce que  j'allais recevoir à Rome et analyser par l'informatique était très intéressant et extrêmement secret. C'est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l'Alaska que nous avons découvert qu'une sonde spatiale du programme d'exploration Siloe, lancé dans l
es années 90, avait pris un cliché d'une énorme planète s'approchant du système solaire.

Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c'est alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n'avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu'il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».

B: Pouvez-vous me donner d'autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?
J : La sonde Siloe a hérité du nom d'un programme d'exploration spatiale initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d'un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma**. Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée
à l'Aire 51 [Nevada, USA], qu'elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu'elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora3. La sonde n'était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d'indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s'approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l'impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d'émettre des images dès 1995.

B : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d'une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses œuvres ?
J : Oui, j'en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j'ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d'un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.

B: Comment avez-vous obtenu ces informations ?
J : Je dispose d'une autorisation de supervision de ce qu'on appelle le Secretum Oméga. C'est le plus haut niveau de secret du Vatican, l'équivalent au Top Secret Cosmique de l'Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux d'informations : depuis le Secretum Oméga degré III, le moins détaillé, jusqu'au Secretum Oméga degré I, le plus complet. Ma mission était d'initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l'usage des systèmes de communication de l'organisation.

B : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?
J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l'Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d'émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un système cryptographique inventé par une société suisse ; il a été abandonné parce qu'un membre de cette société l'a secrètement vendu à des Israéliens. Je ne puis vous donner davantage d'information technique pour l'instant.

B : J'aimerais que vous me parliez d'un légat de l'Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?

J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n'a jamais été empêché ; au contraire, on l'a plutôt encouragé.

B : Vous permettez... À vous entendre, il semblerait qu'il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?

J :
Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n'y échappera. L'humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l'Apocalypse. Il importe que l'humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l'imminence de ces événements ? [cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II].

B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l'on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000***?

J : Deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila [Jean-Paul II] ; l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information. Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre ». Ceci a été confirmé par l'affaire « Gardian » [Canada, 1989-91], spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO Research Network], qui fit sensation
mais dont les photos de présumés aliénigènes n'ont pas été montrées. De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle. Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l'Ombre, et n'est connu que sous l'acronyme SVS.

http://conspiration.ca/ufo/confessions_agent_secret_du_va...

 

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Le Pape Jean XXIII et les ovnis

Encore une relation entre le Vatican et les ET. Les églises ont toujours voué leur culte aux extraterrestres depuis au moins la civilisation sumérienne, il suffit de lire les textes dits sacrés et d'avoir essayé de les déchiffrer pour le savoir. Et depuis des millénaires ils nous ont laissé dans l'ignorance, et entre les mains de nos prédateurs. La révélation n'a jamais eu lieu, car ils auraient été obligés de nous dire qu'il existait des races alliées de l'humanité, mais que contre les technologies UFO, que les grandes nations dont les USA, la Russie, l'Angleterre, la France et tous les pays qui ont un programme spatial et qui bénéficient de ces technologies. Ils ont préféré livrer l'humanité entre les mains de ses prédateurs, ceux qui sont appelés l'élite mondiale, promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, soit : les Illuminati-reptiliens ou les Grands Gris.

Le pape Jean XXIII et les ovnis

En 2008, dans un entretien pour le journal italien L’Osservatore Romano, Jose Ga­briel Funes, directeur de l’Observatoire astronomique du Vatican, a déclaré que « Dieu pourrait avoir créé une vie intelligente dans d’autres parties de l’Univers et qu’ils pourraient même être nos frères », déclaration qui s’est vivement répandue dans le monde entier.

Le journal anglais The Sun est le premier à avoir publié des éléments sur les relations entre le Vatican et les ovnis, suivi par un journal américain (le 23 juillet 1985). Le Sun a révélé que dans les années 1960 le pape Jean XXIII, également connu comme le «bon pape », à qui l’on attribue des milliers de miracles et de guérisons de par le monde, avait rencontré des extraterrestres à plusieurs reprises. Une de ces rencontres, qualifiée de très spéciale et de bien documentée, eut lieu en 1961 dans sa résidence d’été de Castel Gandolfo, en Italie. Un assistant du pape l’a décrite ainsi: « Le vaisseau était ovale, muni de lumières clignotantes oranges et bleues. Il nous survola quelques minutes et atterrit sur le gazon, à l’extrémité sud du jardin. Un être étrange en sortit, il semblait humain, excepté qu’il était entouré d’un halo doré et avait des oreilles pointues.

Le Pape et moi-même nous mîmes à genoux. Nous ne savions pas ce dont nous étions les témoins. Mais nous savions que cela n’était pas de notre monde, et qu’il s’agissait donc d’un évènement céleste. Le saint père se releva et marcha vers l’être. Ils restèrent ensemble 15 à 20 minutes. Ils semblaient parler intensément. Ils ne m’appelèrent pas, aussi je restai à l’endroit où je me trouvais et je ne pus rien entendre de leur conversation. L’être retourna vers le vaisseau qui s’envola immédiatement. Le Pontife revint vers moi et me dit: « Les Fils de Dieu sont partout. Parfois nous avons des difficultés à reconnaître nos propres frères. »

A cette époque, ce témoignage ne reçut pas beaucoup d’attention, mais plus tard, en 2007, il fut de nouveau examiné lors d’un congrès d’experts sur le phénomène ovnis, au Pérou, par Higinio Alas, évêque de l’Église catholique œcuménique de Jésus-Christ. H. Alas déclara lors d’un entretien téléphonique: « Si nous croyons que Dieu le Père a imprimé son sceau de vie dans tout l’Univers, il devrait logiquement y avoir de la vie dans les autres galaxies et sur d’autres planètes. »

Dans un ouvrage intitulé Le profezie di Papa Giovanni XXIII (Les prophéties du pape Jean XXIII) paru en 1976, Pier Carpi décrit un évènement qui se déroula en 1935. Lors d’un rituel d’initiation dans un temple rosicrucien, un frère se mit à parler avec une voix qui n’était pas la sienne. Le Chancelier de l’ordre nota les paroles de ce frère: « …les lumières du ciel seront rouges, bleues et vertes. Et elles seront rapides. Quelqu’un venant de très loin désire nous rencontrer, le Fils de la Terre. Et il y a déjà eu des rencontres. Mais ceux qui les ont réellement vus sont restés silencieux. »

Ce frère était Angelo Roncalli, évêque de Bergame, en Italie, qui des années plus tard allait devenir le pape Jean XXIII.

Le 31 mai 1963, au cours de sa dernière tournée en Europe, George Adamski rencontra le pape Jean XXIII. Il eut accès à une petite porte encastrée dans les immenses portes d’entrée en bois, à gauche du Dôme, loin des Gardes suisses. Plus tard G. Adamski raconta à sa correspondante en Suisse, Lou Zinsstag, qui l’accompagnait dans presque toutes ses tournées en Europe, qu’il avait vraiment été reçu par le pape qui lui avait dit : « Je vous attendais. » Il remit au pape un message scellé qu’il avait reçu précédemment d’un Frère de l’Espace, à Copenhague. En retour, le pape offrit à Adamski un nouveau médaillon du Conseil œcuménique, qui n’était pas encore en vente à ce moment-là. Deux jours plus tard, le lundi de Pentecôte, le pape Jean XXIII décédait.

[Sources: Canal TV 4, Mexique; Geor­ge Adamski - L'indicible histoire, Lou Zinsstag]

http://taraquebec.org/Blog/2010/07/le-pape-jean-xxiii-et-...