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05/10/2013

L'Institut français, le label culturel de Kouchner pour l'étranger

Et qui eu l'idée de créer l'Institut Français pour véhiculer la soi-disant culture française à l'étranger ? Un académicien ou un historien français ?

Bien sûr que non !  C'est Bernard KOUCHNER l'ancien Ministre aux affaires étrangères sous SARKOZY..

Nous rappelons que Bernard KOUCHNER est aussi le créateur de Médecins sans frontières et de Médecins du Monde C'est-à-dire que là où il y a du fric à faire ou à créer des réseaux internationaux très lucratifs ou visant à implanter des plateformes stratégiques de contrôle des étrangers dans leur propre pays, Zorro est là !

En clair, d'abord on bombarde les innocents chez eux et ensuite on fait mine d'aller vite les soigner ! Créer les problèmes pour ensuite proposer les solutions  à condition qu'elles rapportent gros !

Il faudrait aller demander aux Palestiniens, aux Afghans, aux Syriens, aux Libyens, aux Ivoiriens et à tous les autres, ce qu'ils pensent de la culture de guerre de la France et s'ils sont intéressés par la soi-disant culture française alors qu'ils ne demandent qu'à manger et qu'à avoir la paix chez eux.

L'Institut français, le label culturel de Kouchner pour l'étranger

 Parce qu'il fallait bien se décider à faire quelque chose...pour créer des agences de renseignements militaires sur place !

 

Par Cecile Mazin,Le jeudi 26 mars 2009 à 08:42:34

Au cours d'une conférence organisée hier, le ministre des Affaires étrangères s'est penché sur la sauvegarde de la culture française et sa préservation. En calquant son idée sur ce qui peut exister en Angleterre à travers le British Council ou encore, plus près de nous, du Goethe Institut, Bernard Kouchner a ainsi proposé la création d'un Institut français.

Ce dernier sera donc au service de la culture dans les pays étrangers, dans le cadre de restructuration de la fonction d'ambassadeur également évoquée depuis quelque temps par le ministre. Le quai d'Orsay ayant aussi pour vocation de promouvoir la création française, il était temps que M. Kouchner s'attelle à ce point. Les précédentes réformes ont avant tout eu pour but de resserrer les budgets avec quelques coupes.

Dès lors, l'Institut palliera ces absences, ou plutôt coupes drastiques, en mettant en place une sorte de label, garantissant la valeur de la culture française en dehors de ses frontières. Cependant, une agence du même nom devrait voir le jour, dotée de 40 millions €, et située à Paris. Cette somme sera destinée à valoriser « arts de la scène, cinéma, littérature, arts plastiques, ou encore animation du débat avec nos partenaires étrangers sur les enjeux du village planétaire (développement,climat...) ».

Pour l'heure, on ne connaît pas encore les noms des futurs membres de cette structure, qui, bien que publique, devra s'ouvrir aux partenariats privés. On évoquerait cependant le nom d'Olivier Poivre d'Arvor, directeur de CulturesFrance, mais pour une fonction encore inconnue. Cette dernière sera donc remplacée par l'Institut français.

Si l'ensemble des ambassades serait alors épargné, n'oublions toutefois pas que 700 agents liés au réseau culturel, sur les 16.720 que l'on compte aujourd'hui, ne verront pas leur poste renouvelé.

http://www.actualitte.com/societe/l-institut-francais-le-...


Culture : la naissance de l’« Institut français »

Toujours un petit retour en arrière en 2010 sous la houlette de SARKOZY.

Là on ne parle plus d'exporter la supposée culture française à l'étranger, mais il est question à présent d'enjeu stratégique dans les politiques diplomatiques.

Il s'agit donc d'une nouvelle agence de renseignements militaires et non plus d'aller soi-disant apporter la culture française à l'étranger. Nous ne pouvons qu'y penser avec le gouvernement sioniste qui a pris possession de la France, caniche des USA et d'Israël,   qui passe son temps à aller attaquer des innocents sur leurs propres territoires. Donc, tout à coup vouloir créer un Institut Français, en 2010, sous la houlette de SARKOZY pour aller soi-disant exporter la culture française à l'étranger en utilisant tous ces moyens financiers et réseaux diplomatiques ne peut que paraître suspect.

Cela ressemble plutôt à des prétextes insidieux pour aller créer des agences de renseignements militaires à l'étranger pour commencer à créer sur place des réseaux criminels de déstabilisation des pays convoités par les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

 

Culture : la naissance de l’« Institut français »

Le 10 novembre 2010 par Pierre Laffon

 

Le législateur vient de créer « l’Institut français » ayant pour but de donner un nouveau souffle à la politique culturelle de la France. Ce nouvel institut a-t-il les moyens de son ambition ? La France a-t-elle enfin son British Council ou Goethe Institut ?

 

Exporter sa culture par des cours de langue, des conférences, des échanges interculturels, est un enjeu stratégique dans les politiques diplomatiques : cette fonction est remplie en Angleterre par le British Council et en Allemagne par le Goethe Institut. La France a un réseau culturel foisonnant dispersé entre différents instituts, centres culturels, alliances françaises et services culturels des ambassades et consulats. Les Anglais et leur « British Council » et les Allemands avec leur « Goethe Institut » affichent l’unité de leurs actions respectives tandis que la France divise sa politique culturelle, la rendant illisible. La dimension du British Council est importante : son budget de plus de 600 millions d’euros, dont 220 proviennent d’un financement public, lui permet de disposer d’environ 220 implantations dans 109 pays. Quant au Goethe Institut disposant de 183 implantations dans 83 pays, il bénéficie d’un budget de 260 millions d’euros pour une subvention publique de 215 millions d’euros. Le montant cumulé des subventions publiques au rayonnement de la France est équivalent à la subvention de l’Allemagne au Goethe Institut mais la dispersion des subventions françaises provoque des gaspillages par le double voire triple réseau français. Bernard Kouchner souhaitait donc réformer ce réseau pour retrouver une certaine unité de notre action. Pour cela le ministre a cru bon de créer une nouvelle institution, l’Institut français, sous la bannière de laquelle se regrouperaient tous ces instituts culturels, services culturels des ambassades et dans laquelle on fondrait CulturesFrance, association promouvant la culture française à l’étranger et depuis longtemps sujette à critiques (notamment à cause de l’opacité des comptes et du manque d’actions internationales pour trop d’actions ayant lieu en France même…). [1]

 

Votée dans une loi de juillet 2010, la transformation de l’action culturelle est, sur le papier, ambitieuse. La création de ce nouvel Institut français doté d’une subvention de 37 millions d’euros, quand celle en faveur de CulturesFrance était de 18 millions, témoigne de cette ambition. De plus, le nouvel Institut hérite de tout le personnel de l’ancien CulturesFrance auquel on a prévu 40 ETP (Equivalent temps plein) de plus. Il y aura donc plus de 140 ETP dans ce nouvel opérateur de l’Etat. Pour couronner le tout, c’est un ancien poids lourd du gouvernement qui va présider la nouvelle institution en la personne de Xavier Darcos. La dimension de l’Institut français est donc importante si on la compare à son ancêtre, CulturesFrance. Les éléments semblent à première vue réunis pour un réel changement dans l’action culturelle extérieure de la France.

 

Mais l’unification de l’action culturelle annoncée n’est pas au rendez-vous. Les ambassadeurs ont réussi à ne pas laisser les services culturels des ambassades sortir de leurs compétences au profit de l’Institut français. Le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner a donc dû faire machine arrière et donne rendez-vous dans trois ans pour faire basculer toute la politique culturelle extérieure de la France sous la tutelle de ce nouvel institut. Pour l’instant seule une dizaine d’ambassades ont accepté de laisser leurs actions culturelles à l’Institut français mais à « titre expérimental ».

 

Il est intéressant de voir le décalage entre la référence constante au British Council et au Goethe Institut dans les documents parlementaires, citant ces deux institutions comme des exemples à suivre, et le résultat de la réforme qui accentue les différences du réseau français par rapport aux « modèles » allemand et anglais.

 

Le British Council et le Goethe Institut collaborent étroitement avec l’administration diplomatique mais sont indépendants statutairement (le premier est une « registred charity », organisation d’utilité publique à but non lucratif, le second est un établissement totalement indépendant de l’administration allemande) [2]. La réforme de l’action culturelle extérieure française se caractérise au contraire par un renforcement de la tutelle de l’administration [3]. L’ancêtre de l’Institut français, CulturesFrance, avait pour statut celui d’une association. Face aux défauts de cette association, le législateur pense qu’un renforcement de la tutelle de l’Etat est la solution ; pourtant il affiche son admiration pour les modèles allemand et anglais qui sont indépendants de l’administration…

 

Grâce à un statut juridique garantissant son indépendance d’action, le British Council a une rapidité d’adaptation impressionnante : en deux ans, il a réduit de 30% ses crédits destinés à l’Europe redéployant son action en Asie et au Proche-Orient [4]. Une telle adaptation aurait-elle été possible si le British Council n’était pas libre vis-à-vis de l’administration ? De son côté, la France réduit également son réseau européen mais au rythme d’à peine deux suppressions d’instituts et centres culturels par an sur une période de huit ans [5].

 

Pour rendre l’Institut français performant, il conviendrait de lui garantir une certaine indépendance mais surtout lui donner la possibilité de coordonner toute l’action culturelle extérieure de la France. Cela passe par des ambassades qui se mettent au pas et acceptent de lâcher leurs services culturels. Gageons que l’expérience de Xavier Darcos lui permettra de convaincre les ambassadeurs sur ce point. Ensuite, les différents acteurs de la politique culturelle pourront « travailler ensemble, en fonction des pays, se compléter ou se substituer l’un à l’autre sous la coordination de l’ambassadeur » comme le suggère le député Jean-François Mancel. Etapes indispensables si l’Institut français ne veut pas rejoindre le cimetière des « machins » inutiles

 

Le réseau culturel français
InstitutFinancement public (en €)Nombre d’implantationsDomaine d’interventionRéforme
Services culturels des ambassades et consulats Non ventilé 164 Programmation artistique, coopération linguistique et universitaire Fusion des services culturels avec les centres culturels et les instituts français
Centres culturels et instituts français 65 millions + mise à disposition de personnels pour un coût de 61 millions d’euros [6] 132 Action linguistique et culturelle
CulturesFrance 18 millions 1 Promotion de la création d’arts de la scène, art contemporain… Remplacé par l’Institut Français
Alliances françaises 40 millions [7] 456 alliances françaises subventionnées [8] Diffusion de la langue et de la culture françaises par différents moyens (cours de français, organisation de spectacles, échanges et rencontres des différentes cultures du monde). Convention avec l’Institut français

 

Réseaux culturels étrangers
InstitutFinancement public (en €)Nombre d’implantationsDomaine d’intervention
British Council 220 millions 220 Echanges culturels, cours d’anglais.
Goethe Institut 215 millions 183 Diffusion de la langue allemande, échanges culturels et information sur l’Allemagne, la culture et la civilisation allemandes

 


 

[1] Voir par exemple le rapport d’information de Michel Charasse et Adrien Gouteyron au nom de la commission des finances du Sénat sur CulturesFrance (ex AFAA), 2007.

[2] Voir le rapport d’information de Jacques Legendre et Josselin de Rohan au nom de la Commission des affaires culturelles du Sénat sur la réforme de l’action culturelle extérieure, 2010.

[3] L’Institut français est un EPIC, qui par définition est sous tutelle étroite de l’administration

[4] Voir en ce sens l’étude comparative faite dans le numéro spécial n°85 de Société civile : « Mieux contrôler la dépense publique, réformer la Cour des comptes, redéfinir sa mission ; le rapport du National Audit Office sur le British Council de 2007 fourmille d’informations.

[5] Livre Blanc sur la politique étrangère et européenne de la France, 2008, Alain Juppé et Louis Schweitzer.

[6] Données de 2007 (rapport de la commission des affaires culturelles et de la commission des affaires et de la défenses du Sénat sur la réforme de l’action culturelle extérieure de l’Etat, Jacques Legendre et Josselin de Rohan). Les subventions au profit de ces instituts et centres ne sont pas clairement ventilées dans le Projet Annuel de Performance.

[7] Jean-François Mancel, rapport d’information sur la modernisation de l’outil diplomatique (22/07/2008).

[8] Rapport annuel de performance 2009

http://www.ifrap.org/Culture-la-naissance-de-l-Institut-f...


 

L'institut français : Un nouvel acteur pour mettre en oeuvre la diplomatie culturelle de la France

Voici comment se présente l'Institut français.

Il serait un opérateur qui assure l'action extérieure de l'état, (sécurité de l'état paranoïaque), et comme étant un outil d'influence diplomatique qui a la charge de former des agents de renseignements, "quand on sait lire entre les lignes" pour aller non pas apporter la culture dans les pays ciblés par l'état sioniste mais pour former des réseaux criminels de déstabilisation dans les pays convoités par les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

Retenez bien qu'il est écrit qu'il s'agirait soi-disant d'un établissement public, mais qu'il est aussi un établissement qui a vocation à faire du commerce avec des partenaires privés du commerce international et de l'industrie (armement, constructions diverses dont constructions stratégiques militaires, et réseaux de télévisions et Internet pour aller émettre leurs propagandes à partir des pays ciblés dans leurs projets... ).

Peuvent-ils nous dire, ce qu'en ont à faire les peuples africains ou autres, de la culture dite française et qui sont défavorisés volontairement par les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial,  quand ils ont leurs propres traditions et identités et qu'il serait sans doute plus utile de leur donner à manger et de quoi s'abriter eux et leur famille ?

Encore un nouveau réseau international mafieux qui ne viserait qu'à aller déstabiliser les pays qu'ils convoitent pour leurs richesses sous prétexte d'y apporter la soi-disant culture française.

Dans les prochains articles, nous verrons quels sont les pays ciblés par l'état sioniste et comment il propose la formation d'agents du réseau international.

Un nouvel acteur pour mettre en oeuvre la diplomatie culturelle de la France

L’Institut français est l’opérateur de l’action culturelle extérieure de la France. Il a été créé par la loi du 27 juillet 2010 relative à l’action extérieure de l’état (sécurité de l'état paranoïaque) et par son décret d’application du 30 décembre 2010.
 
Placé sous la tutelle du ministère des Affaires étrangères, il est chargé, dans le cadre de la politique et des orientations arrêtées par l’état, de porter une ambition renouvelée pour la diplomatie d’influence. Il doit contribuer au rayonnement de la France à l’étranger dans un dialogue renforcé avec les cultures étrangères et répondre à la demande de la France dans une démarche d’écoute, de partenariat et d’ouverture. Présidé par Xavier Darcos, l’Institut français se substitue à l’association Culturesfrance sous la forme d’un EPIC (établissement public ????? à caractère industriel et commercial). (Armement, constructions, etc..)
 
Aux activités développées par Culturesfrance en matière d’échanges artistiques et d’accueil en France des cultures étrangères, s’ajoutent de nouvelles missions transférées par le ministère des Affaires étrangères comme la promotion de la langue française, des savoirs et des idées mais aussi la formation des agents ????? du réseau culturel français. L’Institut français revendique la liberté d’expression et la diversité dans un contexte de mondialisation, (le Nouvel Ordre Mondial) tout en affirmant sa compétence et son expertise en matière de promotion de la culture française dans le monde. Il est un outil d’influence et de coopération, et un pôle d’expertise et de conseil.
 
En outre, l’Institut français est au cœur des enjeux actuels du numérique. Internet et les réseaux sociaux ayant bouleversé la diffusion de la culture, l’Institut français entend s’approprier ces technologies et en faire un vecteur de l’influence française.

En travaillant en étroite relation avec le réseau culturel français à l’étranger, constitué des instituts français et des alliances françaises, l’Institut français veille à répondre aux besoins exprimés par les postes diplomatiques, tout en favorisant les initiatives qui permettent une plus grande mutualisation des projets et des économies d’échelle. Localement, son action est mise en œuvre sous l’autorité des Ambassadeurs.

 

L'Institut français : Les pays ciblés par l'état Français et l'Institut français

Sont comme par hasard :

Afrique du Nord et Moyen-Orient

Afrique et Océan Indien

Amériques et Caraïbes

Asie et Océanie

Union Européenne


Vous remarquerez aussi qu'il est question de former les agents du réseau mondial.

La formation semble être proposée uniquement aux personnes expatriées ou habitant déjà dans les pays ciblés par la France ou l'état sioniste.

Nouvelle image.jpg

Ci-dessous une partie de leurs implantations principalement ciblées sur l'Afrique qui comme chacun de nous le sait contient d'énormes richesses à exploiter et de nombreux Rois et Présidents à déstabiliser pour y placer leurs pions sionistes.

 

Cliquer sur l'image pour zoomer

Nouvelle image (1).jpg

 

Institut Français : Leurs missions stratégiques et militaires à l'étranger

Nous remarquons encore ici que l'Institut français parle d'apporter son soutien culturel aux stratégies diplomatiques de la France.

Or, tel que nous l'indique Wikipédia, le terme stratégie s'applique au vocabulaire militaire et des armées. Selon Charles de Gaulle : « La stratégie est de la compétence du gouvernement et de celle du haut-commandement des forces armées. ».

Dès lors qu'il s'agit de politique de l'état Français et de stratégies diplomatiques, il ne peut en aucun cas s'agir de développer la culture française à l'étranger, mais de mettre en place des outils militaires pour aller provoquer des guerres dans les pays ciblés.

Stratégie : Le mot stratégie est dérivé du grec stratos qui signifie « armée » et ageîn qui signifie « conduire », et par suite de l'italien strategia. Ce terme, qui est toujours lié à l'habilité à diriger et coordonner des actions afin d'atteindre un objectif, possède une connotation tellement positive qu'il est souvent utilisé avec un peu de grandiloquence (ou d'exagération) dans des domaines où en fait les termes politique, idée, concept, plan ou tactique seraient à la fois plus exact et plus honnêtes :

  • Par suite et par extension, c'est l'art de diriger et de coordonner des actions pour atteindre un objectif.

L'élaboration d'une politique, définie en fonction de ses forces et de ses faiblesses, compte tenu des menaces et des opportunités, dans d'autres domaines que celui de la défense, notamment dans les activités économiques (stratégie d'entreprise, stratégie commerciale, industrielle, financière, etc.) relève de façon éponyme de la "politique" d'une entreprise ou d'une organisation. La stratégie est une part importante du jeu d'échecs, tout comme peut l'être la tactique. On parle alors de stratégie échiquéenne. Dans le domaine de la didactique enfin, on parle aussi des stratégies d'apprentissage et stratégies de communication alors que l'on devrait plutôt parler de méthodes ou de techniques d'apprentissage et de communication. L'utilisation à dessein du mot stratégie dans tous ces domaines est en fait réalisé à des fins tactiques, plutôt que stratégiques...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Strat%C3%A9gie


Nos missions

 

L’institut français apporte le soutien de l’action culturelle aux stratégies diplomatiques de la France
 
  1. 1. Promouvoir les échanges artistiques internationaux

    2. Partager la création intellectuelle française 

    3. Diffuser le patrimoine cinématographique et audiovisuel français 

    4. Soutenir le développement culturel des pays du sud 

    5. Encourager la diffusion et l’apprentissage de la langue française

    6. Développer le dialogue des cultures via l’organisation de «saisons», «années», ou «festivals» en france et à l’étranger 

    7. Favoriser la mobilité internationale des créateurs, avec des programmes de résidences 

    8. Coordonner et favoriser les actions avec les collectivités territoriales françaises à l’international 

    9. Agir pour la diversité culturelle à l’échelle européenne via des partenariats européens et multilatéraux

    10. Assurer la formation et le suivi de carrière des agents du réseau culturel dans le monde

http://www.institutfrancais.com/fr/faites-notre-connaissa...

 

Les autres outils et relais de l'Institut Français