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07/12/2011

L'UE se donne un mois pour frapper le pétrole iranien

C'est parti !

Oui bien sûr l'UE doit soi-disant arrêter l'Iran dans son programme nucléaire, il faut aller lui voler son pétrole, geler son argent et lancer une 3ème guerre nucléaire mondiale, non pas contre l'Iran seulement mais contre l'Humanité ! Car c'est bien de cela dont il s'agit : d'éliminer les 2/3 de la poulation mondiale avant le 21 décembre 2012.

Et avec quel argent et quels militaires vont-ils partir en guerre ?
Le nôtre et avec des militaires qui ne sont pas payés ?

Ils font tout pour nous endetter avec les guerres et pour nous livrer pieds et poings liés aux Illuminati-Sionistes-reptiliens et à leur idéologie millénaire de nous instaurer leur Unique Religion Mondiale et leur Nouvel Ordre Mondial.

Observez la Pape en ce moment, le soi-disant représentant du fils de Dieu sur Terre, s'il s'insurge contre la 3ème guerre mondiale nucléaire qu'ils ont savamment préparée depuis quelques décennies.
 
Et comme vous l'avez compris, il n'y aurait que le soi-disant nucléaire Iranien qui serait mauvais pour nous.
Une bonne nucléaire nous ferait sans doute du bien.
 
Que nous parlent-ils des 600 bombes nucléaires voire plus détenues par les Sionistes en Isral et qu'ils refusent de déclarer à l'ONU.
Que font l'ONU, l'UE et les USA pour exiger de connaître le stock d'armes nucléaires détenu par Israël.
 
Lisez encore la jolie propagande sioniste que voilà et ouvrez les yeux.
 

L'UE se donne un mois pour frapper le pétrole iranien

Par Jean-Jacques Mevel Publié le 01/12/2011 à 22:36 Réactions (6)
Jeudi à Bruxelles, Alain Juppé assuré que l'Europe travaillait à «des sanctions plus dures et sans précédent».
Jeudi à Bruxelles, Alain Juppé assuré que l'Europe travaillait à «des sanctions plus dures et sans précédent». Crédits photo : GEORGES GOBET/AFP
 
Après le cri d'alarme de l'AIEA sur le nucléaire, les Vingt-Sept durcissent leurs sanctions contre Téhéran.

De notre correspondant à Bruxelles

Le compte à rebours est lancé pour frapper Téhéran là où ça fait mal. L'Union européenne a décidé d'adopter, en janvier au plus tard, un train de sanctions présentées comme sévères contre la finance, le transport et l'énergie - en clair le pétrole iranien dans toutes ses dimensions.

Après le cri d'alarme de l'AIEA sur le nucléaire militaire, la mise à sac de l'ambassade britannique à Téhéran a balayé les réticences. «Nous avons décidé de travailler sur des sanctions plus dures et sans précédent», assure jeudi Alain Juppé, dans une allusion transparente à un éventuel embargo sur le pétrole. Le texte arrêté, jeudi à Bruxelles, vise aussi les Gardiens de la révolution, branche de l'armée chargée de réprimer toute dissidence interne.

Rappel des ambassadeurs

La formulation retenue est assez diplomatique pour couvrir les pays en pointe - la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne - et ceux qui ont émis des réserves - l'Italie, l'Espagne et la Grèce. Il s'agit «d'atteindre sévèrement le système financier iranien, celui des transports et celui de l'énergie». L'embargo, soutenu par Paris et Berlin, n'est plus à exclure. Londres milite aussi pour isoler financièrement Téhéran. Les États-Unis l'on fait en novembre, paralysant de fait une partie des rentrées pétrolières.

À ce jour, les Vingt-Sept ont déjà frappé les actifs de centaines d'entreprises iraniennes. L'UE applique depuis juillet 2010 une interdiction des nouveaux investissements dans le pétrole et le gaz. Jeudi, elle a ajouté à sa liste noire les noms de 143 sociétés et 37 personnes, visées par des gels d'avoirs et des interdictions de visa. Elle a aussi marqué son «indignation» face à l'attaque contre la représentation britannique et prévoit de coordonner les rappels d'ambassadeurs. Pour d'éventuelles sanctions pétrolières, la difficulté à surmonter est l'inégale répartition du fardeau entre le sud et le nord de l'Europe. L'UE a importé 5,8% de son brut d'Iran l'an dernier. Mais le sacrifice serait plus rude pour l'Espagne (15% de ses approvisionnements), la Grèce (14%) ou l'Italie. S'ajoute dans ces trois capitales une fatigue avouée de devoir assumer, après la Libye et la Syrie, le contrecoup des sanctions à chaque rebondissement politique dans le monde musulman.

Cette fois, c'est Athènes qui appelle à l'aide. Ses finances à sec, la Grèce a trouvé à Téhéran un fournisseur très obligeant qui lui fournit le pétrole à crédit. «Il faut en tenir compte et veiller à ce que l'interruption des livraisons de l'Iran puisse être compensée par une hausse de production ailleurs», explique Alain Juppé. À ses yeux, c'est tout à fait possible.

Les réticences de la Grèce et les réserves de l'Italie expliquent le délai que s'accorde l'UE, comme ce fut le cas avec la Libye au début de l'année. Des contacts vont donc être noués avec d'autres puissances pétrolières de la région. Il s'agit aussi d'éviter un effet pervers bien connu des professionnels: tout embargo risque de provoquer un effet temporaire de rareté qui, par le biais d'une hausse des cours, bénéficie au producteur sanctionné s'il trouve d'autres clients…

IRAN: les forces militaires se préparent au combat

mardi 6 décembre 2011

IRAN: les forces militaires se préparent au combat

 
ZEROHEDGE - L'Iran estime qu'elle n'a plus rien à perdre. Après une série d'explosions mystérieuses et la destruction de drones d'attaque de l'OTAN, il semble que le pays riche en pétrole est de plus en plus enclin à la probabilité d'une guerre. Selon Ynet News, l'Iran serait entrain de "déplacer des missiles vers des sites secrets", selon un journal britannique; "plus tôt, les habitants de Téhéran commencent à stocker des biens, craignant une grève imminente."
 
Le commandant Mohammed Ali Jaafari de la garde révolutionnaire iranienne a ordonné à ses forces d'assurer la préparation opérationnelle sur les installations nucléaires du pays avant une possible guerre ou grève. 
 
Le Telegraph a rapporté lundi soir que. "Le mouvement est pour l'instant une précaution". 
 
Le journal britannique cite des sources de renseignement occidentaux stipulant que "l'Iran organise un repositionnement de missiles balistiques, d'explosifs et des troupes dans des positions défensives, afin d'offrir une réponse rapide dans le cas d'une attaque par Israël ou les Etats-Unis ". 
 
 
Un responsable du renseignement occidental de haut rang a cité qu'"il y a une profonde inquiétude au sein de la haute direction du régime iranien et qu'elle redoute être la cible d'une attaque militaire surprise par Israël ou les États-Unis.
 
"Pour cette raison, ils prennent toutes les précautions nécessaires pour s'assurer qu'ils peuvent se défendre correctement si une attaque se produit".
 
 
 
"Nous allons être attaqués"
 
L'isolement de l'Iran sur ses ambitions nucléaires, sa prétention à avoir abattu un drone espion américain dans son espace aérien, et l'attaque de l'ambassade britannique nourrissent les Iraniens ordinaires de peurs.
 
"Les étrangers sont nombreux à quitter l'Iran ... Je soupçonne qu'il y aura une action militaire ... nous allons devenir un autre Irak", a déclaré l'architecte Mahsa Sedri, 35 ans. "Manifestement, quelque chose se passe ... sinon les étrangers ne quitteraient pas l'Iran."
 
"Nous allons être attaqués ... je le sens ... Je vide mes comptes en banque pour avoir de l'argent en poche en cas d'attaque", a déclaré Hassan Vosughi, employé du gouvernement. "Moi et tous mes amis avons stocké des marchandises à la maison."
 
Peut-être, devraient-ils stocker aussi du pétrole...
 

01/12/2011

La France rappelle son ambassadeur en Iran pour "consultation"

Sa majesté, Agent de la CIA, du Mossad et du Nouvel Ordre Mondial s'offusque et rappelle son espion à Paris !

Il s'offusque moins quand les sionistes continuent de massacrer depuis plus de 60 ans, les Palestiniens, et il trouve normal d'endetter les Français, en massacrant des innocents, en partant en guerre contre l'Afghanistan et la Libye, et les soi-disant pays de dictature, tout en continuant à nous endetter avec les guerres au profit de ses amis banksters, quand en France le chômage explose, que les français crèvent de faim et que les militaires ne sont pas payés.


Quand il doit partir en guerre pour faire avancer les plans de ses Maîtres, les Illuminati-sionistes-reptiliens, là il oublie les traités de non ingérence, les règles du droit International et le traité de Vienne.

Mais qu'attend l'armée française qui est censée soi-disant oeuvrer dans l'Humanitaire pour protéger le Peuple Français, en organiser un coup d'état contre un pouvoir illégitime ?

Que l'armée française cesse de participer à faire avancer les plans des Illuminati-sioniste-reptiliens et du Nouvel Ordre Mondial !
 
Lisez la jolie propagande qui nous est perfusée par les organes terroristes de diffusion : les merdias aux ordres de l'empire et du Nouvel Ordre Mondial.

 

 
La France rappelle son ambassadeur en Iran pour "consultation"

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 30.11.11 | 08h06   •  Mis à jour le 30.11.11 | 20h08

 

 

La France a décidé de "rappeler en consultation" son ambassadeur en Iran, Bruno Foucher, et a réitéré au chargé d'affaire iranien à Paris les plus fermes condamnations du saccage de l'ambassade britannique à Téhéran, a annoncé, mercredi 30 novembre, le ministère des affaires étrangères.

La France a décidé de "rappeler en consultation" son ambassadeur en Iran, Bruno Foucher, et a réitéré au chargé d'affaire iranien à Paris les plus fermes condamnations du saccage de l'ambassade britannique à Téhéran, a annoncé, mercredi 30 novembre, le ministère des affaires étrangères.AP/Raouf Mohseni

La France a décidé de "rappeler en consultation" son ambassadeur en Iran, Bruno Foucher, et a réitéré au chargé d'affaire iranien à Paris les plus fermes condamnations du saccage de l'ambassade britannique à Téhéran, a annoncé, mercredi 30 novembre, le ministère des affaires étrangères. La Grande-Bretagne avait décidé plus tôt dans la journée  de fermer sa représentation dans la capitale iranienne et d'évacuer son personnel du pays. Dans la foulée, Londres avait décrété la fermeture de l'ambassade de la république islamique sur son territoire sous quarante-huit heures.

Un premier groupe d'une vingtaine de diplomates britanniques a quitté l'Iran en milieu de matinée à bord d'un avion à destination de Dubaï, le reste de l'équipe devant suivre dans la journée. L'opération se déroule avec le concours du ministère des affaires étrangères iranien et de plusieurs ambassades européennes, dont l'ambassade de France, où les diplomates britanniques avaient passé la nuit de mardi à mercredi après avoir été évacués sains et saufs.

Plusieurs autres pays européens ont déjà rappelé leur ambassadeur en consultation (Allemagne, Suède, Pays-Bas) ou envisagent de fermer leur ambassade, comme l'Italie.

>> Lire notre éclairage L'ambassade britannique, cible privilégiée du pouvoir iranien

 

Une vitre de l'ambassade britannique à Téhéran après l'assaut  des manifestants, mardi 29 novembre.

Une vitre de l'ambassade britannique à Téhéran après l'assaut des manifestants, mardi 29 novembre.AP/MEDHI MARIZAD

 

NICOLAS SARKOZY ÉVOQUE DE NOUVELLES SANCTIONS

Le saccage de l'organe diplomatique a suscité de nombreuses réactions internationales. Nicolas Sarkozy a condamné "fermement" l'attaque "scandaleuse" de l'ambassade britannique à Téhéran, mercredi pendant le Conseil des ministres, a rapporté la porte-parole du gouvernement Valérie Pécresse. L'événement "conforte", selon lui, la décision d'imposer de nouvelles sanctions à l'Iran, a affirmé Mme Pécresse. Parmi lesquelles "le gel des avoirs de la Banque d'Iran et l'embargo total sur les exportations de pétrole iraniennes", a cité M. Sarkozy selon la porte-parole.

Dans une interview publiée mercredi dans le magazine L'Express, le ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, a pour sa part déclaré que la recherche d'une position commune de l'Union européenne sur de nouvelles sanctions contre l'Iran figurait au programme du conseil des affaires étrangères de l'Union, jeudi 1er décembre à Bruxelles. Une position commune est selon lui nécessaire pour "que la pression soit maximale".

De son côté, Hillary Clinton a exigé de l'Iran qu'il protège les diplomates étrangers en poste dans le pays et a condamné "de la manière la plus ferme" l'assaut contre la représentation diplomatique britannique, qualifié mardi d'"inacceptable" par le président américain, Barack Obama.

 

REPRÉSAILLES AUX SANCTIONS CONTRE L'IRAN

Le Parlement iranien a voté dimanche une loi réduisant les relations diplomatiques entre les deux pays au niveau de chargé d'affaires et prévoyant l'expulsion de l'ambassadeur britannique dans un délai de deux semaines. Cette décision a été prise en représailles aux nouvelles sanctions économiques contre l'Iran décidées la semaine dernière par Londres, de concert avec les Etats-Unis et le Canada, après la publication d'un rapport de l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) étayant les soupçons des Occidentaux selon lesquels Téhéran aurait travaillé à la fabrication d'une arme nucléaire malgré ses démentis répétés.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a rapidement condamné l'attaque de l'ambassade britannique "dans les termes les plus sévères" alors que Téhéran a exprimé ses "regrets" pour "le comportement inacceptable d'un petit nombre de manifestants en dépit des efforts de la police".

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/11/30/l...

 

27/11/2011

Russie/USA : Un avertissement du Président Medvedev aux américains

La vidéo du discours au Peuple Russe par le Président Medvedev.

Depuis quelques mois, tout le monde se prépare.

On attend plus qu'une déclaration de guerre.

Il faut s'attendre à ce qu'ils utilisent leurs armes climatiques (HAARP) comme éléments de dissuasion, comme ils savent si bien le faire en temps de guerre froide.

Si vous notez des tremblements de terre ou des tsunamis anormaux, vous saurez de quoi il s'agit.

La vidéo ci-dessous est à rapprocher de l'article précédent : ICI

Vous aurez compris que l'Iran est un prétexte pour s'attaquer à la Russie et à la Chine.

Un avertissement du Président Medvedev aux américains

http://www.youtube.com/watch?v=7Fn293kTNeU&feature=pl...

26/11/2011

La Russie menace de déployer des missiles nucléaires en Europe

Il ne se passe rien, rassurez-vous !

Certains pratiqueront la méthode Coué, en disant : Tout va bien, je suis bien ! Je suis gai, tout me plaît. Ou ils préfèreront jouer les autruches !

Sauf que nous vous alertons pour que vous puissiez vous préparer en conscience et en toute sérénité. Le libre-arbitre ne peut s'exercer que si nous avons le choix, et là le choix devrait être vite fait.

Si vous ne savez rien, comment pourriez-vous vous préparer aux échéances qui arrivent ?

Vous avez un bel exemple des relations de causes à effets avec la réaction de la Russie.

Quand on provoque quelqu'un, le résultat ne se fait  pasattendre, c'est l'effet boomerang qui agit.


La Russie menace de déployer des missiles nucléaires en Europe

LEMONDE.FR Avec AFP, AP et Reuters | 23.11.11 | 15h58   •  Mis à jour le 23.11.11 | 20h55

 

Un porte-missile nucléaire russe lors de la parade de la Victoire à Moscou, le 9 mai 2008.

Un porte-missile nucléaire russe lors de la parade de la Victoire à Moscou, le 9 mai 2008. AFP/YURI KADOBNOV

Un petit air de guerre froide. Le président russe Dmitri Medvedev a menacé, mercredi 23 novembre, de déployer des missiles nucléaires de courte portée de type Iskander dans l'enclave de Kaliningrad, aux portes de l'Union européenne, si les Etats-Unis poursuivaient sans concession le déploiement de leur bouclier antimissile en Europe.

Dans une allocution télévisée de sa résidence de Gorki, près de Moscou, M. Medvedev a déclaré que les Etats-Unis et l'OTAN, dans leur projet de système antimissile officiellement tourné vers des pays tels que l'Iran, "n'[avaient] pas l'intention jusqu'à présent de prendre en compte" l'inquiétude russe.

En conséquence, la Fédération de Russie développera, si nécessaire, "dans l'ouest et dans le sud du pays, des systèmes offensifs modernes qui garantiront la destruction des installations européennes de la défense antimissile des Etats-Unis", a déclaré le président russe. "Une de ces mesures sera le déploiement d'une batterie de missiles Iskander dans la région de Kaliningrad."

Un ultimatum auquel les Etats-Unis ont opposé une fin de non-recevoir. "Les systèmes antimissiles dont le déploiement est prévu en Europe ne menacent pas, et ne peuvent pas menacer la dissuasion stratégique de la Russie", a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, Tommy Vietor, ajoutant : "Nous ne modifierons ou ne limiterons d'aucune façon nos projets de déploiement."

LA RUSSIE CRAINT POUR SA SÉCURITÉ

Ce n'est pas la première fois que Moscou brandit ce genre de menaces. La Russie dit craindre que ce système ne nuise à sa propre sécurité et a exigé, jusqu'à présent en vain, d'y être associée pour vérifier qu'il ne vise pas sa capacité de dissuasion.

Cette crainte est exacerbée dans un contexte électoral. Le président Medvedev a prononcé cette allocution au moment où son pays se prépare à des élections législatives. A l'approche du scrutin, la politique intérieure a pris des accents volontiers nationalistes.

 

Le chef de l'Etat russe est allé jusqu'à envisager une sortie du Start (Strategic Arms Reduction Treaty), le traité de désarmement nucléaire signé avec les Etats-Unis et entré en vigueur en février, tout en soulignant que la Russie "ne fermait pas la porte" à des négociations ultérieures. Une ouverture au dialogue qu'a saluée le secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen, tout en qualifant de "très décevante" la menace brandie par Dmitri Medvedev.

Le représentant de la Russie auprès de l'OTAN, Dmitri Rogozine, a quant à lui précisé lors d'une conférence de presse que cette mesure ne serait mise en œuvre que lorsque le déploiement en Europe du système antimissile de l'organisation aurait atteint un "point de non-retour".

Le système antimissile mis en place par les Etats-Unis en Europe prévoit de protéger les pays de l'OTAN de tirs de missiles en provenance de l'Iran ou de la Corée du Nord. La Roumanie, la Turquie, la Pologne et plus récemment l'Espagne y ont officialisé leur participation. L'achèvement de ce dispositif est programmé en 2018.

http://www.lemonde.fr/international/article/2011/11/23/la...